8 Flashcards
LES RELATIONS INTERPERSONNELLES
- Les contextes les plus importants sont quand il y a d’autres personnes
→ le problèmes financiers, professionnel,scolaire prennent moins de place
- les personnes s’influence mutuellement
- les caractéristiques d’une personne peuvent inciter des actions bénéfiques ou néfastes dans une relation
- L’interpretation d’une personne d’un geste de l’autre peut être bien différente (créer des biais faux, ex: penser que l’autre être interessé par une autre personne)
Étude:
- les actions positives et négatives ont des effets sur l’autre partenaire et la serénité de la relation
- les individus retirent une moins grande satisfaction de leur relation quand ils ont l’impression que leur partenaire adopte un comportement négatif à leur endroit
SENSIBILITÉ AU REJET
- type de raisonnement caractérisé par des appréhensions anxieuses de rejet dans les relations interpersonnelles
→ penser qu’une bonne relation qui va bien va prendre fin inévitablement
→ le fait d’être rejeté hante les personnes → anxiété
→ ces attentes face au rejet créer une tension interpersonnelles et peut affaiblir la relation (prophétie autoréaliste)
LA MESURE DE LA SENSIBILITÉ AU REJET ET DE SES CONSÉQUENCES
RSQ: questionnaire de la sensibilité au rejet
→ plusieurs énoncé et on doit dire si on sent que la personne accepte ou non une proposition
plus grand score RSQ: plus de chance de croire que notre partenaire est hostile envers nous → peut nuire à la santé d’une relation
grande corrélation entre le test RSQ et démontrer de l’hostilité envers son partenaire même en contrôlant les variables globales (névrosisme, estime, phobie social, attachement)
Aucune corrélation entre le score RSQ et ce que les gens pense de leur relation
Corrélation entre le RSQ et les pensée négatives dans une relation→ impact la longueur de celle-ci
- c’est une variable contextuelle (pas comme le névrosisme qui est décontextualisé
LA FOCALISATION ATTENTIONNELLE «CHAUDE» ET «FROIDE»
- face à une situation ou à un stimulus, pensée qui se concentre sur ses aspects les plus émotionnels (chauds) ou les moins émotionnels (froid)
Si on pense à un évènements chaud en se concentrant sur le froid (ex: où avait lieu l’évènement) → moins de colère
Si on pense à un évènements chaud en se concentrant sur le chaud (ex: le battement de notre coeur) → plus de colère
Si on pense à un évènements chaud en se concentrant sur rien → colère
LE DÉVELOPPEMENT DE LA PERSONNALITÉ ET LE CONTEXTE SOCIOÉCONOMIQUE
quartier défavorisé: plus de délinquance (les gens impulsif sont plus délinquant
plus favorable: moins de délinquance (les gens impulsif ont moins de délinquance, car il y a des ressources communautaire)
ÉVALUATION
Il y avait une guerre entre la psychanalyse et les béhaviorismes. Maintenant on sait qu’il y a des éléments inconscient et de l’apprentissages sociale → il ne s’oppose pas
LA STRUCTURE
- il n’y a pas de consensus
psychodynamique: système mentaux conscient et inconscient qui sont en conflits les uns avec les autres. Les unités structurales (ça,moi et le surmoi) se situent à un degré d’abstraction bien supérieurs avec les problèmes de mesure qui en découlent
Traits: des tendances manifestes à mener diverses actions et à vivre diverses expériences émotionnelles
Béhavioristes: réponses comportementales diverses résultant de l’histoire de leurs conditionnements classique et opérant. La réponse fait partie du comportement observable de l’organisme
Sociocognitive: activité cognitives et du comportement autorégulateur, normes personnelles, objectifs et sentiment d’autoefficacité
Roger, bandura et mischel: processus cognitifs conscient, les croyances stables à propos du soi et les divers contextes sociaux dans lesquels ces croyances se manifestent → on s’engage dans les secteurs où on est compétent
→ degré d’abstraction différent
béhavioriste jusqu’à la psychanalyse (abstraction)
LES THÉORIES ET LA RECHERCHE
es-ce qu’on peut les intégrer sur le plan théorique:
Probablement
les cliniciens utilise tous les modèles
2 façons de travailler en clinique
Stratégie 1:
Psychanalyse, approches humaniste et théorie sociocognitives cherche à donner du sens à une conduite et tenter de comprendre le pourquoi de celle-ci
Cognition erronée: schéma de pensée irrationnel impliqué dans l’apparition d’états psychopathologiques (dépression, anxiété…)
Stratégie 2:
Théories des traits et théorie évolutionnistes: Classifier une conduite donnée selon des traits de personnalité. (ex: pour les employeurs) → observation par Hippocrate
Concept fondamental des théories évolutionnistes: Les émotions humaines font partie intégrante de nos gênes et devraient être consiédérées comme tel (appareil génétique)
CONCLUSION
Systématiques: OUI et NON
Auteurs importants:
- Freud
- Rogers
- Mischel
- Bandura
- Eysenck
- Cattell
- Kelly
- …
Certaines théories ont des données valides et systématiques mais elle sont moins systématiques, car il s’attardent seulement ce qui peut être mesuré. En science, l’absence de données mesurables, n’exclut pas l’existence d’un phénomène ou d’un processsus. Ex: on ne peut mesure l’inconscient mais on sait qu’il existe
→ Les théories contemporaires ne sont pas systématiques
Vérifiables:
Psychanalyse: non
Béhaviorisme: pas systématique mais vérifiable
Rogers: Théorie centrée sur la personne et l’alliance thérapeutique, qui est mesurable
Exhaustives:
Freud et béhaviorismes, bandura: Oui
→ difficile d’avoir tout donc non, malgré que tout fait partie de la personnalité.
Applications: Oui
- dans les écoles
- travail
- psychothérapie
Psychodynamique: bien comprendre le symbolisme, les rêves et l’inconscient
Rogérienne: Bien comprendre l’importance subjective et l’alliance thérapeutique
Trait: Bien comprendre l’importance des différences individuelles
Béhaviorisme: Bien comprendre l’importance de l’environnement dans la détermination de la personnalité
