CM4 Flashcards
C’EST QUOI : Modèle « stochastique » de McGuire (important)
Modèle linéaire de processus cognitifs : de l’attention à la compréhension, de l’acceptation à la mémorisation jusqu’à l’action. La force du changement repose sur l’atteinte de chacune des étapes
La ____________ est un indicateur de l’efficacité possible de la persuasion.
rétention
Critiques, Des résultats montrent que :
- un message peut être « appréhendé » (traité) sans qu’il y ait pour autant de changement d’attitude
- les attitudes peuvent changer sans que l’information du message ne soit retenue
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
Objectif. Expliquer les faibles corrélations entre apprentissage et persuasion. Ce qui est efficace dans l’efficacité du message :
non pas les facteurs externes (liés à la source, au message lui-même)… mais les facteurs intra-individuels : les pensées, les cognitions
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
Ce modèle repose sur l’élaboration de réponses cognitives _______, _______ ou _________ suscitées par le message.
positives, négatives ou neutres
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
Qu’est-ce qu’une réponse cognitive ?
« Une unitié d’information en rapport avec un objet ou un thème, résultat du traitement cognitif «
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
Quand les gens pensent au message (Thought-listing, la persuasion dépend de :
l’intensité avec laquelle leurs pensées préexistantes s’articulent avec l’information présentée dans le message
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
La force du changement repose tout d’abord sur la _________ puis seulement sur la _____________ .
La force du changement repose tout d’abord sur la quantité puis seulement sur la qualité des réponses (+ vs. – vs. neutres).
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
Méthode :
technique de listage des pensées (« thought-listing » ; lecture d’un texte et expression…)
Au-delà de la rétention, cette technique permet de contrôler et de catégoriser les pensées formulées (quand les participants ont exprimé les pensées suscitées par le message, un jury de chercheurs va alors les catégoriser en pensées +, - ou neutres vis-à- vis de la persuasion et en pensées plus ou moins fortes ou faibles).
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
- Message efficace provoque des pensées favorables à la recommandation ; alors
adhésion (= changement)
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
- Message inefficace provoque des pensées défavorables à la recommandation ; alors
pas de changement d’attitudes (frein au changement)
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
Exemple : message anti-tabac
« Fumer nuit gravement à la santé et tue.
Il provoque des maladies cardiovasculaires, essoufflement, déchaussement des gencives, vieillissement prématuré de la peau… et encore bien d’autres gênes ou maladies graves. Etc. »
Message efficace provoque des pensées favorables à la recommandation (adhésion)
Illustration. « Mais bon sang bien sûr. Je suis toujours plus essoufflé.e. Je ne peux plus faire certains exercices physiques sans cracher mes poumons. Je dois faire des détartrages dentaires tous les quatre matins. Je devrais faire plus attention… »
-** Message inefficace provoque des pensées défavorables à la recommandation (frein au changement)**
Illustration. « Tiens, si j’en grillais-une. J’en profiterai pour faire une petite pause. Et ils me fatiguent avec leur moralisation. Interdire, empêcher… Ne pas fumer, manger sain, faire de l’exercice… et pourquoi pas arrêter de respirer ! »
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald.
tableau
Le ________ des pensées participent au plus ou moins grand changement (pensées négatives résistance au changement)
poids et le nombre
Paradigme Changement d’attitude
Modèle des « réponses cognitives »
Présentation d’une communication avec ou sans distractions
Présentation d’une communication avec ou sans distractions #2
Modèle des « réponses cognitives » de Greenwald= Cette approche apporte l’explication aux effets de _________ et montre le rôle actif de la cible.
distractions
Critiques
Les résultats sont obtenus dans des conditions de traitement actif de l’info (situation de confrontation obligatoire avec le message et son traitement ; situation en traitement passif ne sont pas retenues comme susceptibles de persuader)
Toutefois il n’y a toujours traitement actif ET il peut y avoir efficacité du message lors d’un traitement passif (Petty & Cacioppo, 1981).
… La persuasion peut se produire quel que soit le degré de réflexion mais ses mécanismes et ses effets changent selon la situation (Petty et Cacioppo 1986; Petty et Wegener 1999)
Modèles duaux
Centrés non plus sur les effets mais sur le traitement du message
* Modèle de la Probabilité d’élaboration (ELM)
– Petty & Cacioppo (1981, 1983, 1986) ;
Détour par le Modèle d’autovalidation : Petty & Brinol (2007 ; 2010)
* Modèle heuristique-systématique (HSM)
– Eagly & Chaiken (1983, 1984) ; Chen & Chaiken (1999)
Unimodèle
– Kruglanski & Thompson (1999)
Le modèle de la probabilité d’élaboration (ELM)
Approche à la fois cognitive et motivationnelle
Chaque composante du processus persuasif (i.e., la source, le message, la cible ou le contexte) peut influencer les attitudes en agissant sur l’un des mécanismes fondamentaux de la persuasion.
Traitement de l’information (notamment à visée persuasive) en empruntant (3):
soit la voie centrale
soit la voie périphérique
soit les deux à la fois (mais l’une tend à prédominer sur l’autre)