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Methodologie > COURS 10 > Flashcards

COURS 10 Flashcards

1
Q

en quoi consiste l’intérprétation des résultats

A

-Explorer la signification des résultats
-Tirer des conclusions à partir des résultats de l’étude
-Généraliser les résultats
-Considérer les implications cliniques
-Suggérer des recherches futures

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2
Q

sur quoi se questionne-t-on lorsqu’on interprète les résultats

A

-Est-ce que des associations significatives ont été détectées?
-Vont-elles dans le sens des hypothèses?

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3
Q

quelles sont les 3 possibilités de résultats

A

1)Les résultats sont significatifs et dans le sens des hypothèses
2)Les résultats prédits par les hypothèses ne sont pas significatifs
3)Les résultats sont significatifs, mais dans le sens opposé aux hypothèses

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4
Q

quelle possibilité est la plus facile à interpréter

A

Les résultats sont significatifs et dans le sens des hypothèses

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5
Q

qu’est ce qu’il faut vérifier dans le cas ou les résultats sont significatifs et dans le sens des hypothèses

A

la possibilité d’erreur de type I
Vérifier si d’autres facteurs pourraient expliquer les résultats.

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6
Q

que faut-il vérifier dans le cas ou
les résultats prédits par les hypothèses ne sont pas significatifs

A

erreur de type II
les tailles d’effet
Vérifier si la puissance de 0.80 a été atteinte (la taille d’échantillon est-elle suffisante?)
validité et fidélité des mesures.
la qualité de la manipulation

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7
Q

que faut-il vérifier dans le cas ou
les résultats sont significatifs, mais dans le sens opposé aux hypothèses

A

qualité de la méthodologie
la littérature

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8
Q

qu’est ce que la puissance statistique

A

Probabilité d’identifier un effet (selon sa taille) s’il est présent.

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9
Q

qu’est ce que la taille d’effet

A

Mesure de la force (faible, moyen, fort) de la relation entre les variables étudiées.

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10
Q

pour s’assurer de bien estimer la taille d’effet, il faut se baser sur quoi

A

d’effet en se
basant sur les études antérieures dans le domaine

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11
Q

si l’effet est faible, l’échantillon doi être comment

A

il doit être grand pour obtenir une même puissance

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12
Q

qu’est ce que la généralisabilité

A

Degré selon lequel les conclusions d’une étude peuvent être généralisés à d’autres groupes ou contextes que ceux impliqués dans la recherche.

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13
Q

la généralisation à la population cible se fait selon quoi

A

Se fait selon la représentativité de l’échantillon

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14
Q

la généralisation à d’autres contextes se fait selon quoi

A

Se fait selon la validité externe de l’étude

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15
Q

comment se fait la diffusion des résultats le plus souvent

A

congrès scientifique ou professionenels
- local, régional, national ou international
- sous invitation ou accepté sur la base d’un résumé

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16
Q

quelles sont les 2 types de communication

A

Communication orale
Communication affichée

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17
Q

à quel moment de la recherche est ce que les résultats peuvent être communiqués

A

pendant la collecte/analyse, ou pendant la rédaction

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18
Q

quelle est la structure habituelle de la communication orale

A

même structure qu’un article:
Introduction
Méthode
Résultats
Discussion

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19
Q

combien de temps dure la communication orale et quel support est souvent utilisé

A

10-15 min avec une période de questions
powerpoint/ diapositives

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20
Q

qu’est ce qu’un symposium

A

ensemble de presentations orales ayant un lien qui les unit (p.ex. thème)

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21
Q

quelle est la structure de la communication affichée

A

même structure qu’un article:
Introduction
Méthode
Résultats
Discussion
= Le chercheur est présent pour présenter les résultats et répondre aux questions.

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22
Q

quels sont les avantages de la communication affichée par rapport à la communication orale

A

-Permet à l’auditoire d’avoir un aperçu bref ou approfondi, selon les préférences.
-Permet plus d’interactions.

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23
Q

qu’est ce que la publication

A

Diffusion écrite des résultats de recherche.

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24
Q

qu’est ce que la communication

A

Forme interactive de diffusion des résultats de recherche

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25
Q

avantages publication

A

demeure disponible à long terme
accompagné d’un processus de revision par les pairs

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26
Q

types de publications

A

article de périodique
livre
mémoire et thèse

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27
Q

ou sont publiés les articles de périodique

A

revues scientifiques

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28
Q

que doit respecter les articles de périodique

A

les normes de la revue choisie
(notamment le nombre de pages, mots)

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29
Q

article empirique

A

présente les résultats d’une recherche.
Majorité des articles

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30
Q

revues de littérature

A

présente une synthèse des articles empiriques

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31
Q

structure article empirique

A

Résumé (survol)
Introduction
Méthode
Résultats
Discussion (survol)
Références

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32
Q

structure de l’introduction (article empirique)

A

Sujet général
Théorie sous-jacente, études antérieures
Objectifs et hypothèses (habituellement à la fin)

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33
Q

structure de la méthode (article empirique)

A

Participants, mesures et procédure

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34
Q

structure des résultats (article empirique)

A

Statistiques
Description des résultats (habituellement)

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35
Q

structure de la discussion (article empirique)

A

Retour sur objectifs et hypothèses
Résumé des résultats
Forces et limites
Questions pour études futures

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36
Q

qu’est ce qui précède la révision par les pairs

A

L’éditeur s’assure que l’article est approprié pour la revue.

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37
Q

comment se déroule la révision par les pairs

A

Article envoyé à des chercheurs experts dans le domaine (habituellement 2 à 4).
Ces chercheurs critiquent l’article: l’écriture, la littérature recensée, la méthode, les analyses, l’interprétation des résultats.
Processus dure entre 1-4 mois

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38
Q

quelles sont les décisions possibles après la révision par les pairs

A

Refus
Révision majeure et resoumission
Révision mineure et resoumission
Acceptation

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39
Q

que permet la publication de livres

A

Permettent d’introduire le lecteur au domaine en question et/ou de faire l’état des connaissances les plus récentes dans un domaine

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40
Q

la plupart des livres publiés aujourd’hui sont comment?

A

collectif
Ouvrage sur un thème précis et spécialisé, où chaque chapitre est écrit par un ou des auteur(s) différent(s) sous la direction d’un ou de quelques responsables (éditeurs).
Les éditeurs doivent être assidus pour avoir un ouvrage donttous les chapitres sont de même qualité

41
Q

mémoire

A

rapport de recherche pour l’obtention d’une maitrise

42
Q

thèse

A

rapport de recherche pour l’obtention d’un doctorat (PhD)

43
Q

caractéristiques thèse

A

Peut être fait sous forme d’articles, avec une introduction et discussion générale.
Maitrise = 1 article min
Doctorat = 2 articles min
Doit démontrer que les notions étudiées sont bien assimilées.

44
Q

2 types de revues de littérature

A

narrative
systématique

45
Q

types de revues de littérature narrative

A

intégrative
théorique
méthodologique
historique

46
Q

types de revues de littérature systématique

A

avec synthèse-narrative
avec synthèse-quantitative (méta-analyse)

47
Q

en quoi consiste revues de littérature narrative

A

Décrit et discute l’état de la science sur un sujet, spécifique ou large
- résume différentes études primaires et en font une interprétation holistique

48
Q

en quoi consiste les revues de littérature systématique

A

Suit une méthodologie rigoureuse et résume les résultats de toutes les études sur un sujet très spécifique

49
Q

qui fait des revues de littérature narratives

A

des experts dans un domaine donné

50
Q

revue narrative integrative

A

Synthétise de façon critique des études dans un domaine en mettant l’accent sur les tendances, les forces et les limites des études prises de façon globale.

51
Q

revue narrative théorique

A

Décrit les théories et leur évolution, en utilisant les preuves empiriques pour soutenir les propos sur les théories. Peut proposer de nouvelles théories s’il y a lieu

52
Q

revue narrative méthodologique

A

Décrit les méthodes employées dans un domaine, leurs avantages et désavantages.

53
Q

revue narrative historique

A

Analyse la littérature dans un domaine et son évolution selon les contextes historiques

54
Q

définition revues de littérature

A

Synthèse des études sur un sujet spécifique

55
Q

but revue de littérature systématique

A

évaluer et résumer les résultats de toutes les études pertinentes

56
Q

comment est la méthodologie de la revue de littérature systématique

A

explicite, préspécifiée et reproductible
- objectifs explicites
- critères d’inclusion et d’exclusion
- identification et sélection des études/ extraction des données
- examen de la qualité des études
- analyse et interprétation

57
Q

méta-analyse

A

Étude qui cumule les résultats dont font état plusieurs autres études portant sur le même sujet

58
Q

que permet de faire une méta-analyse

A

-Permet d’intégrer et décrire un grand nombre d’études.
-Permet de synthétiser un ensemble de recherches portant sur un même sujet.

59
Q

quelles sont les étapes d’une méta-analyse

A

1) Spécifier les critères d’inclusion et d’exclusion des études
2) Recherche systématique et exhaustive dans des bases de données d’article
3) Inclure seulement les études correspondant aux critères
4) Coder les informations utiles de la façon la plus standardisée possible
5) Analyser les résultats à l’aide de statistiques

60
Q

caractéristiques d’une synthèse narrative

A

approche textuelle
analyse les relations dans et entre les études

61
Q

approche textuelle

A

Décrit textuellement les études.
Peut avoir un tableau récapitulatif

62
Q

qu’est ce qu’on analyse dans le cadre de la synthèse narrative

A

Les thèmes principaux entre les études sont identifiés.

Les données descriptives des études peuvent être utilisées pour expliquer les résultats.

Discussion critique de la méthodologie des études, de leur fidélité et validité.

63
Q

définition transfert de connaissances

A

Ensemble des efforts consentis pour contribuer à faire connaître et reconnaître les activités et les résultats de recherche en vue de leur utilisation par les milieux de pratique, les décideurs et le grand public

64
Q

2 niveaux de transfert

A

de proximité
étendu

65
Q

transfert de proximité

A

Transférer les connaissances auprès des groupes ciblés par la recherche.

66
Q

transfert étendu

A

Transférer les connaissances auprès d’autres groupes susceptibles de les utiliser

67
Q

qui sont les groupes cibles du transfert de connaissance

A

Responsables des politiques publiques
Décideurs et gestionnaires du réseau de la santé
Professionnels du réseau de la santé
Milieu communautaire
Médias
Grand public

68
Q

types d’utilisation des connaissances

A

conceptuelle
instrumentale
symbolique

69
Q

utilisation conceptuelle

A

Mène à une nouvelle compréhension d’une situation, attitude

70
Q

utilisation instrumentale

A

Mène à la prise de décision ou à l’action chez les décideurs/ intervenants

71
Q

utilisation symbolique

A

Connaissances utilisées comme arguments pour soutenir des lois, des décisions

72
Q

objectifs utilisation des connaissances

A

modifier attitudes
améliorer des pratiques professionnelles
modifier les comportements
assurer une meilleure compréhension
influencer les orientations politiques
influencer la prise de décision

73
Q

quelles sont les approches de transfert des connaissances

A

approche linéaire
“ résolution de problèmes
“ interactive

74
Q

approche linéaire de transfert de connaissances

A

-Orienté vers la production et la diffusion des connaissances.
-Utilisateurs non impliqués dans la définition du problème.
-Reconnu pour avoir peu d’influence sur les changements de pratiques.

75
Q

approche résolution de problème de transfert de connaissances

A

-Formulation d’une demande de recherche pour résoudre un problème.
-La recherche au service de l’utilisateur.
-Apport de réponses concrètes aux questions des utilisateurs.
-Augmentation des chances d’utilisation

76
Q

approche interactive de transfert de connaissances

A

Interactif et inclusif (recherche collaborative).
Utilisateurs jouent un rôle actif en contribuant à une ou plusieurs étapes de la recherche.
Échanges fréquents.

77
Q

quel est le contexte actuel des chercheurs lié au transfert des connaissances

A

Peu formés à la communication hors du milieu universitaire.

Pas tous les chercheurs sont intéressés par le transfert.

Pas toutes les recherches se prêtent au transfert.

Peu de reconnaissance des universités pour ces activités.

Peu de temps et de ressources.

78
Q

qu’est ce que le courtage de connaissances

A

Intermédiaire entre les chercheurs et les utilisateurs de la recherche qui repère les résultats scientifiques pertinents, les transforme dans un format adapté et les transfère vers les milieux utilisateurs

79
Q

rôle d’un courtier

A

Analyser les besoins des utilisateurs
Repérer les résultats scientifiques pertinents
Transformer dans un format adapté
Transférer vers les milieux utilisateurs
Accompagner pour le changement
Créer des moments d’échange entre chercheurs, décideurs, praticiens, communauté

80
Q

pourquoi est ce que la diffusion par les médias est utilisée

A

pour renseigner la population de façon vulgarisée

81
Q

comment est ce que les médias font un transfert approprié

A

souvent en collaboration avec les chercheurs:
Communiqués de presse
Entrevues (bien rapportées)

82
Q

comment identifier une fraude scientifique

A

soucre d’une étude
conflits d’intérêt augmente les risques de fraude
qui a financé l’étude
étude privé, publique ou universitaire

83
Q

qu’est ce que la pseudoscience

A

Théories, propositions et croyances qui sont présentées comme étant plausibles scientifiquement, mais qui ne sont pas justifiables selon la méthode scientifique.

84
Q

caractéristiques des pseudosciences (13)

A
  • recours à des théories invalidées
  • absence d’autocorrection
  • argument de l’holisme
  • utilisation d’énoncés audacieux
  • utilisation d’analogies avec des concepts scientifiques
  • confiance dans les anecdotes et témoignages
  • contradictions ne changent pas la croyance
  • pouvoir explicatif illimité et généralisation abusive
  • message est plus important
  • renversement du fardeau de la preuve
  • confusion entre coincidence, corrélation et causalité
  • accent mis sur la confirmation plutôt que la réfutation
  • sciences n’expliquent pas tout
85
Q

recours à des théories invalidées

A

Utilisation de théories démontrées fausses ou non validées, en prétendant que leur ancienneté les rend crédibles

86
Q

absence d’autocorrection

A

Lorsqu’il y a des erreurs en science, les théories sont révisées, alors que les théories en pseudoscience demeurent inchangées

87
Q

argument de l’holisme

A

Certains ne donnent pas d’hypothèse pour expliquer l’absence de résultats ou des résultats négatifs, disant que leur approche ne peut pas être évaluée dans le cadre scientifique restreint.

88
Q

utilisation d’énoncés audacieux

A

Tendance à penser que plus les propositions sont extravagantes et audacieuses, plus elles sembleront vraies

89
Q

utilisation d’analogies avec des concepts scientifiques

A

Utilisation de termes ou concepts scientifiques techniques en dehors de leur contexte (pour impressionner)

90
Q

confiance dans les anecdotes et témoignages

A

L’accumulation d’anecdotes et témoignages allant dans le sens d’une théorie pseudoscientifique est considérée comme une preuve

91
Q

les contradictions ne changent pas les croyances

A

-La croyance demeure même si des faits la contredisent.
-On refuse toute critique par des pairs.

92
Q

pouvoir explicatif illimité et généralisation abusive

A

Plusieurs théories pseudoscientifiques prétendent s’appliquer à tous les genres de problèmes ou toutes les observations possibles

93
Q

Le messager est plus important que le message

A

Recours à la méthode de l’autorité, où les paroles de l’autorité sont considérées comme la vérité absolue.
Valorisation du messager plus grande que le message (le gourou et son charisme justifie la croyance).

94
Q

Le renversement du fardeau de la preuve

A

Plusieurs pseudoscientifiques mettent le fardeau de la preuve sur la science.
Prétention que si on ne peut pas prouver que la théorie est fausse, cela signifie qu’elle est vraie.

95
Q

Confusion entre coïncidence, corrélation et causalité

A

Refus de la coïncidence et du hasard comme explication.
Utilisation de données scientifiques sans prendre en compte les notions de corrélation, causalité et variables étrangères

96
Q

Accent mis sur la confirmation plutôt que la réfutation

A

Unethéorie scientifique doit être réfutable, ce qui n’est pas toujours le cas des théories pseudoscientifiques

97
Q

les sciences n’expliquent pas tout

A

La pseudoscience donne accès à des connaissances d’un autre ordre et permet d’expliquer des phénomènes que la science n’explique pas

98
Q

qu’est ce que le déni de la science

A

Rejet de théories / résultats scientifiques valides
= Parfois, promotion d’une théorie pseudosientifique implique aussi le rejet d’une théorie scientifique

99
Q

caractéristiques principales du déni de la science

A

Picorage (cherry-picking)
Maintien de théories réfutées
Fabrication de controverses
Critère d’acceptation trop élevé

Methodologie (10 decks)

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