transformation économique Flashcards
La naissance des idéaux classique
La naissance des idéaux classique se fait en 1791 avec la loi Le Chapelier qui met fin au corporation pour favoriser l’investissement et l’innovation et qui permet une mécanisation des productions au XIX par des gains de productivité propice à la croissance.
Les 30G est la naissance de notre société industrielle poussé par le fordisme et le keynésianisme qui boost l’investissement. Les difficiles conditions de travail de l’époque étaient compensé par les hausse régulière de salaires qui améliore la demande globale et donc la santé des entreprises.
En Grande-bretagne
Les gains de productivité de la révolution agricole ont permis un déversement de la main d’ouvre agricole vers l’industrie (sauvy 1980) conformément a ce que prévoyait la loi d’Engel de 1857 selon laquelle l’augmentation des revenus fait diminuer la part du revenus réservés à l’alimentation.
La tertiarisation de la société
Avec la fin de l’entreprise fordiste dans les années 70, on assisté à une externalisation croissante de certaines activités sous l’effet de la concurrence toujours plus importante, ce qui faisait dire à Touraine que nous étions entrés dans la “société postindustrielle” en 1969 avec une importance croissante envers l’informatique et la connaissance sous l’égide de leurs rendements croissant. Même si l’absence de gain de productivité faisait craindre à certains comme un stagnation comme Baumol lorsqu’il parle de “secteur non progressif.
Les début du système financiers
Au début, il était perdus comme la béquille de la croissance à sa création en 1800 par Napoléon Bonaparte lorsqu’il crée la banque de France permettant aux “entrepreneur-capitaliste” (Turgot) de s’aut-financer et de répondre dans un premier temps aux exigence de renouvellement des machines industrielle déjà très couteuse.
La seconde révolution bancaire se fait avec la création des banque de second rang comme le Crédit Lyonnais en 1863 qui permettait de centraliser l’épargne des fanais afin de mieux pourvoir la rediriger vers l’économie industrielle. selon un modèle mixte, c’est à dire ne faisant pas de différence entre banque de dépôt et d’investissement comme le faisait déjà l’Angleterre par exemple.
L’Europe devient alors “le centre de gravité de la finance mondiale” selon les dires de Hautcoeur mais la grande dépression amène une fuite massive des capitaux étrangers et notamment américains qui plombe la croissance et fait entré l’économie Edna un cycle de déflation par la dette ( Fisher) (le remboursement des dettes produit de la déflation selon la théorie quantitative de la monnaie et donc fait augmenter le poids de la dette)… Roosevelt mets en place en 1933 le Glass Steagall Act et le Security Act un an plus tard pour dédifférencier les banques d’investissement, de dépôt, plafonner les Ti et enfin limiter la spéculation
Les suites de la WW2
L’Etat français va faire le choix sous De Gaulle de nationaliser les grands établissement bancaire de l’époque et d’organiser le crédit au travers e la loi bancaire de 1943 qui sépare banque d’affaire, banque de dépôt et de dépôt a moyen et long terme, tout en redirigent l’épargne vers des secteurs industrielle prédéfinis au sein du Plan Monnet sous le contrôle du “conseil national du crédit” et le tout permis par l’encadrement des capitaux fixes privés sous Bretton Woods et favorise la reconstruction annonçant déjà les 30G
La finance des 30G
Les loi debré de 1966 qui réduit l’importance de la planification et amène plus de concurrence au sein du système bancaire signe notre entré au sein d’une économie d’endettement avec le recours aux banques centrales et qui permet de créer les condition propice à une inflation croissance sous l’effet de levier qui réduit la contrainte de la dette par la faiblesse des Ti.
Limites des économies d’endettement après 70
La monté en puissance du taux d’inflation commence à devenir un problème d’importance majeure du fait du manque de concurrence sur le marché lors de la libéralisation de ce dernier. Les thèse de Eugène Fama sur l’efficience des marchés financier (à chaque instant les prix des actifs reflètent l’ensemble des informations disponibles, amène alors à une libéralisation des marchés financiers dans les années 80 avec la création du second marché en 1983, la création du marchés des produits dérivés en 1986 dans un processus globale de désintermédiation des processus financier pour un accès plus direct aux marchés.
Les années 90 ou le déclin
Ces années sont marqué par une série de faillites bancaires du fait de l’absence de mutualisation banques, les développement de la finance structurée, le primat de l’actionnaire (shareholders), le développement de la spéculation court-termisnte avec les technologies informatiques et la création de produits financiers toujours plus complexe explique cela et débouchera en partie sur la crise de 2008. Alors doit-on aujourd’hui repenser le système en mettant un “impôt progressif mondial sur le capital” comme le pense Piketty pour diminuer l’influence de cette société de rentiers qui délaisse la croissance et donc le bien-être général au profits d’un poignée de privilégiés ou au contraire comme le conclut le rapport meadows sur l’environnement financier “décider de ne rein faire, c’est décider d’accroitre le risque d’effondrement”.
Définition de Rostow dans “les étapes de la croissance économique” de 1960 sur l’importance des élites pour le take-off
“nouvelle élite pour commencer à construire une société industrielle moderne”
L’urbanisation de la premier moitié du XIX
Elle reste encore assez faible car la ville est considéré comme le “tombeau de la race” où règne la prostitution et la violence ouvrière, avec des conditions sanitaire déplorable et dangereuse. Mais la crise mixte des années 1950 et la modification de la perception des villes amène une premier vague d’exode rural sous le second empire c’est à dire dans les années 1850, 1860. Commence alors les premiers grands travaux d’urbanisme d’inspiration haussmanienne qui déséquilibre la composition sociale de Paris et oblige la construction parallèle de Habitation à Bon Marché avec les loi Jules Siegfried (1894)
L’industrialisation et l’urbanisation des “classes”
Les évolution modifie la vision de la société en elle-même avec l’émergence de la notion de “classe” avec d’un cotés la bourgeoisie conformiste et de l’autres les dangereux ouvriers et aux milieux des “couches nouvelle” comme les appellent Léon Gambetta, sans parler de la classe paysanne qui est délaisse si ce n’est avec le ministère de l’agriculture en 1881 dans un polarisation croissante.
L’industrialisation et la croissance économique
Dans la premier moitié de XIX on est dans une France des propriétaires fonciers qui représente un pieds politique énorme, mais la baisse de la rente foncière et la fin du système de suffrage censitaire en 1848 mets fin aux vieux socle rural français. Cela permet l’affirmation de la bourgeoisie désormais dominante mais aussi des élites secondaire qui ne font pas paris de la bourgeoisie mais qui sont des personnes cultivés comme les ingénieurs, les intellectuels ou “haut fonctionnaire”. D leurs cotés les classe ouvrières connaisse des avancement avec des loi améliorant leurs condition de vie et de travail.
La métamorphose de l’agriculture
- Les progrès techniques réalisé dans l’agriculture avec l’utilisation d’engrais et la mécanisation de la production permet une augmentation de la productivité et bouleverse l’image du payant maintenant devenus un exploitant agricole grâce notamment à la mise en place de la PAC en 1962. Conformément à la théorie du déversement de Sauvy, on assiste à un exode rural qui est en soit une réelle révolution sociale silencieuse, cette afflue alimente la polarisation de la société avec l’aliénation du système fordiste et l’influence chez la classe ouvrière des idéaux marxiste. Mais progressivement cette tendance va s’inverser par l’amélioration des condition d’existence de cette classe de moins en moins enclin à se syndiquer du fait de la diminution du nombre d’ouvrier dès 1974.
L’amélioration de la conjoncture sociale
- L’amélioration des conditions de vie déplace la lutte vers la contrôle de “l’historicité” pour reprendre les mot de - -Touraine dans ce processus de modernisation de la société autour d’une vaste constellation centrale comme le suggérais Mendras en 1994. Ces amélioration ont été permise par une intervention étatique forte durant les trente glorieuses multipliant les projet d’urbanisation autour des logements et de l’enseignement au sein de cet “Etat-providence” (Sécurité sociale par participation des patrons et salariés à l’effort collectif).
- Les mentalités s’en trouvent bouleversés par le retentissement de la population suite au phénomène du baby-boom des années 60 permettant l’émergence d’une civilisation de la jeunesse qui refuse toute forme d’autoritarisme et une monté en puissance de l’image de la femme qui va de plus en plus avoir accès au marché du travail, mais aussi l’accueil des immigrés permettant de palier le manque de main d’oeuvre afin d’oeuvre pour la reconstruction du pays après la WW2.
La crise de 70 sur le sociale
La monté de l’inflation et du chômage discrédite la pertinence des théories keynésiennes de par la triple crise des années 80 (financière, d’efficacité et de légitimité) comme le précise Rosanvallon dans “La crise de l’Etat-providence” de 1981. Alors les distinction sociale refont surface avec le retour des idées de Marx centré sur la question du capital culturel sous l’influence des travaux de Bourdieu par exemple. Le retour des inégalités est aussi mal vus car la bourgeoisie n’as de cesse d’entretenir un entre-soi participant à une sorte de reproduction sociale à l’école et dans les milieux lettré. Chauvel en 2006 dans “Les classes moyennes à la dérive” parle de “retour des classes sociale même si cette approche est nuancé par Maurin qui lui montre qu’il sait plus d’une “peur du déclassement” que d’une réalité factuelle.