Chapitre 6 Flashcards
Binet (1903) a formulé une définition de l’intelligence. Complétez la phrase suivante énoncée par Binet : “L’intelligence, c’est ce que ______.”
les tests mesurent.
Dans la comparaison que Sternberg et Detterman (1986) ont établie entre la conception de l’intelligence chez des experts de 1921 et celle de 1986, indiquez une notion qui est apparue en 1986 et qui n’existait pas en 1921.
La notion de métacognition.
Selon Steinberg (2000), l’idée que les experts se font de l’intelligence traduit différentes métaphores. Nommez et décrivez brièvement une métaphore de l’intelligence.
- La métaphore géographique présente l’intelligence comme une carte de l’esprit dans laquelle la présence relative de facteurs différencie entre eux les profils intellectuels des individus.
- La métaphore informatique considère l’intelligence à partir des processus élémentaires de traitement de l’information (le temps de réaction ou les stratégies cognitives) et complexes des processus mentaux.
- La métaphore biologique tente de faire le lien direct entre le fonctionnement du cerveau et l’intelligence. Elle étudie le cerveau à l’aide d’appareils comme l’électro-encéphalogramme et l’imagerie par résonance magnétique.
- La métaphore épistémologique s’intéresse principalement au développement des connaissances lequel s’effectue à travers des stades et selon des structures cognitives.
- La métaphore anthropologique présente l’intelligence comme une construction sociale ou l’individu évolue selon ses interactions avec les contextes sociaux qui définissent ce que sont les comportements intelligents.
- La métaphore sociologique met l’accent sur les interactions sociales (le contexte social) dans le développement de l’intelligence. L’individu assimile les connaissances à partir de ses rapports avec les personnes qui lui enseignent.
- La métaphore des systèmes traduit une vision systémique de l’intelligence qui offre plusieurs niveaux d’analyse et intègre différentes composantes des autres métaphores.
Vrai ou faux. La psychométrie occupe une place de premier plan en neuropsychologie.
Vrai
Expliquez brièvement l’hypothèse de l’efficience cérébrale.
L’efficience cérébrale est l’hypothèse selon laquelle plus l’intelligence est développée, moins le cerveau travaille fort pour résoudre un problème donné. Les circuits neurologiques, avec le développement, serait peu à peu mieux dirigés et plus économiques sur le plan de l’activation corticale pour une tâche donnée, ce qui entraîne une économie d’énergie.
Qu’arrive-t-il avec la vitesse de traitement de l’information au fur et à mesure que l’individu avance dans l’enfance et l’adolescence?
Sa vitesse de traitement de l’information augmente, ce qui lui permet d’exécuter les mêmes opérations mentales plus rapidement.
Pour Galton (1883), deux qualités permettent de distinguer les gens brillants des autres. Lesquelles?
L’énergie et la sensibilité.
Quel psychologue français est considéré comme le premier à avoir élaboré une méthode d’évaluation de l’intelligence des jeunes enfants?
Alfred Binet
À l’époque, à quoi servait le premier test mental standardisé mis au point par Binet et Simon?
Il servait à discerner, dès leur entrée à l’école, les enfants susceptibles d’éprouver des difficultés scolaires.
Indiquez à quel élément de la pensée intelligente correspond chacun des énoncés, selon Binet et Simon.
a) Le choix d’une manière d’agir et le respect de celle-ci lors de l’exécution de l’opération: ______.
b) La capacité d’évaluer avec justesse l’activité: _______.
c) Savoir ce qui doit être fait et comment le faire: ______.
a) l’adaptation
b) la critique
c) la direction
Quels sont les deux types de facteurs dans l’intelligence humaine selon Spearman?
Le facteur général (facteur g), commun à l’ensemble des habiletés cognitives, et les facteurs particuliers (mémoire, raisonnement logique, spatial, numérique, etc.)
Que retrouve-t-on à la strate III du modèle de Caroll?
Le facteur G (facteur général de l’intelligence)
Nommez les trois grandes dimensions de l’intelligence selon le modèle triarchique de Sternberg.
La dimension interne, la dimension externe et la dimension expérencielle
Dans le modèle triarchique de l’intelligence selon Sternberg, les _____ sont les processus mentaux de niveau supérieur que l’on utilise dans la résolution de problème.
métacomposantes
En vous référant au modèle de Sternberg, choisissez parmi les trois réponses suivantes celle qui correspond au processus défini par l’énoncé suivant: processus en jeu dans l’acquisition des données qui se rapportent au problème et élimination des informations qui ne sont pas pertinentes.
a) combinaison sélective
b) comparaison sélective
c) encodage sélectif
c)
Expliquez brièvement. Un enfant qui apprend à lire met à profit l’expérience acquise pour automatiser les processus cognitifs relatifs à la lecture.
Au début, l’enfant doit décoder individuellement chaque unité d’information. Graduellement, l’automatisation du décodage élémentaire lui permettra de passer à l’échelle du mot puis de la phrase. L’automatisation du décodage permet à l’enfant de concentrer son attention sur le sens du texte, au-delà du décodage des unités d’information.
En quoi consiste la dimension externe de l’intelligence selon le modèle triarchique de Sternberg?
La dimension externe de l’intelligence concerne le contexte ou l’environnement dans lequel l’intelligence se déploie. Elle réfère aux mécanismes en jeu dans l’adaptation de la personne à son milieu, dans la modification du milieu en fonction de ses besoins et dans le choix de l’environnement approprié.
De quel type d’intelligence s’agit-il: l’habileté à réussir dans la vie selon le standards personnels de l’individu dans sa communauté?
L’intelligence de réussite
Vrai ou faux. Selon Gardner, les tests d’intelligence standardisés couvrent l’ensemble du domaine de l’intelligence en évaluant les habiletés linguistiques, logico-mathématiques et spatiales.
Faux
Nommez trois types d’intelligences selon Gardner.
L’intelligence linguistique ou verbale, logico-mathématique, musicale, spatiale, corporelle ou kinesthésique, interpersonnelle, intrapersonnelle, naturaliste et spirituelle.
Définissez brièvement l’intelligence émotionnelle.
L’intelligence émotionnelle est une forme d’intelligence sociale qui renvoie à la capacité de reconnaître et de comprendre ses émotions et celles des autres et d’utiliser cette information pour guider ses pensées et ses actions de façon appropriée en contexte social. Les personnes ayant un niveau élevé d’intelligence émotionnelle décodent plus facilement les pensées, les sentiments, les émotions chez elles et chez les autres et elles composent habilement avec ces connaissances pour mieux réussir dans leurs relations interpersonnelles.
À quelle ramification de l’intelligence émotionnelle correspond chacun des énoncés suivants? Inscrivez la lettre correspondant à l’appellation appropriée.
Énoncé 1: Aptitude à comprendre et à exprimer des émotions et à les modules, chez soi et chez autrui, dans le but de promouvoir la compréhension mutuelle.
Énoncé 2: Aptitude à intégrer et à utiliser les émotions dans la réflexion et dans l’expression des sentiments.
a) Intégration des émotions aux processus de la pensée
b) Perception des émotions
c) Gestion des émotions
d) Compréhension des émotions
Énoncé 1: c)
Énoncé 2: a)
Étant donné que les nourrissons ne peuvent ni lire ni parler et qu’ils ne coopère pas nécessaire, sur quoi reposent alors les épreuves d’intelligence conçues pour eux?
Les épreuves d’intelligences destinées aux nourrissons reposent sur l’observation de leur comportement à la suite de la présentation de stimuli standardisés. Certains test incluent aussi des items qui mesurent la mémoire de l’enfant, sa vitesse d’habituation à la nouveauté, sa capacité de catégoriser et de résoudre certains problèmes. Les réponses perceptives ou motrices du bébé servent de base à son évaluation psychologique.
Le rendement intellectuel de quelqu’un à un test ne prend sa signification qu’en comparaison avec _______.
Le rendement d’autres individu (avec qui il partage des caractères communs) au même test.