TROUBLES DE LA MÉMOIRE Flashcards
La clinique distingue aussi la mémoire {…} de la mémoire {…}.
La clinique distingue aussi la mémoire {rétrograde} de la mémoire {antérograde}.
La mémoire est un phénomène {…}.
En 1885, {…} a proposé d’explorer la mémoire en fonction du temps. Nous lui devons les notions de {… à … …} et de {… à … …}.
La mémoire est un phénomène {complexe}.
En 1885, {Ebbinghaus} a proposé d’explorer la mémoire en fonction du temps. Nous lui devons les notions de {mémoire à court terme} et de {mémoire à long terme}.
À quoi correspond l’amnésie antérograde ?
L’amnésie antérograde correspond à la difficulté ou à l’incapacité, après des lésions cérébrales spécifiques, à MÉMORISER DES FAITS NOUVEAUX.
Cela se manifeste cliniquement par un OUBLI À MESURE qui empêche la fixation des faits de la vie quotidienne et altère les capacités d’apprentissage.
Dans un contexte d’amnésie ANTÉROGRADE, lorsque l’oubli à mesure est associé à une désorientation dans l’espace et dans le temps (désorientation temporo-spatiale), à des fausses reconnaissances et à des fabulations, cela suggère quel diagnostic ?
Cela suggère le diagnostic de “syndrome de Korsakoff”.
À quoi correspond l’amnésie RÉTROGRADE ?
L’amnésie rétrograde touche les événements qui se sont produits AVANT l’atteinte cérébrale, et LES FAITS LES PLUS RÉCENTS DANS LE PASSÉ SONT MOINS BIEN RÉCUPÉRÉS que les faits les plus anciens.
Quel est le pronostic évolutif de l’amnésie rétrograde ?
Si l’accident neurologique permet une guérison avec récupération de l’état antérieur, l’amnésie rétrograde régresse, mais lorsqu’il s’agit d’une maladie évolutive, comme dans la démence de la maladie d’Alzheimer, l’amnésie rétrograde s’étend et détruit progressivement des pans entiers du passé et donc de l’histoire du sujet.
Schématiquement, la mémorisation comporte plusieurs étapes. Lesquelles ?
> > > 1) L’analyse corticale sensorielle des données perceptives,
2) La mémoire immédiate, dénommée aussi mémoire à court terme,
3) La mémoire à long terme,
4) Enfin, la mémoire à court terme et la mémoire à long terme contribuent aux apprentissages.
L’analyse corticale sensorielle des données perceptives (visuelle, auditive, tactile, kinesthésique) nécessite l’intégrité des {… …} du cortex correspondantes.
L’analyse corticale sensorielle des données perceptives (visuelle, auditive, tactile, kinesthésique) nécessite l’intégrité des {aires associatives} du cortex correspondantes.
Un des modèles de la mémoire à court terme a été théorisé par {… (19..)}, sous le concept de {«mémoire de …»}.
Certains la considèrent comme une forme {d’…} (Lezak et al, 2004).
Il s’agit d’un système à capacité {…} dans le temps, sollicitant les ressources {…}. Il maintient temporairement les informations pour les {…}, c’est un processus essentiel dans la {…} et la {…} de problèmes.
Le cortex {…} y joue un rôle majeur.
Un des modèles de la mémoire à court terme a été théorisé par {Baddeley (1993)}, sous le concept de {«mémoire de travail»}
Certains la considèrent comme une forme {d’attention} (Lezak et al, 2004).
Il s’agit d’un système à capacité {limitée} dans le temps, sollicitant les ressources {attentionnelles}. Il maintient temporairement les informations pour les {coordonner}, c’est un processus essentiel dans la {compréhension} et la {résolution} de problèmes.
Le cortex {préfrontal} y joue un rôle majeur.
La mémoire à long terme permet la conservation durable des informations grâce au {…} puis au {…}. Elle est organisée sur des modalités de {… s…, s…, t… et a…}. Ensuite intervient le {…} qui permet le {…}, la {…} des informations. Celles-ci font l’objet d’une consolidation variable en fonction de leur {…} et de leur {… …}.
La mémoire à long terme repose anatomiquement sur le {… de …}, initialement décrit dans la régulation des émotions (Bachevalier, dans Botez-Marquard et Boller, 2005).
La mémoire à long terme permet la conservation durable des informations grâce au {codage} puis au {stockage}. Elle est organisée sur des modalités de {codage sémantique, spatial, temporel et affectif}. Ensuite intervient le {stockage} qui permet le {rappel}, la {reconnaissance} des informations. Celles-ci font l’objet d’une consolidation variable en fonction de leur {répétition} et de leur {charge affective}.
La mémoire à long terme repose anatomiquement sur le {circuit de Papez}, initialement décrit dans la régulation des émotions (Bachevalier, dans Botez-Marquard et Boller, 2005).
Tulving (19..) a défini la mémoire en fonction de son contenu : la mémoire {…} et la mémoire {…}.
Tulving (1983) a défini la mémoire en fonction de son contenu : la mémoire {épisodique} et la mémoire {sémantique}.
a. Conceptions modernes de la mémorisation
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L’étude des processus mnésiques doit aussi prendre en compte la {…} et la {… …} entre droite et gauche.
La mémoire visuo-spatiale est traitée par l’hémisphère {…}, la mémoire verbale à {…}.
L’étude des processus mnésiques doit aussi prendre en compte la {subdivision} et la {spécialisation hémisphérique} entre droite et gauche.
La mémoire visuo-spatiale est traitée par l’hémisphère {droit}, la mémoire verbale à {gauche}.
À propos de la définition de la mémoire de Tulving (1983)…
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»> La mémoire épisodique est de nature {…} : elle concerne le sujet lui-même. Elle correspond au rappel d’événements ordonnés dans {le … et l’…}, survenus dans un contexte {…} éprouvé par le sujet.
C’est le système hiérarchiquement le plus {…} et le plus {…}. Son contenu est fréquemment connoté {…}. Les régions {…} y joueraient un rôle plus important que dans les autres formes de mémoire.
»> La mémoire sémantique repose sur les connaissances de {… …} assimilés dans un contexte {…} donné (le …, les formules …, l’…).
> > > La mémoire épisodique est de nature {autobiographique} : elle concerne le sujet lui-même. Elle correspond au rappel d’événements ordonnés dans {le temps et l’espace}, survenus dans un contexte {particulier} éprouvé par le sujet.
C’est le système hiérarchiquement le plus {élevé} et le plus {complexe}. Son contenu est fréquemment connoté {émotionnellement}. Les régions {préfrontales} y joueraient un rôle plus important que dans les autres formes de mémoire.
La mémoire sémantique repose sur les connaissances de {faits généraux} assimilés dans un contexte {culturel} donné (le langage, les formules mathématiques, l’histoire).
Par ailleurs, un type de mémoire appelée «procédurale» est décrit. À quoi correspond-elle ?
La mémoire «procédurale» correspond aux aptitudes et aux habiletés sensori-motrices apprises.
Pour résumer les mémoires à long terme, mémoire épisodique et sémantique sont {…} et correspondent au {«savoir …»}, alors que la mémoire procédurale est {…} et correspond au {«savoir …»}.
Enfin, mémoire à court terme et mémoire à long terme contribuent aux {…}.
Pour résumer les mémoires à long terme, mémoire épisodique et sémantique sont {explicites} et correspondent au {«SAVOIR QUOI»}, alors que la mémoire procédurale est {implicite} et correspond au {«SAVOIR COMMENT»}.
Enfin, mémoire à court terme et mémoire à long terme contribuent aux {apprentissages}.