Thème 6 - Bloc 3 - L’autorépétition Flashcards

1
Q

Quels sont les deux types d’autorépétition?

A

Type 1 (maintien sans élaboration)

Type 2 (élaboration de la trace)

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
2
Q

Qu’est-ce que l’autorépétition de type 1 (maintien sans élaboration)?

A

• Traitement permettant de maintenir l’information en mémoire
sans qu’elle soit élaborée.
• Ce type de traitement réfère à l’autorépétition qui permet de
garder une information active en MCT (abordée dans le cours
sur la mémoire à court terme).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
3
Q

Qu’est-ce que l’autorépétition de type 2 (élaboration de la trace)?

A

• Traitement permettant de rendre la trace mnésique plus riche
grâce à l’élaboration. Il existe 2 types d’élaboration :
‒ Élaboration distinctive
‒ Élaboration relationnelle

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
4
Q

Pourquoi le traitement sémantique permet-il de mieux rappeler l’information ?

A

À cause de l’élaboration (richesse) de la trace mnésique.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
5
Q

À quoi consiste l’élaboration de la trace?

A

L’élaboration consiste à établir des liens entre la nouvelle information et l’information en MLT de deux façons :
‒ en reliant la nouvelle information à nos connaissances générales
‒ en reliant la nouvelle information au contexte dans lequel elle est présentée

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
6
Q

Encodage

Lorsque le traitement est structural et que la trace en mémoire est peu élaborée…

A

… c’est-à-dire qu’aucun ou très peu de liens sont créés entre l’item et son contexte.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
7
Q

Encodage

Lorsque le traitement est phonétique et que la trace en mémoire est peu élaborée…

A

… La forte distance sémantique entre le mot « pomme » et le contexte « rhum » crée un lien plutôt faible et peu durable en MLT.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
8
Q

Encodage

Lorsque le traitement est sémantique et que la trace en mémoire est élaborée…

A

… c’est-à-dire que plusieurs liens sont créés entre l’item et son contexte. Les éléments du contexte « rouge » et « arbre » sont encodés avec le mot « pomme » en MLT.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
9
Q

Rappel

Lorsque le traitement est structural et l’encodage peu élaboré…

A

… le mot est difficile à rappeler parce que peu d’indices* sont
disponibles afin d’aider la récupération : peu d’items lui ont été associés lors de l’encodage.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
10
Q

Rappel

Lorsque le traitement est phonétique et un encodage un peu plus élaboré…

A

… le lien faible entre le contexte et le mot fait du contexte un indice
peu efficace pour le rappel.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
11
Q

Rappel

Lorsque le traitement est sémantique et que l’encodage est beaucoup plus élaboré…

A

… le mot est plus facile à rappeler parce que les éléments du contexte ayant été encodés avec ce mot peuvent aider la récupération. Ces éléments servent d’aide-mémoire lors du rappel.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
12
Q

Outre la profondeur de traitement, plusieurs facteurs influencent la richesse de la trace en mémoire. Lequels?

A

‒ La compatibilité avec le contexte
‒ La complexité du contexte
‒ La précision du contexte

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
13
Q

De quoi dépend le niveau d’élaboration (la richesse de la trace) dans l’expérience de Craik et Tulving (1975)?

A

Dépend de la compatibilité entre l’item traité et le contexte.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
14
Q

Plus le contexte est complexe…

A

… plus la performance est élevée.

Mais cela s’applique seulement lorsqu’il y a possibilité d’élaboration (condition oui).

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
15
Q

Par quoi la précision du contexte est-elle définie?

A

Par la pertinence du contexte par rapport à l’information qui doit être mémorisée.

How well did you know this?
1
Not at all
2
3
4
5
Perfectly
16
Q

Précision du contexte

De quoi dépend la richesse de la trace?

A

Elle dépend de la précision du contexte par rapport à l’item qui doit être traité.

Pour être efficace, une élaboration doit clarifier le sens ou la pertinence de l’item-cible.

17
Q

Pourquoi est-ce que le traitement sémantique utilisé dans les tâches d’orientation permet généralement de créer une trace distincte en mémoire?

A

Car le contexte qui est encodé avec l’item lui est propre.

Il s’agit de l’élaboration distinctive.

18
Q

Que permet l’élaboration subjective?

A

Elle permet de diminuer la confusion entre les items à mémoriser puisque chacun d’entre eux est encodé avec un contexte distinct.

Plus il y a d’élaboration, plus l’item se distinguera des autres items.

19
Q

Qu’est-ce que l’encodage relationnel?

A

Consiste à organiser ou à regrouper les items étudiés autour de certaines catégories définies par un attribut perceptif, associatif ou
conceptuel.

20
Q

Qu’est-ce qu’une structure conceptuelle?

A

Inclusion de classes

21
Q

Qu’est-ce qu’une structure associative?

A

Liens basés sur le partage d’attributs divers.

22
Q

Est-ce que la structure améliore le rappel?

A

Oui, elle l’améliore nettement.

23
Q

Est-ce que les listes structurées associatives et conceptuelles sont mieux rappelées que les listes non structurées (aléatoire)?

A

Oui

24
Q

Est-ce que le traitement des liens sémantiques entre les items (encodage relationnel) améliore le rappel?

A

Oui

25
Q

Vrai ou Faux

Lors d’une tâche de rappel, l’autorépétition de type 1 améliore la performance?

A

Faux. C’est l’autorépétition de type 2 (élaboration de la trace) qui améliore la performance.

26
Q

Vrai ou Faux

Les mots qui ont été autorépétés plus longtemps devraient être mieux rappelés que les mots qui ont été autorépétés moins longtemps.

A

Vrai

27
Q

Vrai ou Faux

La quantité d’autorépétition de type 1 est un bon prédicteur de la performance.

A

Faux. La quantité d’autorépétition de type I n’est pas un bon prédicteur de la performance.