CM2 dvlpmt L2S4 Flashcards

1
Q

Expliquez le phénomène de décalage vertical.

A

C’est la reconstruction sur un nouveau plan

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Q

Comment s’appelle le phénomène de reconstruction sur un nouveau plan ?

A

Le phénomène de décalage vertical

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3
Q

Quand à lieu le phénomène de décalage vertical ?

A

Durant le temps de pensée intuitive (dans la période pré-opératoire), soit entre 4 et 7 ans

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4
Q

Quels sont les deux types de décalage ?

A

Le décalage vertical et le décalage horizontal

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5
Q

Quel est le point faible de la théorie Piagetienne ?

A

Le décalage horizontal

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6
Q

Quel phénomène caractérise le début du stade sensori-moteur (selon Piaget) ?

A

Adualisme du nourrisson

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7
Q

Quel est le rapport aux limites de son corps du nourrisson ?

A

Le nourrisson est un individu qui a du mal à définir les limits de son corps par rapport au sein de la mère

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8
Q

Quel phénomène caractérise la fin du stade sensori-moteur ?

A

Le groupe de déplacements

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9
Q

Expliquez ce qu’est le groupe de déplacement.

A

L’enfant parvient maintenant à composer les déplacements successifs visibles des objets extérieurs proches pour agir de manière appropriée par rapport à ces déplacements (il ne cherche plus l’objet au premier endroit où il a était caché, mais au dernier endroit)

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10
Q

Quel est l’invariant du stade sensori-moteur ?

A

La permanence de l’objet

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11
Q

Quel est l’invariant du stade des opérations concrètes ?

A

Les conservations

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12
Q

La transition de l’égocentrisme vers les groupements opératoires montre l’arrivée de quel stade ?

A

Du stade des opérations concrètes

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13
Q

Pour rentrer dans le stades des opérations concrètes, par quel étape doit-on passer ?

A

Par des groupements opératoires

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14
Q

Expliquez ce que sont les groupements opératoires.

A

Les groupements opératoires constituent une coordination des schèmes intuitifs en un système d’ensemble (le groupement opératoire), à l’intérieur duquel le passage d’une opération à l’autre s’effectue selon les lois de composition propres aux structures logiques

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15
Q

Le décalage vertical peut être représenté par quel objet ?

A

Un ressort

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16
Q

Pourquoi pouvons-nous décrire le décalage vertical comme un ressort ?

A

Car le décalage vertical permet de considérer que le développement est une forme de ressort où à chaque fois un événement va se répéter mais en évoluant.
Un enfant qui se développe va passer par les mêmes étapes, mais en les faisant évoluer

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17
Q

Dans quel (sous-)stade pouvons-nous retrouver une diminution progressive de l’égocentrisme ?

A

Dans le sous-stade de la pensée intuitive, durant la période pré-opératoire

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18
Q

Qu’est-ce qui caractérise la pensée égocentrique ?

A

C’est le primat des aspects figuratifs

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19
Q

Expliquez ce qu’est le primat des aspects figuratifs.

A

La pensée de l’enfant reste prisonnière de ce qu’il perçoit ici et maintenant.
Les perceptions prennent le pas sur les actions ou les transformations (réelles ou représentées) exercées sur les objets (aspects opératifs = exercer une action/opération sur quelque chose)

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20
Q

Pourquoi les transformations sont difficile à intégrer dans le raisonnement d’un enfant ?

A

Car les transformations sont dynamiques

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21
Q

Quelles sont les 3 grandes constructions sur le plan logique lors du passage entre une pensée pré-opératoire à une pensée opératoire ?

A
  • la construction de la logique des classes
  • la construction de la logique des relations
  • la construction du concept de nombre
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22
Q

Quelles étapes sont nécessaires à la construction du concept de nombre ?

A

La construction de la logique des classes et la construction de la logique des relations

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23
Q

Quelle grande construction sur le plan logique (lors du passage entre une pensée pré-opératoire à une pensée opératoire) peut être caractérisée par “inclusion logique” ?

A

La construction de la logique des classes

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24
Q

Quelle grande construction sur le plan logique (lors du passage entre une pensée pré-opératoire à une pensée opératoire) peut être caractérisée par “sériations logiques” ?

A

La construction de la logique des relations

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25
Q

Quelle grande construction sur le plan logique (lors du passage entre une pensée pré-opératoire à une pensée opératoire) peut être caractérisée par “conservation du nombre/invariance du nombre” ?

A

La construction du concept de nombre

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26
Q

Nommez les deux épreuves permettant d’évaluer la logique des classes.

A
  • le tri libre
  • l’épreuve de quantification de l’inclusion
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27
Q

Définissez ce qu’est une classe logique.

A

C’est une classe d’équivalence en mathématiques.
C’est un ensemble d’éléments que l’on regroupe sur la base de propriétés partagées, nécessaires et suffisantes

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28
Q

Comment sont organisées les classes logiques ?

A

Elles sont organisées dans des structures hiérarchiques inclusives

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29
Q

À partir de quel stade peut-on trouver des premières formes de classifications (non logiques) ?

A

Dès le stade sensori-moteur

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30
Q

Donnez un exemple de classification non logique (du stade sensori-moteur).

A

L’enfant va exercer la succion sur une certaine catégorie d’objets uniquement.
Il fait des classifications “en actes”

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31
Q

Explicitez l’épreuve de tri libre.

A

Présentation d’objets “en vrac” à l’enfant.
Consigne = “tu mets ensemble les objets qui vont bien ensemble”

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32
Q

Combien y a-t-il de niveaux différenciables de classifications logiques dans l’épreuve de tri libre ?

A

Il y en a 3

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33
Q

Citez les trois niveaux différentiables de classifications logiques dans l’épreuve de tri libre.

A
  • niveau 1 = collections figurales
  • niveau 2 = collections non-figurales
  • niveau 3 = classes logiques
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34
Q

À quels âges correspond le niveau 1 (collections figurales) des classifications logiques ?

A

Le niveau 1 (collections figurales) correspond aux âges 2 à 4-5 ans

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35
Q

À quels âges correspond le niveau 2 (collections non-figurales) des classifications logiques ?

A

Le niveau 2 (collections non-figurales) correspond aux âges 5 à 7 ans

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36
Q

À quelle tranche d’âge correspond le niveau 3 (classes logiques) des classifications logiques ?

A

Le niveau 3 (classes logiques) correspond à l’entrée dans le stade des opérations concrètes, donc vers 7-8 ans et plus

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37
Q

Explicitez le niveau 1 (collections figurales) des classifications logiques.

A
  • pour les enfants de ce niveau, la façon de traiter les regroupement est basée sur leur proximité
  • un défaut de coordination de la définition en compréhension de la classe (“les rouges”) et de son extension (le carré rouge, le rond rouge…)
  • les relations spatiales entre les éléments regroupées font apparaître une figure qui seule justifie le regroupement pour l’enfant
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38
Q

Explicitez le niveau 2 (collections non-figurales) des classifications logiques.

A
  • pas de plan d’ensemble = il faut faire attention à ce que l’enfant est en train de faire (et pas uniquement le tri achevé)
  • des tâtonnements et des réajustements locaux/petites collections juxtaposées
  • sa limite = pas de raisonnement correct sur l’emboitement inclusif des classes (tel que mesuré par l’épreuve de quantification de l’inclusion)
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39
Q

Explicitez le niveau 3 (classes logiques) des classifications logiques.

A
  • des classifications réussites par mise en oeuvre d’un plan d’ensemble
  • une réussite à l’épreuve de quantification de l’inclusion
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40
Q

Que permet de mesure l’épreuve de tri libre ?

A

La logique des classes

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41
Q

Que permet de mesurer l’épreuve de quantification de l’inclusion ?

A

La logique des classes

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42
Q

Explicitez l’épreuve de quantification de l’inclusion.

A

Demander à l’enfant “y a-t-il plus de A ou plus de B?”, en parlant de fleurs (des tulipes et des marguerites) par exemple

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43
Q

Expliquez l’aspect figuratif de l’épreuve de quantification de l’inclusion.

A

La catégorie des fleurs est moins saillante. Les enfants voient des marguerites ou des tulipes, mais pas des fleurs = ils comparent les sous-classes de même niveau

44
Q

Combien y a-t-il de niveaux de quantification de l’inclusion ?

A

Il y en a 3

45
Q

Citez les 3 niveaux de quantification de l’inclusion.

A
  • niveau 1 = comparaison horizontale (des deux sous-classes)
  • niveau 2 = réponses fluctuantes
  • niveau 3 = réponse concrète et logiquement nécessaire
46
Q

Donnez un exemple de comparaison horizontale (niveau 1 de quantification de l’inclusion).

A

“Il y a plus de tulipes que de fleurs”

47
Q

Donnez un exemple de réponse correcte et logiquement nécessaire (niveau 3 de quantification de l’inclusion).

A

“Parce que les marguerites sont aussi des fleurs”

48
Q

À quel stade correspond le niveau 3 de quantification de l’inclusion (réponse correcte et logiquement nécessaire) ?

A

Il correspond au stade des opérations concrètes

49
Q

Explicitez le niveau 2 de quantification de l’inclusion (réponses fluctuantes).

A
  • les enfants sont sensibles aux aspects perceptifs
  • les enfants ont recours à des procédures empiriques de comptage
50
Q

Quel type de pensée est caractéristique du niveau 3 de quantification de l’inclusion (réponse correcte et logiquement nécessaire) ?

A

La réversibilité, la pensée réversible

51
Q

À quel niveau de quantification de l’inclusion retrouvons-nous la pensée réversible (la réversibilité) ?

A

Au niveau 3 = réponse correcte et logiquement nécessaire

52
Q

L’épreuve de sériation est utilisée pour mesure quelle logique ?

A

Elle est utilisée pour mesurer la logique des relations

53
Q

Au cours de quel stade pouvons-nous voir des prémices à la sériation logique ?

A

Au cours du stade sensori-moteur

54
Q

Définissez le mot sériation.

A

C’est le fait de classer, de disposer par séries

55
Q

Explicitez l’épreuve de sériation.

A

Cette épreuve est utilisée pour tester la compréhension des relations “plus grand” et “plus petit” chez l’enfant.
On demande à l’enfant de classer des bâtonnets/baguettes selon différentes manières (en alternance, en escalier…)

56
Q

Combien y a-t-il de niveaux possibles pour l’épreuve de sériation ?

A

Il y en a 3

57
Q

Citez les 3 niveau possibles pour l’épreuve de sériation.

A
  • niveau 1
  • niveau 2
  • niveau 3
58
Q

Quels âges correspondent au premier niveau de l’épreuve de sériation ?

A

Avant 5 ans

59
Q

Explicitez le niveau 1 de l’épreuve de sériation.

A
  • les enfants forment des couples ou des trios de bâtonnets, mais il est rare qu’il y ai une réelle sériation
  • la sériation est à peu près correcte, du point de vue du sommet des bâtonnets, mais sans égalisation des bases
60
Q

Explicitez le niveau 2 de l’épreuve de sériation.

A
  • il n’y a pas de méthode systématique (selon les enfants)
  • les enfants présentent une incapacité à insérer un nouvel élément dans la série réalisée
61
Q

Quels âges correspondent au niveau 3 de l’épreuve de sériation ?

A

Le niveau 3 (de l’épreuve de sériation) correspond à la réussite opératoire, donc plus-ou-moins au passage au stade des opérations concrètes, donc à partir de 6-7 ans

62
Q

Explicitez le niveau 3 de l’épreuve de sériation.

A
  • la sériation a lieu avec une méthode systématique
  • l’insertion d’un nouvel élément dans la série est réussie = témoigne de la réversibilité de la pensée
  • transitivité = au lieu de passer par toutes les étapes, ils vont directement de la première à la dernière
63
Q

Dans quel niveau de l’épreuve de sériation peut-on retrouver la réversibilité ?

A

Dans le niveau 3

64
Q

Qu’est-ce que le nombre pour Piaget ?

A

Le nombre est un ensemble de classes emboitées = donc, le nombre nécessite une compréhension logique des classes, de la logique des relations

65
Q

Quelle est un condition nécessaire à la construction du concept de nombre ?

A

La correspondance terme à terme

66
Q

Quelle est la consigne de l’épreuve pour la correspondance terme à terme ?

A

“Mets tes jetons pour avoir la même chose de jetons que moi”

67
Q

Combien y a-t-il de niveaux pour l’épreuve de la correspondance terme à terme ?

A

Il y en a 2

68
Q

L’épreuve de la correspondance terme à terme fait partie du développement de quoi ?

A

La correspondance terme à terme est utilisée pour le développement du concept de nombre

69
Q

Citez les niveaux de la correspondance terme à terme ?

A
  • niveau 0 = pas de correspondance terme à terme
  • niveau 1 = correspondance terme à terme (mais pas d’équivalence durable)
70
Q

Explicitez le niveau 0 (pas de correspondance terme à terme) de la correspondance terme à terme.

A

On retrouve le début de la pensée intuitive simple = l’enfant égalise la longueur des rangée (il va mettre plus ou moins de jetons, juste pour faire la même longueur de rangée de jetons)

71
Q

Explicitez le niveau 1 (correspondance terme à terme) de la correspondance terme à terme.

A
  • réussite de la correspondance terme à terme, mais d’équivalence durable (si transformation perceptive)
  • arrivée de la pensée intuitive articulée
  • à partir de ce niveau, on peut évaluer la compréhension de la conservation du nombre (les enfants vont mettre le même nombre de jetons, mais en faisant des lignes parfois plus longues)
72
Q

À quel niveau de la correspondance terme à terme arrive la conservation du nombre ?

A

Au niveau 1 = correspondance terme à terme (mais pas d’équivalence durable)

73
Q

Selon Piaget, comment accéder au concept du nombre ?

A

En acquérrant la logique du nombre, et construisant l’invariance du nombre = réussite de l’épreuve de conservation du nombre

74
Q

À quelle épreuve faut-il réussir pour accéder au concept du nombre ?

A

À l’épreuve de conservation du nombre

75
Q

Définissez un nombre.

A

Un nombre n’est intelligible que dans la mesure où il demeure identique à lui-même quelle que soit la disposition des unités dont il est composé : c’est ce qu’on a appelé l’invariance du nombre

76
Q

Explicitez les étapes l’épreuve de conservation du nombre. (6 étapes)

A
  • égalité perceptive entre 2 rangées de jetons = “la même chose beaucoup de jetons?” (pour pas inciter l’enfant à compter les jetons)
  • transformation perceptive de l’une des 2 rangées (réalisée devant l’enfant)
  • questions de conservation = “la même chose beaucoup de jetons?”
  • question de justification = “pourquoi?”
  • contre-suggestion = “un autre enfant de ton école a dit qu’il y en avait plus dans cette rangée plutôt”
  • revenir à l’égalité perceptive initiale et réaliser un autre type de transformation perceptive = pour s’assurer de la solidité de la compréhension de l’enfant
77
Q

C’est quoi une égalité perceptive (pour l’épreuve de conservation du nomre) ?

A

C’est quand perceptivement (visuellement par exemple), on perçoit une égalité (le même nombre de jetons répartis de la même façon sur deux rangées par exemple)

78
Q

Donnez un exemple de transformation perceptive pour l’épreuve de conservation du nombre.

A

Je garde le même nombre de jetons, mais je l’ai réparti de telle sorte que la rangée soit plus longue

79
Q

Combien y a-t-il de niveaux pour l’épreuve de conservation du nombre ?

A

Il y en a 3

80
Q

Citez les trois niveaux de la conservation du nombre.

A
  • niveau 1 = non conservant
  • niveau 2 = intermédiaire
  • niveau 3 = conservant
81
Q

Explicitez le niveau 1 (non conservant) de l’épreuve de conservation du nombre.

A
  • centration sur les configurations perceptives
  • primats des aspects figuratifs = prise en compte d’une seule dimension (soit la densité, soit la longueur)
82
Q

Explicitez le niveau 3 (conservant) de l’épreuve de conservation du nombre.

A
  • pensée opératoire concrète
  • l’enfant peut opposer à la transformation observée sa représentation de la transformation inverse
83
Q

Explicitez le niveau 2 (intermédiaire) de l’épreuve de conservation du nombre.

A
  • réponses fluctuantes
  • pas encore d’invariance systématique du nombre indépendamment des configurations spatiales
  • l’enfant commence à entrevoir les 2 dimensions, mais pas à les coordonner
84
Q

À quel niveau de l’épreuve de conservation du nombre arrive la pensée opératoire concrète ?

A

Au niveau 3 = conservant

85
Q

Combien y a-t-il de justifications de la réponse de conservation du nombre ?

A

Il y en a 3

86
Q

À quel(s) niveau(x) peut-on retrouver des justifications de réponses de conservation du nombre ?

A

Au niveau 3 (conservant) seulement

87
Q

Citez les trois justifications de réponse de conservation du nombre.

A
  • argument d’identité
  • argument de réversibilité par réversion/inversion
  • argument de réversibilité par compensation
88
Q

Donnez un exemple d’argument d’identité (pour la conservation du nombre).

A

“rien ajouté, rien enlevé”

89
Q

Donnez un exemple d’argument de réversibilité par réversion/inversion (pour la conservation du nombre).

A

“on peut revenir à ce qu’on avait avant”

90
Q

Donnez un exemple d’argument de réversibilité par compensation (pour la conservation du nombre).

A

“plus long mais plus écarté”

91
Q

Pendant quel stade du développement selon Piaget se construit les invariants de quantité (quantités continues) ?

A

Durant la période pré-opératoire

92
Q

Que se construit-il, en terme de quantité, durant la période pré-opératoire ?

A

Il se construit les invariants de quantité (quantités continues)

93
Q

Citez différentes types de conservation. (4 réponses)

A
  • conservation du nombre
  • conservation de la substance
  • conservation des quantités liquides
  • conservation de l’inégalité des longueurs
94
Q

Explicitez les étapes de l’épreuve de conservation de la substance (ou conservation de la quantité de matière).

A
  • on vérifie avec l’enfant l’égalité perceptive quant aux deux boules de pâtes à modeler
  • transformation d’une des boules en saucisse
  • question de conservation
  • demande de justification
  • contre-suggestion
    (-refaire en transformant la boule en crêpe et en pleins de petits bouts)
95
Q

Quel matériel est utilisé pour l’épreuve de conservation de la substance ?

A

De la pâte à modeler

96
Q

Explicitez l’épreuve des inégalités de longueur.

A

On montre deux segments à un enfant, et on lui demande lequel est le plus grand (certains segments sont droits, d’autres en vagues)

97
Q

Explicitez l’épreuve de conservation des quantités de liquides.

A
  • 2 récipients identiques remplis avec la même quantité de liquide
  • transvasement du récipient dans un récipient différent (en hauteur et largeur)
  • question de conservation
  • demande de justification
  • contre-suggestion
    (- refaire en transvasant du récipient dans plusieurs autres petits verres)
98
Q

Quels arguments sont communs à toutes les réponses de conservation ?

A
  • l’argument d’identité
  • l’argument de réversibilité par inversion
  • l’argument de réversibilité par compensation
99
Q

Citez les 6 étapes communes aux épreuves de conservation.

A
  • équivalence perceptive entre deux quantités
  • transformation perceptive réalisée sur l’une des quantités
  • question de conservation
  • demande de justification
  • contre-suggestion
  • retour à l’étape 1 et nouvelle transformation…
100
Q

Quelle est la première étape commune de l’organisation des épreuves de conservation ?

A

L’équivalence perceptive entre deux quantités

101
Q

Quelle est la deuxième étape commune de l’organisation des épreuves de conservation ?

A

La transformation perceptive réalisée sur l’une des quantités

102
Q

Quelle est la troisième étape commune de l’organisation des épreuves de conservation ?

A

La question de conservation

103
Q

Quelle est la quatrième étape commune de l’organisation des épreuves de conservation ?

A

La demande de justification

104
Q

Quelle est la cinquième étape commune de l’organisation des épreuves de conservation ?

A

La contre-suggestion

105
Q

Quelle est la sixième étape commune de l’organisation des épreuves de conservation ?

A

Le retour à l’étape 1 et la nouvelle transformation…