CHAP5 Comportements Sexuels et d'Attachement Flashcards
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.1 Le cas féminin
1.1.1 Le cycle menstruel
Le cycle menstruel a une période de [… jours] et se divise en [… phases].
Le cycle menstruel a une période de [28 jours] et se divise en [3 phases].
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.1 Le cas féminin
1.1.1 Le cycle menstruel
La phase folliculaire dure environ [… jours], permet un développement du [… …]. On observe lors de cette phase, une […] continue et progressive des […].
La phase folliculaire dure environ [14 jours], permet un développement du [follicule ovarien]. On observe lors de cette phase, une [augmentation] continue et progressive des [œstrogènes].
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.1 Le cas féminin
1.1.1 Le cycle menstruel
L’ovulation dure quelques […] et se produit au […ème jour] du cycle. Le follicule se déchire et expulse [l’…] dans [l’…]. La sécrétion d’œstrogènes [diminue?/augmente?] fortement.
L’ovulation dure quelques [heures] et se produit au [14ème jour] du cycle. Le follicule se déchire et expulse [l’ovule] dans [l’oviducte]. La sécrétion d’œstrogènes [diminue] fortement.
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.1 Le cas féminin
1.1.1 Le cycle menstruel
La phase lutéinique dure environ [… jours]. Le follicule déchiré devient un [… …] sécrétant de la […] (et un peu d’[…]). Le corps jaune [s’… et …] à la fin de cette phase et le taux d’hormones dans le sang [s’…]. On notera qu’en cas de grossesse le corps jaune [… … …] et poursuit la [… de …].
La phase lutéinique dure environ [14 jours]. Le follicule déchiré devient un [corps jaune] sécrétant de la [progestérone] (et un peu d’[œstrogène]). Le corps jaune [s’atrophie et disparaît] à la fin de cette phase et le taux d’hormones dans le sang [s’effondre]. On notera qu’en cas de grossesse le corps jaune [reste en place] et poursuit la [sécrétion de progestérone].
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.1 Le cas féminin
1.1.2 Contrôle du cycle menstruel
Ce cycle ovarien n’est pas […]. Il est contrôlé par le [… …-…].m[L’…] est une glande située à la base du cerveau qui sécrète deux hormones […-…] (c’est-à-dire qui stimulent les […], dans notre cas les […]).
Ce cycle ovarien n’est pas [autonome]. Il est contrôlé par le [complexe hypothalomo-hypophysaire].
[L’antéhypophyse] est une glande située à la base du cerveau qui sécrète deux hormones [gonado-stimulines] (c’est-à-dire qui stimulent les [gonades], dans notre cas les [ovaires]).
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.1 Le cas féminin
1.1.2 Contrôle du cycle menstruel
La […] ([hormone …-…]) stimule la croissance du [… …] lors de la phase […], tandis que la […] (hormone lutéinisante) provoque [l’…] et la […] du [… …]. On observe notamment un fort pic de […] juste avant [l’…].
On notera que l’antéhypophyse est elle-même sous le contrôle de l’hypothalamus par l’intermédiaire d’une autre hormone : la […].
La [FSH] ([hormone folliculo-stimulante]) stimule la croissance du [follicule ovarien] lors de la phase [folliculaire], tandis que la [LH] (hormone lutéinisante) provoque [l’ovulation] et la [formation] du [corps jaune].
On observe notamment un fort pic de [LH] juste avant [l’ovulation]. On notera que l’antéhypophyse est elle-même sous le contrôle de l’hypothalamus par l’intermédiaire d’une autre hormone : la [GnRH].
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.1 Le cas féminin
1.1.3 Rôle des hormones sexuelles
Les hormones sexuelles exercent un […] qui […] le contrôle hypothalamo-hypophysaire.
Les hormones sexuelles exercent un [rétrocontrôle] qui [module] le contrôle hypothalamo-hypophysaire.
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.1 Le cas féminin
1.1.3 Rôle des hormones sexuelles
Les œstrogènes favorisent la […]. Ils sont notamment responsables de la reconstitution de la [… …] détruite pendant les […] et agissent sur la [… …] facilitant la [… des …]. Ils sont également liés au […] et au […] des [… … …] (seins, hanches,…) qui favorisent la probabilité d’accouplement chez l’animal en rendant la femelle […].
Les œstrogènes favorisent la [fécondation]. Ils sont notamment responsables de la reconstitution de la [muqueuse utérine] détruite pendant les [règles] et agissent sur la [glaire cervicale] facilitant la [traversée des spermatozoïdes]. Ils sont également liés au [développement] et au [maintien] des [caractères sexuels secondaires] (seins, hanches,…) qui favorisent la probabilité d’accouplement chez l’animal en rendant la femelle [attractive].
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.1 Le cas féminin
1.1.3 Rôle des hormones sexuelles
La progestérone favorise la […]. Elle permet la [… …] de la muqueuse utérine qui accueillera [l’…] et épaissit la [… …] pour empêcher l’arrivée de […]. Elle a aussi une action sur les [… …] et prépare ainsi à la […].
La progestérone favorise la [gestation]. Elle permet la [maturation complète] de la muqueuse utérine qui accueillera [l’embryon] et épaissit la [glaire cervicale] pour empêcher l’arrivée de [spermatozoïdes]. Elle a aussi une action sur les [glandes mammaires] et prépare ainsi à la [lactation].
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.2 Le cas masculin
Le testicule est responsable de la production des […] et de la […]. Cette production est continue à partir de la […].
Le testicule est responsable de la production des [spermatozoïdes] et de la [testostérone]. Cette production est continue à partir de la [puberté].
1 RAPPEL DE LA PHYSIOLOGIE SEXUELLE
1.2 Le cas masculin
La testostérone stimule aussi la production de […] et permet le […] et [l’…] des [… … … …] (système pileux corporel, augmentation de la taille du larynx, cordes vocales plus épaisses, augmentation du volume musculaire…). Elle stimule la […] et la production de [… …].
La testostérone stimule aussi la production de [spermatozoïdes] et permet le [développement] et [l’entretien] des [caractères sexuels secondaires masculins] (système pileux corporel, augmentation de la taille du larynx, cordes vocales plus épaisses, augmentation du volume musculaire…). Elle stimule la [prostate] et la production de [globules rouges].
2 LES STRUCTURES NERVEUSES LIEES AUX COMPORTEMENTS SEXUELS
Chez l’homme, l’aspect mécanique de la réponse sexuelle est géré par le bas de la [… …].
Le centre […] est responsable de l’éjaculation (niveau […]) tandis que le centre […] est responsable de l’érection (niveau […]).
L’anesthésie locale des centres […] et […] inhibe la réponse génitale.
Chez l’homme, l’aspect mécanique de la réponse sexuelle est géré par le bas de la [moelle épinière]. Le centre [orthosympathique] est responsable de l’éjaculation (niveau [lombaire]) tandis que le centre [parasympathique] est responsable de l’érection (niveau [sacré]).
L’anesthésie locale des centres [orthosympathique] et [parasympathique] inhibe la réponse génitale.
2 LES STRUCTURES NERVEUSES LIEES AUX COMPORTEMENTS SEXUELS [L'...] module et contrôle le fonctionnement du système végétatif autonome via le [... ...].
[L’hypothalamus] module et contrôle le fonctionnement du système végétatif autonome via le [tronc cérébral].
2 LES STRUCTURES NERVEUSES LIEES AUX COMPORTEMENTS SEXUELS
Quelle aire de l’hypothalamus prépare le corps au rapport sexuel ?
L’aire pré-optique (APO) de l’hypothalamus prépare le corps au rapport sexuel.
2 LES STRUCTURES NERVEUSES LIEES AUX COMPORTEMENTS SEXUELS
Que stimule l’aire pré-optique (APO) de l’hypothalamus stimule pour préparer le corps au rapport sexuel ?
- le système végétatif induisant ainsi des réponses génitales (par exemple, l’érection),
- la production d’hormones,
- le système d’éveil,
- les noyaux accubens, responsables de la motivation.
2 LES STRUCTURES NERVEUSES LIEES AUX COMPORTEMENTS SEXUELS
Quelle structure cérébrale intervient dans la sélection et le choix du partenaire sexuel ?
L’amygdale intervient dans la sélection et le choix du partenaire sexuel.
2 LES STRUCTURES NERVEUSES LIEES AUX COMPORTEMENTS SEXUELS
L’amygdale est responsable de l’attribution de [… … …] à différents stimuli et par ce biais de la […] de la cible sexuelle. En cas de lésion amygdalienne on observe une […] avec des objets […] ([…, ……]).
L’amygdale est responsable de l’attribution de [valeur hédonique sexuelle] à différents stimuli et par ce biais de la [sélection] de la cible sexuelle. En cas de lésion amygdalienne on observe une [hypersexualité] avec des objets [inadéquats] ([animaux, peluche…]).
2 LES STRUCTURES NERVEUSES LIEES AUX COMPORTEMENTS SEXUELS
Le cortex […-…] constitue une interface entre le système […] et le système […] et […] leurs interactions.
Le cortex [orbito-frontal] constitue une interface entre le système [émotionnel] et le système [cognitif] et [régule] leurs interactions.
2 LES STRUCTURES NERVEUSES LIEES AUX COMPORTEMENTS SEXUELS Le cortex orbito-frontal module l’activité de [l’...] et de [l'...] en fonction de la situation (en fonction des [règles ..., ..., ......]). En cas de lésion de cette région on observe souvent des [... ...] ([... ..., ... ..., ..., ......]).
Le cortex orbito-frontal module l’activité de [l’amygdale] et de [l’hypothalamus] en fonction de la situation (en fonction des [règles sociales, culturelles, morales…]). En cas de lésion de cette région on observe souvent des [désinhibitions sexuelles] ([gestes déplacés, propos obscènes, impudeur, hypersexualité…]).
3 LES SIGNAUX INTERNES MODULANT LE COMPORTEMENT SEXUEL
Les hormones sexuelles ont deux types d’effets.
Lesquels ?
1) Effet organisationnel
2) Effet activateur
3 LES SIGNAUX INTERNES MODULANT LE COMPORTEMENT SEXUEL
Effet organisationnel des hormones sexuelles
Les hormones sexuelles ont tout d’abord un effet […] sur l’organisation nerveuse pendant la période […] (période […]).
Effet organisationnel des hormones sexuelles
Les hormones sexuelles ont tout d’abord un effet [irréversible] sur l’organisation nerveuse pendant la période [périnatale] (période [critique]).
3 LES SIGNAUX INTERNES MODULANT LE COMPORTEMENT SEXUEL
Effet organisationnel des hormones sexuelles
Précision sur le dimorphisme sexuel :
Chez les animaux on observe un [… …] marqué. Alors que la femelle développe des comportements de […] et d’[…] du rapport sexuel, le mâle développe des comportements de […].
Chez les animaux on observe un [dimorphisme sexuel] marqué. Alors que la femelle développe des comportements de [sollicitation] et d’[acceptation] du rapport sexuel, le mâle développe des comportements de [monte].
3 LES SIGNAUX INTERNES MODULANT LE COMPORTEMENT SEXUEL
Effet organisationnel des hormones sexuelles
Au niveau cérébral, le dimorphisme sexuel est observé sur un des noyaux de l’hypothalamus […] nommé [N… S… D…] ([NS]) puisqu’il est […] fois plus volumineux chez le mâle que chez la femelle.
Au niveau cérébral, le dimorphisme sexuel est observé sur un des noyaux de l’hypothalamus [antérieur] nommé [Noyau Sexuellement Dimorphe] ([NS]) puisqu’il est [cinq] fois plus volumineux chez le mâle que chez la femelle.
3 LES SIGNAUX INTERNES MODULANT LE COMPORTEMENT SEXUEL
Effet organisationnel des hormones sexuelles
Des expériences menées sur des rats ont montré que la castration d’un jeune rat mâle de moins de 10 jours induit un NS de type [féminin?/masculin?] et des comportements de […]. Cependant l’injection de testostérone chez un rat castré compense les effets de la castration si la testostérone intervient dans les [… premiers jours]. Ainsi la testostérone est nécessaire pour le développement du NS de type mâle pendant une [… … …]. En parallèle, la castration d’une jeune rate femelle de moins de 10 jours [n’… pas d’… …]. Tandis que l’injection de testostérone à la rate castrée induit un NS de type [mâle?/femelle?] si la testostérone intervient dans les [… premiers jours]. Ainsi, la femelle de moins de 10 jours exposée à la testostérone aura un [développement masculin?/féminin?]. En conclusion, chez le rat après la naissance, la testostérone est nécessaire pour « [masculiniser?/féminiser?] » le cerveau. En l’absence de testostérone le développement évoluera vers la [masculinisation?/féminisation?].
Des expériences menées sur des rats ont montré que la castration d’un jeune rat mâle de moins de 10 jours induit un NS de type [féminin] et des comportements de [lordose]. Cependant l’injection de testostérone chez un rat castré compense les effets de la castration si la testostérone intervient dans les [10 premiers jours]. Ainsi la testostérone est nécessaire pour le développement du NS de type mâle pendant une [période critique périnatale]. En parallèle, la castration d’une jeune rate femelle de moins de 10 jours [n’induit pas d’effet notable]. Tandis que l’injection de testostérone à la rate castrée induit un NS de type [mâle] si la testostérone intervient dans les [10 premiers jours]. Ainsi, la femelle de moins de 10 jours exposée à la testostérone aura un [développement masculin]. En conclusion, chez le rat après la naissance, la testostérone est nécessaire pour « [masculiniser] » le cerveau. En l’absence de testostérone le développement évoluera vers la [féminisation].