6.2 Flashcards

1
Q

LA THÉORIE SOCIOCOGNITIVES DE LA PERSONNALITÉ: LA STRUCTURE

A

ne décrit pas exhaustivement la personnalité mais aux cognitions et processus de la pensée pour comprendre la régulation du comportement

  1. Vision de l’être humain
    - l’être humain possède des compétences et des capacités mentales supérieures qui font en sorte qu’il peut diriger activement sa vie et réguler son comportement au-delà des influences du moment
    - utilise ses processus cognitif pour se représenter les évènements, prévoir l’avenir et choisir différents moyen d’action (aspiration, objectifs…)
    - ne réagit pas passivement à son envrionnement (contrairement au béhavioristes) → peut s’extraire grâce aux processus cognitifs (mental est plus important que environnement)
    - émet des comportements pouvant varier considérablement selon les situations (contrairement aux traits où la stabilité est importante) → grace à la discrimination des situations et agir différemment

Débat personne-situation:

  • Mischel
  • Mesure des traits de la personne pour prédire son comportement (inneficace pour les agents de la paix au nigeria) → la situation amène des fluctuations importantes dans le comportement
  • Il voit des régularités quand on regarde les variations situationnels du comportement chez les individus sur une certaine période de temps → variation non aléatoire et stables → NOS ATTENTES ET CROYANCES SONT SPÉCIFIQUES À DES SITUATIONS PRÉCISES DONC NOS ACTIONS AUSSI
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2
Q

SPÉCIFICITÉ SITUATIONNELLE

A
  • Notion selon laquelle une variable donnée de la personnalité est mise en contribution dans certains contextes,mais pas dans tous, qui explique la variation systématique du comportement individuel d’un contexte à l’autre. Les structures psychologiques pertinentes dans certaines situations sociales ne le sont pas forcément dans d’autres

on rejette habituellement tous les variables qui ne tiennent pas compte du contexte → surtout pour les compétences cognitives (une personne n’est pas plus compétente qu’une autre, cela dépend de la sphère de la vie)

  • Nos attentes et croyances sont spécifiques à des situations précises → nos actions changent
  • au coeurs de cette approche
  • Nos comportements sont le résultats de notre capacité à discriminer entre les situations et d’y réagir différemment en fonction de variables psychologiques activié par ses situations

Si personne A et B ont des croyances différentes → différentes réactions dans une situation mais de manière unique

Étude de Shoda: Mischel et Wright (1994)

  • Observation d’enfants dans un camp de vacances dans divers contextes:

→ repas

→ terrain de jeu

→ en classe

→ réunions de chalet…

  1. Définition de 5 types de situation dans chaque contexte
    - enfant - adulte ou enfant-enfant
    - interaction négative ou positive
  2. Observation de comportements précis
    - agression physique ou verbale
    - se conformer
    - tenir un discours prosocial…

Examine la variation du comportement dans certaines situations

Résultats: agression verbale plus fréquente dans certains contextes (terrain de jeu). Certains enfants ont des niveaux d’agressivité plus élevé que d’autres. Les individus ont des modes distinctifs de relation situation-comportement

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3
Q

4 COMPOSANTES DE LA STRUCTURE

A
  1. croyances et attentes
    2.Objectifs
    3.Normes autoévaluation
  2. compétences
  • structure nos actions et influence la façon dont on dirige notre vie

Ces 4 composantes sont en interaction les unes avec les autres

Ce sont des formes de pensée distinctes

les croyances, objectifs et les normes jouent un rôle distinct dsans le fonctionnement de la personnalité et devrait doncêtre considéré comme des structures distinctes

Les compétences sont aussi vu comme une part entière de la personnalité

les 4 composantes font un système complexe de cognition sociale

Compétence influence le sentiment d’efficacité personnelle → influence le niveau de difficulté des objectifs

norme → influence le niveau de difficulté des objectifs

→ La personnalité peut être conûe comme un système cognitivo-affectif où les différentes composantes fonctionnent en interaction les unes avec les autres (Mishel et Shoda)

Différent modes de comportement entre les situations, mais relativement constant et cohérent au fil du temps

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4
Q

CROYANCES ET ATTENTES

A
  • Dans la théorie sociocognitive, anticipation ou prédiction d”un résultat attendu par l’individu dans une situation pécise (conséquence envisagée)
  • Principa; déterminant de nos actions et de nos émotions (comportement possible, récompenses …)

Spécificité contextuelle: différentes attentes selon le contexte → on examine donc les attentes selon les domaines (essentiel à la survie d’être capable de faire varier nos attentes selon le contexte) → discrimination naturelle

Les gens se font différents catégories d’attentes (modèle idiosyncrastique): école vs amis / anxiogène vs relaxant / obtenir un rdv vs non

Attente à l’égard d’une récompense et des punitions: explique pourquoi 2 personnes réagissent différemment dans un même environnement (contraire à béhavioriste

  • la façon dont on conçoit l’avenir
  • Anticipation qu’un scénario précis se concrétise dans une situation donnée
  • Ex: obtenir un A et aller au cycle supérieur (90%)→ faire lex actions nécessaire pour que ce scénario se concrétise
  • Ex: aucune lien entre la réussite de ce cours et notre projet d’étude → faible instrumatalié (attente de résultats)
  • Ex: obtenir un A est très difficile (j’ai moins de 10% des chances) → faible sentiment d’auto-efficacité (capacité à faire une action) → bonne chance que notre comportement réflète cette attente
  • Bandura et la théorie sur le sentiment d’efficacité personnelle

Attentes des résultats: instrumentalité

→ à quel point je crois que si x se produit, y surviendra

Attentes d’auto-efficacité (sentiment d’efficacité personnelle)

→ à quel point je suis confiant de pouvoir produire X

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5
Q

NORMES D’AUTO-ÉVALUATION

A
  • Critère permettant d’évaluer la valeur d’une personne ou d’une chose. Dans la théorie sociocognitive, les normes par lesuelles une personne évalue ses propres actions font partie de la régulation du comportement et de l’expérimentation d’émotions comme la fierté, la honte, la satisfaction et l’insatisfaction personnelles
  • pour juger de nos actions et nos réussites
  • C’est l’interprétation des événements plutot que les événement eux-même qui influence les réactions des gens
  • composante clé pour comprendre les différences individuelles
  • les individus peuvent se fixer des normes pour dire ce qui est bien ou moins bien en fonction de leur attentes et objectifs
  • Répondre à nos normes → auto renforcement de notre comportement (interne)
  • Ex: Correcte d’avoir un B dans ce cours → avoir un B = peu de réaction
  • Ex: doit obtenir un A → obtention d’un B est associé à des sentiments négatifs et un évènement aversif à éviter
  • Ex: doit obtenir un A → Obtient un A+ → émotions de fierté qui recompense la personne

es-ce que x ou y est souhaitables (objectifs souhaitables ou non)

l’individu fixe ses propres normes d’évaluations. Les gens évaluent donc leur propres principes moraux. Le comportement de tous les jours est donc assujetti à ce système psychique interne et non à des forces extérieurs, comment l’affirment les béhavioristes

RÉACTION D’AUTOÉVALUATION
Sentiment d’insatisfaction ou de satisfaction envers soi que l’on éprouve en réfléchissant à ses actions

→ nous punit ou nous renforce quand nécessaire

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5
Q

OBJECTIFS PERSONNELS

A
  • Dans la théorie sociocognitive, évènement souhaité qui motive la personne sur de longues périodes et lui permet de transcender les influences du moment; représentation mentale du but et d’une action ou d’une conduite.

→ nous permet d’organiser notre conduites sur de longues périodes de temps

→ nous guide dans l’établissement de priorités

Nous avons un systèmes objectifs (objectifs en hierarchique) → l’ordre dépend du moment, des possibilité du moment et le SEP à attendre un objectif

  • les objectifs à court terme exercent plus d’influence que les objectifs à long terme (on se dit qu’on a du temps)
  • Les objectifs sont en lien avec nos attentes
  • Plus grand SEP → Plus grande attentes → plus grand objectifs
  • Événement souhaité qui motive la personne sur de longues périodes
  • Une force qui nous permet d’organiser et diriger notre vie et ne pas réagir à tous les contingences et les renfrocements possibles
  • Visualiser ces objectifs: permet de faire des choix aligné avec celui-ci (ex:étudié et ne pas faire la fête)
  • Si je veux ou j’aspire à produire x ou y (dépend des normes d’auto-évaluations)
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6
Q

COMPÉTENCES ET HABILETÉS CONCRÈTES

A

Unité structurelle de la théorie sociocognitive qui témoigne de l’aptitude individuelle à résoudre des problèmes et à accomplir les tâches nécessaires à l’atteinte d’objectifs

  • on ne diffère pas seulement des émotions et des pulsions différentes mais aussi dans l’aptitude à faire certaines tâches

2 implications

  1. Spécificité situationnelles: chaque contexte nécessite des compétences différentes (différence avec l’approche des traits où les traits sont indépendant du contextes)
  2. Changement psychologique: les compétences sont aquise par les interactions sociales et l’observation du monde social. Les habileté peuvent changer. On peut acquiérir de nouvelles compétences (ex: habiletés sociales)
  • pour mener à termes nos tâches
  • Répertoire d’habiletés spécifiques que possède un individu et qui lui permettent d’agir avec plus ou moins d’efficacité selon les situation (ex: niveau de connaissance sur un sujet donné, capacité mentale, capacité sociale)
  • Les différence individuelles qu’on observe entre les personnes sont en bonne partie dues à des variations dans l’aptitude des gens à accomplir différentes actions (explique la variabilité)
  • Ex: confiance dans la situation A et moins de confiance dans la situation B
  • Spécifique à la tâche (pas un trait générale)

savoir et savoir-fair pour agir efficacement pour agir selon x ou y

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7
Q

2 types de compétences

A

CONNAISSANCES DÉCLARATIVES

  • Connaissance pouvant être formulé avec des mots

CONNAISSANCES PROCÉDURALES

  • aptitudes cognitives et comportementales que nous pouvons avoir sans être capables d’en décrire la nature exact (ex: remonter le moral de quelqu’un sans exactement avoir une façon de faire)
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8
Q

SENTIMENT D’EFFICACITÉ PERSONNELLE (SEP) - (AUTO-EFFICACITÉ)

A
  • Perception que l’individu a de sa propre aptitude à composer avec des situations précises
  • les attentes envers leur capacité à accomplir quelque chose est l’ingrédient clé de la réalisation de soi et du bien être
  • Croyance de faire une tâche avec succès
  • Permet de prédire ce que les gens vont faire et leur niveau de succès (Bandura)

haut SEP = plus de chance de faire des tâches difficiles et organise leurs idées de façon analytique

Faible SEP: abandonne facilement, pas de réflexion de façon analytique et peu de calme

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9
Q

LE RENDEMENT
du sep

A

Quand utiliser le SEP

Expériementation: changer le SEP sas changer les compétences à faire une tâche

  1. Ancrage: première pensée quand on essaie de résoudre un problème

→ combien d’habitant en russie

  1. si on dit 600Milions → les gens vont dire 400 Milions
  2. Si on dit 20 milions → les gens vont dire 70 milions

Capacité à repondre à X question?

Plus le X est grand, plus il disait un chiffre grand (plus grand le SEP est) → plus SEP est grand, plus le comportement sera meilleur

= la perception subjective d’une personne influ sur son comportement (action et performance et décision)

Le SEP influe aussi sur la manière dont les gens composent avec les déceptions et le stress (SEP avant avortement et l’adaptation après plusieurs semaines)

SEP sur l’expérience et l’action:

  1. La sélection: SEP agit sur les choix d’objectifs personnels (haut SEP = objectifs plus haut)
  2. L’effort, la persévérance et le rendement:Haut SEP = plus d’effort pour atteindre l’objectif
  3. L’affectivité: Haut SEP = plus positif à entreprendre des choses (moins anxieuse et déprimé)
  4. La capacité d’adaptation = Haut SEP = meilleur avec le stress et les déceptions

Sans confiance en soi = entraine l’échec

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10
Q

3 CARACTÉRISTIQUES du sep

A
  1. perception
  2. croyance dans le futur
  3. situation précise

À quel point seriez-vous d’accord pour dire que vous êtes une personne douée pour vous exprimer devant les autres

0 à 10

→ 7 (la moyenne des situations)

À quel point seriez vous confiant de vous exprimer avec 2-3 amis sur un sujet que vous connaissez bien?

9

Quel est votre niveau de confiance pour vous exprimer sur divers sujets d’actualité lors d’un cocktail avec des dignitaires invités par la mairie de votre ville?

4

À quel point seriez-vous confiant de vous exprimer sur une scène où des centaines de personnes vous écoutent?

6

convictions et valeurs personnelles → 3

idée sur les théorie de personnalité → 8 (plus deffort ici)

des blagues → 1 (moins d’effort ici)

→ sentiment d’efficacité personnelle (perception de confiance à faire des actions futures) (conditions précise)

Postulat de bandura: lien entre les niveau de SEP et l’accomplissement de ses tâches dans la réalité

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11
Q

PERCEPTION

A
  • Perception de ses capactiés personnelles
  • Seule la personne peut dire ce qu’elle pense de ses capacités
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12
Q

CROYANCE DANS LE FUTUR

A
  • Croyance par rapport à la réalisation de comportements ou de tâches dans le futur
  • anticipation de la performance dans un avenir proche
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13
Q

SITUATION PRÉCISE

A
  • Évaluation de ses capactiés dans une situation précise
  • Ex: une tâche quand on évalue celle-ci en lien avec la situation
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14
Q

2 TYPES D’ATTENTES

A

ATTENTES AUTO-EFFICACITÉ

  • entre la personne et son comportement
  • croyance spécifique par rapport à ses habilité à réussir une tpache donné
  • Anticipation de sa capacité à émettre un comportement donné
  • une attentes qui motive des actions spécifiques et permet à l’individu de s’auto régulé dans l’accomplissement des résultats souhaité
  • prime pour prédire la performance à une tâche

Si faible → peu probable pour un concours d’humour et passe moins de temps à se pratiquer pour faire de bonnes blagues que si on notre sentiments d’auto-efficacité était élevé

Si faible et le public ne rit pas → moins suceptible à dire la prochaine blague

si faible → plus nerveux

Donc notre niveau de performance finale correspond à notre niveau de compétence perçu à faire la tâche au départ

LE SENTIMENT EFFICACITÉ PERSONNELLE INFLUENCE:

  • le choix des tâches qu’on veut accomplir
  • La fixation d’objectifs de performance plus élevés
  • La quantité d’efforts déployés pour réussir les tâches
  • À quel point on persévère devant les obstacles
  • À quel point on garde notre calme dans les situations difficiles

L’INSTRUMENTALITÉ (BÉNÉFICES ANTICIPÉ)

  • entre le comportement et les conséquences
  • Conséquences anticipées de l’émision réussie d’un comportement donné
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15
Q

LES VARIABLES QUI INFLUENCENT LE SEP

A

BANDURA

  • La performance passées (exériences de maitrise) → plus puissante pour augmenter le SEP
  • Expériences vicariantes (observation d’autres personnes)
  • Persuasion verbale
  • Émotions ressenties

→ ces éléments peuvent être utilisé pour hausser le niveau du SEP

Objectif: Améliorer votre capacité à parler devant un grand auditoire

Capacité perçue actuelle: 5/10

LA PERFORMANCE PASSÉ

  1. Décomposer la tâche finale en sous-tâches
  2. Déterminer une séquences allant des tâches plus facile à plus difficile (ex: présentation oral formelle devant les membres d’executif durant 5 mins)

→ Permet de faire des petites réussites

EXPÉRIENCE VICARIANTES

  1. observer d’autres personnes réaliser avec succès la tâche (doit être une personne similaire, ex étudiant > premier ministre)

PERSUASION VERBALE

  1. se faire dire qu’on est capable

→ peut aussi nous rappeler qu’on est capable et qu’on a de l’expérience

ÉMOTIONS RESSENTIS

  1. Associer des états de calme ou des sensations positives avec la tâche

→ s’assurer de défaire l’association entre l’anxiété et la tâche (climat d’apprentissage > performance) ou exercice de visualisation

16
Q

AUTRES CONCEPTS

A
  1. Concept de soi → contient le CS académique, social et physique

CS académique (excellent en math, moyenne en français et bonne en science) → concept positif

→ plus général

Sep est plus spécifique et dans un context précis

Concept de soi → estime de soi (sentiment sur sa valeur générale en tant que personne)

SEP est en bas du graphique: croyance par rapport à des tâches plus précise et non par une domaine d’activité général (ex: tâche pour évaluer les habileté social vs écouter/parler/en relation/s’exprimer)

→ Ces évaluations doivent être contextualisé et doit faire appel à la perception de sa capacité à réussir une tâche future

Ex: réussir à raconter une blague devant 200 personnes

SEP: permet de prédire avec beaucoup de justesse la performance réelle à une tâche (plus la tâche est spécifiques, plus on peut prédire la performance d’un individu).

Plus une cognition est spécifique, plus elle est malléable

→ SEP est plus facile à cibler et à modifier que des perceptions plus générales comme lestime de soi ou les concepts de soi (aussi stables que des traits de personnalité)

attentes relaties à l’efficacité personnelle vs attentes relatives aux résultats (être capable de faire de l’ingénierie vs le salaire d’être ingénieur)

Recherche microanalytique: Stratégie de recherche que propose bandura pour évaluer le sentiment d’efficacité personnelle, consistant en des jugements portant sur des situations précises, plutôt que des jugements globaux

  1. SEP avant d’effectuer une tâche (ex: 75% des buts réussi)

→ Critique: trop simple (considère par l’activité, le degré intensité et des caractéristiques environnementales)

LE SOI

  • Construit global ou unifié
  • tout élément qui est ramené à soi et auquel est rattachée une valeur positive ou négative
  • Roger

SEP:

  • Ne repose pas sur la conception d’un soi global fonctionnant de façon unifiée
  • les micro-perceptions de nos habiletés sont plus déterminantes pour comprendre le comportement d’une personne ( à la place du global)

LES CONCEPTS DE SOI

  • Ensembles de perceptions de soi, incluant ses habiletés et ses affects dans différents domaines ou sphère de vie générales (sous-dimensions) Ensemble global de sa valeur personnelle → plusieurs contextes. La performance dans un contexte précis n’est pas important

SEP:

  • n’est pas un construit général fait de sous-dimensions
  • Ne se rapporte pas à des affects ou des émotions
  • évaluation de ce qu’une personne peut accomplir dans un contexte (la performance dans un context précis est importante)

ESTIME DE SOI

  • Jugement personnel global que porte la personne sur son mérite ou sa valeur personnelle (sentiment sur sa valeur personnelle)

SEP:

  • Ne se rapporte pas à des affects ou des émotions