Emplois Flashcards
définition du chômage
Un chômeur est une personne qui n’as pas de travail depuis au moins une semaine, qui en recherche un activement et qui est disponible dans les 15 jours suivant selon le BIT. Mais cette définition du chômage peut varier selon les ciriers retenus afin de le calculer et des divergence de définition permettent de créer ce que Freysinnet appelle un “halo du chômage”. la création en 1958 de UNEDIC/ASSEDIC et en 1967 de l’ANPE permettra en 2008 la fusion pour créer Pôle emploi.
On à deux grille de lecture du chômage:
- Celle des néoclassique qui prétendent que le chômage est volontaire car selon Marshall dans “Principe d’économie politique” de 1890, les personne qui ne travail le font après un calcul coûts/avantages car le salaire prétendus ne permet pas de combler la désutilité marginale au travail Pigou lui mets en cause les rigidité du salaires à la baisse avec le poids des syndicats et Rueff dans “L’assurance chômage: cause de chômage permanent” en 1931.
- Celle des keynésiens dans “théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie” de 1936, pour qui le chômage est volontaire car il résulte d’un manque de demande effective qu’il faut à tout prix relancer pour le faire diminuer selon la courbe de Philips.
Explication du chômage
- Le chômage frictionnel qui est l’appariement entre l’offre et la demande, c’est à dire le temps nécéssaire pour un chômeur de trouver un nouveau travail qui correspond à ses ambitions et ses qualités, c’est un chômage incompressible qui correspond à une situation de plein emploi.
- Chômage dus à la conjoncture on doit en période de crise ou de crise pouvoir adapter l’offre et la demande c’est à dire passer pour du chômage afin de jouer sur l’effet volume tout en prévoyant les anticipations.
- Le chômage est aussi une question de démographie car si il y a un afflux massif de personne active sur le marchés sur une période sans que le nombre de retraité égale cet afflux alors cela entrainera légitimement du chômage, c’est la composition de la population qui dictera cela comme le montre l’exemple allemand qui connait des taux de chômage faible grâce à une démographie peut dynamique.
- Le rôle du progrès technique dans le chômage est une des question les plus débattu de l’économie entre une vision à la Sauvy avec sa théorie du déversement (“dans tous les pays ou la productivité a augmenté, le nombre d’emploi a également augmenté”) et celle de Ricardo ou Marx qui y voit tout bonnement un remplacement de la main d’oeuvre et produira une crise par manque de débouchés. Fourastier dans “Les trente glorieuses ou la révolution invisible” de 1979, lui montre que l’évolution de l’emploi reviens de la différence entre la variation du PIB et de la variation de la productivité. Sherwin Rosen mets en avant “l’effet superstar” en 1981 pour montrer que les NTIC avait polarisé le marchés du travail avec d’un cotés les qualifié demandé et de l’autres les nom qualifiés qui sont les emplois nomades en opposition avec les emplois sédentaires. Même si les études montre que la mondialisation n’est en réalité coupable que d’une infime partie du problème du chômage de nos jours comme le montre Barlet.
Evolution du chaomage en France
On passe de 1% de chômeur dans les années 60 à 6% dans les années 80 du fait des chocs pétrolier, de a progression de la population active et la question du chômage devient alors principale et l’ont s’appuis sur la courbe de Philips pour essayer résorber le problème, il attendra son sommet historique en 1994 avec 11,2% puis baisser en 2001 et 2008 pour ensuite repartir à la hausse jusqu’à récemment.
Le chômage à touche tous les pays de l’OCDE après les chocs pétroliers, mais les réactions n’ont pas été les même, il baisse vite aux USA alors qu’en France et en RFA il continus d’augmenté jusqu’à 8%. Cette hétérogénéité peut s’expliquer d’une part par la forte flexibilité du marché américain et des politiques monétaires volontariste de quantitative easing cumulé aux différente politiques de relance que ce soit le New Deal de Roosevelt en 1933 sur le plan de relance sous Obama, au détriment de la dette public alors qu’en Europe on mets en place le PSC en 1997 et choisie la politique de quantitative easing après la crise en 2015, bien trop tardivement.
De plus le chômage touche différemment les catégories de travailleurs selon les pays, ce sont les jeunes qui sont souvent le plus touchés en Espagne avec plus de 50% des jeunes de moins de 25 touchés par le chômage en 2013, alors que ce n’était pas cette structure la en Allemagne surement dus au paradoxe d’Anderson plus ou moins important dans certains pays qui nuit dès le début à l’employabilité des jeunes et ruine d’avance une économie.
Le chômage d’équilibre
C’est Friedman qui en 1967 parle le premier de “chômage naturel” qui deviendra par la suite le “chômage d’équilibre” sous postulat de rationalité des agents et d’imperfection des marchés.
- La théorie du déséquilibre, expliqué par Malinvaud nous dis que le commissaire priseur walrasien n’existe pas sur le marché du travail car il existe des rigidité qui oblige alors l’équilibre par le volume et relie les théorie keynésienne en hypothéquant soit un manque de demande pour rétablir le chômage keynésien, soit une rentabilité et un cout du travail trop contraignant pour se rapprocher de la théorie néoclassique.
- Le salaire d’efficience qui est théorisé par Akerlof en 1982 selon une approche de don/contre-don, en effet la générosité du patron est vus comme un don au travailleur qui mettra tout en oeuvre pour améliorer son travail dans une sorte de contre-don, aussi par peur de décevoir et de perdre ce travail qui est mieux payé que ce que le travailleur devrait être payé. En outre, ici c’est l’employeur qui décide d’introduire une rigidité à la baisse des salaires qui crée du chômage involontaire afin de se prémunir du risque de turn-over ou de fuite des talents vers des entreprises concurrentes.
- La théorie des insiders/outsiders de Snower et Lindbeck de 1985 qui montre que les insiders (personne en emploi) possède une capital humain et des syndicats et possède un poids quant aux risque de turn-over qui permet de faire pression sur la direction qui peut céder car elle ne sait pas ce que valent les chômeur qui sont en demande et qui pourraient travailler pour moins. on peut compléter cette théorie par les effets d’hystéries de Blanchard et Summer qui dit que en période de récession le nombre de insiders diminue et donc leur pouvoir lui augmente pour réclamer toujours plus d’augmentation de salaires d’autant plus que les outsiders (chômeurs) sont atteints par une perte d’employabilité dus à l’obsolescence de leurs qualifications d’où e chômage structurel.
- La théorie du Job search de Stiller en 1962 qui introduit la notion de “salaire de réserve” c’est le salaire en dessous duquel la désutilité marginale au travail n’est pas compensé.
- Le modèle WS-PS de Layard-Nickel-Jackman de 1991 avec une information imparfaite et une structure de marché oligopolistique qui nous dit que pour lutter contre le chômage il faut déplace l’une des deux courbes vers la gauche WS (représentant la fixation des salaires comme résultat d’une négocia- tion entre employeurs et syndicats) ou PS (résumant le côté demande de travail et le processus de détermination des prix) en diminuant le couts du travail ou en diminuant les salaires comme avec la passage du CICE au “pacte de responsabilité et de solidarité” proposé par Hollande visant à alléger de 30 milliards les impôts et les cotisations sociale patronale pour relancer l’activité.
Cause du chômage en France et en Europe
A la différence des USA, l’Europe connait des taux de chômage élevé ce qui s’explique par une allocation chômage plus importante en France qui produit des “trappes à l’inactivité” et un SMIC trop élevé pour égaliser offre et demande. Fitoussi dans “le débat interdit” de 1995 lui met en avant la politique exagérément restrictive en Europe pour lutter contre ce qu’il appelle l’inflation fantôme et reprend des idées keynésienne selon lequel il faut de l’inflation pour lutter contre le chômage et c’est pas un problème du poins ça l’est moins que le chômage lui-même car on sait la combattre sur le court terme et non le chômage.
Actuellement l’Etat doit se contenter d’intervenir sur le marché par des reformes dites structurelles afin de corriger les imperfections du marchés comme l’inadéquation de l’offre et de la demande et les allocation doivent respecter “la règles des 3I” qui représente indemnisé, informer et inciter.
Les fondements de la politique structurelle
Les politiques structurelles visent à améliorer la compétitivité et favoriser la croissance économique en agissant sur l’offre que ce soit au niveau de travailleur, du capital ou du progrès technique avec le rôle de l’innovation, des institution (North) et de la connaissance et les externalités positive notamment le capital humain. Elle part du principe que “les profits d’aujourd’hui sont les investissements de demain et les emplois d’après demain” selon la théorème de Schmidt.
Les politiques industrielles
C’est l’ensemble des actions de l’Etat visant la promotion de l’activité industrielle nationale qui oppose la vison dun Etat “volontariste” qui organise l’appareil productif et celui d’un Etat mettant en place les meilleurs conditions pour laisser jouer le marchés et la concurrence.
Dès le 17° Colbert voyait l’importance de mettre en place des infrastructure (réseaux de transport, énergie, télécommunications deviendront les secteurs des “champions nationaux” du plan Monnet basé sur un planification indicative) qui relève des biens publics, des barrières douanière… Et Gerschenkron dans sa théorie des substitut dit que l’Etat doit mettre des barrières pour que les late comers puisse profiter des substitut pour rattraper les PDEM en laissant “murir” l’industrie nationale.
Cependant la mondialisation remet en question ces stratégies car la nationalité des entreprises n’as plus réellement de sens du fait de la DIPP et les Etats doivent donc créer des conditions propice à l’installation sur le territoire de nouvelles entreprises comme le montre la vague de privatisation commencé en 1986 qui substitut les politiques industrielles aux politiques de la concurrence ou de l’attractivité territoriale grappe à l’amélioration des infrastructures pour réduire les couts de transactions, une main d’oeuvre hautement qualifiés et une stabilité politique.
La politique industrielle européenne commence réellement en 1993 avec la mise en place du marché commun par la valorisation de la concurrence et la lutte contre les monopoles avec une diminution des aides de l’Etat aux entreprises.
Les politiques de la concurrence
Elles se basent sur 4 grands piliers qui sont la lutte contre les ententes anti-concurrentielles, la lutte contre les abus de positions dominantes, le contrôle des concentrations et la contrôles des aides publiques.
- La CPP qui est selon les mots de Walras “un état idéal et non réel” permet selon Marshall de maximiser le surplus du consommateur avec des biens et des services de meilleurs qualités et à des prix plus faible que sans cette CPP. avec la théorie de la “main invisible” de Smith qui dit que les agents en cherchant leurs intérêt égoïstement contribue à l’intérêt général. C’est un modèle très rude ou seul les plus aptes peuvent survivre comme dans la théorie de la sélection adverse de Darwin dans “De l’origine des espèces” de 1859), c’est à dire une compétition ou “l’enfer c’est l’autre” d’où les stratégies de recherche de rampes de monopole et de pratiques anticoncurrentielle.
- Les stratégies anti-concurrentielle agressive comme les prix prédateurs qui empêche les autres de rentrer sur le marché, les cartels sur les prix pour éviter justement une “guerre des prix” afin de transférer le surplus du consommateur en un surplus du producteur qui représente une réelle perte sèche sociale qui se doit d’être combattus comme avec le Sherman Antitrust Act de 1890 ou le “programme de clémence européen” de 1996 qui immunise celui qui dénonce le cartel même si il en fait partis. Il faut aussi penser à la notion de contestabilité pour laisser place à ce que l’ont pourrait appeler des monopoles naturel, c’est le fait de ne mettre aucune barrière à l’entré ou à la sortie pour éviter l’arrivé d’un concurrent.
Les politiques de l’emploi
Pour satisfaire l’objectif de chômage de plein-emploi se confronte au problème du chômage structurel qui est maintenant la cible des politiques de l’emploi qui ont connus un tout nouveau visage depuis 1980 avec des politiques passives (allocation) et des politiques actives (agissant sur la qualité de l’offre).
Après le premier choc pétrolier Chirac mène une politiques active pour l’emploi avec des embauches de fonctionnaires, des sages d’insertions, baisse de la durée de travail, réduction de l’âge de départ à la retrait et 5° semaine de congés payés, puis suivra une constante politique de libéralisation pour favoriser la flexibilité quantitative externe (exonération des charges fiscales, mise en place des CDD, intérim, temps partiels..) qui vise à toujours plus de flexicurité.