Cours 10 Flashcards

1
Q

Lexicalisation

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Lexicalisation (suite)

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Concepts et mots: lequel en premier? hyp#1

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Concepts et mots: lequel en premier? hyp#2

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

Concepts et mots: lequel en premier? hyp#3

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Hypothèse 3: expérience

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Hypothèse 3: expérience (procédure)

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Hypothèse 3: expérience (résultats)

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Hypothèse 3: expérience (Conclusion)

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Quantification

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Quantification: SDs

A

§Les SDs (DPs) contenant un nom propre ou un déterminant défini et un nom commun sont des expressions référentielles.
§Leurs référents sont
des individus spécifiques dans le monde (oudans un domaine du discours)
§Le déterminants quantifieurs (chaque, tous, beaucoup, quelques, un, plusieurs) sont des expressions non référentielles.
§Leurs référents ne sont pas des individus spécifiques dans le monde.
§Ils expriment une quantité d’individus dans un domaine de discours qui ont une certaine propriété.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Quantification (exemple)

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

Quantification (exemple) autre

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Quantification (schéma)

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Cette relation d’ensembles peut être analysée en divisant la phrase en trois parties:

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Quantification: portée

A

L’ensemble avec lequel l’ensemble de la restriction interagit ensemble de buveurs de jus).
(ex.Chaque enfant boit du jus
[Pour chaque entité (a), tel que (a) est un enfant, [(a) boit du jus]]
Nathalie a
acheté un vélo
[Il existe une entité (b),tel que cette entité est un vélo, et
[Nathalie a acheté (b)]]

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
17
Q

Quantification (Tous les étudiants parlent une langue)

A

Dans certains cas, les phases ambiguës:
contenant deux quantifieurs peuvent être
Tous les étudiants parlent une
langue
1. Les étudiants parlent chacun une langue
différente de celle des autres.
2. La même langue est parlée par tous les étudiants.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
18
Q

Quantification (Tous les étudiants parlent une langue) INTERPRÉTATION POSSIBLE

A
How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
19
Q

Quantification SD quantificateur

A

§ En outre, le domaine de quantification des SD quantifieurs est contextuellement ou pragmatiquement délimité.
§ Si la phase chaque enfant boit du jus est énoncée dans une garderie, le SD chaque enfant réfère aux enfants de la garderie, pas à tous les enfants du monde.
§ Une phrase contenant un SD quantifieur est généralement
énoncée par rapport à une situation particulière.
§Les entités d’un type particulier dont il faut tenir compte pour vérifier si la hrase est vraie ou fausse ne sont pas toutes les entités au monde dénotées ar le nom, mais seulement celles dans cette situation particulière.

20
Q

Quantificateur

A
21
Q

Quantification quantification

A

§ Ce que les enfants doivent savoir sur la quantification:
1. différencier les SD référentiel (ER) de SD quantifieurs (Q)
2. restreindre les quantifieurs aux noms av
ec lesquels ils se
combinent
3. créer la portée des quantifieurs
4. limiter le domaine de quantification contextuellement

22
Q

Différentiation entre les SD référentiels et les SD quantifieurs

A

SD référentiels sont utilisés pour se référer à un élément spécifique et identifiable, tandis que les SD quantifieurs servent à donner une quantité ou une mesure. Les SD référentiels ont une référence unique et spécifique et maintiennent la continuité référentielle, tandis que les SD quantifieurs ont une portée plus large et créent une nouvelle continuité référentielle.

23
Q

Restriction des quantifieurs

A

Étude: Brooks & Braine 1996
Enfants: 4-10 ans
Tâche: appariement d’im
age: les enfants doivent choisir l’image qui
est
décrite par la phrase:
1)a. All of the men are carrying a box
b. There is a man carrying all the boxes

24
Q

Restriction des quantifieurs (résultats)

A
25
Q

Restriction des quantifieurs (résultats) suite

A
26
Q

Des erreures infantines avec le QU (Crain et al. (1996))

A
27
Q

Des erreures infantines avec le QU (Crain et al. (1996)) suite

A
28
Q

Des erreures infantines avec le QU (Crain et al. (1996)) suite de la suite

A

Crain et al. (1996)
§ Issue possible: première partie de l’histoire:
les filles voulaient boire de la
boisson gazeuse
§ Issue actuelle: toutes les quatre ont bu du cidre.
§ Avec ces deux possibilités, la phrase every skier drank a cup of hot apple
cider peut être vraie ou fausse.
Dans l’exp remplies.
érience de Philip (1995), ces
deux conditions n’étaient pas
§ Comme la seule réponse attendue dans l’expérience est ‘oui’, la possibilité
que la phrase soit fausse n’a pas été considérée.

29
Q

Des erreures infantines avec le QU (Crain et al. (1996)) suite de la suite

A
30
Q

Des erreures infantines avec le QU (Crain et al. (1996)) suite de la suite

A

§ Dans ce cas, les possibilités sont:
‘non’.
§ Ainsi, la source des erreurs enfantins occasionnels est leur tentative d’accommoder
l’inadéquation pragmatique en recourant à une interprétation alternative de la
question qui a du sens, compte tenu des circonstances: les enfants font des erreurs
parce qu’ils comprennent
1. Il y a une symétrie
2. Il n’y a pas de symétrie
§ Pour vérifier la symétrie, les enfants tenaient compte du personnage supplémentaire. § S’ils voyaient que l’un deux (le sujet ou l’objet) n’était pas apparié, ils répondaient
mal l’intention de l’expérimentateur.

31
Q

Quantification

A
32
Q

Âge d’aquisition des quantificateurs

A

Lesenfants interprètent des avant)
quantifieurs vers l’âge de 4 ans (ou un peu avant)

et selon Brooks & Braine 1996,

33
Q

Création des portées: compréhension

A
34
Q

Portée large du QU: compréhension
Protocole

A
35
Q

Portée: compréhension

A
36
Q

Portée large du QU: production

A
37
Q

Portée large du QU: production (suite)

A
38
Q

Etude (Labelle & Valois 2003)

A
39
Q

Etude (Labelle & Valois 2003)Stimuli

A
40
Q

Etude (Labelle & Valois 2003) Stimuli avec photo

A
41
Q

TÂCHE: jugement de grammaticalité (BUBU) de Etude (Labelle & Valois 2003)

A

§ Bubu ne parle pas bien le français.
§ Il voudrait que tu l’aides.
§ Il va décrire les images
§ Il voudrait que tu lui dises si c’est comme ça qu’on dit en français.

42
Q

Résultats- beaucoup: Etude (Labelle & Valois 2003)

A

§ Les enfants acceptent les phrases simples grammaticales et rejettent les phrases simples agrammaticales = ils ont compris le test et ils peuvent faire des jugements de grammaticalité
§Ils acceptent les phrases où beaucoup
porte sur l’objet (correctement)
(mais les adultes ont de la difficulté av
ec ces phrases…!)
§À 3 ans,ils acceptent aussi les phrases
où beaucoup porte sur
le sujet

43
Q

Résultats- chacun: Etude (Labelle & Valois 2003)

A

Encore une fois, les enfants acceptent les phrases simples et rejettent les phrases simples non grammaticales.
§ Mais ils acceptent toutes les phrases avec ‘chacun’, grammaticales ou non,
et ce, jusqu’à 5 ans (alors que les adultes les rejettent).
§ Peut-être y a-t-il une influence de tUt québécois?
§ Pour le savoir il faudrait aller tester des petits français non influencés par
s le français québécois.
grammaticale

44
Q

Test 2- jugement de vérité

A
45
Q

Test 2- jugement de vérité (2)

A
46
Q

Test 2- jugement de vérité (3)

A
47
Q

Test 2- jugement de vérité (4)

A