CHAP1 Neurosciences et Comportement Flashcards

1
Q

INTRODUCTION
Dans ce cours nous aborderons les bases physiologiques des comportements permettant à l’homme d’assurer ses [… …]. A travers des études sur le comportement menées chez l’homme et chez l’animal nous présenterons les [… …] des [… …], de la [… et du …], du [… …], des [… … et d’…] ainsi que des [… …].

A

Dans ce cours nous aborderons les bases physiologiques des comportements permettant à l’homme d’assurer ses [fonctions vitales]. A travers des études sur le comportement menées chez l’homme et chez l’animal nous présenterons les [bases physiologiques] des [rythmes biologiques], de la [veille et du sommeil], du [comportement alimentaire], des [comportements sexuels et d’attachement] ainsi que des [comportements émotionnels].

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Q
  1. DÉFINITIONS
    1.1 Neurosciences
    Les neurosciences étudient la relation physique et matérielle des [… de l’…] chez l’homme et l’animal. Les chercheurs en neurosciences adoptent donc une approche […], tant au niveau […] que […]. Il s’agit de mettre en relation les […] de l’activité de « l’esprit » humain avec l’activité d’une structure […, …] : le […], et d’essayer de décrypter [l’… et le …] du cerveau pour rendre compte des [… …]. Elles permettent non seulement de localiser les « […] » psychologiques (relations entre [… et …], par exemple : où est le siège de la […] dans le cerveau ?) mais aussi de mieux comprendre ces […] en étudiant les [… …] en jeu.
A

Les neurosciences étudient la relation physique et matérielle des [processus de l’information] chez l’homme et l’animal. Les chercheurs en neurosciences adoptent donc une approche [pluridisciplinaire], tant au niveau [théorique] que [méthodologique]. Il s’agit de mettre en relation les [manifestations] de l’activité de « l’esprit » humain avec l’activité d’une structure [matérielle, biologique] : le [cerveau], et d’essayer de décrypter [l’organisation et le fonctionnement] du cerveau pour rendre compte des [manifestations comportementales]. Elles permettent non seulement de localiser les « [fonctions] » psychologiques (relations entre [lésions et dysfonctionnements], par exemple : où est le siège de la [mémoire] dans le cerveau ?) mais aussi de mieux comprendre ces [fonctions] en étudiant les [circuits neuronaux] en jeu.

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3
Q

1.2 Comportement
Le comportement peut être défini comme un [… d’… ou d’… … en fonction d’un …] ([…, …, …, …, …,…]). Toutefois, une telle définition ne prend en compte que les manifestations […] des relations entre un organisme et son environnement actuel, c’est à dire la seule phase […] dudit comportement. Il s’agit là d’une définition trop […]. Il est particulièrement important de prendre en compte la […] mais également les […] ([… et …]) de ces comportements. Le cerveau est au service de l’organisme dans sa […] : les comportements, sous- tendus par l’activité cérébrale servent au maintien du (bon) […] de l’organisme, ainsi : le cerveau est en quelque sorte […] au corps, au travers des [… …] de l’être humain.

A

1.2 Comportement
Le comportement peut être défini comme un [ensemble d’actions ou d’attitudes coordonnées en fonction d’un but] ([prédation, défense, agression, reproduction, nutrition,…]). Toutefois, une telle définition ne prend en compte que les manifestations [observables] des relations entre un organisme et son environnement actuel, c’est à dire la seule phase [exécutive] dudit comportement. Il s’agit là d’une définition trop [restreinte]. Il est particulièrement important de prendre en compte la [motivation] mais également les [déclencheurs] ([internes et externes]) de ces comportements. Le cerveau est au service de l’organisme dans sa [globalité] : les comportements, sous- tendus par l’activité cérébrale servent au maintien du (bon) [fonctionnement] de l’organisme, ainsi : le cerveau est en quelque sorte [inféodé] au corps, au travers des [fonctions vitales] de l’être humain.

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4
Q
  1. GENÈSE DES COMPORTEMENTS
    Chaque être vivant est le produit d’une double histoire :
    - L’histoire […] : [l’…] (de l’œuf à la mort)
    - Histoire de [l’… des …] : la […] (transmises par les […])
    Cette double histoire laisse des traces sur la […] de notre cerveau et par conséquent sur nos […].
A

Chaque être vivant est le produit d’une double histoire :
- L’histoire [individuelle] : [l’ontogenèse] (de l’œuf à la mort)
- Histoire de [l’évolution des espèces] : la [phylogenèse] (histoire transmise par les [gènes])
Cette double histoire laisse des traces sur la [structure] de notre cerveau et par conséquent sur nos [comportements].

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5
Q
  1. GENÈSE DES COMPORTEMENTS
    2.1 Phylogenèse
    Tout être vivant est le résultat d’une histoire très longue commençant il y a [? milliards d’années]. Toutes les espèces sont apparentées car issues d’un [… … …]. L’homme en constitue une des […]. Il y a eu de nombreuses espèces humaines et [l’H… S…] est l’une des espèces humaines survivantes. Il y a [… millions d’années] il y avait [? ou ? espèces d’humains] vivants sur terre. L’Homo sapiens est un rameau de la lignée des […], elle-même issue de la lignée des […] apparus il y a [? millions d’années]. Cette lignée des primates n’étant elle-même qu’un rameau de la lignée des mammifères apparus il y a [? millions d’années]. Ainsi, le degré de parenté des espèces dépend de [l’… de l’… …] qu’elles partagent.
    Exemples :
    - Les gènes de l’œil sont [les … pour … les … …] (de la mouche à homme) depuis [? millions d’années].
    - [? % du génome humain] est commun à celui du chimpanzé.
    - Certaines réactions comme par exemple celle de […] (la [… de …]) était destinée à lutter contre le […] en augmentant le volume de la […] en redressant le […]. Cette réaction physiologique chez l’homme est un […] de notre […], de [l’… des …]. Ainsi, pour comprendre le comportement humain, il faut s’interroger sur la manière dont le [… …] est inscrit dans le [… de l’…].
A

Tout être vivant est le résultat d’une histoire très longue commençant il y a [3,5 milliards d’années]. Toutes les espèces sont apparentées car issues d’un [même tronc commun]. L’homme en constitue une des [ramifications]. Il y a eu de nombreuses espèces humaines et [l’Homo sapiens] est l’une des espèces humaines survivantes. Il y a [2 millions d’années] il y avait [trois ou quatre espèces d’humains] vivants sur terre. L’Homo sapiens est un rameau de la lignée des [humains], elle-même issue de la lignée des [primates] apparus il y a [70 millions d’années]. Cette lignée des primates n’étant elle-même qu’un rameau de la lignée des mammifères apparus il y a [200 millions d’années]. Ainsi, le degré de parenté des espèces dépend de [l’ancienneté de l’ancêtre commun] qu’elles partagent.
Exemples :
- Les gènes de l’œil sont [les mêmes pour tous les êtres vivants] (de la mouche à homme) depuis [600 millions d’années].
- [99 % du génome humain] est commun à celui du chimpanzé.
- Certaines réactions comme par exemple celle de [régulation] (la [chair de poule]) était destinée à lutter contre le [froid] en augmentant le volume de la [fourrure] en redressant le [poil]. Cette réaction physiologique chez l’homme est un [vestige] de notre [héritage], de [l’évolution des espèces]. Ainsi, pour comprendre le comportement humain, il faut s’interroger sur la manière dont le [passé évolutif] est inscrit dans le [cerveau de l’homme].

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6
Q
  1. GENÈSE DES COMPORTEMENTS
    2.2 Ontogenèse
    Chaque être vivant est également le [… de son … …]. Les interactions avec le […] ([… et …]) façonnent la […] du cerveau. Exemple : Si un chaton est privé de stimulation visuelle pendant le premier mois de sa vie, il devient [… à ce type de …]. Les terminaisons des neurones du cortex occipital recevant les informations visuelles [s’… de manière …]. Le « câblage » est [… …].
    -> La constitution du cerveau est le [… …] de nos […] et de notre [… …].
A

Chaque être vivant est également le [résultat de son histoire personnelle]. Les interactions avec le [milieu] ([interne et externe]) façonnent la [constitution] du cerveau. Exemple : Si un chaton est privé de stimulation visuelle pendant le premier mois de sa vie, il devient [insensible à ce type de stimulation]. Les terminaisons des neurones du cortex occipital recevant les informations visuelles [s’atrophient de manière définitive]. Le « câblage » est [définitivement endommagé].
-> La constitution du cerveau est le [produit commun] de nos [gènes] et de notre [histoire individuelle].

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7
Q
  1. LES FONCTIONS FONDAMENTALES DES ÊTRES VIVANTS

Les êtres vivants se caractérisent par deux capacités fondamentales qui les définissent. Lesquelles ?

A

1) Auto reproduction : les êtres vivants sont capables de reproduire une structure identique à la leur. Cette capacité correspond également à un impératif pour la survie d’une espèce.
2) Assurer sa survie de manière autonome : auto entretien, autoconservation, autoproduction (de nouvelles cellules).

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8
Q
  1. LES FONCTIONS FONDAMENTALES DES ÊTRES VIVANTS

Il s’agit pour les êtres vivants de répondre à deux impératifs majeurs : [… et … …].

A

[survivre et se reproduire]

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9
Q
  1. LES FONCTIONS FONDAMENTALES DES ÊTRES VIVANTS
    Il s’agit pour les êtres vivants de répondre à deux impératifs majeurs : survivre et se reproduire, via 4 principales fonctions.
    Lesquelles ?
A

1) Nutrition
2) Défense
3) Reproduction
4) Relation

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10
Q
  1. LES FONCTIONS FONDAMENTALES DES ÊTRES VIVANTS
    Les 4 principales fonctions pour survivre et se reproduire
    1) Nutrition : Capacité d’extraire du milieu de [l’…] et des […] nécessaires à ses […], sa […] et le [… des … … du …].
    Les moyens diffèrent selon les espèces : par exemple la […] est utilisée par les plantes ; tandis que la […] et la […] sont utilisées chez les animaux (pour l’apport en [… et …] respectivement).
A

1) Nutrition : Capacité d’extraire du milieu de [l’énergie] et des [matériaux] nécessaires à ses [activités], sa [croissance] et le [renouvellement des éléments constitutifs du corps].
Les moyens diffèrent selon les espèces : par exemple la [photosynthèse] est utilisée par les plantes ; tandis que la [nutrition] et la [respiration] sont utilisées chez les animaux (pour l’apport en [nutriments et oxygène] respectivement).

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11
Q
  1. LES FONCTIONS FONDAMENTALES DES ÊTRES VIVANTS
    Les 4 principales fonctions pour survivre et se reproduire
    2) Défense : Capacité à préserver [l’…] de son …] contre les agressions, qu’il s’agisse d’agressions […] ([p…, v…, b…, p…]) ou […] ([f…, c…, …]).
A

2) Défense : Capacité à préserver [l’intégrité] de son corps] contre les agressions, qu’il s’agisse d’agressions [biologiques] ([prédateurs, virus, bactéries, parasites]) ou [physiques] ([froid, chaud…]).

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12
Q
  1. LES FONCTIONS FONDAMENTALES DES ÊTRES VIVANTS
    Les 4 principales fonctions pour survivre et se reproduire
    3) Reproduction : Capacité de [… un autre … …], qu’il s’agisse d’une [… … ou …].
A

3) Reproduction : Capacité de [générer un autre être vivant], qu’il s’agisse d’une [reproduction sexuée ou asexuée].

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13
Q
  1. LES FONCTIONS FONDAMENTALES DES ÊTRES VIVANTS
    Les 4 principales fonctions pour survivre et se reproduire
    4) Relation : Capacité à extraire des [… …] du […] dans le but de [… des … …] au service des [… … …]. Notre système nerveux a évolué et s’est adapté au fil des siècles pour [… au …] à ses fonctions essentielles. Puisque tout le système nerveux (système de traitement des informations) est inféodé aux deux […] de [… et de …], nos comportements et les fonctions de relations sont donc inféodés à ces [… …].
A

4) Relation : Capacité à extraire des [informations pertinentes] du [milieu] dans le but de [produire des réponses adaptées] au service des [trois fonctions précédentes]. Notre système nerveux a évolué et s’est adapté au fil des siècles pour [satisfaire au mieux] à ses fonctions essentielles. Puisque tout le système nerveux (système de traitement des informations) est inféodé aux deux [impératifs] de [survie et de reproduction], nos comportements et les fonctions de relations sont donc inféodés à ces [objectifs biologiques].

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14
Q
  1. UNE STRUCTURE ESSENTIELLE POUR CES FONCTIONS : L’HYPOTHALAMUS
    L’hypothalamus est une structure qui joue un rôle important dans un grand nombre de nos […] tels que [la …, la …, les … …, d’…, d’…, de …, ou de … et de …].
    Nous étudierons, dans la suite de ce cours, le […] entre cette région et quelques-unes des grandes […] de l’être humain.
    L’hypothalamus est une structure complexe composée d’environ [? petits noyaux] et située à la base du […]. Il est limité par le [… …] à l’avant, par le […] à l’arrière et se trouve au-dessous du […].
A

L’hypothalamus est une structure qui joue un rôle important dans un grand nombre de nos [comportements] tels que [la faim, la soif, les comportements sexuels, d’agression, d’alarme, de défense, ou de veille et de sommeil].
Nous étudierons, dans la suite de ce cours, le [lien] entre cette région et quelques-unes des grandes [fonctions] de l’être humain.
L’hypothalamus est une structure complexe composée d’environ [22 petits noyaux] et située à la base du [diencéphale]. Il est limité par le [chiasma optique] à l’avant, par le [mésencéphale] à l’arrière et se trouve au-dessous du [thalamus].

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15
Q
  1. TROIS NIVEAUX DE COMPLEXITE POUR LES FONCTIONS DE RELATION
    Il existe différents niveaux de complexité des fonctions de relation. Ils varient en fonction des [… …] et correspondent à [… …] pour le système nerveux de remplir ses fonctions, c’est-à-dire de […] les […] adaptés pour assurer […, …, …] quel que soit le […] ou la […].
A

Il existe différents niveaux de complexité des fonctions de relation. Ils varient en fonction des [espèces animales] et correspondent à [différents moyens] pour le système nerveux de remplir ses fonctions, c’est-à-dire de [déclencher] les [comportements] adaptés pour assurer [nutrition, défense, reproduction] quel que soit le [milieu] ou la [situation].

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16
Q
  1. TROIS NIVEAUX DE COMPLEXITE POUR LES FONCTIONS DE RELATION
    Quels sont les trois niveaux de complexité des fonctions de relation ?
A

1) Niveau des réflexes et des automatismes préprogrammés
2) Niveau de l’apprentissage par renforcement
3) Niveau Cognitif

17
Q
  1. TROIS NIVEAUX DE COMPLEXITE POUR LES FONCTIONS DE RELATION
    5.1 Niveau des réflexes et des automatismes préprogrammés
    Pour certains animaux très simples et petits, tout le système nerveux est câblé et programmé de manière […] : les comportements sont des [… …] à des […]. Dans ce cadre le système est composé par des […] qui sont directement reliés à des […]. Ce niveau est conservé chez l’homme et sert aux fonctions de […]. Exemples :
    - Réflexe de […] : […] des membres en réponse à des stimuli […] (si on touche l’épine d’une rose notre bras [se … …]).
    - Réflexe […] : la pupille [se …] sous l’effet d’une lumière trop vive.
A

Pour certains animaux très simples et petits, tout le système nerveux est câblé et programmé de manière [automatique] : les comportements sont des [réponses préprogrammées] à des [stimuli]. Dans ce cadre le système est composé par des [capteurs] qui sont directement reliés à des [effecteurs]. Ce niveau est conservé chez l’homme et sert aux fonctions de [défense]. Exemples :

  • Réflexe de [rétractation] : [flexion] des membres en réponse à des stimuli [nocifs] (si on touche l’épine d’une rose notre bras [se replie automatiquement]).
  • Réflexe [pupillaire] : la pupille [se rétracte] sous l’effet d’une lumière trop vive.
18
Q
  1. TROIS NIVEAUX DE COMPLEXITE POUR LES FONCTIONS DE RELATION
    5.2 Niveau de l’apprentissage par renforcement
    Dans un milieu plus […], toutes les situations ne peuvent pas être préprogrammées. Ainsi, les comportements adaptés du point de vue des impératifs biologiques doivent être […]. Cet […] suppose l’existence d’un « [… de …] » dans le cerveau. Ce [… de …] est directement lié aux [… …] et permet de distinguer les évènements à connotation [… ou …]. Par suite, les conséquences positives et négatives des actions apparaissent sous forme de […/…] (en fonction des [… …]) et créent un […]. Ce système permet donc d’apprendre quelles sont les [… … et …] en fonction de ses [… …], pour favoriser [l’… …] des [… …]. Dans ce cadre, le système capteurs-effecteurs est modulé par les [… ou …] reçues en fonctions des […] de nos […].
A

Dans un milieu plus [complexe], toutes les situations ne peuvent pas être préprogrammées. Ainsi, les comportements adaptés du point de vue des impératifs biologiques doivent être [appris]. Cet apprentissage suppose l’existence d’un « [système de valeurs] » dans le cerveau. Ce [système de valeurs] est directement lié aux [impératifs biologiques] et permet de distinguer les évènements à connotation [positive ou négative]. Par suite, les conséquences positives et négatives des actions apparaissent sous forme de [plaisir/déplaisir] (en fonction des [impératifs biologiques]) et créent un [renforcement]. Ce système permet donc d’apprendre quelles sont les [réponses adéquates et pertinentes] en fonction de ses [impératifs biologiques], pour favoriser [l’accomplissement optimal] des [fonctions biologiques]. Dans ce cadre, le système capteurs-effecteurs est modulé par les [punitions ou récompenses] reçues en fonctions des [conséquences] de nos [actions].

19
Q
  1. TROIS NIVEAUX DE COMPLEXITE POUR LES FONCTIONS DE RELATION
    5.3 Niveau Cognitif
    La cognition est la capacité de fabriquer des [… …] du monde ([…/…/…-…]) et à les […] ([… …]). Le système cognitif permet de faire des [… …] du […]. Ainsi, nous ne sommes pas dans l’obligation de réaliser une action pour en obtenir la conséquence mais nous utilisons les [… en …] pour [… la … d’une action]. Cela nécessite un [… de …] (lié aux [… …]) pour […] et générer des […] sur la valeur des conséquences de nos actions : il s’agit du [… …].
A

La cognition est la capacité de fabriquer des [représentations mentales] du monde ([milieu/individu/soi-même]) et à les [manipuler] ([opérations mentales]). Le système cognitif permet de faire des [simulations mentales] du [futur]. Ainsi, nous ne sommes pas dans l’obligation de réaliser une action pour en obtenir la conséquence mais nous utilisons les [connaissances en mémoire] pour [prédire la conséquence d’une action]. Cela nécessite un [système de valeurs] (lié aux [impératifs biologiques]) pour [trancher] et générer des [prédictions] sur la valeur des conséquences de nos actions : il s’agit du [système émotionnel].