Chapitre 1 Flashcards

1
Q

Quels sont les sujets inclus dans la sexualité humaine ?

A
  • Elle comprend l’identité sexuelle et sexuée, les fonctions de maternité ou de paternité, les rôles sexuels que l’on adopte ou que l’on conteste, les stéréotypes sexuels culturels que l’on accueille, tolère ou condamne, l’expression de soi à travers l’érotisme, l’orientation sexuelle, le lien affectif, amoureux, et sensuel, le partage de son intimité physique, les comportements auto-érotiques, l’univers fantasmatique, anisi que les activités sexuelles génitales
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2
Q

Quelle est la définition de la sexologie?

A

l’étude scientifique du phénomène sexuel, a pour objet tout ce qui est lié à la sexualité. Champ d’études interdisciplinaires couvrant les phénomènes de la différenciation sexuelle et de la fonction érotique qui s’articule autour de quatre axes de développement : bio/psycho/social et sexologie appliquée.

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3
Q

Quelle est la définition de la santé sexuelle ?

A
  • La santé sexuelle est une dimension fondamentale du bien-être d’une personne qui s’inscrit dans une perspective de santé globale. Selon l’Organisation mondiale de la santé, la santé sexuelle « est un état de bien-être physique, mental et social dans le domaine de la sexualité. Elle requiert une approche positive et respectueuse de la sexualité et des relations sexuelles, ainsi que la possibilité d’avoir des expériences sexuelles qui soient sources de plaisir et sans risque, libres de toute coercition, discrimination ou violence. » (OMS, 2002)
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4
Q

Quelles sont les dimensions de la sexualité?

A

 Biologique : Hormones. Organes génitaux, la reproduction, la puberté, ITSS, contraception.

 Psychologique (émotions, attitudes, motivations) : Identité, orientation sexuelle, troubles sexuels, attraction sexuelle, attirance, fantasme, désir, érotisme, fétiches, déviances, estime de soi, image corporelle.

 Cognitive : Informations acquises. Perceptions des situations dans la sexualité.

 Affective : Émotions et sentiments. Plaisir, amour, affection, honte, peur, colère, regret, culpabilité.

 Socioculturelle : Représentation médiatiques qui représentent souvent les stéréotypes. Les normes. Rôles sexuels. Rituels sexuels.

 Spirituelle, morale et religieuse : Croyances. Prescriptions et interdictions. Codes de conduites sexuelles. Valeurs.

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5
Q

Quel est la but des études transculturelles?

A
  • Le but des études transculturelles est de mieux comprendre l’universalité ainsi que la diversité du comportement sexuel chez les humains.
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6
Q

Qu’est-ce qui semble être universel dans les différentes cultures?

A
  • Ce qui semble être universel est que chaque culture façonne, structure et limite le développement et l’expression de la sexualité (permissive –» restrictive). Il n’existe nulle part dans le monde une liberté sexuelle complète.
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7
Q

Quelles sont les règles dans les différentes cultures (continuum)?

A
  1. Un continuum : permissif –» restrictif

 La société permissive : habitudes positives et tolérantes envers la liberté d’expression sexuelle. Conçue comme une partie naturelle et intégrante des besoins de l’individus.
 La société semi-restrictive : certaine tolérance mais a plus de règles de la société permissive. Encadre les gens et leur sexualité davantage.
 La société restrictive : cherche à restreindre et à contrôle de façon rigide l’expression sexuelle. Leur rôle de la sexualité dans le développement est ignoré (dans le sens qui ne connaissent rien) ou jugé de façon négative. Ex : Pas de lien encore la menstruation et la conception.

  1. Un continuum du niveau d’anxiété par rapport à l’expression sexuelle

 Peu d’anxiété –» beaucoup d ’anxiété

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8
Q

Les différences culturelles des comportements sexuels dans la monde nous démontrent quoi ?

A
  • Soulignent l’importance de l’acquis ou de l’apprentissage pour expliquer la diversité sexuelle. Ex : Notre sexualité est influencée par notre environnement. Cela serait donc acquis.
  • Nous permettent de comprendre l’influence sociale sur le comportement sexuel de l’individu. Ex : Apprendre aux jeunes garçons à se masturber VS interdire la masturbation.
  • Nous montrent comment les attitudes, les coutumes et les croyances sexuelles apprises donne à l’individu UN SENS à son comportement sexuel. Ex : Prévaloir les relations sexuelles car elles permettent la reproduction VS Punir les gens vus sur le fait en train d’avoir des relations ou de se masturber.
  • Nous exposent au sens relatif de ce qui est une sexualité « normale ».
  • Contribuent à la compréhension et l’appréciation des changements dramatiques des coutumes sexuelles de plusieurs cultures. Ex : La loi en Chine qui contrôle la démographie en prescrivant qu’une famille n’ait qu’un seul enfant, ou que ce soit un garçon, car cela signifie la richesse. De nos jours, il y a un problème, car les hommes sont en surnombres et ne peuvent pas avoir une vie sexuelle comme ils le désirent, par manque de partenaire sexuelle.
  • Contribuent à l’analyse des problèmes liés à la sexualité dans le monde et offrent des pistes de solutions.
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9
Q

Qu’est-ce que l’ethnocentrisme?

A

Être concentré sur sa propre vision de la sexualité. Il y a supériorité sur la façon de penser d’une ethnie en particulier. C’est un biais/limite lors de recherches transculturelles concernant la sexualité.

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10
Q

Quelles sont els deux sortes de polygamie?

A

 Polyandrie : une femme avec plusieurs hommes.

 Polygynie : un homme avec plusieurs femmes.

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11
Q

Qu’est-ce qui est quasi-universel dans toutes les cultures?

A

 Condamnation des rapports sexuels forcés. En général on condamne, mais pas totalement universel.

 Le tabou post-partum : 4-6 semaines prescrites médicalement pour ne pas avoir de relations sexuelles. Cependant, dans certaines cultures, ça peut aller jusqu’à 5 ans.

 Les contacts sexuels entre personnes du même sexe. Au niveau mondial, il y a plus de contacts sexuels du même sexe chez les hommes que chez les femmes.

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12
Q

Quelles sont les 3 sociétés étudiées?

A

Les Mangaïens

Les Danis

Les habitants d’Inis Beag

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13
Q

Pour Les Mangaïens, quels sont les rites de passage de l’enfant à l’adulte pour les garçons ?

A

 Superincition = La modification génitale chez les garçons (incision d’un coquillage pour entre-ouvrir le prépus pour découvrir le gland), ça augmenterait le plaisir sexuel.

 Fait par l’expert de l’île.

 12 à 13 ans (puberté).

 Pour signaler que l’individu entre dans une période du plaisir.

 Le garçon est ensuite isolé (période de guérison) pour suivre nu régime spécial (aucun contact avec les femmes) et l’expert lui apprend des techniques sexuelles (caresses érotiques, cunnilingus, maitrise de l’orgasme pour que le partenaire ait 2-3 orgasmes avant lui).

 Suite à la guérison, le garçon va avoir une relation sexuelle avec une femme expérimentée (la gale va tomber = symbolique).

 La femme va informer l’expert si ça s’est bien déroulé.

 Le garçon pourra ensuite choisir des filles de son âge.

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14
Q

Pour les Mangaïens, quels sont les rites de passage de l’enfant à l’adulte pour les filles?

A

 À l’âge des premières menstruations, elles vont apprendre par une femme les techniques sexuelles (mouvements du bassin et de la vulve pour favoriser l’orgasme et le plaisir).

 Après la formation, elles pourront choisir des garçons de son âge.

 La partie du corps la plus érotisée est le pubis.

 Les femmes s’attendent à ce que les hommes fassent des mouvements de bassin pendant environ 20-30 minutes pour démontrer leur virilité.

 Les parents encouragent leurs filles à avoir beaucoup de rapports avec beaucoup de personnes.

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15
Q

Quelles sont les normes de la sexualité pour les Mangaïens?

A
  • La sexualité est un sujet commun.
  • La sexualité est utilisée pour la création et le plaisir.
  • Masturbation à l’enfance est encouragée par les parents et la culture.
  • Durant cette période de la puberté, tout le monde cherche des partenaires sexuels. Aucun lien avec l’amour et l’attachement, c’est comme un jeu/compétition.
  • Les gens vont se marier pour l’amour vers l’âge de 20 ans, c’est avec le mariage qu’il y a de l’amour affectif, pas avec les rapports sexuels.
  • Ils ignorent le lien entre les menstruations et la conception. Ils croyaient que la conception se fait quand il y a plusieurs relations sexuelles avec le même partenaire (de là l’idée d’encourager plusieurs partenaires au début).
  • 1/2 des couples se mariaient quand la fille tombe enceinte.
  • 13% des enfants sont nés illégitimes, mais pas dans le sens péjoratif comme en Amérique.
  • L’accouchement est perçu positivement puisqu’il est vu comme l’accomplissement des parents. Ils peuvent reprendre les relations sexuelles dès que la femme a accouché, pas de période d’abstinence.
  • Les gens de 18-30 ans ont des relations chaque soir et 2-3 orgasmes chaque fois, chaque personne.
  • Le plaisir est primé dans les relations.
  • 5% de divorce.
  • Oui il y avait des ITSS, surtout la gonorrhée, venait surtout des voyageurs.
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16
Q

Pour les Mangaïens, quelles sont les règles (continuum)?

A

Permissif + peu d’anxiété

17
Q

Pour les Danis, quelles sont les normes de la sexualité?

A
  • Société patriarcale (hommes plus de pouvoir)
  • Polygamie est répandue (homme avec plusieurs femmes)
  • L’aspect de la sexualité n’est pas un sujet d’intérêt par le peuple
  • Ils ne croient pas en un instinct sexuel (drive biologique) qui doit être répondu par un rapport sexuel, ce n’est pas un besoin non plus.
  • Vers 2 ans, les garçons et filles sont séparés, surtout pour la séparation des tâches
  • À chaque 4-5 ans, ils ont un mariage de groupe. On prend tous les jeunes entre 16-20 ans dans un cercle et on pige qui va marier qui. Les hommes déjà mariés et qui désirent une autre femme sont priorisés et ensuite les hommes non mariés qui se cherchent une femme. Puis grosse cérémonie.
  • Ils ont peur du sang. Ils croient que les femmes sont dangereuses pour l’homme puisqu’elles ont leurs menstruations et après l’accouchement. Le tabou post-partum est de 5 ans (attend 5 ans après nouvelle relation sexuelle).
  • La femme accouche seule ou avec une sage-femme. L’arrivée d’un garçon est célébrée et celle d’une fille est considérée comme une prochaine femme de quelqu’un.
  • Aucun intérêt à développer leurs techniques sexuelles ou plaisir érotique. Le seul intérêt est la reproduction. Ils ont suffisamment de relations pour reproduire.
  • Les relations se terminent à l’éjaculation de l’homme. L’orgasme chez la femme est inconnu.
  • Infidélité et jalousie sont rares.
18
Q

Pour les Danis, quelles sont les règles (continuum)?

A

Semi-permissivité (ne se préoccupe pas) + difficile de se positionner sur l’anxiété (peur du sang mais pas d’intérêt)

19
Q

Pour les habitants d’Inis Beag, quelles sont les normes de la sexualité?

A
  • Population de 350 (majorité de la religion catholique).
  • Ils ne parlaient jamais de la sexualité, même dans l’intimité de leur foyer et encore moins devant leurs enfants, c’est un tabou très ancré (même de dire qu’une femme est enceinte).
  • Pas d’éducation sexuelle formelle, les garçons sont mieux renseignés que les filles, mais ça provient des hommes plus âgés ou d’observations des animaux.
  • Après le mariage, la nature suit son cours = seule information transmise.
  • Les femmes ont besoin de se soumettre aux désirs charnels de leur mari au nom de Dieu.
  • Mariage vers l’âge de 36 ans pour les hommes et 25 ans pour les femmes. Tous les mariages sont arrangés par l’Église. L’amour conjugal est rare.
  • Menstruation (pensent qu’elles vont mourir) et ménopause (pensent que c’est la folie donc les femmes s’isolent) sont des sources de grandes appréhensions puisque les femmes n’ont aucune connaissance.
  • Ils ont une pudeur face à la nudité. Ils se lavaient une fois par semaine. Seulement les bébés pouvaient être nus.
  • Les hommes croient que les rapports sexuels sont exigeants pour la santé, donc ils s’abstiennent avant une grande journée au travail.
  • Rapports sexuels sont initiés par l’homme et jamais durant les menstruations, comportent des préliminaires (baisers) et des attouchements aux fesses. La position est le missionnaire avec des bobettes et se termine par l’éjaculation de l’homme qui s’endort tout de suite après.
  • L’orgasme chez la femme est très peu connu. Quand il l’est, il est perçu comme étant déviant.
  • Fréquence : 1 à 2 fois par fois.
  • Un couple marié a en moyenne 7 enfants.
20
Q

Quelles sont les règles (continuum) des habitant d’Inis Beag?

A

Restrictive + beaucoup d’anxiété

21
Q

Notre perception des normes dépend de quoi?

A
	L’âge
	Religiosité
	Expériences
	Culture
	Urbain vs rural
22
Q

Quel est l’âge des premières expériences des relations sexuelles coïtales (pénis dans vagin)?

A

 Médiane (50% de la population a eu sa 1ere relation a) : 17 ans.

 Différence régionale avec le Québec, plus jeune.

 Moyenne stable depuis la dernière décénie.

 30% des 15-17 ans et 68% des 18-19 ans.

23
Q

Qu’est-ce que l’hypersexualisation?

A

attitudes et comportements exagérément sexualisés chez les 12-14 ans ou moins.

24
Q

La majorité des information sur la sexualité humaine au Canada proviennent d’où?

A

prises par la méthode d’enquête (questionnaires, entrevues, autorévélations, nous posons des questions et on attend une réponse).

25
Q

Quelles sont les limites des études canadiennes sur la sexualité humaine avec la méthode d’enquête?

A
  • Les gens qui participent aux enquêtes sont différents de ceux qui refusent = le biais volontaire.
  • Ces répondants sont plus permissifs, plus expérimentés et ils ont une plus grande diversité d’expériences sexuelles que ceux qui refusent.
  • Difficile de généraliser les études parce que les résultats vont être biaisés vers la permissivité.
  • Les questions sur la sexualité sont moins bien acceptées parce que ça touche l’intimité, c’est tabou.
  • Désirabilité sociale : le fait de vouloir bien paraître socialement (ex. : les hommes surestiment leur nombre de partenaires sexuels, comparativement aux femmes).
  • Fausse-mémoire/estimation : le facteur de rappel, parfois les questions demandent beaucoup de détails et difficile de tout se rappeler (combien de minutes dure vos relations sexuelles).
  • Le public cible des études sur la sexualité humaine repose sur une cohorte de jeunes adultes (universitaires) = échantillonnage biaisé. Problème au niveau de la démographie, qui répond aux questionnaires (âge, région, etc.).
  • Les questions peuvent être perçues différemment pour tous, l’ambiguïté (fréquence de relations sexuelles par semaine… Masturbation? Avec orgasme?).
  • Mauvaise interprétation des données. Ex. : Terre-Neuve a plus de relations sexuelles par mois. C’est n’est pas parce que tu déménage là que tu vas commencer à en avoir plus. Ce n’est pas parce qu’on a séparé l’étude selon les régions que c’est selon où tu habites que qu’il y a une différence. C’est une corrélation et non une cause à effet.

– Important de regarder qui a financé l’étude, ça peut influencer les données. Ex. : une étude financée par Fisher (entreprise pharmaceutique) sur les difficultés érectiles. Biais du chercheur.

26
Q

Au Canada, où va la majorité des financements du gouvernement pour la sexualité?

A

la prévention du SIDA, la prévention de la sexualité chez les jeunes et les dysfonctions sexuelles. Seulement 10% pour la violence sexuelle et 5% pour la prostitution.

27
Q

Quelles sont les différences entre le Québec et le Canada dans les études canadiennes?

A
  • Les seules études faites au Canada démontrent que les québécois sont plus permissifs. Il s’agit d’une population distincte au niveau sexuel.
  • Les données sur le Québec « fuck » tout le reste (données aberrantes) puisque la région est différente statistiquement.
28
Q

D’où provient cette plus grande permissivité des québécois?

A
  • Cela est influencé par la Révolution tranquille. Série de changements au niveau de l’État. On laisse tomber le pouvoir donné à l’Église (s’occupait de l’éducation, de la santé, présence omniprésente de la religion, etc.) et on donne tout le pouvoir à l’État. Le Québec est le seul à l’avoir connu au Canada.
29
Q

Pourquoi est-ce un problème d’utiliser les études américaines et les généraliser pour les canadiens ?

A
  • Les deux pays n’ont pas le même niveau de permissivité. Les canadiens sont plus permissifs que les américains.
  • Aux États-Unis, il y a beaucoup de chrétiens fondamentalistes qui ont une lecture très conservatrice de la religion chrétienne. Les groupes religieux ont un pouvoir de lobbying. Beaucoup de lois conservatrices (influencées par l’argent du lobbyisme).
  • Au Canada, l’argent des groupes religieux ne peuvent pas influencer la politique sociale.
30
Q

Quelles sont es 4 méthodes des recherche?

A
  1. Étude de cas : les chercheurs étudient en profondeur un sujet ou un nombre restreint de sujets.
  2. Enquête : des données sur les attitudes et les comportements sexuels sont recueillies chez des populations relativement nombreuses au moyen de questionnaires ou d’entrevues.
  3. Observation directe : les chercheurs observent et enregistrent les réactions des participants.
  4. Recherche expérimentale : les sujets sont soumis à des stimuli dans des conditions contrôlées permettant de mesurer leurs réactions de façon fiable.
31
Q

Quels sont les avantages et inconvénients des études de cas?

A

 Avantages : flexibilité dans la collecte des données. Exploration en profondeur de comportements, de pensées et de sentiments.

 Inconvénients : généralisation limitée des résultats. Exactitude des données limitée par le caractère faillible de la mémoire humaine. Non adaptée à tous les genres de questions de recherche.

32
Q

Quels sont les avantages et inconvénients des enquêtes?

A

 Avantages : permet de recueillir rapidement et à relativement bon marché de grandes quantités de données. Permet de recueillir des données sur plus de personnes qu’avec l’étude en laboratoire ou l’étude de cas.

 Inconvénients : problèmes de non-réponse, biaises démographique, autosélection et inexactitude des réponses.

33
Q

Quels sont les avantages et inconvénients des observations directes?

A

 Avantages : élimine presque toute possibilité de falsification des données. L’enregistrement des comportements peut être conservé sur une vidéocassette, un support magnétique ou numérique.

 Inconvénients : le comportement des sujets peut être influencé par la présence de l’observateur ou par la nature artificielle du lieu d’observation.

34
Q

Quels sont les avantages et inconvénients des recherches expérimentales?

A

 Avantages : fournit un environnement propice permettant le contrôle des variables pertinentes. Adaptée à la découverte de relations causales entre des variables.

 Inconvénients : le côté artificiel de l’environnement de laboratoire peut biaiser ou influencer de façon négative les réactions des sujets.

35
Q

Afin d’évaluer une recherche, quelles questions devons-nous nous poser?

A
  • Quels sont les titres des chercheurs ? Sont-ils professionnels ? Sont-ils liés à des institutions reconnues ?
  • Dans quel type de médias les résultats ont-ils été publiés ?
  • Quelle approche ou méthode de recherche a-t-on utilisée ?
  • Le nombre de participants était-il suffisant ? La sélection a-t-elle été biaisée ?
  • Peut-on raisonnablement appliquer les résultats de la recherche à un segment plus large de la population ? Jusqu’à quel point peut-on généraliser les résultats obtenus ?
  • La méthodologie employée pour la recherche peut-elle avoir influé sur les résultats ?
  • Y a-t-il d’autres recherches dont les résultats appuient ou contredisent l’étude en question ?