CHAP 1 - A / B - P.1 Flashcards
Où réside le point de départ du processus perceptif ?
Energie émanant de l’objet physique qui excite les récepteurs sensoriels adéquats.
Quelle est la base de l’adaptation remarquable de l’homme à l’univers physique ?
La coordination sensori-motrice sophistiquée.
Que se passe-t-il avec l’énergie du stimulus ?
Elle est transformée en un influx nerveux dont le code bio-électrique est identique, quelle que soit la nature de l’excitant.
Quels exemples soulignent l’écart entre les données sensorielles brutes et le percept ?
L’image rétinienne inversée et la zone de netteté.
Comment sont animés nos yeux en permanence ?
Par des mouvements souvent inconscients appelés (macro)saccades oculaires.
Qu’est-ce qu’une perception polysensorielle ?
Une perception apparemment purement visuelle, mais enrichie par d’autres sens, comme la perception d’une bouteille d’eau, qui inclut la vue, l’ouïe, le toucher, la proprioception et l’odorat.
Que fait l’individu pendant le processus de perception ?
Il interprète activement les informations de l’environnement selon ses attentes et motivations, en les comparant à sa mémoire à long terme et en faisant des choix.
Donnez un exemple de stimulus dans le processus perceptif.
La lumière réfléchie par un stylo.
Quelle est la nature du code de l’influx nerveux transformé par le stimulus ?
Bio-électrique, identique quelle que soit la nature de l’excitant (visuel, sonore, thermique, chimique, etc.).
Qu’est-ce qui souligne l’écart entre les données sensorielles brutes et le percept ?
L’image rétinienne inversée et la zone de netteté.
Comment appelle-t-on les mouvements constants et souvent inconscients de nos yeux ?
(Macro)saccades oculaires.
Qu’est-ce qui rend une perception polysensorielle ?
La combinaison de plusieurs sens, comme la vue, l’ouïe, le toucher, la proprioception et l’odorat.
Selon Malebranche, pourquoi un objet s’impose-t-il à nous ?
Parce qu’il existe réellement, indépendamment de notre imagination, et que l’image que nous recevons en est une copie fidèle.