Cours 10- examen 2 Flashcards
Qu’est-ce qu’un biais de sélection?1
La façon dont les cas/témon/exposé/nonexposé ont été séléctionnés, ça pourrait faire un lien entre l’expositiion et la maladie, même s’il n’y en a pas
Si la population choisis pour une étude n’est pas représentative de la population en général, est-ce qu’on considère que c,est un biais de sélection?1
Pas necessairement… mais ca affecte certainement la validité externe
Quel est la différence entre biais de sélection et une sélection des sujets mauvaises?1
Biais de sélection: Erreur dans la sélection des d’un groupe, RR et RC faussé, affecte la validité INTERNE
Sélection des sujets: répondant VS non-répondant, affecte la validité EXTERNE
Donne moi un exemple concret d’un biais de sélection dans une étude clinique randomisé.
Dans le groupe controle, beaucoup de gens quitte un étude parce qu’il ne remarque pas de changement, comparement au groupe de traitement. c’est un biais de sélection car ca affecte l’appréciation de l’association.
Nommez moi un exemple de biais d’exclusion.1
Dans une étude, ils ont enlevé toute les personnes qui avait des maladies cardiovasculaires pour une études sur le cancer du seins. Donc beaucoup moins de gens dans le groupe controle prenait de reserpine
Ca ne représente pas la population général car les gens sont plus en santé que les gens en général
Qu’est-ce qu’un biais d’information?X
La façon de receuillir l’info n’est pas bonne
Lequel entre un biais d’information non-différentiel et différentiel est le plus a évité (erreur de classification)?
Le différentiel parce que les résultats peut aller d’un sens comme dans l’autre
Tandis que non-différentiel, ca tend vers 1 mais on peut se dire que ca doit être plus (association exposition -maladie est diminuer)
Quels sont les 6 sources de biais d’information?
- Extraction des données de dossiers médicaux
- Entrevue
- Répondant proxy
- Surveillance
- Mémoire
- Déclaration
Quels sont les deux raisons qui nous dit que nous sommes en présence d’un facteur de confusion?1
1- Le facteur C est un facteur de risque connu de la maladie B
2- Le facteur C est associé à l,exposition A, mais ne résulte pas de cette exposition
Comment on fait pour gérer la confusion?(4)
Par le devis d’étude:
- appariment individuel/groupe
Par l’analyse statistique:
- stratificiation
- Ajustement
On peut avoir deux types d’interactions entre 2 facteurs de risques pour une même maladie. Quels sont ces 2 types?1
Interaction positive (synergisme), effet augmenté
Interaction négative (antagonisme), effet diminué
Si l’association d’une interaction est semblable dans chacune des strats de la variable d’interaction potentielle, est-ce qu’il y a donc une interaction?1
Pas d’intercation si pareil dans toute les strats
Lequel des éléments suivants est une approche pour gérer la confusion?X
une.
Appariement individuel
b.
Stratification
c.
Correspondance de groupe
ré.
Ajustement
e.
Tout ce qui précède
e.
Tout ce qui précède
Laquelle des approches suivantes peut gérer la confusion au stade de la conception de l’étude?X
une.
Stratification
b.
Ajustement
c.
Restriction
ré.
Régression
la restriction (réponse c) est utilisée au stade de la conception en restreignant les critères d’inclusion de telle sorte que les groupes à comparer (par exemple, les cas et les témoins) soient appariés pour les variables des critères. Par exemple, dans une étude cas-témoins, seules les femmes hispaniques âgées de 40 à 49 ans ayant au moins 12 ans d’éducation sont incluses. Ainsi, pour ces variables, les cas et les contrôles sont appariés.
Il a été suggéré que les médecins pourraient examiner les femmes qui utilisent des contraceptifs oraux plus souvent ou de manière plus approfondie que les femmes qui n’en utilisent pas. Dans l’affirmative, et si une association est observée entre la phlébite et l’utilisation de contraceptifs oraux, l’association peut être due à:X
une.
Biais de séléction
b.
Biais de l’intervieweur
c.
Biais de surveillance
ré.
Biais de non-réponse
e.
Rappel de biais
c.
Biais de surveillance
Dans une étude cas-témoins de la relation entre l’exposition aux rayonnements et le cancer de la thyroïde, 50 cas admis pour cancer de la thyroïde et 100 «témoins» admis pendant la même période pour le traitement des hernies ont été étudiés. Seuls les cas ont été interrogés, et 20 des cas ont été trouvés avoir été exposés à une thérapie aux rayons X dans le passé, sur la base des entretiens et des dossiers médicaux. Les témoins n’ont pas été interrogés, mais un examen de leurs dossiers hospitaliers lorsqu’ils ont été admis pour une chirurgie pour hernie a révélé que seulement deux témoins avaient été exposés à une radiographie par le passé.
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D’après la description donnée ci-dessus, quelle source de biais est le moins susceptible d’être présente dans cette étude?
une.
Rappel de biais
b.
Biais dû aux contrôles non représentatifs de la population non malade
c.
Biais dû à l’utilisation de différentes méthodes de détermination de l’exposition dans les cas et les témoins
ré.
Biais dû à la perte de sujets du groupe témoin au fil du temps
e.
Biais de sélection pour l’exposition à la radiothérapie dans le passé
La meilleure réponse est d. Malgré la mauvaise exécution de l’étude, la seule source de biais non applicable ici est le biais dû à la perte de sujets témoins. L’étude a commencé avec 100 témoins admis dans le même hôpital en même temps que les cas; cependant, ces personnes avaient des hernies, une maladie qui ne devrait pas partager les facteurs de risque avec le cancer de la thyroïde. Aucune perte de sujets d’étude n’a été mentionnée, il est donc peu probable qu’un biais dû à une perte de suivi ait affecté les résultats rapportés.
En 1990, une étude cas-témoins a été menée pour étudier l’association positive entre l’utilisation d’édulcorants artificiels et le cancer de la vessie. Les contrôles ont été sélectionnés à partir d’un échantillon hospitalier de patients diagnostiqués avec des conditions liées à l’obésité. Les conditions liées à l’obésité ont été positivement associées à l’utilisation d’édulcorants artificiels. Comment l’utilisation de ces patients comme témoins affecterait-elle l’estimation de l’association entre l’utilisation d’édulcorants artificiels et le cancer de la vessie?
une.
L’estimation de l’association refléterait avec précision la véritable association, quelle que soit l’association entre l’utilisation d’édulcorants artificiels et les conditions liées à l’obésité
b.
L’estimation de l’association aurait tendance à sous-estimer la véritable association
c.
Plus d’informations sont nécessaires sur la force de l’association entre l’utilisation d’édulcorants artificiels et les conditions liées à l’obésité avant de pouvoir porter un jugement
ré.
L’estimation de l’association aurait tendance à surestimer la véritable association
e.
Plus d’informations sont nécessaires sur la force de l’association entre l’utilisation d’édulcorants artificiels et le cancer de la vessie avant de pouvoir porter un jugement
La meilleure réponse est b. Le biais influencera l’estimation du risque. En supposant qu’il existe une association entre l’utilisation d’édulcorants et le cancer de la vessie, la sélection de témoins qui ont également une forte probabilité d’utilisation d’édulcorants en raison de conditions liées à l’obésité diluerait l’estimation du risque et réduirait sa valeur. Par conséquent, le risque observé sera une sous-estimation du risque réel en raison de cette dilution des différences d’exposition entre le cancer de la vessie et les groupes liés à l’obésité.