Cours 10: facteurs de risque Flashcards

1
Q

Diabète

A

Que se soit de type I ou II, le diabète est un très important facteur de risque cardiovasculaire
80% de la mortalité des diabétiques est le résultat d’athérosclérose comparativement à 30% chez les non-diabétiques
De toutes les hospitalisations dues aux complications impliquant le diabète, 75% est une conséquence de l’athérosclérose.

Le diabète accélère le développement de l’athérosclérose et implique un plus grand nombre de vaisseaux avec des lésions plus diffuses.
Les artères des gens diabétiques sont en général plus atteintes
L’ulcération de la plaque et la thrombose sont plus fréquentes chez les diabétiques
Les complications impliquent néphropathie, rétinopathie, cardiomyopathie et possiblement la neuropathie

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2
Q

Mécanismes reliant le diabète et les maladies cardiovasculaires

A

Adipokines (progression de l’athérosclérose)
Dysfonction endothéliale
Migration et prolifération des cellules vasculaires musculaires lisses
Adhésion et la migration des monocytes
Résistance à l’insuline (accélère la progression de l’athérosclérose)

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3
Q

Adipokine

A

Les adipokines sont des hormones qui signalent les changements de la masse et les molécules énergétiques dans les tissus adipeux.
* interleukine-6 (IL-6) (IL-6 corrèle inversement avec la sensibilité à l’insuline; Induction of suppressor of cytokine signaling-3 qui inhibe l’autophosphorylation du récepteur de l’insuline dépendant de l’insuline).
* ASP Acylation-stimulating protein (stimule le stockage des triglycérides dans les cellules adipeuses)
* Résistine (Il est possible que chez l’humain, cette protéine ne joue pas un rôle dans la résistance à l’insuline).
* tumor necrosis factor-alpha (TNFα) (Augmente PAI-1 (plasminogen activator inhibitor 1 et diminue adiponectine (adiponectine possède des effets anti-athérogéniques))

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4
Q

dysfonction endothéliale causé par le diabète

A

Normalement devrait activé PI3K= effet antithrombotique et antiinflammatoire par production du NO

Résistant à l’insuline = moins de production de NO et moins de ces deux effest

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5
Q

Complications diabète

A

Complications microvasculaires: Rénales
40% avec un diabète de type I ou II ont une néphropathie
(microalbuminurie -> hypertension)

Complications macrovasculaires:
Coeur
Augmentation de 2 à 4 X le risque de maladie cardiovasculaire en présence de diabète (athérosclérose)
Les patients diabétiques de type I ont un plus mauvais pronostic que ceux de type II (les femmes plus que les hommes)
Les patients diabétiques ont 3 fois plus de chance d’avoir un AVC

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6
Q

Diabète et traitement

A

Valeurs cibles pour un patient avec diabète et microalbuminerie
HbA1c < 6,5%(hémoglobine glycosylée)
Pression 130/80 mm Hg
Cholestérol total 175 mg/dl
Triglycérides < 150 mg/dl

Thérapie : on ajoute de l’aspirine et un ACEi ou un antagoniste des récepteurs de l’angiotensine.
Réduction du poids (mange moins, exercice +)

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7
Q

3 Principaux facteurs de risque des maladies cardiovasculaires

A

HTA+++++
tabagisme
puis hypercholestérolémie

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8
Q

Facteurs de risque d’hypertension liés au mode de vie

A

Obésité
Consommation excessive d’alcool
Sédentarité
Tabagisme
Apport insuffisant de fruits et légumes
Apport alimentaire élevé en sodium

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9
Q

Facteurs de risque de mortalité par AVC

A
  • apport élévé en sel
  • âge
  • hypertension
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10
Q

Les effets du sel

A
  • augmente les décès dû au cardiopathie
  • augmente les décès dû à la MCV
  • augmente tous les décès
  • entraine une augmentation lente et progressive de la PA
  • avec le temps, la restriction de l’apport en sel (de courte durée) n’est plus suffisante pour rétablir la PA à un niveau normal
  • une restriction drastique de l’Apport en sel peut sous-estimer les effets cumulatis d’une exposition sodique prolongée.
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11
Q

Sodium réduit alimentaire à combien pour diminuer de 5 mm de Hg la pression artérielle?

A

apport réduit à 1800 mg/jour

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12
Q

régime connu pour diminution en apport de sel

A

régime DASH

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13
Q

Impact de la diminution de la PA en diminuant la consommation de sodium au Canada

A

Réduction annuelle de l’incidence suivante :
Infarctus du myocarde (5 %)
AVC (13 %)
Insuffisance cardiaque (17 %)

Réduction des coûts des soins de santé associés à une diminution globale prévue de l’incidence de MCV de 8,6 %
$1,7 milliard par année (coûts de 1998)

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14
Q

Apport en sodium et obésité

A

Un apport élevé en sodium alimentaire intensifie la soif et la consommation de liquides
Une grande proportion des liquides consommés contiennent des sucres simples ou de l’alcool et contribuent à l’apport calorique
20 à 30 % des calories consommées en trop par les enfants et les adolescents proviennent de la consommation de breuvages associés à un apport élevé en sodium
Par conséquent, les régimes à teneur élevée en sodium sont sans doute un facteur important contribuant à l’épidémie d’obésité

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15
Q

Apport de sodium alimentaire pour les adultes

A

Au Canada et aux États-Unis, on estime qu’un apport adéquat est de 1300 à 1500 mg/jour (selon l’âge)
2300 mg/jour dépassent la limite supérieure (LS) recommandée pour la santé
Le Programme éducatif canadien sur l’hypertension (PECH) recommande ce qui suit :
Réduire l’apport en sodium à moins de 2300 mg chez les patients normotendus dans le but de prévenir l’hypertension
Chez les patients hypertendus, l’apport en sodium recommandé est de 1500 à 2300 mg/jour

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16
Q

Source de sodium dans notre alimentation?

A
  • 12 % - contenu naturel des aliments
  • Sodium «caché» : 77 % provenant des aliments transformés et des aliments servis dans les restaurants
  • Sodium «conscient» : 11 % du sel ajouté à table (5 %) et dans la préparation des repas (6 %)
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17
Q

Sodium dans notre alimentation : pourquoi?

A

Rehausse la saveur et la texture des aliments, prolonge leur durée de conservation

Le sel et les phosphates de sodium augmentent la capacité de liaison à l’eau des produits de viande

Les collations salées donnent soif ! *** du sens que les gens prennent des boissons sucrées

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18
Q

Notre goût du sel : pourrait-il nous manquer ?

A

Les papilles s’habituent à des niveaux élevés en sel

Par conséquent, les papilles s’habituent à des niveaux réduits d’apport en sel

Il ne faut que quelques semaines pour s’habituer aux aliments moins salés et pour que leurs saveurs subtiles soient révélées

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19
Q

Résumé sel

A
  • Les Canadiens consomment des quantités de sel néfastes pour leur santé
  • Cette habitude peut causer l’hypertension, risque important de décès et d’invalidité
  • Solution : réduire l’ajout de sodium dans la préparation des aliments et promouvoir des habitudes alimentaires saines
  • Sensibiliser le public et les patients
  • Assumer un rôle de chef de file dans sa communauté
  • Les chances d’amélioration sont plutôt positives
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20
Q

3 principales catégories alimentaires à l’apport moyen en sodium chez les canadiens en 2017

A
  • produit de boulangerie et patisserie
  • mets composés
  • viandes transformées
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21
Q

Conditions associées avec l’obésité

A
  • diabète
  • dyslipidémie
  • hypertension
  • inflammation systémique
  • thrombose

C’est pourquoi on dit que c’est un syndrome métabolique.

22
Q

syndrome métabolique et obésité – pathogénèse

A
  • Lorsqu’il y a excès de LDL, ce qui favorise la progression de l’athérosclérose, la présence du syndrome métabolique amplifie l’inflammation retrouvée dans les plaques et donc accélère l’athérosclérose
  • La présence d’hypertension peut favoriser l’entrée des LDL dans la paroi vasculaire et la dysfonction endothéliale.
  • Les tissus adipeux libèrent plusieurs produits qui amplifient le syndrome métabolique.
  • Durant les périodes de jeûne, les triglycérides sont soumis à la lipolyse et libèrent des acides gras non estérifiés dans la circulation. Toutefois si la libération excède l’utilisation, ceux-ci s’accumulent dans les muscles et le foie et augmente la résistance à l’insuline

= dysfonction des tissus adipeux

modification génétique, inflammation, accumulation de gras abdominale = diminution d’adiponectine = augmentation de TNFa, IL-6, acide gras estérifié et autres = cocktail qui favroise l’accumulation dans le foie, les muscles, les vaisseaux et les cellules beta qui génèrent ainsi le syndrome métabolique

23
Q

Qu’est-ce que peut induire l’augemntation de cytokines par le syndrome métabolique?

A

une résistance à l’insuline et amplifier la réponse inflammatoire dans les plaques athérosclérotiques

Les tissus adipeux peuvent agir comme facteur prothrombotique en libérant un excès de facteur PAI-I.

24
Q

Critère diagnostic du syndrome métabolique

A
  • obésité abdominale
  • concentration élevée de triglyécrides plasmatiques
  • hyperglycémie a jeûn
  • cholestérol HDL faible
  • PA >/= 130/85
25
Q

modèle méditerranéen

A
  • Frugalité mais variété
  • Domination des produits végétaux (Céréales (pain), Légumes et légumes secs, Fruits frais, fruits séchés et noix
  • Huile d’olive
  • Fromages et laitages fermentés
  • Poisson et produits de la mer
  • Vin
  • Ail, oignon, herbes aromatiques
  • Structuration des repas et convivialité
  • Simplicité des préparations mais cuisine colorée, parfumée, citronnée
26
Q

Rôles des lipides

A
  • donnent de l’énergie (pour le coeur)
  • favorisent absorption des vitamines A, D, E et K
  • favorisent la croissance et le développement.
    MAIS:
    souvent associé aux
  • maladies cardiovasculaires
  • obésité
  • diabète
  • cancers
  • ## maladies neurodégénératives
27
Q

Est-ce que tous les gras sont équivalents

A

non

28
Q

différents types de lipides

A

On trouve différents types de lipides dans les aliments :
Les lipides saturés (pas de liaison double)
Les lipides trans
Les lipides insaturés (double liaison C=C)
Monoinsaturés
Polyinsaturés.

29
Q

décrit lipides saturés et effets

A

Les lipides saturés sont un type de lipides que l’on retrouve dans les aliments.
- Il a été démontré que ces lipides augmentent le taux de cholestérol LDL ou « mauvais cholestérol » et donc le risque de maladies du coeur.
- retrouvé dans les viandes
- noix de coco
- produit laitier (lait, fromage, beurre)

30
Q

seule acide gras saturé qui semble avoir des effets protecteurs pour le coeur?

A

acide margaric

31
Q

effet des acides gras saturé et des trans? comparaison avec acides gras insaturé?

A

Les acides gras saturés (beurre) ou les acides gras avec des double liens trans (margarine) tendent à être solides à température de la pièce alors que les acides gras “naturels” avec des doubles liens cis ont tendance à être liquide (huiles végétables).

En hydrogénant artificiellement les huiles végétables, l’industrie alimentaire réduit le nombre de double liens et cause la formation d’acides gras trans.

L’hydrogénation rend les “huiles” plus solides et moins vulnérables à devenir rance.

Lorsque les acides gras trans sont incorporés dans les membranes cellulaires, la fluidité membranaire est réduite et la fonctionnalité des cellules est affectée. Toutefois il existe naturellement des acides gras trans (environ 5% dans le beurre).

32
Q

Lipide trans

A
  • Les lipides trans résultent d’un procédé chimique appelé « hydrogénation partielle » utilisé pour transformer l’huile liquide en matières grasses solides.
  • Il a été démontré que ces lipides augmentent le taux de cholestérol LDL ou « mauvais cholestérol », comme les lipides saturés, et donc le risque de maladies du coeur.
  • Contrairement aux lipides saturés, les lipides trans abaissent également le taux de cholestérol HDL ou « bon cholestérol ». Un faible taux de cholestérol HDL est un autre facteur de risque des maladies du cœur.
33
Q

où on trouve les lipides trans?

A
  • margarines
  • aliments commerciaux frits
  • produits de boulangerie (shortening)

Certaines viandes et produits laitiers contiennent aussi de faibles quantités de lipides trans à l’état naturel. C’est pourquoi on retrouve parfois des lipides trans dans le tableau de la valeur nutritive même lorsque l’huile hydrogénée ou le shortening ne sont pas mentionnés dans la liste des ingrédients.
Toutefois, selon certaines études récentes, il a été démontré que les acides gras trans provenant des produits laitiers seraient même bons pour la santé.

34
Q

Lipides insaturés

A
  • Les lipides insaturés sont un type de lipides présents dans les aliments que vous consommez. Choisissez des lipides insaturés dans le cadre d’une alimentation équilibrée, tel que recommandé dans Bien manger avec le Guide alimentaire canadien.
  • Il a été démontré qu’en remplaçant les lipides saturés et trans par des lipides insaturés, on contribue à la réduction du taux de cholestérol sanguin et du risque de maladies du cour.
  • Pour rester en bonne santé, consommez chaque jour une petite quantité (2 à 3 c. à table ou 30 à 45 mL) de lipides insaturés. Il ne faut pas consommer trop de ce type de lipides, même s’il s’agit de « bons lipides », car cela pourrait entraîner un excès de calories et un gain de poids qui augmenteraient votre risque d’obésité, de diabète de type 2, de maladies du cour et de certains types de cancer.
  • Consommez les lipides insaturés en petites quantités.
  • Il existe deux principaux types de lipides insaturés :
    Les lipides monoinsaturés.
    Les lipides polyinsaturés.

*** consommer 30% des calories ingérés

35
Q

Dans quels aliments trouve-t-on des lipides monoinsaturés ?

A

omega 7 et 9
Les avocats.
Les noix et graines (Noix, noisette, amande, pignon, cacahuète, etc)
Les huiles végétales, comme l’huile de canola, d’olive, d’arachide, de carthame, de sésame et de tournesol.

36
Q

Lipides monoinsaturées

A
  • La principale source d’acides gras monoinsaturés, aussi appelés oméga-9, est l’huile d’olive. Les noix, les arachides et l’avocat en renferment aussi de bonnes quantités.
  • Ils sont liquides à température ambiante, et supportent bien la chaleur: on peut donc les utiliser pour la cuisson. Considérés comme de «bons gras», les lipides monoinsaturés ont des effets bénéfiques reconnus sur la fonction cardiovasculaire
  • L’organisme peut fabriquer les oméga-9 à partir des gras saturés. Il les puise aussi directement dans plusieurs aliments dont, notamment, l’olive et l’huile d’olive.
37
Q

Oméga 9

A
  • Prévention des troubles cardiovasculaires. Plusieurs experts estiment qu’un régime alimentaire riche en gras monoinsaturés (oméga-9) peut contribuer à réduire le risque de souffrir de troubles cardiovasculaires. Ainsi, dans un avis publié en19993, l’American Heart Association (AHA) fait les recommandations suivantes.
  • L’apport quotidien en calories provenant des matières grasses ne devrait pas dépasser 30% de l’apport énergétique total (calories).
  • La MOITIÉ de ces matières grasses devrait provenir des gras MONOinsaturés (oméga-9), un QUART, des gras POLYinsaturés (oméga-3 et oméga-6) et le dernier QUART, des gras SATURÉS.
  • On peut remplacer une partie des gras saturés par des gras monoinsaturés, à condition de ne pas excéder la limite totale de 30% de l’apport énergétique quotidien provenant des matières grasses.
38
Q

Dans quels aliments trouve-t-on des lipides polyinsaturés ?

A
  • Les poissons gras, comme le hareng, le maquereau, le saumon et la truite.
  • Les noix et graines.
  • Les huiles végétales, comme l’huile de canola, de maïs, de lin, de soya et de tournesol.

Oméga 3 ( acide linolenique) et oméga 6 (acide linoleique)

les omega 3 et 6 sont métabolisé par l’enzyme delta 6 désaturase.

La désaturase préfère l’oméga 3, mais on mange plus d’oméga 6.

oméga 3 serait meilleur parce que le métabolisme de oméga 6 forme de l’acide arachidonique = formation de molécule plus agressive (PGI2, TXA2, etc) tandis que les oméga 3 vont permettre la production de molécule qui font les même action, mais beaucoup moins agressif (moins actifs).

39
Q

Sources d’oméga 3 autres que les poissons

A
  • noix (grenoble)
  • les graines
  • les huiles
  • les produits enrichis d’oméga 3
40
Q

huile de Krill

A

Malgré un concentration plus faible en oméga-3,
les huiles de Krill présentent des taux élevés
d’antioxydants qui pourraient préserver l’intégrité fragile des oméga-3. De plus la présence de phospholipides permettrait une meilleure
préservation des acides gras oméga-3

41
Q

Recommandations en oméga

A

Oméga-3
AAL: 1,1g/jour (femmes) 1,6g/jour (hommes)
AEP + ADH: ? Autour de 500 mg

Oméga-6
12 g (femmes) 16 g (hommes)
Ce qui est beaucoup selon certains.

42
Q

résumé lipides

A

Les acides gras oméga-3 sont bons pour la santé
Toutefois, pour en obtenir tous les bienfaits il faut réduire, en parallèle, notre consommation d’acides gras oméga-6.
Réduire notre consommation d’acides gras trans
Limiter les lipides insaturés
Éviter de trop consommer de gras (lipides) 30% de l’apport quotidien

43
Q

effet etude de lalimentation méditer

A

augmente espérance de vie
améliore mcv
diminue risque de calcium

44
Q

Alcool et maladies cardiovasculaires

A

Selon AHA:
- 1 ou 2 verres d’alcool par jour (12 oz de bière, 4 oz de vin,
ou 1,0 de spiritieux)
- Réduction de la mortalité
- Effets bénéfiques pourraient être dus aux
flavonoïdes ou autres antioxydants.
- Augmentation des HDL (comme l’exercice)
- Diminution de la réactivité plaquettaire
- Diminution de l’inflammation
- Augmentation la sensibilité à l’insuline
“There is no scientific proof that drinking wine or any other
alcoholic beverage can replace conventional measures
(lowering cholesterol and blood pressure, controlling your
weight, getting enough physical activity, healthy diet)

*** courbe en j

45
Q

Activité physique

A

Circulation s’ajuste avec l’exercice
- Augmentation du débit cardiaque avec la demande métabolique
- Ajustement vers les muscles et moins vers les viscères.

Fréquence cardiaque
- Augmentation de la fréquence (retrait du frein vagal)

46
Q

Exercice Isotonique

A

Adaptations centrale et périphérique pour augmenter l’oxygène aux muscles:
- Résistance périphérique diminue (vasodilatation des muscles et vasoconstriction des vaisseaux du foie et rénal).
- Lorsque l’exercice se prolonge, le métabolisme est principalement aérobique et requiert une demande en oxygène pour rencontrer les besoins en ATP. Pour réussir à rencontrer les demandes, il y a augmentation du débit localement et une extraction d’oxygène plus efficace

47
Q

Exercice isométrique

A

Moins d’oxygène requis
Légère augmentation du débit cardiaque
Augmentation légère des débits régionaux à cause de la compression mécanique des vaisseaux durant la compression musculaire
L’augmentation de la pression sanguine est proportionnelle à la tension musculaire et la masse des groupes musculaires impliqués.

48
Q

Exercice de résistance

A

Mouvements répétitifs avec résistance (combinaison de isométrique et isotonique)
La réponse physiologique est relative à la réponse contractile.
Ce type d’exercices n’occlut pas totalement les vaisseaux musculaires.
Augmente la force musculaire, la flexibilité et la fonctionnalité mais contribue moins à la longévité et à la santé cardiovasculaire.
Relativement sans danger pour le coeur lorsque l’exercice est d’intensité modérée.

49
Q

Activité physique

A

VO2 max (2-3 à l’exercice)
Débit cardiaque et adaptation périphérique (augmente extraction de l’O2)
Débit cardiaque similaire entre entraînement et non-entraînement
Entraînement induit une  fréquence cardiaque (augmente Parasympathique et diminue sympathique)
Même avec une baisse de la fréquence on garde le même débit cardiaque (augmente du volume d’éjection)
aug. de la capacité respiratoire des cellules cardiaques (+ de mitochondries, + de myofibrilles)
aug. de collatérales (?)
aug. de capillaires

50
Q
A