Antihypertenseurs Flashcards
Selon le PECH, quels antihypertenseurs sont à privilégier pour le traitement initial de l’HTA en présence:
Accident vasculaire cérébral (après la phase aigüe) ?
IECA+ Thiazide
Selon le PECH, quels antihypertenseurs sont à privilégier pour le traitement initial de l’HTA en présence:
Angine stable ?
Bêta-bloquants OU bloquants des canaux calciques
Selon le PECH, quels antihypertenseurs sont à privilégier pour le traitement initial de l’HTA en présence:
Diabète avec microalbuminurie ou maladie coronarienne ?
IECA OU ARA
Selon le PECH, quels antihypertenseurs sont à privilégier pour le traitement initial de l’HTA en présence:
Diabète sans complication vasculaire ?
IECA OU ARA OU bloquant des canaux calciques OU thiazide
Selon le PECH, quels antihypertenseurs sont à privilégier pour le traitement initial de l’HTA en présence:
Hypertrophie ventriculaire gauche
IECA OU ARA OU bloquant des canaux calciques OU thiazide
Selon le PECH, quels antihypertenseurs sont à privilégier pour le traitement initial de l’HTA en présence:
Infarctus du myocarde récent ?
IECA (ou ARA) + Bêta-bloquant
Selon le PECH, quels antihypertenseurs sont à privilégier pour le traitement initial de l’HTA en présence:
Insuffisance cardiaque ?
IECA (ou ARA) + Bêta-bloquant
On peut ajouter un diurétique et un antagoniste de l’aldostérone au besoin
Selon le PECH, quels antihypertenseurs sont à privilégier pour le traitement initial de l’HTA en présence:
Insuffisance rénale chronique (non diabétique) ?
IECA OU ARA
On peut ajouter un diurétique au besoin.
Qu’est-ce que le phénomène de Raynaud primaire ?
Une exagération de la vasoconstriction normale lors de l’exposition au froid ou au stress émotionnel. La modification typique de la coloration des extrémités lors de ces circonstances (vasospasme=blanc, suivi de cyanose, puis d’un érythème de reperfusion lors du réchauffement) en l’absence de MVAS signe le diagnostic.
Quel est le traitement de choix pour la maladie de Raynaud primaire ?
Bloquant des canaux calciques de type dihydropyridine, de par son effet vasodilatateur artériel périphérique.
Quels médicaments peuvent déclencher ou exacerber un phénomène de Raynaud ?
Les ß-bloquants (surtout)
Les dérivés de l’ergot
Les amphétamines
La cocaïne et autres.
Les diurétiques ont un effet vasodilatateur. VRAI OU FAUX.
FAUX
Quelles sont les deux classes de bloquant des canaux calciques ?
Dihydropyridine
Non dihydropyridine
À quelles classes appartiennent les médicaments suivants:
Nifédipine (Adalat®)
Amlodipine (Norvasc®)
Félodipine (Plendil®, Renedil®)
BCC dihydropyridine
À quelles classes appartiennent les médicaments suivants:
Diltiazem (Cardizem®, Tiazac®)
Vérapamil (Isoptin®)
BCC Non dihydropyridine
Quel est le mécanisme d’action des BCC dihydropyridine ?
Vasodilatateur artériel périphérique puissant
Peu d’effet sur la contractilité et la conduction cardiaque
Quel est le mécanisme d’action des BCC non dihydropyridine ?
Vasodilatateur artériel périphérique faible
Effet plus important sur la contractilité et la conduction cardiaque (inotrope et chronotrope négatifs)
Quelle est l’indication des BCC dihydropyridine ?
Traitement de l’HTA et du phénomène de Raynaud
Quelle est l’indication des BCC non dihydropyridine ?
Traitement des arythmies et de l’angine
Quels sont les effets secondaires des BCC dihydropyridine ?
Hypotension artérielle
Céphalée
Oedème des MI
Constipation
Quels sont les effets secondaires des BCC non dihydropyridine ?
Bradycardie
Bloc AV
Oedème des MI
Constipation
Les bloquants calciques de type dihydropyridine sont plus fréquemment associés à des effets indésirables de type vasodilatatoire comme l’œdème des membres inférieurs. VRAI OU FAUX.
VRAI
Comment pouvons-nous réduire l’effet indésirable des BCC ?
Administration au coucher
Les IECA sont indiqués dans quelles situations ?
Traitement de première ligne de l’HTA
Traitement de l’insuffisance cardiaque
Prévention primaire et secondaire des événements cardiovasculaires
Ralentissement de la progression de la néphropathie diabétique (avec ou sans protéinurie)
Ralentissement de la progression de la néphropathie non diabétique