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Psychologie du développement L2S4 > CM3 dvlpmt L2S4 > Flashcards

CM3 dvlpmt L2S4 Flashcards

1
Q

À quel âge environ entre-t-on dans le stade opératoire concret (ou stade des opérations concrètes) ?

A

Aux environs de 7 ans

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Q

Dans quel stade entre-t-on dans les environs de 7 ans ?

A

Dans le stade opératoire concret (ou stade des opérations concrètes)

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Q

Qu’est-ce qu’a acquis l’enfant au stade opératoire concret (quelles sont les 4 choses qu’il a acquis durant les autres stades pour pouvoir entrer ce celui-ci) ?

A
  • la logique des classes
  • la logique des relations
  • le concept du nombre
  • l’invariance de certaines quantités continues
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Q

L’acquisition de la logique des classes, de la logique des relations, du concept du nombre et de l’invariance de certaines quantités continues est le signe de l’entrée dans quel stade ?

A

C’est le signe de l’entrée dans le stade des opérations concrètes

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5
Q

Que faut-il avoir réussi/compris pour acquérir la logique des classes ?

A
  • il faut réussir le tri libre avec un plan d’ensemble
  • il faut réussir la tâche de quantification de l’inclusion avec un argument logique
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6
Q

Que faut-il avoir réussi/compris pour acquérir la logique des relations ?

A
  • il faut réussir l’épreuve de sériation avec un plan d’ensemble
  • il faut comprendre la transitivité de la relation d’ordre
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7
Q

Que faut-il avoir réussi/compris pour acquérir le concept du nombre ?

A

La compréhension de l’invariance du nombre = il faut réussir à l’épreuve de conservation du nombre (en maitrisant les trois arguments)

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8
Q

Que faut-il avoir réussi/compris pour acquérir l’invariance de certaines quantités continues ?

A

Il faut réussir l’épreuve de conservation des liquides, des substances, des longueurs…

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9
Q

La réussite au tri libre avec un plan d’ensemble et la réussite à la tâche de quantification de l’inclusion avec un argument logique sont les signes de l’acquisition de quoi ?

A

Ce sont les signes de l’acquisition de la logique des classes

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10
Q

La réussite de l’épreuve de sériation avec un plan d’ensemble et la compréhension de la transitivité de la relation d’ordre sont les signes de l’acquisition de quoi ?

A

Ce sont les signes de l’acquisition de la logique des relations

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11
Q

La compréhension de l’invariance du nombre (et donc la réussite à l’épreuve de conservation du nombre, avec les 3 arguments) est le signe de l’acquisition de quoi ?

A

C’est le signe de l’acquisition du concept du nombre

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12
Q

La réussite à l’épreuve de conservation des liquides, de la substance, des longueurs… est le signe de l’acquisition de quoi ?

A

C’est le signe de l’acquisition de l’invariance de certaines quantités continues

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13
Q

Qu’est-ce qui définit une pensée opératoire ?

A
  • sa réversibilité
  • elle s’appuie sur opérations construites grâce à des invariants
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14
Q

Explicitez ce qu’est la réversibilité (dans la pensée opératoire).

A

C’est la capacité d’exécuter mentalement une même action dans les deux sens de parcours, en ayant conscience qu’il s’agit de la même action

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15
Q

Quel est le rôle des invariants dans la pensée opératoire ?

A

La pensée opératoire s’appuie sur des opérations qui deviennent possibles grâce à la construction des invariants

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16
Q

Définissez ce que sont les opérations.

A
  • des actions intériorisées et réversibles, organisées en systèmes d’ensemble
  • elles se regroupent en structures opératoires = les groupements opératoires (variante du groupe mathématique)
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17
Q

Comment sont organisées les opérations ?

A

Les opérations (ou actions intériorisées et réversibles) sont organisées en systèmes d’ensemble

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18
Q

En quoi se regroupent les opérations ?

A

Elles se regroupent en structures opératoires = les groupements opératoires

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19
Q

Définissez le décalage horizontal.

A

La même forme de raisonnement apparait à des moments différents dans le développement, selon les contenus auxquelles elle s’applique = c’est une forme de variabilité intra-individuelle, car c’est une variation selon les contenus, selon les domaines.
C’est aussi une absence de synchronisme dans l’apparition de conduites d’un même niveau structural

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20
Q

Le décalage horizontal peut être considéré comme une variabilité quoi ?

A

Le décalage horizontal est une forme de variabilité intra-individuelle

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21
Q

Le décalage horizontal peut aussi être définit comme l’absence de quoi ?

A

Le décalage horizontal est aussi l’absence de synchronisme dans l’apparition de conduites d’un même niveau structural

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22
Q

Peut-on qualifié le décalage horizontal comme un décalage collectif ?

A

OUI.
Le décalage horizontal est un décalage collectif, commun à tous les individus

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23
Q

Donnez un exemple de décalage horizontal (don collectif) pour les âges 6-7 ans.

A

La conservation de la substance

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24
Q

Donnez un exemple de décalage horizontal (don collectif) pour les âges 9-10 ans.

A

La conservation du poids

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25
Q

Donnez un exemple de décalage horizontal (don collectif) pour les âges 11-12 ans.

A

La conservation du volume

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26
Q

La conservation de la substance, en tant que décalage horizontal, apparaît à quels âges ?

A

La conservation de la substance correspond à 6-7 ans

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27
Q

La conservation du poids, en tant que décalage horizontal, apparaît à quels âges ?

A

La conservation du poids correspond à 9-10 ans

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28
Q

La conservation du volume, en tant que décalage horizontal, apparaît à quels âges ?

A

La conservation du volume correspond à 11-12 ans

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29
Q

Le décalage horizontal nous permet de prédire les capacités cognitives d’un enfant dans un niveau structural donnée, étant donné sa structure sous-jacente commune ?

A

FAUX.
La structure sous-jacente est commune, mais elle ne nous permet pas de prédire ce que peut faire un enfant cognitivement dans un niveau structural donné (c’est-à-dire qu’on ne peut pas prédire la réussite ou l’échec d’un enfant à des épreuves de logique)

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30
Q

À quel âge l’enfant entre dans le stade opératoire formel (ou stade des opérations formelles) ?

A

L’enfant entre dans le stade opératoire formel à partir de 11-12 ans

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31
Q

Dans quel stade l’enfant entre-t-il à partir de 11-12 ans ?

A

À partir de 11-12 ans, l’enfant entre dans le stade opératoire formel

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32
Q

Vers quel âge le stade opératoire formel trouve-t-il son état d’équilibre ?

A

Le stade opératoire formel trouve son état d’équilibre que vers 14-15 ans

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33
Q

Vers 14-15 ans, qu’en est-il de l’état du stade opératoire formel ?

A

Vers 14-15 ans, le stade opératoire formel trouve son état d’équilibre

34
Q

Quel décalage retrouve-t-on lors du passage du stade opératoire concret au stade opératoire formel ?

A

On retrouve un nouveau décalage vertical

35
Q

Durant le nouveau décalage vertical (lors du passage du stade opératoire concret au stade opératoire formel), que va reconstruire l’enfant ?

A

Durant ce nouveau décalage vertical, l’enfant va reconstruire ce qu’il a construit à partir de ses représentations concrètes, avec des représentations de représentations

36
Q

Donnez 2 exemples de représentations de représentations.

A
  • les hypothèses
  • les énoncés verbaux
37
Q

Quand l’enfant sort de la capacité à n’utiliser que du concret, il passe de quel stade à quel stade ?

A

Il passe du stade opératoire concret au stade opératoire formel

38
Q

De quelle capacité l’enfant soit sortir pour passer du stade opératoire concret au stade opératoire formel ?

A

L’enfant doit sortir de sa capacité à n’utiliser que du concret

39
Q

Quel stade est caractérisé par le passage de la coordination des représentations sur des objets concrets aux groupements opératoires ?

A

C’est le stade opératoire concret

40
Q

Quel stade est caractérisé par le passage de la coordination des représentations de représentations (raisonnement logique sur des énoncés verbaux) au groupe I.N.R.C. ?

A

C’est le stade opératoire formel

41
Q

Quelle notion retrouvons-nous au début du stade opératoire concret ?

A

La notion de coordination des représentations sur les objets concrets

42
Q

Quelle notion retrouvons-nous à la fin du stade opératoire concret ?

A

La notion de groupements opératoires

43
Q

Quelle notion retrouvons-nous au début du stade opératoire formel ?

A

La notion de coordination des représentations de représentations (raisonnement logique sur des énoncés verbaux)

44
Q

Quelle notion retrouvons-nous à la fin du stade opératoire formel ?

A

La notion de groupe I.N.R.C.

45
Q

Expliquez l’inversion de sens chez l’enfant avec la pensée formelle.

A

Avec la pensée formelle, une inversion de sens s’opère entre le réel et le possible, alors que chez l’enfant le possible est toujours conçu comme s’inscrivant en prolongement du réel

46
Q

Expliquez le rapport au réel chez l’adolescent avec la pensée formelle.

A

Chez l’adolescent qui a recourt à la pensée formelle, le réel est conçu comme une réalisation particulière d’un possible qui le dépasse

47
Q

Quel est le rapport au réel chez l’enfant avec la pensée formelle ?

A

Une inversion de sens s’opère entre le réel et le possible, chez l’enfant avec une pensée formelle

48
Q

Citez les 5 caractéristiques du stade opératoire formel.

A
  • opérations sur des opérations = second ordre
  • raisonnement hypothético-déductif
  • pensée combinatoire
  • généralisation de la pensée combinatoire dans une logique de propositions
  • nouvelle structure d’organisation de la pensée = groupe de deux réversibilité (inversion et réciproque) ou groupe I.N.R.C.
49
Q

Les opérations de second ordre, le raisonnement hypothético-déductif, la pensée combinatoire, la généralisation de la pensée combinatoire dans une logique de propositions, et la nouvelle structure d’organisation de la pensée, caractérisent quel stade ?

A

Ça caractérise le stade opératoire formel

50
Q

Donnez un synonyme de “opérations sur des opérations”.

A

Opérations de second ordre

51
Q

Donnez un synonyme de “opérations de second ordre”.

A

Opérations sur des opérations

52
Q

Explicitez que peut être la nouvelle structure d’organisation de la pensée dans le stade opératoire formel.

A

Cette nouvelle structure d’organisation de la pensée peut être un groupe de deux réversibilité (inversion et réciproque) ou un groupe I.N.R.C.

53
Q

Citez trois épreuves que l’on peut réaliser auprès d’enfants au stade opératoire formel.

A
  • épreuves des combinaisons de liquides de Noelting
  • épreuve de la balance
  • épreuve de comparaison des fractions
54
Q

Les épreuves de combinaisons de liquides de Noelting, de la balance, et de comparaison des fractions, sont caractéristiques de quel stade ?

A

Elles sont caractéristiques du stade opératoire formel

55
Q

Explicitez l’épreuve des combinaisons de liquides de Noelting.

A

L’expérimentateur met à disposition des enfants 4 flacons contenants des substances différentes incolores, et une bouteille compte-gouttes contenant une 5ème substance (G).
Consigne = trouver le mélange de flacons aboutissant à la couleur jaune lorsqu’on ajoute quelques gouttes de G pour la révéler

56
Q

Qu’est-ce qui caractérise le développement cognitif dans l’épreuve des combinaisons de liquides de Noelting ?

A

C’est en observant comment l’enfant fait l’expérience, qu’on peut caractériser son développement cognitif

57
Q

Combien y a-t-il de niveaux pour l’épreuve des combinaisons de liquides

A

Il y en a 3

58
Q

Nommez les trois niveaux de l’épreuve de combinaisons de liquides de Noelting.

A
  • niveau 1 = pré-opératoire concret
  • niveau 2 = opératoire concret (avec 2 sous-niveaux)
  • niveau 3 = opératoire formel
59
Q

Explicitez le niveau 1 (pré-opératoire concret) de l’épreuve des combinaisons de liquides de Noelting.

A

Le niveau 1 (pré-opératoire concret) correspond à l’association au hasard des flacons deux à deux

60
Q

Explicitez le niveau 2 (opératoire concret) de l’épreuve des combinaisons de liquides de Noelting.

A

Le niveau 2 (opératoire concret) est composé de deux sous-niveaux :
- 2A = les enfants associent G à chaque flacon mais pas de combinatoire systématique
- 2B = début de combinaisons des flacons n à n mais par tâtonnements

61
Q

Explicitez le niveau 3 (opératoire formel) de l’épreuve des combinaisons de liquides de Noelting.

A

Le niveau 3 (opératoire formel) correspond à la combinaison systématique

62
Q

Quel est le niveau 1 de l’épreuve des combinaisons de liquides de Noelting ?

A

Pré-opératoire concret

63
Q

Quel est le niveau 2 de l’épreuve des combinaisons de liquides de Noelting ?

A

Opératoire concret

64
Q

Quel est le niveau 3 de l’épreuve des combinaisons de liquides de Noelting ?

A

Opératoire formel

65
Q

Quelle est la structure qui sous-tend la pensée opératoire formelle ?

A

C’est le groupe I.N.R.C.

66
Q

Le groupe I.N.R.C. coordonne quoi ?

A

Le groupe I.N.R.C. coordonne les deux formes de réversibilité (par inversion et par compensation) dans une même structure

67
Q

Quelles sont les deux formes de réversibilité ?

A
  • réversibilité par inversion
  • réversibilité par compensation
68
Q

À quoi correspondent les lettres dans “groupe I.N.R.C.” ?

A
  • I = opération Initiale
  • N = Négation
  • R = Réciproque
  • C = Corrélative
69
Q

Explicitez ce qu’est la lettre I dans “groupe I.N.R.C”.

A

I = opération directe (initiale)

70
Q

Explicitez ce qu’est la lettre N dans “groupe I.N.R.C”.

A

N = Négation : réversibilité par négation

71
Q

Explicitez ce qu’est la lettre R dans “groupe I.N.R.C”.

A

R = Réciproque : réversibilité par compensation

72
Q

Explicitez ce qu’est la lettre C dans “groupe I.N.R.C”.

A

C = Corrélative : inverse de la réciproque

73
Q

À quoi correspond le groupe I.N.R.C. pour l’épreuve de la balance ?

A
  • I = si on augmente P alors désiquilibré
  • N = si on diminue P alors retour à l’équilibre
  • R = si on diminue D alors retour à l’équilibre
  • C = si on augmente D alors déséquilibre
74
Q

Explicitez l’épreuve de la balance.

A

Former l’équilibre de la balance en ajustant le poids (P) et la distance au fléau (D), qui peuvent donc se compenser

75
Q

L’épreuve de comparaison des fractions est un exemple de tâche exigeant quel niveau ?

A

Un niveau formel

76
Q

Explicitez l’épreuve de comparaison des fractions.

A

On va demander à des enfants de choisir entre 2 fractions laquelle est la plus grande : entre 1/3 et 2/3, ou entre 2/3 et 4/5…

77
Q

Tout raisonnement qui va impliquer de raisonner sur des proportions requiert la mise en place de quelle notion ?

A

Les raisonnements sur des proportions requiert la mise en place du groupe I.N.R.C.

78
Q

À quoi correspond le groupe I.N.R.C. pour l’épreuve de comparaison des fractions ?

A
  • I = augmentation du numérateur, et donc consécutivement de la fraction
  • N = diminution du numérateur (pour annuler l’augmentation de la fraction)
  • R = augmentation du dénominateur (pour annuler l’augmentation de la fraction)
  • C = diminution du dénominateur
79
Q

Quelles sont les deux limites de la pensée formelle ?

A
  • des difficultés culturelles
  • de la variabilité intra-individuelle
80
Q

Explicitez ce que sont les difficultés culturelles (en tant que limite de la pensée formelle).

A

La pensée formelle ne serait pas acquise par tous les individus et dans toutes les cultures (influence des types d’éducation, scolaire notamment)

81
Q

Explicitez ce qu’est la variabilité intra-individuelle (en tant que limite de la pensée formelle).

A

Jean Piaget a dit en 1972 : “un individu peut faire preuve d’une pensée formelle dans des domaines privilégiés (domaines d’expertise) et rester opératoire concret à propos d’autres domaines”

82
Q

Des difficultés culturelles et de la variabilité intra-individuelle sont les limites de quoi ?

A

Ce sont les limites de la pensée formelle

Psychologie du développement L2S4 (12 decks)

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