326-8- Médicaments du diabète Flashcards

1
Q

Epidémiologie du diabète :

  • dynamique de la prévalence
  • prévalence
  • pourcentage du type de diabète
  • RR des complications cardiovasculaire
  • prévalence des rétinopathies
  • rang de dialyse
A
  • Prévalence croissante, plus de 2,5 millions de ppersonnes en France
  • Diabète de type II dans 90% des cas
  • multipliee par 2 à 3 la morbimotalité CV.
  • 35% des malades ont une rétinopathie après 20 ans d’évolution.
  • 1ere cause de mise en dialyse
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2
Q

Terrain du diabète de type 2 :

A

= sujet après 40 ans (pas toujours) le plus souvent asymptomatique sans acidocétose inaugurale avec une découverte fortuite.

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3
Q

Diagnostic du diab!te chez l’adulte : (en g/L et mmol/L)

+ particularité du diabète de type 1;

A

= Glycémiie > 1,26 g/L ou 7 mmol/L après un jeûne de 8 heres et vérifiée à 2 reprises.

ou

Présence de symtomes de diabète (polyuropolydipsie) avec une glycémie supérieure ou égale à 2g/L ou 11,1mmol/L

+ recherche des corps cétoniques dans le sang ou les urines si diaibète de type 1

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4
Q

Signes cliniques évocateurs d’un diabète de type 1 :

+ terrain

A

= sujet jeune, en général plus bruyant avec des signes cardinaux :

  • polyurie
  • polydipsiee
  • amaigrissement
  • asthénie
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5
Q

Signes devant faire évoquer un diabète chez l’enfant :

A

= tableau polymorphe :

  • perte de poids
  • Augmentation de la fréquence de change des couches
  • troubles du comportement
  • fièvre associée
  • Voire troubles de la conscience qui évoquent une acidocétose.
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6
Q

Diagnostic du diabète chez l’enfant :

A

Glycémie veineuse = 2g/L suffit à établir le diagnsotic et impose la recherche de corps cétoniques capillaires ou urinaires.

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7
Q

Signes cliniques d’hypoglycémie :

A
  • sueurs
  • tachycardie
  • paleur
  • tremblements
  • asthéniie
  • sensation de fringale
  • malaise lipothymique
  • tout signe neurologique focaliisé : déficit moteur, diplopie, hémiplégie,
  • Crise comitiale
  • tableau psychiatrique aigue avec manifestations d’angoisse
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8
Q

Causes d’hypoglycémie chez les diabètiques :

A

=> Il ne sagit pas d’une complication directe du diabète mais des ses traitements :

  • insuline
  • hypoglycémiants
  • glinides
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9
Q

Prise en charge de l’hypoglycémie :

  • en l’absence de trouble de la conscience
  • si sous sulfamide
  • si trouble de la conscience
A

- En l’absence de trouble de la consicence : injestion de 15g de saccharose (1 à 3 morceaux de sucre dans un verre d’eau) et contôle de la glycémie à 15 minutes.

+ la prise d’une tartine de pain avec confiture ou unn féculent est conseillée.

- Si hypoglycémie sous sulfamide hypoglycémiant : il faut surveiller plus longtemps voire hospitaliser car les sujets sont exposés à des hypoglycémie prolongée.

- Si trouble de la conscience : glucosé à 30% si abord veineux possible, glucagon chez les patients à l’insuline (pas si sulfamides), positions latérale de sécuroté, surveillance des constantes.

=> NB : les jus de fruit et le chocolat corrigent mal l’hypoglémie.

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10
Q

CAT si glycémie capillaire > 2,5 g/L chez une patient diabètique :

A

=> chez le patient daibétique surtout de type 1 traité sans igne cardinal : toute glycémie capiillaire supérieure à 2,5g/L impose une recherche de cétonémie ou cétonurie.

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11
Q

Dose d’insuline en fonction du taux de cétonurie :

A

=> en général, un rajout d’insuline rapide de 5 UI par croix de cétonurie est proposé.

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12
Q

Objectifs d’HbA1c :

  • cas général
  • sujet agé
  • si ATCD CV
  • si insuffiisance rénale
  • si grossesse
A

=> tableau 1 page 392

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13
Q

Régime dabétique ;

A
  • Souvent hypocalorique
  • Pauvre en acides gras saturés
  • Riche en acides gras polyinsaturés
  • pauvre en sel si HTA (entre 6 et 8 g/j)
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14
Q

Résumé de la prise en charge du dibaète par la HAS :

A

=> figure HAS

=> NB : très controversé au niveau Européen car beaucoup de conflit d’interet.

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15
Q

Différents médicaments anti-diabètiques disponibles : (5)

A
  • biguuanides
  • sulfamides hypoglycémiants
  • inhibiteurs des alpha-glucosidases
  • insuline
  • incrétino-mimétiques
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16
Q

Exemples de biguanides :

A
  • Metformine
  • et ses génériques :
  • glucophage
  • stagid
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17
Q

Indication des biguanideees :

A

= En 1ere intention en monothérapie chez le diabètiqued e type 2, lorsque le régime et l’exercice ne sont pas suffisants.

=> NB : toutes les associations sont à risque meme avec les sulfamides (trop souvent banalisé)

18
Q

Mécanisme d’action des biguanides :

A

=> action sur l’insulinorésistance et pas sur l’insulinosécretion

=> Ne donne pas d’hypoglycémie si prescrit seul. Ni de perte de poids.

19
Q

modalité de prescription des biguanides :

  • prise par rapport au repas
  • nombre de prise + EI
  • bilan pré-thérapeutique + survellance
  • utiliisable si l’insuffisance rénale ?
  • dose en fonction de la fonction rénale
  • quand arrpeter le tratiemetn
  • CAT si injection de produit de contraste iodé.
A
  • administration pendant ou après les repas
  • dose progressive en 2 ou 3 prise pour limiter les troubles digestifs (nausées, diarrhées, flatulences, douleurs abdominales)
  • surveillance du DFG avant le ttt puis au moins 1 fos par an (tous les 3 à 6 mois chez la personne agée)
  • utilisable jusqu’a une clairance de 30ml/min à condition d’adapter les doses
  • dose en fonction du DFG => tableau page 393
  • suspendre le traitement si affections aigues suceptibles d’alterer la fonction réanle
  • arreter avant ou au moment d’un examen avec produits de contraste iodés et reprendre 48h après si fonction rénale stable.
20
Q

Exemples de sulfamides hypoglycémiants :

+ apparentés

A
  • glibenclamide = daonil
  • glimeppiride = amarel
  • glipizide
  • gliazide diamicron

ou Apparentés = répaglinides = novonorme

21
Q

Indication des sulfamides hypoglycémiants :

A

= bithérapie de référece en associatiion à la metformine en cas d’échec de la metformine seule

+ utilisable en monothérapie si CI ou intolérance à la metformine.

22
Q

Recommandation de prescription des sulfamides hypoglycémiants :

  • mécanisme d’action + EI
  • prise par rapport au repas
  • précaution si insuffisance rénale
  • CI
    *
A
  • stimule l’insulinosécrétion => donc risque de prise de poids et d’hypoglycémie
  • s’administrent avannt les repas en unnne ou plusieurs prises
  • dimiuer la dose si DFG entre 30 et 60ml/min
  • CI si insuffisance hépatique ou DFG <30ml/min
23
Q

Indication des apparenntés aux sulfamides hypoglycémiants :

A

= indiqué dans le diabète de type 2 en cas d’échec du régime et de l’exercice physique

+ indiqué en association avec la metformine chez les diabètiques de type 2 non équilibrés par la metformine seuile.

24
Q

Règles de prescripption des apparentés auux sulfamides hypoglycémiants :

  • mécanisme d’action + EI
  • prise en fonction du repas
  • précaution si insuffisance rénale
A
  • stiumule l’insulinosécrétion mais demie vie courte donc entrainnent moins d’hypoglycémie si omissionn d’un repas.
  • adminnistré en 1 à 3 prise avant chaque repas
  • Pas de CI si isuffisance rénale car principalement excrété par voie biliaire
25
Q

exemple d’inhibiteurs de l’alpha-glucodidases :

A

= acarbose = glucor

26
Q

Indications des inhibiteurs des alpha-glucodidases :

A

= biithérapie avec soit metformine, soit sulfamides en cas de déséquilibre modérée

ou en triithérapie avec metformine et sulfamides

27
Q

Règles de prescriptionsd es inhibiteurs des alpha-glucodidases :

  • mécanisme d’action
  • EI
  • Efficacité
  • posologie + EI
  • CI
A
  • diminuent l’absorption des glucides complexes
  • si prescrit seul ne donne pas d’hypoglycémie
  • moins efficace sur l’HbA1c que les sulfamides et la metformines
  • 50x3 mg/j à 100x3mg/j progressivement croissante pour éviter les toruubles digestifs très fréquents et limitants
  • CI si insuffisance rénale sévère avec DFG <25mL/min
  • CI si maladies chroniques de l’intestin
28
Q

Indications de l’insuline :

A

= médicament le plus pouissant si déséquilibre glycémique

=> prescrite seule dans le diabète de type 1 ou en association aux AOD dans le diabète de type 2 en compléments des mesures hygiéno-diététiques sous peine de prise de poids

=> la HAS recommande l’utilisation des insuline intermédiaire plutot que des analogues lents

29
Q

Règles de prescription de l’insuline :

  • shéma de base + posologie de base
  • EI
A
  • dose initiale de NPH (intermédiaire) bed time est comprise entre 10 et 12 UI
  • le shéma basal bolus peut par la suite devenir nécessaire
  • Attention au poids et aux hypoglycémie
30
Q

3 types d’incrétino-mimétiques :

+ exemples

A

- analogues du GLP-1 = exénatide, liraglutide, dulaglutide et semaglutide

- inhibiteurs des DPP-4 : sitagliptine, vildagliptine, saxagliptine

- inhibiiteurs des SGLT2 = glioflozines

31
Q

Définitions des incrétines :

+ mode d’action

A

= hormones (GLP-1 =glucagon like peptide 1 et GIP) sécrétées par les cellules intestinales endocrines après la prise alimentaire.

=> stimule la libération d’insuline glucose-dépendante, bloque la production hépatique de glucose en inhibant la sécrétion de glucagon et ralenti la vidange gastrique.

32
Q

EI des incrétino-mimétiques :

A

= pancréatites aigues et réactions d’hypersensibilité.

33
Q

Indications des analoguqes du GLP-1 :

A

= utilisation en cas de déséquilibre glycémique important et d’obésité en bithérapie avec la meetformine ou les sulfamides, en trithérapie avec metformine et sulfamides.

34
Q

Rèlges de prescriptions des analogue du GLP-1 :

  • galénique
  • EI
  • poids ?
  • CI
A
  • injectable en SC 1 ou 2 par jour ou 1 par semaine
  • démarrer à posologie faible pour diminuer les nausées
  • induit une perte de poids
  • CI si pathologie gastro-intestinale sévère
35
Q

Indications des inhibiteurs des DPP-4 :

A

= utilisable en bithérpaie ou trithérapie avec metformine et/ou sulfamides hypoglycémiants

=> indications varibles en fonction de la molécules

36
Q

Règles de prescription des inhibiteurs des DPP-4 :

  • poids ?
  • EI
  • CI
  • surveillance biologiques
A
  • pas de perte de poids
  • EI : nausée mais moins fréquente que les agoniste GLP-1, hypoglycémie et ridque d’insuffisance cardiaque
  • CI : hypersensibilité, insuffisance rénale modérée et sévère
  • controle des transaminases
37
Q

Indications des inhibiteurs des SGLT2 :

    • mécanismee d’action
  • Hypoglycémie ?
  • particularité de la prescription initiale.
A

= AMM depuis avril 2020 en France pour le diabète de type 2 chez l’adulte.

=> effet hypoglycémiant par augmentaiton de l’élimination rénale du glucose sans provoquer d’hypoglycémie

=> NB : prescription initiale annnuelle réservée aux spécialites en endocrinologe diabètologie ou médecine interne

=> le renouvellement peut etre fait par l’ensemble des médecins.

38
Q

Suivi du patient diabètique ;

+ délai de réalisation des examens complémentaire

A
  • Consultation mensuelle au départ puis tous les 3 à 6 mmois si diabète bien équilibré.

=> mesures des constantes : poids, PA, pouls, périmétre abdo, ausculation cardiaque, examen des pieds, palpations des pouls, neuropathies, hypotension orthostatique, diarrhée

  • Fond d’oeil annuel ou tous les 2 ans chez les DT2 si PA et HbA1c aux objectifs en l’absence de rétinopathie
  • ECG de repos annuel
  • Doppler artériel des MI et mesure de l’iPS si diabète depuis >20 ans ou age > 40ans à refaire tous les 5 ans ou moins si FdR
  • Biologie :
  • HbA1c 2 à 4 fois par an
  • glycémie a jeun annuel si controle de l’autosurveillance glycémique
  • Ct, TG, HDL et LDL-CT annuel
  • Créatinémie et clairance annuel
39
Q

Examens de référence pour analyser une rétiinopathie diabètique ;

A

= biomicroscope avec dilatation pupullaire

+ le rétinographe en 2eme intention

40
Q

Classification de la rétinopathie diabètique :

A

=> tableau 3 page 398

41
Q

Principal effet indésirable de la Metformine à redouter :

A

= acidose lactique : surtout si insuffisance rénale

=> toujours arrêter 48h avant injection de produit de contraste iodé.

42
Q

Indication d’une hospitalisation si hypoglycémie :

A

Une hypoglycémie inconsciente chez un patient traité par surlfamide doit toujorus être prise en charge en milieu hospitalier.