6.3 Flashcards

1
Q

AUTORÉGULATION

A
  • Capacité de motiver (initier, ajuster et poursuivre son comportement) son propre comportement au dela des contingences situationnelles que la personne est soumise
  • L’individu cause son comportement et il peut diriger sa vie et s’autoréguler afin de devenir ce qu’il souhaite (agent causal)

Il s’autorégule par:

  • la mise en oeurvre de processus cognitifs
    1. objectifs
    2. attentes
    3. SEP
    4. normes d’auto-évaluation

→ éléments fluides

Ces processus cognitfis peuvent se développer de façon délibéré et ainsi augmenter le potentiel d’autorégulation de l’individu

Bandura ne met pas de l’avant que les processus cognitifs agissent seul dans un vacuum décontextualisé pour faire le comportement

Bandura vient du béhavioriste donc il voit l’apport du contexte

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2
Q

DÉTERMINISME RÉCIPROQUE

A
  • Influence mutuelle de deux ou plusieurs variables; dans la théorie sociocognitives, principe causal fondamental selon lequel des facteurs personnels, environnementaux et comportementaux exercent chacun une influence causale les uns sur les autres
  • Jeu d’influence entre le milieu et les représentations de la personne
  • La force explicative de chacun des éléments dépend de la valeur prédictive de chacun
  • Les interactions continues entre les processus cognitifs des personnes, les contingences de l’environnement et les comportements émis permettent de déterminer ce que la personne est et ce qu’elle deviendra
  • La personnalité est le résultat d’interactions dynamiques qui sont, au moins, en partie, influencées par la motivation du sujet
  • Le sujet est un agent actif qui détermine et crée les environnements dans lequel il évolue
  • La personnalité,le comportement et l’environnement doivent être compris comme des facteurs déterminants aux effets réciproques

3 éléments

  1. Personne: Caractéristiques de la personne comprenant les connaissances acquises dans la vie sociale, telles que les croyance et les attentes, les habiletés, les normes d’évaluation et les objectifs personnels
  2. Environnement: Ensemble des environnements que les gens choisissent ou non, qui offrent des renforcements et des puniitions et qui peuvent être modifiés
  3. Comportement: décisions et actions qui influent sur l’environnement qui conribuent à l’acquisition et au développement de compétences personnelles, et qui font objet d’une réflexion personnelle

Les forces externes et les forces internes ne sont pas les cause primaire de nos actions et de ce que nous sommes. C’est un mélange des deux et nos processus cognitifs

→ L’individu peut choisir ses comportements et ses environnements grâce à ses processus cognitifs

L’environnement → change la personne

La personne → modifie son environnement en changeant ses perceptions de la situation ou ses comportements

On peut diriger activement notre vie et voir les possibilités d’autorégulation de notre comportement

  1. Personne
    - objectif: aller à Québec
    - SEP: je me sens capable de me rendre en 2h30 (en roulant vite)
    - Trait: j’aime prendre des risques
  2. Comportement
    - Je roule 130km
  3. Personne

→ Le comportement renforce le SEP, car il y a confirmation de ma croyance sur la limite de vitesse (pas de fondement)

  1. Environnement
    - Arrestation pour excès de vitesse (400$ + 3 points)
  2. Personne

→ L’environnement me fait réaliser que j’ai besoin de tempérer ma tendance à prendre des risques et de mieux gérer mon temps

  1. Personne

→ Mon besoin de liberté est plus important que mon goût du risque

Perception différente des limites de vitesse

  1. Environnement

→ personne me fait réaliser et je comprend les limites de vitesse

  1. Comportement

→ l’environnement (arestation) va diminuer ma vitesse et je vais respecter la limite permise à l’avenir

  1. Comportement
    - nouveau comportement pour éviter d’avoir des sanctions dans l’environnement

Ex: accroitre ma vigilance

Faire du charme au policier (si ça fonctionne à 90%) → comportement répété car grande valeur prédictive (si fonctionne 10%) → aucune valeur prédictive donc l’environnement dicte le comportement

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3
Q

LA PERSONNALITÉ EN TANT QUE SYSTÈME COGNITIVO-AFFECTIF

A
  • grand nombre de composantes interactives (simple mais avec des liens complexes)
  • Les cognitions et les affects interagissent de façon organisé et permettent la cohérence du fonctionnement global de la personnalité

CAPS:

  • Modèle théorique que proposent Mischel et Shoda selon lequel la personnalité comprend de nombreux processus cognitifs et affectifs liés les uns aux autres. Les interconnecions assurent le fonctionnement intégré et cohérent de la personnalité tel un «système»

3 caractéristiques:

  1. Les variables cognitives et affectives de la personnalité y sont vues comme étant liées les unes aux autres de façon complexe (4 structures) → plusieurs interactions.
  2. Les situations sociales comportent divers aspects, des caractéristiques contextuelles, qui activent des sous-ensembles du système (ex: ami parle de ses notes → activation de mes objectifs et attentes)
  3. Si des caractéristiques contextuelles différentes activent des parties différentes du système de personnalité, le comportement de la personne devrait donc varier d’une situation à l’autre (parler de notes (négatif) et de faire du sport (positif) → donne émotions différentes) Le système est stable mais les expériences et les actions sont variables. La variation est importante dans ce modèle de personnalité
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4
Q

EMPREINTE COMPORTEMENTALES/SIGNATURE COMPORTEMENTALE

A
  • Profils individuels caractérisé par les liens entre les situations et les comportements
  • deux individus ont le même niveau moyen d’agression mais ils sont différent sur le type des situations où s’exprime cette agressivité

Si on regarde en moyenne leur agressivité on ne verait pas leur relations distinctives de situation-comportement

«si…, alors»

  • Ne sert pas à dégager une moyenne des différentes situations. Il faut étudier leurs profils distinctifs de variation du comportement dans diverses situations

1985:

Plusieurs individus pour expliquer l’empreinte comportementale

facteurs qui influence la stabilité des empreinte comportementale: la précision de certaines cognitions et le degré de consistance de certains modes de pensée → au coeur de l’approche sociocognitives pour expliquer les fluctuations du comportement humain

→ L’analyse au camp de vancance relève les tendances idiosyncrasiques propres aux personnes.

→ Les gens présentes des profils stables et distincts d’expression de comportements particuliers dans des groupes et situations précis

Études:

  1. Les non-initiés ne s’attendent pas à ce que les gens se comportent d’une manière constante et uniforme dans tous les contextes
  2. Les gens ne sont pas choqué par le fait que les comportements d’une personnne varie d’une situation à l’autre
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5
Q

SCHÉMAS ET SCHÉMAS DE SOI

A
  • on doit étudié les processus cognitifs de façon très précise à travers des microperceptions dans des tâches et contextes précis
  • Nous developpons aussi des croyances généralisés sur nous -même qui oriente la façon dont on appréhende le monde et qui contribue à la consolidation de certaines de nos façons d’agir

SCHÉMAS

  • Structure de connaissances permettant de mettre de l’ordre dans le monde (catégorisation) et ainsi guider et faciliter notre traitement de l’information
  • réseaux organisé de connaissances

capacité de reconnaitre une musique (schéma)

musique d’une culture étrangère: on ne posède pas les bons schémas musicaux

On voit un fruit rouge pale dans la foret → es-ce qu’on le mange?

Quelle catégorisation?

Schémas des aliments est activé

  1. Baies connues
  2. Bains inconnues →

Aliment → Comestibles vs non comestibles

Commestibles → sucré (fruit- framboise) vs salé

→ prudent devant la bais inconnue, car il existe des baies non commestibles

→ Les catégories mentales nous évitent d’avoir à traiter chaque information comme si elle était complètement nouvelle et d’avoir à décider comment se comporter face à celle-ci

SCHÉMAS DE SOI

  • Structure de connaissances sur soi qui oriente notre traitement de l’information. Est constitué de croyances personnelles sur soi et sur le monde qui se sont généralisées (généralisation cognitive) au fil du temps
  • Ils fournissent l’information mais motive aussi le traitement de l’information
  • Nous en avons plusieurs (type de personnes que nous sommes dans différents contextes) → unique à nous même (ex: indépendance-dépendance / culpabilité/innocence
  • Ils influencent nos pensées

Selon Markus:

  • Le soi est un objet semblable aux autres objets qui nous entourent (généralisation cognitives de nous même et de notre façon d’interagir avec le monde)
  • Les schémas de soi sont différents pour chacun (contrairement au big five)
  • Nous ne sommes pas nécessairement conscients de nos schémas de soi → elle exclu l’auto rapport pour étudié les schémas qu’on les gens

Soi en opération:

  • Sous-ensemble du concept de soi qui se toruve dans la mémoire à court terme à un moment précis; concept théorique selon lequel différentes circonstances sociales peuvent activer différents aspects du concept de soi

→ le concept de soi est alors dynamique (change en fonction des interactions et des évènements d’un environnement social)

Tous les schémas de soi forme le concept de soi

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6
Q

MÉTHODE DES TEMPS DE RÉPONSES (schémas et schémas de soi)

A
  • Avoir un schéma, c’est avoir un guide pour réagir de façon rapide aux stimuli de l’environnement. Un schéma accélère le traitement de l’information
  • Si un individu répond plus rapidement à certains stimuli c’est qu’il possède un schéma à propos des stimuli en question

Ex: 10 secondes vs 3 secondes (sur l’entraide)

Plus important pour la personne B

Les schémas:

  • accélère le temps de réponse
  • auto renforcement et se maintenir dans le temps

PROCESSUS DE CONSOLIDATION ET D’AUTO-CONFIRMATION DES SCHÉMAS

  1. Schéma de soi (haut)
  2. traitement de l’information (droite)
  3. Comportement (renforcement par le traitement de l’information, car cela concorde avec qui je suis)
  4. Schéma de soi (bas)
  5. Traitement de l’information (gauche)

La simple présence d’évènement conforme à nos attentes amène du renforcement

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7
Q

TRAITEMENT MOTIVÉ DE L’INFORMATION (schémas de soi)

A
  • Quand je reçoit de l’infromation sur moi, je ne traite jamais cette information de manière neutre… on est motivé par nos schémas de soi

2 motivations fondamentales:

  1. Tendance générale à l’auto-valorisation

→ traitement de l’information dans le but d’augmenter son estime de soi → on retient mieux l’information qui sert à augmenter celle-ci

→ on surestime nos qualité et améliorer notre image de soi en se comparant à ceux qui font une tâche moins bien

  1. Tendance à l’auto-vérification

→ Traitement de l’information dans le but de confirmer sa vision du monde, rendre son environnement prévisible et cohérent → on est plus attentif aux indices qui nous disent que notre environnement est prévisible et cohérent

Conflit:

Étude de Swan (1987):

→ principalement la théorie de l’auto-vérification qui permet de faire les meilleur prédiction

→ Utilisée pour comprendre l’acception du feedback et la plupart des réactions cognitives (réactions cogntives seront expliquer par la concordance ou le manque de concordance)

→ La théorie de l’auto évaluation est utilisée pour prédire les réactions émotionnelles initiales au feedback

Résultats important car

  • prouve que nos schéma guide notre traitement de l’information de façon à favoriser leur confirmation et leur maintien
  • Feedback négatif → on préfère une rétroaction négative (permet d’avoir une cohérence et de prévoir les conséquenes lié à cette information négative connues) → rassurant

→ Avec l’auto-vérification, on va chercher des informations qui prouves les aspects négatives que nous voyons (ex: mauvaise estime de soi se trouve quelqu’un qui l’aime pas) douloureux mais univers connu (compréhensible et prévisible)

| FEEDBACK POSITIF - CONCEPT DE SOI NÉGATIF | FEEDBACK POSITIF - CONCEPT DE SOI POSITIF | FEEDBACK NÉGATIF - CONCEPT DE SOI NÉGATIF | FEEDBACK NÉGATIF - CONCEPT DE SOI POSITIF |
| — | — | — | — | — |
| THÉORIE DE L’AUTO VALORISATION | Accepté | Accepté | Rejeté | Rejeté |
| THÉORIE DE L’AUTO CONSERVATION | Rejeté | Accept | Accepté | Rejeté |

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8
Q

TYPES D’OBJECTIFS (DWECK)

A

But que nous esperons atteindre

  • On peut se donner des objectifs sur différents niveaux (A vs B)
  • On peut avoir différent type d’objectifs (apprentissage et performance)

3 conclusions:

  • Sont des approches cognitives générales qui distinguent les gens et nous éclairent sur leur personnalité
  • Peuvent être comprises comme des cognitions qui se sont généralisées et qui forment maintenant des schémas guidant les réactions émotives et comportementales des individus
  • Sont assez stables et pourraient requérir plus d’efforts pour les changer si on les compare à des cognitions plus spécifique comme le SEP de Bandura

Penser à nos objectifs personnels: activation dans:

  • le cortex préfrontal interne : détermine la pertinence des évènements pour le soi
  • le cortex cingulaire postérieur:mémoire autobiographique (évènement dans le passé)

OBJECTIF D’APPRENTISSAGE

  • Axés sur la recherche de situation de défi pour découvrir et maîtriser de nouvellles habiletés
  • Découvrir et développer de nouvelles habiletés

Théorie implicites de l’intelligence (Croyance d’ordre général que nous ne pouvons pas toujours verbaliser, mais qui influe néanmoins sur notre pensée) → Théorie incrémentielle

Conception de l’intelligence et des habiletés comme étant en développement (aussi pour les émotions → plus de changement )

Activité de la vie comme des occasions de développer des habiletés

Objectifs d’apprentissage → cherche à entreprendre de nouvelles choses, se concentrer sur la maitrise de la tâche, se lancer dans des projets plus risqués

OBJECTIFS DE PERFORMANCE

  • Axés sur la recherche pour mettre en oeuvre ses habiletés et être remarqué par autrui

Théorie implicites de l’intelligence (Croyance d’ordre général que nous ne pouvons pas toujours verbaliser, mais qui influe néanmoins sur notre pensée): Théorie de l’entité:

Conception de l’intelligence et des habiletés comme étant fixes (aussi pour les émotions → croit moins au changement, donc moins de changement)

Activités de la vie comme des occasions de se mettre à l’épreuve

Objectifs de performance → prouver qu’on est bon et éviter l’échec

→ possible de retourner vers la théorie incrémentielle en montrant comment notre cerveau fait ses liens en apprentissage

Les étudiants ayant des objectifs de performance et manquant de confiance en leurs compétences n’ont pas bien réussi la tâche. L’évaluation de la tâche a montré qu’ils imaginaient moins de stratégies utiles que les autres pour résoudre le problème

Les étudiants ayant des objectifs de performance et manquant de confiance en leurs compétences avaient du mal à rester concentrés sur la tâche elle-même. Leur réflexion à voix haut montre que contrairement aux étudiants ayant des objectifs d’apprentissage, ils étaient tendus et anxieux et se demandaient pourquoi il n’y arrivaient pas mieux

→ anxiété de performance

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9
Q

TYPES DE NORMES DE RENDEMENT (HIGGINS)

A
  • normes sont des critère servant à évaluer les évènements présents

3 conclusions:

  • Sont des approches cognitives générales qui distinguent les gens et nous éclairent sur leur personnalité
  • Peuvent être comprises comme des cognitions qui se sont généralisées et qui forment maintenant des schémas guidant les réactions émotives et comportementales des individus
  • Sont assez stables et pourraient requérir plus d’efforts pour les changer si on les compare à des cognitions plus spécifique comme le SEP de Bandura
  1. Les gens éprouvent des émotions négatives quand ils détectent des décalages entre la façon dont les choses se passent pour ou leur soi réel avec une norme personnelle

→ Écart avec le soi: Dans les analyses théoriques d’HIggins, disparité entre les croyances sur les caractéristiques psychologiques présentes (le soi actuel) et les caractéristiques désirées qui correspondent à des normes idéales ou imposées

  1. Les écarts avec des normes différentes (idéales ou imposées) sont à l’origine d’émotions différentes → tristesse et découragement ou anxiété et agitation

→ prouver de manière corrélationnel et expérimentale

NORMES IDÉALES

  • Associé au soi idéal
  • Ce que j’aimerais réaliser

Expérience émotionnelles soi-soi idéal:

  • Tristesse et découragement plus de maladie aussi
  • Perte d’un résultat positif qu’on valorise

Approches motivationnelles:

  • Approche «promotion»
  • Motivation par la recherche de conséquences positives et les récompenses (recherche le bien-être et se concentre sur les résultats postifis)
  • Ex: se concentre sur le fait de garder ses notes hautes et sur les avantages d’une carrière en médecine

NORMES IMPOSÉES

  • Associé au soi imposé
  • Ce que je ressens l’obligation de réaliser

Expérience émotionnelles soi-soi imposé

  • Amène agitation et anxiété (haut névrose et faible bien être subjectif) et plus de maladies
  • Incapacité à éviter une conséquence négative qu’on crait

Approches motivationnelles:

  • Approche «prévention»
  • Motivation par l’évitement de conséquences négatives ou les punitions et par profiter de l’absence d’évènements négatifs
  • Ex: bon résultats afin de ne pas être refusé en médecine (prévention)
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10
Q

APPROCHE CENTRÉE SUR DES PRINCPES GÉNÉRAUX

A

Expression utilisée par Higgins pour décrire son analyse des influences personnelles et situationnelles sur la pensée et les actions, dans laquelle un même ensemble de principes de causalité sert à expliquer à la fois le résultat des influences personnelles (constances des pensées et des actions) et le résultat des influences situationnelles (variabilité des pensées et des actions)

Connaissances personnelles: structure mentale durable: constance du comportement

Les différentes situations utilisent différentes connaissances personnelles: variabilité du comportement

→ influence personnelles et situationnelles

CONTRAIREMENT À

Les constances viennent de la personnalité (variables de la personnalité = constance)

Les variations viennent des situations sociales différentes (facteurs situationnels=variabilité)

→ Insatisfaisant pour Higgins

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