Commerce internationale Flashcards
4 aspect de la mondialisation
- mondialisation financière
- mondialisation productive
- mondialisation commerciale
- régulation supranationale
Suzanne Berger et première mondialisation
“Notre première mondialisation: leçon d’un échec oublié” en 2003 -
De 1870 à 1914 avec accélération des échange en Europe (qui représente environ 65% du total dont 18% en Allemagne) qui entre 1800 et 1914 on été multiplié par tête par 25 alors que le production n’as été multiplié que par 2,2 grâce à stabilité monétaire, croissance de la 2° RI, progression libéralisme et progrès moyen de transport (chemin de fer et bateau a vapeur). Cela permet de répondre au problème de stagnation anglaise et avec le commerce triangulaire.
La grande majorité sont des matière première 65% tandis que l’influence dr early-starter va diminuer
Protectionnisme de avant 1860
“Océan de protectionnisme cernant quelques îlots libéraux” Bairoch dans “Mythes et paradoxes de l’histoire économique” en 1995.
On a des Etats-Unis ultra protectionniste avec aussi une Angleterre protectionniste avec les Corn Laws de 1773 à 1815, les Zollverein en 1834 sous l’influence de Friedrich List.
Situation de la GB premiere mondialisation
On a une augmentation des nouveaux de vie en Angleterre avec une progression de la classe moyenne et une forte croissance démographique et va donc se suivre les conseils de Ricardo pour du libre échange afin de solutionner la problème de l’Etat stationnaire par formation de l’Anti-Corn law league en 1838 qui aboutira a leurs abolition en 1846 puis d’autres mesure jusqu’au traité Cobden-Chevalier de 1860 avec la France qui va créer un effet domino dans une grand partie de l’Europe
situation des USA premiere mondialisation
Fortement protectionniste avec le “Rapport sur les manufactures” de 1792 par Hamilton. Economie de rattrapage basé sur l’agriculture car grande terre, capitaux. On a le sud du pays qui est esclavagiste et qui réclame le libéralisme et le nord industrielle qui est est pour le protectionnisme, cela va mener à la guerre de sécession de 1861 à 1865 gagnée par le Nord qui va leur être favorable ce sont les seul à ne pas “jouer le jeu”.
Rôle de La Grande Dépression dans le protectionnisme
La Grande dépression (1873-1896), on est en phase du cycle de Kondratieff après le krach boursier de 1873, les prix des denrées alimentaires baissent du fait de la concurrence des pays émergents et surtout des USA, on a donc un retour des mesures protectionniste avec les tarifs Bismarck en 1879 et en France en 1881 pour l’industrie et 1883 pour l’agriculture suivant la tendance générale sauf l’Angleterre.
Mais les échanges internationaux continuent de progresser car on a “raccourcis technologique” (Gerschenkron) qui font accélérer l’industrialisation des USA, de l’Allemagne, du Japon et d la Russie qui connaissent un take-off précoce.
On fait aussi face à une augmentation des échanges envers les colonies grâce aux progrès des moyens de transports ce qui fait revenir dans la phase A du cycle en 1896.
Colonialisme et empirisme
De 1880 à 1914, on a une importance toute particulière porté sur la répartition territoriale en Afrique avec mes deux grandes puissances coloniales que sont les France et la Grande-Bretagne car vus comme un arrière pays propice à l’approvisionnement et la création de débouchés sous couvert de théories de supériorité de l’Homme blanc. Mais les Allemands réclament leur “place au soleil” et mènent une Weltpolitik en 1890 par Wilhelm II qui veut faire de l’Allemagne une puissance maritime et donc coloniale mais débouchera sur WW1.
Les IDE en 1914
En 1914, le stock mondiale des IDE est majoritairement détenus par la Grande-Bretagne (46%) et avec USA, France, Allemagne cela monte à 71% qui partent pour les 2/3 dans les pays en voie de développement.
On a affaire a ce que Michalet appelle des “firme primaire”, c’est à dire des investissement envers le secteur primaire, on est dans le configuration “internationale” (qui est principalement des échanges de B&S avec débat sur protectionnisme/libéralisme.
Les conséquences de la WW1
Elle amène une forte contraction de l’activité économique avec un besoin de reconstruire l’Europe dévasté par la Guerre avec l’aide des USA qui deviennent les créanciers de l’Europe. La crise de 29 avec sa déflation impact d’autant plus les économie qui essayer de repartir et qui vont se tourner vers leurs colonies comme avec les accords d’Ottawa de 1932 ou les importation britannique de ses colonies passent de 30 à 70%. Parallèlement un arsenal protectionniste est déployé au travers du monde avec une guerre des monnaie pour dévaluer plus que les autres afin d’améliorer la compétitivité prix des exportations pour relancer l’activité économique hormis au sein des zones monétaires.
Le déclin de l’Europe et de la GB
Il commence au XX où ma GB passe de l’ailier du monde à mauvais élève de la 2° RI du fait de son conservatisme technologie (pas d’investissement dans de grandes écoles d’ingénieurs) et une priorité mise sur la sphère financière qui va être rentable sur le court terme mais va permettre de financer la croissance américaine qui deviendra alors le premier exportateur mondiale. Le manque d’investissement dans la R&D est la cause du déclin européen car les Etats-Unis eux aussi développe parallèlement leur sphère financière.
La progression du CI après le WW2
Une progression très forte du commerce internationale grâce à la stabilité monétaire apporté par les accords de Bretton Woods et pression anti-protectioniste des institutions nouvelles comme le FMI de 1944 ou encore le GATT de 1947 ou encore le traité de Rome de 1957 montrant la voie de la future union européenne en créant la CEE. en 1960, les USA possède, au travers de leurs firme plus de la moitié des IDE à l’époque où le tiers monde est, pour reprendre les mots de sauvy “ignoré, exploité, méprisé” car le système nordiste a réussis à résoudre le problème de l’état stationnaire racardien,
C’est aussi l’époque de la révolution des NPIA (CS, Sing, HK, Taï) qui passe d’un stratégie de substitutions aux importation, à une stratégie de promotion aux exportations annonciatrice de leur futur succès.
Le CI de nos jours
Aujourd’hui 4 jours d’échange financier correspondent à 1 an d’échanges commerciaux. Les chocs pétroliers ont amorcé notre entré dans la réelle mondialisation qui est celle de la 3° RI (NTIC) où les frais de transport sont devenus négligeable par l’apparition de la révolution qu’est le container réglant définitivement le problème de la “rupture de charge”, mais aussi la fin de Bretton Woods qui laisse la possibilité aux pays de s’endetter (économie d’endettement). Les produits échange sont maintenant des biens manufacturé et des services en grande majorité avec un commerce captif (intra-firme) de plus en plus important qui biaise les calculs du commerce internationale et ceux des accords régionaux. on atteint des taux d’ouverture records qui sont à près de 47% en Allemagne en 2008.
La progression des IDE suite a 1982
Les IDE explosent pour atteindre plus de 1700 milliards de dollars en 2007 avec l’essor des fusions-acquisistions qui fait passé d’un configuration multinationale à financière dans la classification de Michalet par la déréglementation des marchés de capitaux (OPA) notamment en chine qui grâce a sa forte démographie possède une armé de réserve industrielle qui cause la stabilité des salaires dans le monde par la menace de délocalisation.
L’émergence de l’Asie
L’évolution des vocabulaire est la meilleurs preuve alors que l’on parlais de pays “sous-développés”, il y a encore quelques années les dragons asiatique sont maintenant devenus des pays émergent et même pour certains des BRICS c’est à dire des pays ultra prometteur dans les années 1990.
La Chine devient le premier exportateur mondiale au sein de cette économie multipolaire ou la production est éclaté au travers du monde avec des suds toujours plus intégré dans le jeu économique mondiale du fait des avenantes de sa production low-cost.
La crise de 2008
Les conséquences de la crise sont encore difficilement imaginable mais nombre d’économiste voit poindre les début d’une sorte de “démondialisation” pour reprendre les mot de Jacques Saphir dans “La démobilisation” de 2011.
Le CI au XVI et XVII
A cet époque mercantiliste le CI était vus comme uniquement conflictuel car il représenté un jeu a somme nul comme le monde Antoine de Montchrestien quand il dis “Nul ne gagne que d’autres en perdent” dans son Traité d’économie Politique de 1615
Il faudra attendre David Hume pour le commerce internationale soit vus comme un jeu à somme positive dans “De la balance des pouvoir” de 1752 enrichissant les nations et participant activement à la paix car comme le dis Montesquieu dans “De l’esprit des lois”, “partout où il y a des moeurs douce, il y a du commerce et partout où il y a du commerce il y a des moeurs douces”.
Citation de Smith sur le commerce internationale
“Si un pays étrangers peut nous fournir une marchandise à meilleur marché que nous ne sommes en état de l’établir nous même, il vaut mieux que nous la lui achetions avec quelques partie du produit de notre propre industrie, employée dans le genre dans lequel nous avons quelques avantages”.
Les pays ont alors intérêt a s’ouvrir au commerce internationale en se spécialisant dans le domaine ou elle est relativement la meilleure afin de trouver de nouveaux débouchés mondiaux et augmente la productivité par une plus grande division du travail.
Ricardo et le Commerce internationale
Avec son exemple du draps et du vin avec des hypothèse de couts de transport négligeable, de mobilité des produit et de mobilité uniquement nationale des acteurs travail au sein d’une économie de rendement constant. Ricardo nous montre que les pays ont intérêt à se spécialiser dans le secteur ou elle possède des avantages comparatifs relativement aux autres économies, pour cela il faut faire un comparaison en terme de couts relatifs cela procure un bien pour les 2 parties.