Chap3 IMAGERIE CÉRÉBRALE Flashcards

1
Q

1 LES TECHNIQUES METABOLIQUES
1.1 La tomographie par émission de positions (TEP)
La TEP permet ainsi de visualiser [l’… …] des cellules. Elle révèle les régions […] du cerveau lors de telle ou telle activité cognitive de manière analogue à l’imagerie par [… … …]. Ainsi, les zones du cerveau impliquées dans une tâche vont être détectées grâce à cette substance […]. Il est donc possible de reconstituer avec cette technique des […] du cerveau et de déterminer la zone qui est impliquée dans les [… …] d’une [… …] que le sujet est en train de réaliser (l’activité cognitive est illustrée par le [… …] qui s’est accru dans cette zone, Figure 2).

A

La TEP permet ainsi de visualiser [l’activité métabolique] des cellules. Elle révèle les régions [actives] du cerveau lors de telle ou telle activité cognitive de manière analogue à l’imagerie par [résonance magnétique fonctionnelle]. Ainsi, les zones du cerveau impliquées dans une tâche vont être détectées grâce à cette substance [radioactive]. Il est donc possible de reconstituer avec cette technique des [images] du cerveau et de déterminer la zone qui est impliquée dans les [processus cognitifs] d’une [tâche cognitive] que le sujet est en train de réaliser (l’activité cognitive est illustrée par le [débit sanguin] qui s’est accru dans cette zone, Figure 2).

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2
Q

1 LES TECHNIQUES METABOLIQUES
1.1 La tomographie par émission de positions (TEP)
En fonction du type d’écoute, l’activation est préférentiellement au niveau de l’hémisphère […] ou de l’hémisphère […].

A

En fonction du type d’écoute, l’activation est préférentiellement au niveau de l’hémisphère [droit] ou de l’hémisphère [gauche].
Cf. Illustration des images obtenues suite à un examen TEP représentant l’activité cérébrale d’un participant lors de l’écoute subjective d’un morceau de musique (à gauche) et lors de l’écoute analytique du même morceau (à droite).

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3
Q

1 LES TECHNIQUES METABOLIQUES
1.1 La tomographie par émission de positions (TEP)
La TEP est donc une technique [directe?/indirecte?]. Elle permet de détecter des […] relativement […]. Couplée avec des mesures […], elle peut fournir aux psychologues des indices de la cognition humaine de type […].

A

La TEP est donc une technique [indirecte]. Elle permet de détecter des [localisations] relativement [précises]. Couplée avec des mesures [comportementales], elle peut fournir aux psychologues des indices de la cognition humaine de type [physiologique].

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4
Q

1 LES TECHNIQUES METABOLIQUES
1.2 L’IRM fonctionnel
L’Imagerie par Résonance Magnétique fonctionnelle (IRMf) repose sur le même principe que la TEP ([…] des parties cérébrales mobilisées à partir des [… …] du flux sanguin), mais a l’avantage d’être invasive?/de ne pas être invasive?. L’IRMf permet d’obtenir des images fonctionnelles d’une précision de [… …]. Le principe de cette technique est fondé sur les propriétés [… …] du […] contenu dans [l’…] (…).

A

1.2 L’IRM fonctionnel
L’Imagerie par Résonance Magnétique fonctionnelle (IRMf) repose sur le même principe que la TEP ([inférence] des parties cérébrales mobilisées à partir des [modifications locales] du flux sanguin), mais a l’avantage [de ne pas être invasive] (pas toujours besoin d’injecter de substance au sujet). L’IRMf permet d’obtenir des images fonctionnelles d’une précision de [quelques millimètres]. Le principe de cette technique est fondé sur les propriétés [naturellement magnétiques] du [fer] contenu dans [l’hémoglobine] (l’hémoglobine est une protéine transportant l’oxygène dans le sang).

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5
Q

1 LES TECHNIQUES METABOLIQUES
1.2 L’IRM fonctionnel
Les propriétés magnétiques de l’hémoglobine diffèrent selon que cette molécule est liée ou non à une [… d’…]. Lors d’une tâche cognitive, les neurones en activité consomment de l’oxygène, ce qui entraîne une [diminution locale?/augmentation locale?] du [… …]. Le sang amené au voisinage des neurones actifs est chargé en oxygène : en d’autres termes, il est chargé en […]. La variation locale de la susceptibilité magnétique due à la variation de la concentration locale du sang en oxygène est appelé réponse « […] » (…).

A

Les propriétés magnétiques de l’hémoglobine diffèrent selon que cette molécule est liée ou non à une [molécule d’oxygène]. Lors d’une tâche cognitive, les neurones en activité consomment de l’oxygène, ce qui entraîne une [augmentation locale] du [débit sanguin]. Le sang amené au voisinage des neurones actifs est chargé en oxygène : en d’autres termes, il est chargé en [oxyhémoglobine]. La variation locale de la susceptibilité magnétique due à la variation de la concentration locale du sang en oxygène est appelé réponse « [BOLD] » (Blood Oxygen Level Dependant).

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6
Q

1 LES TECHNIQUES METABOLIQUES
1.1 La tomographie par émission de positions (TEP) La tomographie par émission de positons (TEP) est une méthode d’imagerie qui permet de mesurer en [combien?] dimensions l’activité […] d’un organe. Elle repose sur le principe de la […] et consiste en [l’…] d’un […] dont les propriétés […] et le […] permettent de mettre en image le […] d’un ou plusieurs [….]. Cette méthode est une technique d’imagerie […], car ce traceur est marqué par un [… …] (H…, c…, f…, a…, o……) qui émet des […] dont la destruction entraîne la production de deux […]. Le collimateur de la caméra TEP détecte la […] de ces photons permettant de localiser l’endroit de leur […] et par conséquent les points de […] du traceur sur [l’…]. Les zones de forte […] du traceur vont apparaître en […] sur l’image issue de la TEP.

A

La tomographie par émission de positons (TEP) est une méthode d’imagerie qui permet de mesurer en [trois] dimensions l’activité [métabolique] d’un organe. Elle repose sur le principe de la [scintigraphie] et consiste en [l’injection] d’un [traceur] dont les propriétés [biologiques] et le [comportement] permettent de mettre en image le [fonctionnement] d’un ou plusieurs [organes]. Cette méthode est une technique d’imagerie [invasive], car ce traceur est marqué par un [atome radioactif] (H215O, carbone, fluor, azote, oxygène…) qui émet des [positons] dont la destruction entraîne la production de deux [photons]. Le collimateur de la caméra TEP détecte la [trajectoire] de ces photons permettant de localiser l’endroit de leur [émission] et par conséquent les points de [concentration] du traceur sur [l’organe]. Les zones de forte [concentration] du traceur vont apparaître en [couleurs] sur l’image issue de la TEP.

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7
Q

1 LES TECHNIQUES METABOLIQUES
1.2 L’IRM fonctionnel
L’IRMf permet de visualiser les contrastes entre les régions dont le flux sanguin [diminue?/augmente?] (qui sont donc [pauvres?/riches?] en […]) et les régions dont le flux ne varie pas, grâce aux propriétés […] du fer contenu dans l’hémoglobine. Les scientifiques comparent les […] du flux sanguin quand le cerveau est actif ou au repos, pour […] les aires cérébrales qui sont associées à chacun de ces états.

A

L’IRMf permet de visualiser les contrastes entre les régions dont le flux sanguin [augmente] (qui sont donc [riches] en [oxyhémoglobine]) et les régions dont le flux ne varie pas, grâce aux propriétés [magnétiques] du fer contenu dans l’hémoglobine. Les scientifiques comparent les [variations] du flux sanguin quand le cerveau est actif ou au repos, pour [localiser] les aires cérébrales qui sont associées à chacun de ces états (cf. Figure 3 du cours : Illustration de l’analyse des images obtenues avec l’IRMf : Comparaison du cerveau au repos et en activité (lecture de texte) pour mettre en évidence les régions impliquées seulement pour la lecture de texte).

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8
Q

1 LES TECHNIQUES METABOLIQUES
1.2 L’IRM fonctionnel
Ces images fonctionnelles s’avèrent des outils très puissants grâce auxquels les neuroscientifiques peuvent approfondir leurs connaissances sur l’activité cérébrale.
VRAI OU FAUX ?

A

VRAI

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9
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG) L’électroencéphalographie (EEG) constitue une technique invasive ou non-invasive d’investigation de l’activité cérébrale ?

A

non-invasive

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10
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG) L’électroencéphalographie (EEG) ne peut pas être utilisée chez le très jeune enfant, seulement chez l’adulte.
VRAI OU FAUX ?

A

FAUX !
L’électroencéphalographie (EEG) peut être utilisée chez le très jeune enfant (dès la naissance) tout comme chez l’adulte.

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11
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
Qui a baptisé cette méthode et fut le premier à étudier les variations de l’activité électrique cérébrale chez l’homme ?

A

Hans Berger (1929)

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12
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
Cette méthode permet de mesurer, au moyen d’[électrodes] placées au niveau du [scalp], des [variations] de l’activité [électrique cérébrale] produites par la mise en jeu [synchrone] de milliers de [neurones], en réponse à la présentation d’un événement particulier [externe] ou [interne].

A

Cette méthode permet de mesurer, au moyen d’[électrodes] placées au niveau du [scalp], des [variations] de l’activité [électrique cérébrale] produites par la mise en jeu [synchrone] de milliers de [neurones], en réponse à la présentation d’un événement particulier [externe] (stimulation auditive : un son, un accord de musique ; stimulation visuelle : de visages, objets,…) ou [interne] (prise de décision, préparation motrice,…). À l’échelle cellulaire, l’activité synaptique d’un neurone provoque des mouvements d’ions dans le milieu extracellulaire à proximité de la membrane, pouvant être globalement assimilés à une configuration de puits (charges négatives) et de sources (charges positives) de courant. Il est donc admis que l’activité d’un neurone peut être assimilée à celle d’un dipôle de courant, dont l’intensité est proportionnelle à son activité post-synaptique. À l’échelle d’une « population » de neurones, puisque ceux-ci sont spatialement proches, les courants extracellulaires s’additionnent. Les variations électrophysiologiques mesurées sont de faible amplitude, ainsi pour être détectées il est nécessaire d’une part d’amplifier le signal enregistré et d’autre part de présenter plusieurs essais appartenant à une même condition expérimentale. Un nombre conséquent d’essais permet ainsi de moyenner le signal enregistré pour chacune de ces conditions, afin que les variations synchrones et systématiques lors de la présentation du stimulus émergent du bruit de fond constitué par l’électro-genèse corticale, cette opération permet d’obtenir un potentiel évoqué (Figure 5).

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13
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
Donnez des exemples d’événement particulier externe et interne présenté pour provoquer une réponse dans le cadre de cette méthode ?

A
  • événement particulier externe : stimulation auditive : un son, un accord de musique ; stimulation visuelle : de visages, objets,…
  • événement particulier interne : prise de décision, préparation motrice,…
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14
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
À l’échelle cellulaire, l’activité synaptique d’un neurone provoque des mouvements d’[…] dans le milieu […] à proximité de la membrane, pouvant être globalement assimilés à une configuration de […] (charges [positives?/négatives?]) et de […] (charges [positives?/négatives?]) de courant. Il est donc admis que l’activité d’un neurone peut être assimilée à celle d’un […] de courant, dont l’intensité est proportionnelle à son activité […-…].

A

À l’échelle cellulaire, l’activité synaptique d’un neurone provoque des mouvements d’[ions] dans le milieu [extracellulaire] à proximité de la membrane, pouvant être globalement assimilés à une configuration de [puits] (charges [négatives]) et de [sources] (charges [positives]) de courant. Il est donc admis que l’activité d’un neurone peut être assimilée à celle d’un [dipôle] de courant, dont l’intensité est proportionnelle à son activité [post-synaptique].

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15
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
À l’échelle d’une « population » de neurones, puisque ceux-ci sont spatialement [lointains?/proches?], les courants extracellulaires [se soustraient?/s’additionnent?]. Les variations électrophysiologiques mesurées sont de [faible?/forte?] amplitude, ainsi pour être détectées il est nécessaire d’une part [d’amplifier?/de réduire?] le signal enregistré et d’autre part de présenter [… …] appartenant à une même [… …]. Un nombre conséquent d’essais permet ainsi de […] le signal enregistré pour chacune de ces conditions, afin que les variations […] et […] lors de la présentation du stimulus émergent du [… de …] constitué par l’[…-…] corticale, cette opération permet d’obtenir un [… …].
Le potentiel électrique évoqué par la présentation du stimulus sera […].

A

À l’échelle d’une « population » de neurones, puisque ceux-ci sont spatialement [proches], les courants extracellulaires [s’additionnent]. Les variations électrophysiologiques mesurées sont de [faible] amplitude, ainsi pour être détectées il est nécessaire d’une part d’[amplifier] le signal enregistré et d’autre part de présenter [plusieurs essais] appartenant à une même [condition expérimentale]. Un nombre conséquent d’essais permet ainsi de [moyenner] le signal enregistré pour chacune de ces conditions, afin que les variations [synchrones] et [systématiques] lors de la présentation du stimulus émergent du [bruit de fond] constitué par l’[électro-genèse] corticale, cette opération permet d’obtenir un [potentiel évoqué] (cf. Figure 5 du cours).
Le potentiel électrique évoqué par la présentation du stimulus sera [observé].

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16
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
Le potentiel électrique évoqué comprend généralement plusieurs composantes qui sont définies par quoi ?

A
  • par leur polarité (négative, N, ou positive, P),
  • par leur latence d’occurrence par rapport au début de la stimulation,
  • par leur distribution topographique au niveau du scalp (cf. Figure 6 du cours).
17
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
Qu’est-ce que la N100 ?

A

N100 est une composante négative, dont le maximum d’amplitude apparaît 100 millisecondes après le début de la présentation du stimulus.

18
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
Ces différentes composantes sont supposées refléter différentes […] du traitement de l’information apportée par le stimulus.
Pour illustration, la […] est une composante négative des potentiels évoqués cognitifs qui intervient […ms] après la présentation d’un stimulus. Elle est plus […] (plus [positive?/négative?]), par exemple, lors de cas d’[… …] (par exemple : « Le matin, il boit son café avec du […] ».)

A

Ces différentes composantes sont supposées refléter [différentes étapes] du traitement de l’information apportée par le stimulus.
Pour illustration, la [N400] est une composante négative des potentiels évoqués cognitifs qui intervient [400ms] après la présentation d’un stimulus. Elle est plus [ample] (plus [négative]), par exemple, lors de cas d’[incongruence sémantique] (par exemple : « Le matin, il boit son café avec du [sel] ».)

19
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
La méthode des potentiels évoqués permet ainsi de suivre le [… …] des processus neurophysiologiques qui sous-tendent nos activités mentales en temps réel.

A

[décours temporel]

20
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
La méthode des potentiels évoqués est utilisée pour son excellente résolution temporelle (de l’ordre de la milliseconde).
VRAI OU FAUX ?

A

VRAI

21
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES 2.1 L’électroencéphalographie (EEG)
La résolution spatiale (topographie) de la méthode des potentiels évoqués est également très forte.
VRAI OU FAUX ?

A

FAUX !
Toutefois, sa résolution spatiale (topographie) est faible puisqu’il reste très difficile de déterminer avec précision la position dans le cerveau des générateurs qui sont à l’origine des effets observés sur le scalp.

22
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES
2.2 La MEG
Expliquez pourquoi l’apparition de la magnétoencéphalographie (MEG) est plus tardive que l’EEG.

A

L’apparition de la magnétoencéphalographie (MEG) est plus tardive que l’EEG, car c’est dans les années 1970 que David Cohen (physicien spécialiste des techniques de blindage au MIT) procède à des enregistrements de champs magnétiques cérébraux, donnant ainsi naissance à la Magnétoencéphalographie.

23
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES
2.2 La MEG
La MEG est une technique de mesure des [… ..’] induits par [l’… …] des neurones du cerveau.

A

La MEG est une technique de mesure des [champs magnétiques] induits par [l’activité électrique] des neurones du cerveau.

24
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES
2.2 La MEG
Cette technique est employée avec quelle visée et dans quels domaines ?

A

Cette technique est employée avec une visée clinique en neurologie, en cardiologie, et dans la recherche en neurosciences cognitives.

25
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES
2.2 La MEG
La MEG permet d’enregistrer en […] les […] de [… …] produites par la mise en jeu […] de milliers de […] en réponse à la présentation d’un événement particulier externe.

A

La MEG permet d’enregistrer en [surface] les [variations] de [champs magnétiques] produites par la mise en jeu [synchrone] de milliers de [neurones] en réponse à la présentation d’un événement particulier externe.

26
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES
2.2 La MEG
Le seuil de détection de la MEG est trop […] pour capter l’activité de neurones […]. Ainsi, pour détecter un signal, il est nécessaire que l’activité de milliers de neurones soit […].

A

Le seuil de détection de la MEG est trop [faible] pour capter l’activité de neurones [isolés]. Ainsi, pour détecter un signal, il est nécessaire que l’activité de milliers de neurones soit [synchrone].

27
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES
2.2 La MEG
Contrairement à l’EEG, qui enregistre les variations de courants [extracellulaires?/intracellulaires?], la MEG capte les variations des courants [extracellulaires?/intracellulaires?].

A

Contrairement à l’EEG, qui enregistre les variations de courants [extracellulaires], la MEG capte les variations des courants [intracellulaires].

28
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES
2.2 La MEG
La MEG permet de repérer plus de zones actives mais la l’EEG permet de mieux délimiter ces zones.
VRAI OU FAUX ?

A

FAUX ! C’est exactement l’inverse !!!

L’EEG permet de repérer plus de zones actives mais la MEG permet de mieux délimiter ces zones.

29
Q

2 LES TECHNIQUES ELECTROPHYSIOLOGIQUES
2.2 La MEG
Que permet donc la combinaison de MEG et EEG ?

A

Ainsi, la combinaison de MEG et EEG permet une plus grande précision des régions activées lors d’une activité cognitive.

30
Q

3 LA COMPLEMENTARITE DES METHODES
Les méthodes métaboliques et électrophysiologiques apportent des informations différentes sur l’activité cérébrale.
VRAI OU FAUX ?

A

VRAI

31
Q

3 LA COMPLEMENTARITE DES METHODES
L’imagerie électrophysiologique offre une [bonne?/faible?] résolution temporelle et une [bonne?/faible?] résolution spatiale.
En revanche, l’imagerie métabolique apporte une [bonne?/faible?] résolution spatiale et une [bonne?/faible?] résolution temporelle (de l’ordre de la […] pour l’IRMf et de la […] pour la TEP) de l’activité cérébrale.

A

L’imagerie électrophysiologique offre une [bonne] résolution temporelle et une [faible] résolution spatiale.
En revanche, l’imagerie métabolique apporte une [bonne] résolution spatiale et une [faible] résolution temporelle (de l’ordre de la [seconde] pour l’IRMf et de la [minute] pour la TEP) de l’activité cérébrale.

32
Q

3 LA COMPLEMENTARITE DES METHODES
Ainsi, afin d’optimiser les résolutions temporelles et spatiales, les chercheurs utilisent parallèlement ces deux types de techniques (l’imagerie électrophysiologique + l’imagerie métabolique).

A

VRAI