Tolérance aux opoïdes Flashcards
Mécanisme de tolérance aigue
Site de phosphorylation des kinases = tolérance aigue aux analgésiques opiacés dont le fentanyl.
bêta-arrestine impliqué dans l’internalisation des récepteurs aux opioïdes, donc diminue la durée de l’effet à la morphine. tolérance aigue aux analgésiques opiacés.
Pour les récepteurs Mu:
le fentanyl et la morphine cause de la tolérance.
Mais les GRK sont uniquement impliqué dans la tolérance aigue au fentanyl pour les récepteurs Mu.
La tolérance à la morphine sur les récepteurs Mor dépend de la kinase JNK
Les ligands du DOR (delta) engendrent différents niveaux de tolérance analgésique:
- Deltorphine et TIPP permettent le recyclage des récepteurs delta se qui permet de produire MOINS de tolérance que les cellules traité par le SNC-80 et le SB ne permettent pas le recyclage (donc produisent l’accumulation intracellulaire des récepteurs.
Mécanisme de tolérance chronique
Dose chronique de sufentanyl = augmente l’expression de la bêta-arrestine2
Les souris déficiences en sites de phosphorylation aux kinase aux aussi moins de tolérance chronique, donc aussi impliqué dans la tolérance chronique.
Mécanisme d’hyperalgésie aux opioïdes.
- Administration prolongée de morphine = engendre la libération de CCK dans la portion ventromédiale du bulbe rachidien (RVM) ce qui active les voies facilitatrices descendantes de la douleur.
=> L’activation des voies facilitatrices descendantes de la douleur par CCK (qui se lie au récepteur CCK2) augmente la libération de neuropeptides proalgiques par les neurones afférents primaires (Glu, Substance P, CGRP), de PGE2 (pro-inflammatoire) et Dynorphine dans la moelle épinière.
** Effet bloqué chez les souris KO Dynorphine. Donc l’administration prolongé de morphine engendre la libération de Dynorphine qui a son tour va activer différents mécanismes de sensibilisation douloureuse.
*** La Dynorphine a une affinité pour les Mor et Kor par l’action de ces 5 premiers acides aminés qui sont communs avec la leu-enképhaline.
MAIS si clivage de l’Acide aminé initial (TYR), la dynorphine perd son affinité pour Mor et Kor et devient inactive, MAIS le métabolite lie maintenant les récepteurs à la bradykinine (B2) =====> Sensibilisation douloureuse. - Si donne des antagonistes du récepteurs CCK2 = empêche l’hyperalgésie
- Si inhibe les cellules facilitatrices de la douleur du RVM et lésion de leur axone = inhibent aussi l’hyperalgésie.