APP 6 - Lymphome Flashcards
- DÉCRIRE LA LYMPHOPOÏÈSE, SOIT LA MATURATION DES LYMPHOCYTES À PARTIR DE LA CELLULE SOUCHE HÉMATOPOÏÉTIQUE VERS LES ORGANES LYMPHOÏDES PRIMAIRES (MOELLE OSSEUSE ET THYMUS) ET LES ORGANES LYMPHOÏDES SECONDAIRES (RATE ET GANGLIONS).** SAVOIR CE QUE C’EST EN GROS, PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS **
Post natal, quels sont les organes lymphoides primaires et secondaires?
Post-natalement, la moelle osseuse et le thymus sont les organes lymphoïdes primaires dans lesquels les lymphocytes se développent. Les organes lymphoïdes secondaires (rate, tissus lymphoïdes des tractus respiratoire et intestinal et ganglions lymphatiques) sont les organes dans lesquels sont générés les réponses immunitaires spécifiques.
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LYMPHOCYTES B
Comment se fait la maturation DE FACON GENERALE?
La maturation du lymphocyte B se fait dans la moelle osseuse (organe lymphoïde primaire) :
𝐶𝑒𝑙𝑙𝑢𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑐h𝑒 hé𝑚𝑎𝑡𝑜𝑝𝑜𝑖é𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 → 𝑃𝑟𝑜𝑔é𝑛𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑦𝑚𝑝h𝑜𝑖𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛 𝐿𝑦𝑚𝑝h𝑜𝑏𝑙𝑎𝑠𝑡𝑒 → 𝐿𝐵 𝑝𝑟𝑜𝐵 → 𝐿𝐵 𝑝𝑟é𝐵 → 𝐿𝑦𝑚𝑝h𝑜𝑐𝑦𝑡𝑒 𝐵 𝑖𝑚𝑚𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 → 𝐿𝑦𝑚𝑝h𝑜𝑐𝑦𝑡𝑒 𝐵 𝑚𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 𝑛𝑎𝑖𝑓
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LYMPHOCYTES B
Le lymphocyte B mature circule ensuite dans le sang périphérique. Il peut se retrouver ou? jusqu’à rencontrer quoi?
Le lymphocyte B mature circule ensuite dans le sang périphérique. Il peut se retrouver dans un ganglion ou dans la rate (au niveau des follicules). Ils circulent jusqu’à rencontrer un antigène présenté par un LT
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LYMPHOCYTES B
Quelles sont les étapes de différenciation en cellule B memoire ou plasmocyte?
a) Un antigène spécifique se lie au récepteur de la cellule B (BCR), une immunoglobuline
liée à la membrane.
b) Cela mène à l’activation du PI3K (Phosphoinositide 3-kinase)
c) PI3K produit un second messager, PIP3, ainsi que Bruton tyrosine kinase, qui
phosphoryle d’autres enzymes.
d) Au final, ces seconds messagers entrainent l’expression d’AKT, une kinase anti-
apoptotique (pro-survie).
e) Le récepteur (BCR) est ensuite sécrété comme un immunoglobuline soluble libre (IgM)
f) Le LB se différencie en cellule B mémoire ou en plasmocyte.
- Il est possible que les plasmocytes fassent un homing vers la moelle osseuse :
Ø Ceux-ci auront comme caractéristique une morphologie avec un noyau rond excentrique et un aspect de cadran (clock-face) pour la chromatine ainsi qu’un cytoplasme fortement basophile.
Ø Ils expriment seulement des immunoglobulines intracellulaires (qui ne se retrouvent pas à la surface du plasmocyte).
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LYMPHOCYTES T
D’ou proviennent-ils?
Les lymphocytes proviennent aussi de lymphoblastes présents au niveau de la moelle osseuse. Cependant, ces lymphoblastes ne subissent pas leur maturation dans la moelle osseuse. Ils migrent jusqu’au thymus, où ils se différencient en LT matures durant leur passage du cortex à la médulla du thymus.
O
O
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LYMPHOCYTES T
Quelles sont les étapes de maturation?
Étape 1: Dans le cortex du thymus, il y a prolifération intense des prothymocytes.
- Dans cette étape, les chaînes du TCR commencent à se réarranger : soit avec une chaîne β ou δ.
Étape 2: Les prothymocytes évoluent en préthymocytes (thymocytes communs) : large thymocyte cortical, puis petit thymocyte cortical.
- Dans cette étape, il y a la sélection positive, c’est-à-dire que les cellules sont exposées aux CMH de classe I et II. Les cellules qui ne reconnaissent pas les CMH sont éliminés, alors que les cellules qui les reconnaissent sont sélectionnés. Ces derniers coexpriment les molécules de surface CD4 et CD8. Par la suite, ils commencent à exprimer seulement le CD4 ou le CD8, ce qui permet de différencier les :
Ø Les LT auxiliaires/helper, qui expriment le CD4
Ø Les LT cytotoxiques, qui expriment le CD8.
- Il y a aussi un réarrangement des chaînes α (ou γ) du TCR.
Étape 3 : Il y a sélection négative dans la médulla du thymus (thymocytes médullaires), c’est-à-dire que les cellules sont exposées aux antigènes du soi. Si les cellules y réagissent, ils sont éliminés. Si elles n’y réagissent pas, les cellules sont sélectionnées.
𝐶𝑒𝑙𝑙𝑢𝑙𝑒 𝑠𝑜𝑢𝑐h𝑒 hé𝑚𝑎𝑡𝑜𝑝𝑜𝑖é𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒 → 𝑃𝑟𝑜𝑔é𝑛𝑖𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑙𝑦𝑚𝑝h𝑜𝑖𝑑𝑒 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛 𝐿𝑦𝑚𝑝h𝑜𝑏𝑙𝑎𝑠𝑡𝑒 → 𝑃𝑟𝑜𝑡h𝑦𝑚𝑜𝑐𝑦𝑡𝑒𝑠 → 𝑃𝑟é𝑡h𝑦𝑚𝑜𝑐𝑦𝑡𝑒𝑠 𝑇h𝑦𝑚𝑜𝑐𝑦𝑡𝑒𝑠 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑢𝑛𝑠 → 𝐿𝑎𝑟𝑔𝑒 𝑡h𝑦𝑚𝑜𝑐𝑦𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑡𝑖𝑐𝑎𝑙 → 𝑃𝑒𝑡𝑖𝑡 𝑡h𝑦𝑚𝑜𝑐𝑦𝑡𝑒 𝑐𝑜𝑟𝑡𝑖𝑐𝑎𝑙 → 𝑇h𝑦𝑚𝑜𝑐𝑦𝑡𝑒 𝑚é𝑑𝑢𝑙𝑙𝑎𝑖𝑟𝑒 → 𝐿𝑦𝑚𝑝h𝑜𝑐𝑦𝑡𝑒 𝑇 𝑚𝑎𝑡𝑢𝑟𝑒 (𝐿𝑇𝑎𝑢𝑥𝑖𝑙𝑖𝑎𝑖𝑟𝑒 𝑜𝑢 𝐿𝑇𝑐𝑦𝑡𝑜𝑡𝑜𝑥𝑖𝑞𝑢𝑒)
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LYMPHOCYTES T
Comment est le recepteur des lympho T matures?
Les lymphocytes T matures contiennent un récepteur (TCR) composé d’un hétéromère. Pour la majorité, l’hétéromère est composé de chaîne α et β (90%). Le 10% restants sont composés de chaînes γ et δ.
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LYMPHOCYTES T
Apres leur maturation, les LT matures sont libérés dans la circulation. Ils vont se loger dans les organes lymphoides secondaires :
- Ganglions : Ils se trouvent dans la zone paracorticales (périfolliculaires)
- Rate : Ils se trouvent dans les zones périartériolaires (autour des artérioles centrales), autour de la zone germinale.
Ils se feront activer par la reconnaissance de l’antigène (présenté à la surface d’une cellule) par leur TCR.
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NK CELL
Que sont ces cellules?
Les cellules tueuses naturelles sont des LT CD8+ cytotoxiques qui n’ont pas de récepteur (TCR). Ces cellules sont larges et expriment les molécules de surface CD16 (récepteur Fc), CD56 et CD57. Les cellules tueuses naturelles tuent les cellules cibles qui expriment peu de molécules CMH de classe I, ce qui peut arriver durant une infection virale ou sur des cellules malignes.
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NK CELL
• Les NK cells affichent à leur surface un certain nombre de récepteurs pour les _________.
Comment se fait le signal?
molécules HLA
- Lorsque le HLA est exprimé sur les cellules cibles, il y a transmission d’un signal inhibiteur à la cellule NK.
- Lorsque le HLA est absent sur les cellules cibles, la cellule NK peut tuer sa cible.
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NK CELL
Qu’est ce que ces cellules ont de particulier (indice: toxine)?
Les cellules NK ont, en plus, une «antibody-dependant cell-mediated cytotoxicity (ADCC)». En effet, les anticorps se lient à un antigène sur la surface de la cellule cible, ce qui permet à la cellule NK de se lier à l’anticorps par son récepteur Fc, et puis de tuer la cellule.
- FAIRE UNE REPRÉSENTATION SCHÉMATIQUE DE L’ANATOMIE DES GANGLIONS LYMPHATIQUES ET DE LA RATE.
Les organes lymphoides secondaires sont les lieux de passage, d’accumulation et de rencontre des antigènes et des cellules de l’immunité.
Les lymphocytes du sang périphérique migrent par les veinules post-capillaires jusqu’au ganglion lymphatique, à la rate ou à la moelle osseuse (homing).
- Les lymphocytes T prennent résidence dans les zones périfolliculaires de la région corticale des ganglions lymphatiques (zone paracorticale) ou les gaines périartériolaires entourant les artérioles centrales de la rate.
- Les lymphocytes B s’accumulent sélectivement dans les follicules des ganglions lymphatiques et de la rate.
Les lymphocytes retournent ensuite dans le sang périphérique par le flux lymphatique efférent et le canal thoracique.
- FAIRE UNE REPRÉSENTATION SCHÉMATIQUE DE L’ANATOMIE DES GANGLIONS LYMPHATIQUES ET DE LA RATE.
GANGLIONS LYMPHATIQUES
- structure générale et # dans organisme
Structure en forme de fève d’environ 1 cm.
Il y en a entre 500 et 600 dans l’organisme qui sont distribués dans plusieurs sites.
Ils comportent plusieurs parties :
- Zone corticale: Centres germinatifs et follicules (Riches en LB)
- Zone paracorticale (Riche en LT)
- Médulla : Cordons médullaires (contenant plasmocytes et LT) et
sinus médullaire.
- FAIRE UNE REPRÉSENTATION SCHÉMATIQUE DE L’ANATOMIE DES GANGLIONS LYMPHATIQUES ET DE LA RATE.
RATE
Anatomie générale
La rate est un organe situé à l’hypochondre gauche. Il est non palpable sauf si pathologique. Sa taille varie entre 12 et 14 cm. Il est formé de pulpe blanche et rouge.
- Sa taille varie entre 12 et 14 cm (à 14cm, il est palpable)
- Poids : 150-250gr
- FAIRE UNE REPRÉSENTATION SCHÉMATIQUE DE L’ANATOMIE DES GANGLIONS LYMPHATIQUES ET DE LA RATE.
RATE
circulation sanguine?
Le sang entre dans la rate par l’artère splénique. L’artère splénique se divise en artères trabéculaires puis en artérioles centrales. Les artérioles ont un bout en
cordon qui manque une couche d’endothélium, formant un système sanguin
ouvert unique à la rate, avec un réseau de tissus conjonctifs encadré par des
fibroblastes et des macrophages. Le sang réintègre ensuite la circulation en passant par l’endothélium des sinus veineux, puis par la veine splénique jusqu’à la circulation systémique.
- FAIRE UNE REPRÉSENTATION SCHÉMATIQUE DE L’ANATOMIE DES GANGLIONS LYMPHATIQUES ET DE LA RATE.
RATE
La rate est divisée en pulpe rouge et en pulpe blanche :
• Pulpe rouge (75% de la rate) : composé des cordons et sinus de la rate ayant un rôle essentiel dans la surveillance de l’intégrité des globules
rouges.
• Pulpe blanche : Organisation similaire à celle d’un nodule lymphatique
- Enveloppe lymphatique périartériolaire juste autour de l’artériole, adjacent à des follicules de LB
- Zones marginales et périfolliculaires riches en macrophages et cellules dendritiques
- FAIRE UNE REPRÉSENTATION SCHÉMATIQUE DE L’ANATOMIE DES GANGLIONS LYMPHATIQUES ET DE LA RATE.
RATE
Comment change la circulation avec une splénimégalie?
Il y a présence de circulation rapide (1-2 min) et lente (30-60 min) dans la rate -> Circulation lente devient + importante dans la splénomégalie
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
Le système immunitaire a la capacité de produire
une réponse hautement spécifique. Cette spécificité est générée par quoi?
par les récepteurs de surface spécifiques des lymphocytes
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE
Le système immunitaire cellulaire s’occupe des cellules infectées par des virus, bactéries et les cellules cancéreuses.
Les lymphocytes T naïfs qui quittent le thymus sont au repos, ne se divisant pas. Ils circulent dans le système lymphatique, attendant de se faire présenter un antigène.
Les lymphocytes T sont incapables de se lier à des antigènes libres dans la circulation. Ils ont besoin d’être présentées par les molécules du CMH se trouvant sur les cellules différentes cellules.
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE
Les LT CD4+ reconnaissent …
• Les LT CD4+ reconnaissent les molécules du CMH de classe II (HLA DP, DR, DQ), présents sur les cellules présentatrices d’antigènes comme les lymphocytes B, les cellules dendritiques et macrophages. Ces cellules phagocytent le pathogène pour ensuite aller dans les organes lymphoides secondaires afin de présenter les antigènes.
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE
Les LT CD8+ reconnaissent …
• Les LT CD8+ reconnaissent les molécules du CMH de classe I (HLA A, B, C), présents sur toutes les cellules nucléées. Ces cellules sont infectées par un pathogène (elles ne le phagocytent pas), mais arrivent quand même à présenter les antigènes du pathogène.
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE
Dépendamment de leur production de cytokines (et de celle des cellules présentatrices d’antigènes), les lymphocytes T CD4+ peuvent se différencier en Lymphocyte helper Th1 ou Th2 (majoritairement):
Th1
Les Th1 produisent l’IL-2, TNF-β et γ-INF. Ils sont importants pour stimuler l’immunité cellulaire et la production de neutrophiles (granulomes)
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE
Dépendamment de leur production de cytokines (et de celle des cellules présentatrices d’antigènes), les lymphocytes T CD4+ peuvent se différencier en Lymphocyte helper Th1 ou Th2 (majoritairement):
Th2
Les Th2 produisent l’IL-4 et IL-10. Ils sont surtout responsables pour aider les lymphocytes B à produire des anticorps.
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE HUMORAL
Le système immunitaire humoral agit contre les bactéries et les virus se trouvant sous forme libre (pas dans une cellule) dans les liquides du corps humain.
Les lymphocytes B naïfs qui quittent la moelle osseuse sont au repos, ne se divisant pas. Ils circulent dans le système lymphatique, attendant de rencontrer un antigène par leur BCR (immunoglobuline présent à la surface du LB). Quelques antigènes (polysaccharides) peuvent provoquer une réponse T-indépendante sur les lymphocytes B. Par contre, la plupart du temps, pour que le lymphocyte B soit activé et produise une réponse efficace, il a besoin de l’aide de lymphocytes T spécifiques.
Dans le follicule des organes
lymphoides secondaires, les centres germinatifs résultent d’une réponse continue à la stimulation antigénique. Ils consistent en cellules
dentritiques folliculaire qui sont remplis d’antigènes, de lymphocytes B et de lymphocytes T activés qui ont migrés à partir de la zone T. Les lymphocytes B en prolifération se
déplacent dans la «dark zone» du centre germinal, où les lymphocytes B
sont appelés centroblastes. Ces centroblastes entrent en mutation somatique (hypermutation) des gènes des régions variables (V – chaine lourde et légère) (ne pas mélanger avec class switch – qui se passe dans la chaine lourde) des immunoglobulines. Leur progéniteurs, les centrocytes, doivent être activés par une cellule dendritique folliculaire, ou alors ils s’apoptosent (sélection positive : on vérifie si le nouveau lymphocyte réagit avec le bon antigène).
Les lymphocytes B sélectionnés peuvent alors entrer en expansion clonale. Ensuite, les lymphocytes peuvent se différencier en plasmocyte ou en cellule mémoire.
Les plasmocytes migrent jusqu’à la moelle osseuse et d’autres sites dans le système réticulo-endothélial pour produire des anticorps de haute affinité.
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE HUMORAL
Immunoglobulines
Ce groupe de protéines est produit par les plasmocytes et les lymphocytes B mémoire. Ils sont divisés en 5 sous-classes :
- IgM (pentamère) : Premiers immunoglobulines produits dans la réponse immunitaire.
- IgG (IgG1, IgG2, IgG3, IgG4) : Ce sont les plus communs. Ils constituent 80% des Ig que l’on retrouve dans le sérum.
- IgA (subdivisés en 2 types) : Ce sont les principales Ig impliquées dans les sécrétions.
- IgD
- IgE
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SYSTÈME IMMUNITAIRE HUMORAL
Immunoglobulines
Les immunoglobulines sont faites de 2 types de chaînes :
- Lourdes
- Dépendamment du type d’immunoglobuline, le type de chaîne sera différent :
Ø IgG (γ), IgA (α), IgM (μ), IgD (δ) et IgE (ε) - Légères
- Elles peuvent être de type kappa (κ) ou lambda (λ)
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE HUMORAL
Immunoglobulines
Les immunoglobulines sont faites de 2 types de chaînes
Chacun des types de chaînes possède quoi :
- Région constante (partie déterminée par les gènes de réarrangement)
- Région hypervariable (détermine la spécificité d’un anticorps à un antigène)
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE HUMORAL
Immunoglobulines
La sécrétion d’une immunoglobuline spécifique à partir d’une population monoclonale de lymphocytes ou de plasmocytes cause quoi?
La sécrétion d’une immunoglobuline spécifique à partir d’une population monoclonale de lymphocytes ou de plasmocytes cause une paraprotéinémie. Ceci arrive dans les cas de lymphomes ou de leucémies, où il y a formation d’un clone unique (monoclonal) d’Ig.
- DÉCRIRE LE SYSTÈME IMMUNITAIRE CELLULAIRE ET HUMORAL, SES COMPOSANTES, DE MÊME QUE LA RÉPONSE IMMUNITAIRE NORMALE.** SAVOIR EN GROS PAS BESOIN D’ALLER DANS LES DÉTAILS***
SYSTÈME IMMUNITAIRE HUMORAL
Immunoglobulines
Synthèse:
Les gènes des chaînes lourdes et légères des immunoglobulines se situent sur les chromosomes 14 (chaîne lourde), 2 (chaîne légère κ) et 22 (chaîne légère λ). Les gènes des chaînes lourdes consistent de segments séparés pour les régions variable (V), diversité (D), jonction (J) et constant (C).
• Les régions V, D et J possèdent différents segments.
Durant la différentiation des LB, un (ou plusieurs) des segments de chaque région va être combiné aux autres. On imagine ainsi la multitude de chaînes lourdes et donc d’immunoglobulines, pouvant être synthétisées.
De plus, la protéine TdT ajoute du réarrangement (commutation somatique) des bases nucléotidiques au niveau des segments V et potentialise davantage la variabilité.
Au final, l’enzyme recombinase va joindre tous les segments entre eux.
Il faut noter que cette protéine peut faire des erreurs et est souvent responsable des translocations chromosomiques menant à des néoplasies.
- RECONNAÎTRE LA DISTRIBUTION NORMALE DES LYMPHOCYTES T ET B DANS LA MOELLE ET LE SANG PÉRIPHÉRIQUE.
A. Moelle osseuse
Moelle osseuse : LB > LT (CD8 > CD4)
- RECONNAÎTRE LA DISTRIBUTION NORMALE DES LYMPHOCYTES T ET B DANS LA MOELLE ET LE SANG PÉRIPHÉRIQUE.
B. Dans la circulation
Dans la circulation : LB < LT (CD8 < CD4)
I. 80% de Lymphocytes T
II. 20% de Lymphocytes B
- IDENTIFIER LES MARQUEURS DES LYMPHOCYTES B ET T SELON LEUR STADE DE MATURATION, PARTICULIÈREMENT:
Quels sont les principaux?
CD34
CD19 ET CD20
TDT, CD3 ET CD7, CD4- CD8
- IDENTIFIER LES MARQUEURS DES LYMPHOCYTES B ET T SELON LEUR STADE DE MATURATION, PARTICULIÈREMENT:
CD34
C’est un marqueur présent sur les cellules souches (blastiques) (B et T) et les cellules pro-B.
- IDENTIFIER LES MARQUEURS DES LYMPHOCYTES B ET T SELON LEUR STADE DE MATURATION, PARTICULIÈREMENT:
TdT
TdT (terminal deoxynucleotidyl transferase) est une enzyme intracellulaire détectée par cytochimie dans les précurseurs des lymphocytes (B et T). Elle permet une diversité additionnelle dans les réarrangements des gènes codant pour les récepteurs BCR et TCR. (voir plus haut)
- Lymphocytes B : On retrouve le TdT dans le lymphocyte pro-B à pré-B.
- Lymphocytes T : On retrouve le TdT dans le préthymocyte (thymocyte commun), le large thymocyte cortical et le petit thymocyte cortical.
- IDENTIFIER LES MARQUEURS DES LYMPHOCYTES B ET T SELON LEUR STADE DE MATURATION, PARTICULIÈREMENT:
CD3
CD3 : Complexe permettant de propager un signal intracellulaire après la reconnaissance de l’antigène par le LT. Il n’est présent que sur les lymphocytes T et commence à être exprimé à partir du petit thymocyte cortical.
- IDENTIFIER LES MARQUEURS DES LYMPHOCYTES B ET T SELON LEUR STADE DE MATURATION, PARTICULIÈREMENT:
CD7
CD7 : Marqueur exprimé sur les lymphocytes T, à partir du stade de différenciation de pré-T.
- IDENTIFIER LES MARQUEURS DES LYMPHOCYTES B ET T SELON LEUR STADE DE MATURATION, PARTICULIÈREMENT:
CD4 et CD8
Marqueurs présents sur les lymphocytes T. Ils commencent à être exprimés à partir du petit thymocyte cortical (avant CD3). À ce moment, les deux marqueurs sont exprimés. Un des deux marqueurs est perdu lorsqu’ils deviennent des thymocytes médullaires.
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes d’adénopathies localisées?
• Infection locale
- Infection pyogénique (pharyngite, abcès dentaire, otite moyenne, actinomyces)
- Infection virale
- Maladie des griffes du chat
- Lymphogranulome vénérien
- Tuberculose
• Lymphome
- Lymphome Hodgkinien
- Lymphome non-Hodgkinien
• Carcinome (secondaire)
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes générales d’adénopathies généralisées?
- Infection
- Maladie inflammatoire non-infectieuse
- Malin
- Divers
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes infectieuses d’adénopathies généralisées?
- Virale (Mononucléose infectieuse, rougeole, rubéole, hépatites, HIV)
- Bactérienne (Syphilis, Brucellose, tuberculose, salmonella, endocardite)
- Fungique (Histoplasmose)
- Protozoaire (Toxoplasmose)
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes d’adénopathies généralisées liées aux maladies inflammatoires?
sarcoidose, arthrite rhumatoïde, Lupus érythémateux systémique, maladie sérique, autres maladies des tissus conjonctifs
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes malines d’adénopathies généralisées?
- Leucémies (surtout LLC, LLA)
- Lymphomes : Lymphomes non-Hodgkinien, lymphome hodgkinien)
- Carcinome secondaire (rarement)
- Lymphadénopathie angioimmunoblastique
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes autres/diverses d’adénopathies généralisées?
- Maladie de Rosai-Dorfman (Histocytose des sinus avec lymphadénopathie massive)
- Réactions aux médicaments et aux produits chimiques (hydantoines, beryllium)
- Hyperthyroïdie
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes générales de splénomégalie?
Hématologique
Hypertension portale
Maladies systémiques
Infections
Tropicale
Maladies de stockage
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes de splénomégalie Hématologiques?
Leucémie myéloïde chronique (*massif)
Leucémie lymphoïde chronique
Leucémie aigue
Lymphome malin (*massif)
Myélofibrose primaire (*massif)
Polycythémie vraie
Leucémie à tricholeucocytes
Thalassémie majeure ou intermédiaire
Anémie falciforme
Anémie hémolytique
Anémie mégaloblastique
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes de splénomégalie de maladies de stockage?
Maladie de Gaucher (*massif)
Maladie de Niemann-Pick
Histiocytose X
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes de splénomégalie liées à l’hypertention portale?
Cirrhose
Thrombose portale, hépatique ou splénique
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes de splénomégalie liées aux maladies systémiques?
Sarcoïdose
Amyloïde
Maladie du collagene (lupus érythémateux systémique)
Arthrite rhumatoïde
Macrocytose systémique
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelles sont les causes de splénomégalie liées aux infections?
Aigue : Septicémie, endocardite bactérienne, typhoïde, mononucléose infectieuse
Chronique : Tuberculose, brucellose, syphilis, malaria (massif), leishmaniose (massif), schistosomiase (*massif)
- DÉCRIRE LES DIFFÉRENTES ÉTIOLOGIES QUI ENTRAÎNENT UNE AUGMENTATION DE VOLUME DES GANGLIONS (POLYADÉNOPATHIES) OU DE LA RATE(SPLÉNOMÉGALIE).
Quelle est la cause tropicale de splénomégalie?
Malaria
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Qu’est ce que l’hypersplenisme?
splénomégalie avec une diminuon d’une lignée cellulaire avec une foncon de la moelle normale.
En général, la rate conent 5 % des GR en circulaon, la moié des neutrophiles marginalisés et 30% des plaquees. Lors d’hypersplénisme, la rate peut contenir jusqu’à 40% des GR et 90% des plaquees. Une splénomégalie est une opon quand l’hypersplénisme est symptomaque et règle rapidement le problème.
- DÉCRIRE SOMMAIREMENT LES EFFETS PHYSIOPATHOLOGIQUES SUR LE SYSTÈME IMMUNITAIRE ET LES MANIFESTATIONS HÉMATOLOGIQUES DE LA MONONUCLÉOSE INFECTIEUSE À EBV, DU CMV ET DU VIH.
EFFETS PATHOPHYSIOLOGIQUES (general chalies)
Les infecons à l’EBV (Epstein-Barr virus) (qui cause la mononucléose infeceuse), au CMV (cytomégalovirus) et au VIH (en infecon primaire!) font pare des causes qui peuvent provoquer une lymphocytose. La lymphocytose arrive parfois chez des jeunes enfants à des agents infeceux qui feraient une réponse neutrophilique chez l’adulte.
La fièvre glandulaire est un terme général pour une maladie caractérisée par : fièvre, pharyngite, adénopathie et lymphocytes atypiques dans le sang. Elle survient dans les infecons primaires par EBV, VIH, CMV et la toxoplasmose.
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Effets physiopathologiques sur le système immunitaire
MONONUCLÉOSE INFECTIEUSE
• Lymphocytose causée par une expansion clonale des LT réagissant contre lymphocytes B infectés par EBV.
Une anémie hémolytique immun avec un Ac anti-i est associé à la mononucléose.
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Manifestations hématologiques
MONONUCLÉOSE INFECTIEUSE
- Lymphocytose
- Adénopathies cervicales (75%) bilatérales, parfois généralisés et symétriques (50%).
- Mal de gorge, pharynx enflammé, amygdalite
- Fièvre
- Rash morbilliforme, céphalée sévère
- Photosensibilité, conjonctivite, œdème périorbital
- Splénomégalie, hépatomégalie (15%), ictère (5%)
• Complications moins fréquentes : Neuropathie
périphérique, anémie sévère (causée par l’hémolyse auto-immune), ou purpura (causé par la thrombocytopénie)
- DÉCRIRE SOMMAIREMENT LES EFFETS PHYSIOPATHOLOGIQUES SUR LE SYSTÈME IMMUNITAIRE ET LES MANIFESTATIONS HÉMATOLOGIQUES DE LA MONONUCLÉOSE INFECTIEUSE À EBV, DU CMV ET DU VIH.
Effets physiopathologiques sur le système immunitaire
CMV
• Lymphocytose réactive semblable à la mononucléose infectieuse
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Manifestations hématologiques
CMV
- Même Sx mono
- Chez l’enfant : hépatosplénomégalie massive
- Chez les patients avec transplantation de moelle osseuse ou autres immunosupprimés : pancytopénie et leucocytose
(symptomes de mono:
• Lymphocytose
• Adénopathies cervicales (75%) bilatérales, parfois
généralisés et symétriques (50%).
• Mal de gorge, pharynx enflammé, amygdalite
• Fièvre
• Rash morbilliforme, céphalée sévère
• Photosensibilité, conjonctivite, œdème périorbital
• Splénomégalie, hépatomégalie (15%), ictère (5%)
• Complications moins fréquentes : Neuropathie
périphérique, anémie sévère (causée par l’hémolyse auto-immune), ou purpura (causé par la thrombocytopénie)
- DÉCRIRE SOMMAIREMENT LES EFFETS PHYSIOPATHOLOGIQUES SUR LE SYSTÈME IMMUNITAIRE ET LES MANIFESTATIONS HÉMATOLOGIQUES DE LA MONONUCLÉOSE INFECTIEUSE À EBV, DU CMV ET DU VIH.
Effets physiopathologiques sur le système immunitaire
VIH
- Affaiblit progressivement le système immunitaire, le rendant donc plus susceptible aux infections.
- Affecte le nombre de lymphocytes T et leur fonction (ce qui affecte les lymphocytes B aussi).
- Affecte surtout les LT CD4 ou le virus se réplique à l’intérieur et lyse la cellule pour libérer ses virions.
- DÉFINIR LES SYMPTÔMES B.
Certains symptômes du LNH sont généralisés, ce qui signifie qu’ils affectent tout le corps. Ce sont des symptômes B, ou symptômes systémiques, qui comprennent habituellement ceux-ci :
- Sudations nocturnes profuses
- Perte de poids > 10 % en 6 mois
- Fièvre inexpliquée > 38 °C
La présence de ces symptômes est habituellement associée à un moins bon pronostic. La présence d’un seul de ces trois symptômes suffit pour pouvoir ajouter la lettre B après le stade d’Ann Arbor.
Dans la classificaon d’Ann Arbor, la catégorie A indique l’absence de symptôme B et la catégorie B la présence d’un ou plusieurs symptôme B (exemple : IIA vs IIB).
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Manifestations hématologiques
VIH
Les changements hématologiques sont causés par une insuffisance médullaire et des cytopénies immunes.
- Anémie (de plus en plus sévère avec la progression de la maladie), due à un désordre chronique, à une myélodysplasie, aux médicaments thérapeutiques, à une malabsorption intestinale entrainant une déficience en B12.
- Thrombocytopénie et neutropénie (immune ou secondaire à une dysfonction de la moelle osseuse)
- Moelle osseuse hypercellulaire (proéminence de lymphocytes et de plasmocytes), normocellulaire, hypocellulaire ou fibrotique
- Changements dysplasiques : thrombopoièse ou granulopoièse inefficace, entrainant une cytopénie
- Augmentation de cellules plasmatiques dans la moelle osseuse
- Augmentation polyclonale des immunoglobulines
- Paraprotéinémie bénigne
- Lymphome non-Hodgbinien (dans 90% des cas de haut grade : dans le SNC et systémique) :
- Lymphome diffus à larges cellules B (le plus commun : 20% confiné au SNC)
- Lymphome de Burkitt
• Parfois Lymphome Hodgkinien de mauvais pronostic
- RECONNAÎTRE QUE LES SYNDROMES LYMPHOPROLIFÉRATIFS ORIGINENT DE CELLULES À DIFFÉRENTS STADES DE MATURATION ET COMPRENNENT DIFFÉRENTES ENTITÉS.
On englobe sous le terme de syndrome lymphoprolifératif l’ensemble des d’entités néoplasiques qui ont comme caractéristique une surproduction des différentes populations de lymphocytes. Ces lymphocytes peuvent être B ou T. On divise les syndromes lymphoprolifératifs en 5 grandes entités pathologiques :
- Lymphome Non-Hodgkinien (LNH) : proliféraon maligne de cellules lymphoïdes de cellules progénitrices ou LB/LT matures
- Lymphome Hodgkinien (LH) : proliféraon maligne de cellules lymphoïdes avec cellules Reed-Sternberg (provenant de LB
des centres germinaux) - LLC (aussi LNH) : maladie indolente caractérisée par la malignité clonale de LB matures
- LLA (aussi LNH) : précurseurs lymphoïdes (de type B ou T) précoces prolifèrent et remplacent les cellules hématopoïéques
normales de la moelle osseuse. Peut être classée en 2 types selon la cellule d’origine, selon les précurseurs de LB ou LT. - Myélome (tumeur du plasmocyte - dyscrasie plasmocytaire) : proliféraon clonale néoplasique de plasmocytes produisant
une immunoglobuline monoclonale, causant end organ dysfuncon.
- RECONNAÎTRE QUE LES SYNDROMES LYMPHOPROLIFÉRATIFS ORIGINENT DE CELLULES À DIFFÉRENTS STADES DE MATURATION ET COMPRENNENT DIFFÉRENTES ENTITÉS.
Il y a également plus de 20 sous-entités
clinico-pathologiques différentes
reconnues pour les lymphomes non Hodgkiniens (T et B), incluant:
le lymphome folliculaire ou le lymphome diffus à grandes cellules B.
- RECONNAÎTRE QUE LES SYNDROMES LYMPHOPROLIFÉRATIFS ORIGINENT DE CELLULES À DIFFÉRENTS STADES DE MATURATION ET COMPRENNENT DIFFÉRENTES ENTITÉS.
Generalités
Chacune de ces entités à ses caractéristiques et peut provenir d’un stade de maturation différent (voir image). C’est-à- dire, chaque cancer à sa cellule qui est malade. Dans les tumeurs hématopoïétiques n’importe quel stade de maturation que ca soit du côté myéloide ou lymphoide est susceptible de donner une maladie différente. À chaque stade on s’attend à retrouver certains marqueurs, ainsi si a ce stade on ne retrouve pas ces marqueurs ou qu’il y en a de plus cela marque une anomalie qui peut caractériser un cancer hématopoiétiques.
- RECONNAITRE QUE LES LYMPHOMES NON-HODGKINIENS SONT CLASSÉS EN FONCTION DE LEUR GRADE ET DE LEUR CELLULE D’ORIGINE. (LEUR ASPECT MORPHOLOGIQUE EST TRÈS VARIÉ, CE QUI ENTRAINE UN DIAGNOSTIC HISTOPATHOLOGIQUE COMPLEXE QUI N’EST PAS À CONNAITRE (CLASSIFICATION WHO), HORMIS LES SOUS-TYPES MENTIONNÉS CI-DESSOUS.)
CLASSIFICATION EN FONCTION DU GRADE
Les lymphomes non Hodgkiniens (NHL) sont un groupe de maladies très variées qui peuvent aller de maladies hautement prolifératives et potentiellement rapidement fatales à d’autres plutôt indolentes et bien tolérées. On a donc séparé ces maladies en lymphomes de «haut grade» et de «faible grade».
- RECONNAITRE QUE LES LYMPHOMES NON-HODGKINIENS SONT CLASSÉS EN FONCTION DE LEUR GRADE ET DE LEUR CELLULE D’ORIGINE. (LEUR ASPECT MORPHOLOGIQUE EST TRÈS VARIÉ, CE QUI ENTRAINE UN DIAGNOSTIC HISTOPATHOLOGIQUE COMPLEXE QUI N’EST PAS À CONNAITRE (CLASSIFICATION WHO), HORMIS LES SOUS-TYPES MENTIONNÉS CI-DESSOUS.)
CLASSIFICATION EN FONCTION DU GRADE
Haut grade def. et cancers dans cette categorie
Haut grade : Lymphomes hautement prolifératifs et potentiellement fatals très rapidement. Ils sont aussi très agressifs et nécessitent un traitement urgent. Contrairement aux lymphomes indolents, ils sont potentiellement curables avec les poly chimiothérapie contemporaines.
- Lymphome diffus à grandes cellules
- Lymphome de Burkitt
- Lymphome primaire du SNC
- Lymphome lymphoblastique
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CLASSIFICATION EN FONCTION DU GRADE
Faible grade def. et cancers dans cette categorie
Faible grade : Lymphomes indolents, habituellement bien tolérés chez les patients et répondent bien à la chimiothérapie. Par contre, ces lymphomes sont typiquement incurables. Ils seront traités au besoin selon les symptômes du patient.
- Lymphome lymphocytaire à petites cellules bien différenciées
- Lymphome folliculaire
- Lymphome lymphoplasmocytaire
- Lymphome de la zone marginale (rate, muqueuse, ganglions)
- Lymphome cellules du manteau
- RECONNAITRE QUE LES LYMPHOMES NON-HODGKINIENS SONT CLASSÉS EN FONCTION DE LEUR GRADE ET DE LEUR CELLULE D’ORIGINE. (LEUR ASPECT MORPHOLOGIQUE EST TRÈS VARIÉ, CE QUI ENTRAINE UN DIAGNOSTIC HISTOPATHOLOGIQUE COMPLEXE QUI N’EST PAS À CONNAITRE (CLASSIFICATION WHO), HORMIS LES SOUS-TYPES MENTIONNÉS CI-DESSOUS.)
CLASSIFICATION EN FONCTION DE LEUR CELLULE D’ORIGINE
Les cellules B des lymphomes ont tendance à imiter les lymphocytes B normaux à différents stades de leur développement, ce qui est démontré par l’immunophénotypage (cytométrie de flux). Ils peuvent être divisés selon les cellules qu’ils «imitent» :
• Précurseurs de lymphocyte B de la moelle osseuse
• Lymp. B au stade du centre germinal de l’organe lymphoide
secondaire
• Lymp. B dans le nœud lymphatique après avoir passé dans le centre germinal
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CLASSIFICATION EN FONCTION DE LEUR CELLULE D’ORIGINE
Les cellules T des lymphomes ont tendance à imiter :
- Précurseurs de lymphocyte T de la moelle osseuse ou du thymus
- Lymphocyte T mature périphérique
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CLASSIFICATION EN FONCTION DE LEUR CELLULE D’ORIGINE
La plupart des lymphomes à lymphocytes B sont issus de…
La plupart des lymphomes à lymphocytes B sont issus des lymphocytes B du centre germinatif (CG) ou de lymphocytes B qui ont traversé le CG. Comme le montre la diapositive, le CG est entouré d’une zone du manteau de lymphocytes B naïfs, dont la plupart expriment la molécule CD5, une glycoprotéine à la surface de la cellule qui est exprimée par pratiquement tous les lymphocytes T et un sous-groupe de lymphocytes B. La zone marginale est également une zone riche en lymphocytes B.
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CLASSIFICATION EN FONCTION DE LEUR CELLULE D’ORIGINE
Les lymphomes du tissu lymphoïde associé aux muqueuses extra-ganglionnaires (MALT) et les lymphomes à lymphocytes B de la zone marginale sont issus de…
Les lymphomes du tissu lymphoïde associé aux muqueuses extra-ganglionnaires (MALT) et les lymphomes à lymphocytes B de la zone marginale sont issus des lymphocytes B de la zone marginale.
- RECONNAITRE QUE LES LYMPHOMES NON-HODGKINIENS SONT CLASSÉS EN FONCTION DE LEUR GRADE ET DE LEUR CELLULE D’ORIGINE. (LEUR ASPECT MORPHOLOGIQUE EST TRÈS VARIÉ, CE QUI ENTRAINE UN DIAGNOSTIC HISTOPATHOLOGIQUE COMPLEXE QUI N’EST PAS À CONNAITRE (CLASSIFICATION WHO), HORMIS LES SOUS-TYPES MENTIONNÉS CI-DESSOUS.)
CLASSIFICATION EN FONCTION DE LEUR CELLULE D’ORIGINE
Les lymphomes à lymphocytes B de la zone marginale comprennent des lymphocytes de quels types? Ils sont souvent associés à quoi?
• Les lymphomes à lymphocytes B de la zone marginale comprennent des lymphocytes B de la zone marginale et des lymphocytes folliculaires, et ils sont souvent associés aux gènes non mutés de la région variable (V).
- RECONNAITRE QUE LES LYMPHOMES NON-HODGKINIENS SONT CLASSÉS EN FONCTION DE LEUR GRADE ET DE LEUR CELLULE D’ORIGINE. (LEUR ASPECT MORPHOLOGIQUE EST TRÈS VARIÉ, CE QUI ENTRAINE UN DIAGNOSTIC HISTOPATHOLOGIQUE COMPLEXE QUI N’EST PAS À CONNAITRE (CLASSIFICATION WHO), HORMIS LES SOUS-TYPES MENTIONNÉS CI-DESSOUS.)
CLASSIFICATION EN FONCTION DE LEUR CELLULE D’ORIGINE
On considère que la plupart des lymphomes à cellules du manteau sont issus de…
On considère que la plupart des lymphomes à cellules du manteau sont issus des lymphocytes B CD5+ (naïfs) de la zone du manteau. Parmi ceux-ci, environ 20 à 30 % portent des gènes mutés de la région V, ce qui indique qu’ils ont traversé le CG.
- RECONNAITRE QUE LES LYMPHOMES NON-HODGKINIENS SONT CLASSÉS EN FONCTION DE LEUR GRADE ET DE LEUR CELLULE D’ORIGINE. (LEUR ASPECT MORPHOLOGIQUE EST TRÈS VARIÉ, CE QUI ENTRAINE UN DIAGNOSTIC HISTOPATHOLOGIQUE COMPLEXE QUI N’EST PAS À CONNAITRE (CLASSIFICATION WHO), HORMIS LES SOUS-TYPES MENTIONNÉS CI-DESSOUS.)
CLASSIFICATION EN FONCTION DE LEUR CELLULE D’ORIGINE
Environ la moitié des cas de leucémie lymphocytaire chronique à lymphocytes B (LLC-B) portent une mutation des gènes de la région V. Il a été proposé que les deux sous-types de LLC-B sont issus de…
Environ la moitié des cas de leucémie lymphocytaire chronique à lymphocytes B (LLC-B) portent une mutation des gènes de la région V. Il a été proposé que les deux sous-types de LLC-B sont issus des lymphocytes B CD5+, des lymphocytes B mémoires ou des lymphocytes B de la zone marginale.