Cours 2 Flashcards

1
Q

(Habituation 1)

1) Définition?
2) Quantité de paramètres?
3) Simple?
4) Explication?

A

1) La forme la plus simple et la plus commune d’un changement de comportement causé par un apprentissage.
2) Peu de paramètres sont impliqués. Observée chez la majorité des espèces animales, des invertébrés.
3) Malgré sa simplicité, elle repose sur des processus complexes.
4) Diminution graduelle et relativement durable de l’intensité ou de la fréquence d’apparition d’une réponse ou d’un comportement par suite de la présentation répétée d’une stimulation spécifique.

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2
Q

(Sensibilisation)

1) Définition?

A

1) Augmentation momentanée d’une réponse à un stimulus qui survient à plusieurs reprises.

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3
Q

(Habituation 2)

1) Définition (réactions et réponses)?
2) Stimulations?
3) Réponses?

A

1) Réactions et réponses diminuent suite à la présentation répétée d’une même stimulation.
2) Stimulation biologiquement significative, inconditionnel, biologiquement significatif déclenche.
3) Réponse réflexe, inconditionnelle, non apprise. Toute réponse d’orientation est une réponse inconditionnelle.

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4
Q

(Habituation > Utilités)

1) Utilité?

A

1) Permet de maximiser nos ressources qui sont limitées. Permet de s’habituer à des émotions fortes. Dans certains cas, il faut apprendre à ne pas réagir. C’est ce que nous permet l’habituation.

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5
Q

(Sensibilisation)

1) Habituation incessante?
2) Qu’est-ce qui fait qu’on observe la sensibilisation ?
3) Causes de l’état d’excitabilité?

A

1) Théoriquement, le phénomène d’habituation continuerait sans cesse. L’habituation est toujours présente si nous sommes suffisamment patients, tandis que la sensibilisation est un phénomène comportemental qui n’est pas toujours observable.
2) Quand la stimulation est suffisante et quand elle hyperactive l’organisme. Moins la stimulation est intense, moins j’ai de chance de voir le phénomène de sensibilisation.
3) Intensité du stimulus, complexité du stimulus, contexte (environnement social vs environnement physique vs environnement interne).

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6
Q

(Sensibilisation > Fixation visuelle chez le nourrisson)

1) Enfant et quête d’informations?
2) Habituation et mémoire?
3) La capacité d’habituation et le QI?
4) Indice d’intelligence?

A

1) Tout nouvel objet dans l’environnement visuel de l’enfant capte son attention car les enfants sont en quête d’informations. L’enfant fixe ce qui est nouveau, inusité.
2) L’habituation va avec la mémoire, car un enfant qui ne s’habitue pas facilement à un objet est un enfant qui a une moins bonne mémoire.
3) La capacité d’habituation correspond à son Q.I. vers 4-5 ans.
4) Excellent indice de l’intelligence. Un test d’intelligence basé sur l’habituation : Fagan test of infant intelligence, un test de réaction à la nouveauté/familiarité des stimuli).

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7
Q

(Habituation > Changement de stimulus)

1) Habituation spécifique?
2) Généralisation et déclin de la réponse?
3) Diminution de la fréquence d’apparition?

A

1) L’habituation est spécifique au stimulus : spécificité du stimulus.
2) Le déclin de la réponse peut s’observer en présence d’un stimulus semblable au stimulus d’habituation.
3) La diminution de la fréquence d’apparition d’une réponse n’est pas nécessairement le résultat d’une habituation. Autres explications : Adaptation sensorielle et fatigue musculaire.

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8
Q

(Récupération spontanée)

1) Passage du temps et restauration?
2) Définition?
3) Intensité de la 2e réponse?
4) Différence dans le temps de repos?
5) Habituation à court terme?

A

1) Le simple passage du temps peut restaurer une réponse habituée.
2) La récupération spontanée consiste en la réapparition de la réponse après une période de repos.
3) Après une période de repos, la 2e réponse est moins intense que la 1ère.
4) Le temps de repos n’est pas le même pour chaque stimulus.
5) Une courte période de repos est suffisante pour voir réapparaître la réponse.

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9
Q

(Intensité du stimulus)

1) Corrélation entre intensité et déclin?
2) Stimuli contextuels?
3) Importance de l’intensité?

A

1) Plus l’intensité est faible, plus le déclin de la réponse est rapide ou marqué.
2) Le déclin de la réponse ne dépend pas uniquement de l’intensité du stimulus d’habituation, mais de la relation entre celui-ci et les autres stimuli de l’environnement.
3) L’intensité du stimulus est importante.

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10
Q

(Fréquence du stimulus)

1) Définition?
2) Corrélation entre fréquence et habituation?
3) Relations entre intervalle et fréquence?
4) Efficacité des fréquences?

A

1) Fait référence à l’intervalle de temps entre la présentation de chaque stimulus.
2) Fréquence élevée = habituation rapide.
3) Plus l’intervalle est court, plus la fréquence est élevée. Plus l’intervalle est long, plus la fréquence est basse.
4) Une fréquence élevée est efficace pour l’habituation à court terme. Une fréquence basse est efficace pour l’habituation à long terme.

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11
Q

(Déshabituation)

1) Effet d’une habituation permanente?
2) Bénéfice de la déshabituation?
3) Réapparition des réponses?

A

1) L’habituation à un stimulus et sa généralisation sont une forme d’apprentissage adaptée. Mais une habituation permanente ou surgénéralisée serait probablement nuisible.
2) Ainsi, la déshabituation permet de s’adapter aux changements.
3) Réapparition de la réponse à un stimulus A, ayant déjà induit une certaine habituation, à la suite de l’introduction ponctuelle d’un nouveau stimulus B.

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12
Q

(Habituation > Théories)

1) Postulat?

A

1) Les théories de l’habituation postulent l’existence de processus sous-jacents (non observables) pour expliquer les phénomènes d’habituation et de sensibilisation de même que les phénomènes associés.

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13
Q

(Habituation > Théorie du double processus)

1) Processus de sensibilisation et intensité?
2) Définition du processus d’habituation?
3) Différence entre processus et phénomène?
4) État d’excitabilité?

A

1) Processus de sensibilisation dépend de l’intensité du stimulus. D’autres événements externes peuvent également l’influencer. Il affecte uniquement l’état d’excitabilité de l’organisme. (Action générale.)
2) Processus d’habituation consiste en la décroissance de la conductivité de la voie S-R. (Action spécifique.) La réponse finale est le résultat de l’interaction des 2 processus, processus qui se développent indépendamment.
3) Différence entre le processus de sensibilisation et le phénomène de sensibilisation. PHÉNOMÈNE = COMPORTEMENT. Le processus de sensibilisation affecte l’organisme général.
4) Propension de l’organisme à répondre à toute stimulation.

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14
Q

(Habituation > Théorie du processus antagoniste)

1) Définition?
2) Aspect en commun des modification émotionnelles?
3) Type de théorie et neutralité?

A

1) Cette théorie décrit le patron standard des émotions qui sont déclenchées ou évoquées par des stimuli complexes et la manière dont ce patron est altéré par à la présentation répétée d’un stimulus.
2) Les modifications émotionnelles partagent certaines caractéristiques communes: le patron standard des émotions.
3) Il s’agit d’une théorie homéostatique. Recherche d’un état émotionnel neutre.

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15
Q

(Habituation > Théorie des réactions émotives)

1) Proposition sur l’habituation et les situations simples?
2) Basé sur quoi?
3) ce qui mène à l’équilibre?
4) Ce qui entre en jeu pendant un déséquilibre?
5) Apprentissage homéostatique?
6) Importance d’être dans un état d’équilibre psychologique ou physiologique?

A

1) Certains ont proposé que l’habituation ne se fait pas toujours dans des situations simples, physiques, mais aussi dans les réactions émotives. Ex. : peur, amour ….
2) Basée sur la recherche ou le maintien d’un état d’équilibre.
3) Ce sont les fonctions physiologiques qui tentent de nous mener à l’équilibre.
4) En état de déséquilibre, l’apprentissage entre en jeu pour retrouver l’équilibre.
5) Oui.
6) On répond mieux aux changements. Permet d’avoir le contrôle sur les échanges entre l’organisme et l’environnement. C’est pour mieux nous adapter aux autres stimulations qui pourraient survenir.

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16
Q

(Habituation > TRÉ > Patron standard des émotions)

1) Étape 1?
2) Étape 2?
3) Étape 3?
4) Étape 4?

A

1) Un stimulus déclenche une forte réponse émotionnelle qui atteint rapidement un pic.
2) Cette réaction émotionnelle diminue dans la phase d’adaptation.
3) Elle atteint par la suite un état stable.
4) Post-réaction affective. En cas de retrait ou d’interruption du stimulus, l’état émotionnel se transforme rapidement en des sentiments inverses à ceux qui prévalaient lorsque le stimulus était présent. Cette inversion est appelée post-réaction affective.

17
Q

(Habituation > TRÉ > PSÉ > Mécanismes impliqués)

1) Étape 1?
2) Étape 2?
3) Étape 3?

A

1) Le processus primaire ou A est déclenché lors de la présentation du stimulus activateur et est responsable de l’état émotionnel lorsque le stimulus est présent.
2) Le processus antagoniste ou B est déclenché par le processus primaire et génère une réaction émotive opposée.
3) La force du processus antagoniste est soustraite de la force du processus primaire pour donner l’émotion observée.

18
Q

(Habituation > TRÉ > PSÉ > Habituation à une réponse émotionnelle)
1) raisons de la fortification du processus B?

A

1) Le processus B se fortifie à la suite de présentations répétées du stimulus pour les raisons suivantes : Il est activé plus tôt, son intensité maximale est plus élevée, il diminue moins rapidement. Les réponses émotives primaires sont fortement contrées, ceci a pour effet d’engendrer une intensité réduite de la réaction affective primaire et de rendre excessive la postréaction affective.