Troubles stress post-trauma Flashcards
La capacité d’un individu à s’adapter à des évènements de vie stressant fluctue en fonction de quoi ?
-D’une personne à l’autre selon ses facteurs de risque et de protection , facteurs interne aussi, niveau de résilience
- Selon le contexte, ex= les premiers répondant sont plus à risque , tels que policiers, ambulanciers
-La répétition des évènements traumatiques augmente le risque d’une réponse adverse , ex= militaires déployés
La réponse inadaptée face à un traumatisme, peut-elle survenir suite à un long délais? expliquez
Oui, elle peut subvenir après un certain délais, c’est selon le contexte dans lequel la personne s’expose et selon les pressions exercées sur la personne
Les personnes qui sont exposé souvent à des traumas sont ainsi plus résilient ?
-Non, l’exposition répété des évènements traumatiques augmente le risque, les rends plus sensible à développer un trouble
-c’est un mythes de croire qu’ils deviennent “plus fort”
- Au long terme, l’exposition use la personne
-Il n’y a pas d’habituation au trauma ou d’immunité
Trouble stress post-traumatique , critères DSM ?
A- Exposition à évènement traumatique, la mort, blessures graves, menaces, délit sexuel
B-Intrusions = (souvenirs, rêves, réactions d’issociatives, détresse, réaction physiologique)
C-Évitement des stimulus associés au trauma
D- Altération cognitives + émotionnelles
E- Symptômes persistants d’activation neurovégétatives
F- Perturbation dure depuis plus d’un mois
G- Souffrance significative ou altération du fonctionnement
H- Perturbation pas due aux effet physiologique d’une substance
Peut-on prédire qui développera un ÉSPT suite à un évènement traumatique ?
Selon 2 critères principaux :
1- Les antécédents personnels =
Les accidents sont moins souvent associés à des troubles ( moins de 20%)
-les abus et sévices sexuels chroniques
-individu que leur emploi les exposent
-individu plus à risque d’être victimes d’actes criminels
(marginalité, prostitution, toxicomanie)
2- Les caractéristiques des victimes=
- Les plus jeune sont + à risque (car ont moins de ressources adaptatives)
-femmes + à risque
-Groupe minoritaire , homosexuel, transgenre, autochtones, racisée
Quels sont les principales pistes durant l’évaluation ?
Évaluer cela :
1- Risque suicidaire = souvent ceux avec le diagnostique de ÉSPT présentent un fort risque
*** important d’évaluer périodiquement la présence d’idéation ou de plan suicidaire (pire quand individu est armé, policier, militaire, agent carcéral…..)
2- Troubles du sommeil=
Cauchemars font partie des symptômes, porter attention à leur contenu + fréquence, souvent très intrusifs, peut s’accompagner d’insomnie
3-Inventaire d’évènement traumatique = peut-être utile contexte chronique ou complexe = violence conjugale, abus enfance
4- Stratégies d’adaptation y compris les stratégies inadapté
-tel que évitement + toxicomanie
5- Mesure d’impact sur fonctionnement quotidien =
regarder son travail, ses sorties, lieux publics, relations sociales/amoureuses , sexualité souvent très impacté
6- Auto-enregistrement=
des flash-backs, cauchemars, attaque de panique
Quel est le traitement de l’ÉSPT ?
-Nécessite une formation spécialisé, doit être une intervention psychothérapeutique
- L’exposition cognitive et comportementale , (mais difficile pour le patient)
- Pharmacologique aussi utilisé en conjonction avec la psychothérapie , mais au long terme n’est pas la meilleure solution, nuisible
ÉSTP- complexe c’est quoi?
Ne figure pas dans le DSM, mais considéré comme une entité clinique distincte, il est assez sévère
- ce trouble est causé par l’exposition RÉPÉTÉ à des situations traumatiques
**Principaux AJOUT de la distinction =
1- Problème de régulation émotionnelle
2- Problème d’estime personnelle = sentiment de vide, dévalorisation, culpabilité, désespoir persistant
3- Problème relationnels = méfiance, évitement, patrons relationnels malsains
**Problème qu’on associe plus avec la personnalité de l’individu
État de stress aigu c’est quoi , principales différences avec ÉSTP?
1- Duré minimum de 3 jours max 1 mois
2-Proximité temporelle de l’événement traumatisant = Les symptômes doivent survenir PEU de temps après les évènements
3- Présentation des symptômes = très similaires à ceux de l’ÉSTP, mais il n’y ai pas nécessaire un symptôme dans au moins un symptôme dans chacune des catégories
Patient avec ÉSTP se font diagnostiquer en moyenne après combien de temps ?
environs dans les 3 mois suivant l’évènement
Quel est la relation entre état de stress aigu et ÉSPT ?
-L’état de stress aigu peut évoluer en ÉSPT trouble stress post traumatique, mais n’est pas systématique
-Les interventions de prévention brève sont inefficaces
-Les meilleures interventions sont étalées sur plusieurs rencontres, suivront rythme du patient et favorise la mise en place de mécanismes d’adaptation + la sollicitation de ses ressources
**mais certaines personnes seront capable de mobiliser leurs capacités d’adaptations, donc ne se développe pas en trouble stress-post trauma
Le trouble de l’adaptation, ses spécificités ?
-comportement très désadapté pour la vie quotidienne
-dans les autres troubles stress post trauma ils ont des trouble de l’adaptation aussi
-C’est comme le trouble le plus simple le plus léger
-les stresseurs les plus généraux, j’ai perdu mon emploi, mon sous-sol s’est fait inondé
-pas obliger avoir détresse, je ne suis pas capable de me mobiliser face à la situation
-doit éliminer toute les autres options possible avant de diagnostiquer ce trouble
Trouble de l’adaptation c’est quoi ?
Symptômes émotionnels et comportementaux en réponse à un stresseur, dans les 3 mois la survenue du stresseur.
*à spécifier avec humeur dépressive, anxieuse, mixte anxieuse et dépressive.
Considérations pratiques du trouble de l’adaptation?
-trouble fréquemment diagnostiqué , mais attention car comorbidité très élevé….
-Les critères diagnostique sont larges donc, plus facile accédé soins , des services
-ce trouble est plus accepté du patient
Quels sont les principales défis pour les cliniciens avec le diagnostique du trouble de l’adaptation ? (considérations pratiques)
-Est-ce que le trouble est vraiment un trouble mental ?
-Est-ce que le trouble de l’adaptation constitue plutôt le prodrome (symptômes avant-coureurs) de d’autres troubles mentaux ?
- Comme le trouble est diagnostiqué par exclusion, est-il réaliste d’en faire l’application dans des contextes d’évaluation sommaire ?