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Neuropsycho > Semaine 12 : cerveau masculin et féminin > Flashcards

Semaine 12 : cerveau masculin et féminin Flashcards

1
Q

Définis le terme «sexe de l’individu»

A

Fait référence à l’état biologique (chromosome, hormone et caractéristiques sexuelles secondaires)

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Q

Définis le terme «genre»

A

l’expression de comportements reconnus par la culture correspondant à ceux d’un homme ou d’une femme (interaction, personnalité, attentes de la société)
ASPECT SOCIAL

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3
Q

Définis le terme «identité de genre»

A

Notre propre perception de notre genre. L’expérience subjective que fait l’individu de son genre

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4
Q

V/F : l’identité de genre correspond toujours au sexe biologique. Explique la réponse

A

Faux! Certaines personnes naissent biologiquement femme, mais s’identifie comme un homme

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5
Q

Définis le terme «différences sexuelles». Donne un exemple

A

Moyennes différentes chez les mâles et les femelles. Ils sont exposés à la même situaiton, mais la vive différemment. Ex : seuil de la douleur

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6
Q

Définis le terme «dimorphisme sexuel». Donne un exemple

A

La différence de structure ou de comportement propre à un sexe.
Ex : chez les oiseaux, c’est le mâle qui fait la parade nuptiale. Ainsi, il a besoin d’un plumage coloré et un organe vocal développé pour attiré les femelles. Ces caractéristiques ne se retrouvent pas chez la femelle puisqu’elle n’en a pas besoin.

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7
Q

Définis le terme «hormone»

A

C’est un messager chimique synthétisé et libéré par une glande endocrine qui utilise le flux sanguin pour parcourir la distance qui sépare la source d’émission de la cible.

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8
Q

Dans ce chapitre, quel type d’hormone nous intéresse particulièrement? Définis le terme et son rôle dans l’organisme

A

les hormones gonadiques. Ces hormones donnent les instructions qui se traduisent en caractères sexuelles secondaires. Elles jouent un rôle dans les fonctions reproductrices, la fécondation, cycle menstruel et la naissance

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9
Q

Nommes les principales hormones gonadiques

A

Testostérone, oestrogène et progestérone

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10
Q

V/F : les hormones stéroïdiennes sont un synonyme d’hormones gonadiques

A

Vrai

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11
Q

V/F : les hormones stéroïdiennes sont récrétés par les gonades seulement.

A

Faux, les glandes surrénales en produisent aussi

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12
Q

Explique la relation entre le cerveau et les gonades.

A

au début, il y a une influence sensorielle et psychologique de notre environnement qui envoie un message au cerveau de libérer des hormones. L’hypothalamus libère du GnRH en direction de l’hypophyse. En réponse à cette sécrétion, l’hypophyse envoie LH et le FSH vers les organes cibles (gonades). Les gonades libèrent de l’estrogène et de la testostérone. Une rétroaction ou feedback est envoyée au cerveau pour cesser la libération d’hormone de l’hypothalamus.

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13
Q

Explique l’action des hormones par la voie directe

A

Le stéroïde a un effet sur les synapses en quelques secondes. Elles modifient la synthèse, la libération, et la recapture des neurotransmetteurs ce qui a comme conséquence de modifier les messages chimiques envoyer à la prochaine synapse. Il y a aussi une altération de la perméabilité de la membrane

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14
Q

Explique l’action des hormones par la voie indirect

A

Le stéroïde (l’oestrogène) est libéré pendant des minutes, même des heures. Il se colle sur les récepteurs à oestrogène pour entrer dans le noyau de la cellule. Une fois à l’intérieur, il se lit à l’ADN pour déclencher ou inhiber la transcription de l’ARN.

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15
Q

À quoi sert la transcription? (action indirect)

A

Elle sert à copier un brin d’ADN sur un brin d’ARN messager qui lui, peut sortir du noyau vers d’autres parties de la cellule qui sont impliqués dans la synthèse des protéines.

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16
Q

Quels sont les impacts de l’action indirect des stéroïdes sur les neurones sensibles (neurone, noyau, synapse et dendrite)

A

neurone : augmentation de la taille
noyau : augmentation du volume
Dendrite : augmentation de la longueur, nombre de ramification et leur densité
synapse : augmentation du nombre

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17
Q

Quel neurones sont sensibles aux hormones stéroïdiennes chez le rat? Nomme leur fonction

A

Hypothalamus et hypophyse
Aire préoptique : sécrétion GnRH
Septum : humeur, rage et plaisir sexuel

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18
Q

Nomme les régions riches en récepteurs d’hormones

stéroïdiennes chez la femme et chez l’homme. Nomme leur fonction

A

Femme : cx frontal (fct exécutives), cx fronto-orbital (émotion), gyrus pré-central (motricité), gyrus supramarginal postérieur (lecture), cx cingulaire antérieur (détection erreur et conflit), cx cingulaire postérieur (émotion), Gyrus precuneus (représentation du corps) et SCLC: Calcarine supérieure (vision)

Homme : gyrus angulaire (mathématique) et cx frontal médian (fct exécutives)

Différence sexuelle : 65%

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19
Q

Nommes les régions pauvres en récepteurs d’hormones stéroïdiennes chez la femme et chez l’hommes en nommant leur fonction

A

Femme : cx occipito-latéral supérieur (vision)
Homme : Subcallosal (olfaction)
Différence sexuelle : 15%

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20
Q

Durant la période prénatal, les hormones ont un rôle d’_______. Durant l’adolescence, les hormones ont un rôle d’_________

A

organisation et activation

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21
Q

Explique la courbe d’hormone durant la période prénatal

A

il y a une forte dose de testostérone dans l’organisation cérébral pour différencier le cerveau masculin.

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22
Q

Explique la courbe d’hormone durant l’adolescence

A

Il y a une augmentation de la testostérone et le début des cycles menstruels. Les caractères sexuels secondaires se développent

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23
Q

V/F : la masculinisation du cerveau par la testostérone est irréversible et permanente

A

Vrai

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24
Q

V/F : la fonction d’organisation s’arrête après la naissance.

A

Faux, elle se poursuit jusqu’à l’adolescence

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25
Q

V/F : oestrogène est lié à la période d’organisation cérébrale

A

Faux, c’est la testostérone

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26
Q

L’activation est un rôle qui se produit lors de la ________.
V/F : Les effets qu’elle entraine sont réversibles et transitoires

A

puberté

Vrai

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27
Q

Explique le graphique du cycle menstruel

A

Au moment des règles, le niveau d’oestrogène et de progestérone sont bas. Durant la phase folliculaire, l’oestrogène augmente 1 semaine avant l’ovulation. Durant ce temps, la progestérone est n’augmente pas. L’oestrogène atteint son maximum quelques jours avant l’ovulation tandis que la progestérone l’atteint quelques jours après. Après l’ovulation, l’oestrogène diminue pour se stabilisé durant la phase lutéale. À ce même moment, la progestérone se stabilise à un haut seuil. Quelques jours avant les menstruations, les deux hormones diminuent drastiquement.

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28
Q

V/F : le FSH stimule l’ovulation

A

Faux, c’est le LH

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29
Q

Quel est le rôle du FSH

A

la maturation de l’ovule ou spermatozoïdes

30
Q

V/F : la phase folliculaire précède l’ovulation et la phase latéale suit l’ovulation

A

Vrai

31
Q

Durant la phase folliculaire, les épines dendritiques ______. Durant la phase latéale, les épines dendritques _______

A

augmente en nombre, diminue en nombre

32
Q

Quel est le rôle du gène SRY? Où est-il localisé?

A

La transformation des gonades en testicule. Sans celui-ci, l’embryon se développera en sexe féminin. Il est localisé sur le bras court du chromosome Y

33
Q

Explique la variation du niveau de testostérone durant la première année de vie.

A

Les garçons naissent avec un taux plus élevé de testo qui diminue rapidement durant la première journée. Il augmente après la première semaine pour atteindre un pic vers 3-4 mois. Il diminue ensuite jusqu’à 1 an.

34
Q

Un taux élevé de testo durant la période prénatal et néonatal est associé à une augmentation du risque d’_____

A

autisme

35
Q

Un haut taux de testo foetal serait associé positivement à : (3 points) et négativement à : (3 points)

A

positivement : intérêt restreint, systématisation et attention aux détails
négativement : fréquence de contact visuel, dvlp du vocabulaire, qualité des relations et empathie

C’est pourquoi on dit que la testo serait associé à l’autisme. Ce serait un effet masculinisant.

36
Q

Durant l’enfance et l’adolescence, le volume cérébral total serait 10% plus large pour les ______

A

hommes

37
Q

La vague de maturation cortical débute dans le _______ et se propage dans le lobe ______

A

gyrus frontal supérieur, frontal

38
Q

Il y aurait un dimorphisme sexuelle dans la libération de ______ qui est la cause du _____ et de l’abus de substance.

A

dopamine, TDAH.

39
Q

Les différences structurelles nous laisse croire que les filles seraient plus ______ et les garçons ______

a) social et moqueur
b) moteur et social
c) social et moteur
d) empathique et agressif

A

social et moteur

40
Q

Entre 6 et 18 ans, le cerveau masculin est encore en réorganisation. Ainsi, il y aura une diminution (19%) du volume de la matière ____.

A

grise

41
Q

V/F : le volume de matière grise diminue seulement chez les garçons entre 6 et 18 ans

A

Faux, chez les filles aussi, mais en moins grande quantité (19% chez les garçons vs 4% chez les filles)

42
Q

Entre 6 et 18 ans, la matière _____ augmente de 45% et de 54% dans le corps calleux. Chez quel sexe retrouve-t-on cette augmentation?

A

blanche et homme

43
Q

V/F : l’augmentation de matière blanche est plus importante chez la fille que le garçon

A

Faux, c’est le contraire. La matière blanche augmente de 17%-27% chez les filles

44
Q

Nomme les 3 hypothèses pour expliquer les différences structurelles de la MB et MG
Quelle hypothèse a été retenu?

A

1) plus d’élagage dendritique chez les garçons qui diminue la MG
2)myélinisation et augmentation de la taille des axones
3)prolifération des cellules gliales
Pas d’hypothèse de retenu, c’est plus la combinaison de tout ça

45
Q

V/F : les filles aurait une meilleure connectivité du système par défaut et les systèmes sensoriels ce qui permettrait une meilleure perception et coordination des actions motrices

A

Faux, c’est le garçon

46
Q

V/F : les filles auraient une augmentation de la connectivité des structures sous-corticales (amydale, hippocampe, striatum, thalamus) ce qui engendrait un meilleur traitement des émotions, la cognition sociale et la motivation

A

Vrai!

47
Q

Quelle est la grande conclusion par rapport aux différences entre les sexes?

A

Certe, il y a des différences, mais ça se ressemble beaucoup. On voit surtout des variations individuelles.
REVOIR LA DIAPO 32

48
Q

Le cerveau _____ est plus gros en volume et en poids. Pourquoi?

A

masculin, expliqué partiellement par les dimensions corporelles

49
Q

L’épaisseur cortical est plus importante dans le cerveau _____. Pourquoi?

A

féminin, lien entre la perte de MG et MB

50
Q

En volume absolue, qui a la plus de surface corticale?

A

les hommes

51
Q

Si on contrôle le volume total : qui a la plus grande surface corticale?

A

les femmes, donc les femmes auraient plus de gyrus.

52
Q

V/F : vu la plus petite surface cortical absolue chez la femme, il y a des mécanismes compensatoires.

A

Vrai

53
Q

V/F : les Volumes absolus et relatifs de MB augmentent plus avec l’âge chez l’homme

A

Vrai

54
Q

V/F : les Volumes relatifs de la MG diminuent plus avec l’âge chez la femme que chez l’homme alors que absolue reste stable

A

Faux, c’est chez l’homme

55
Q

Les femmes auraient une densité de MG supérieur dans quel structure cortical?

a) gyrus post-moteur
b) gyrus fusiforme et lingual
c) gyrus frontal supérieur

A

gyrus frontal supérieur - c

le gyrus frontal supérieur est associé à la conscience de soi

56
Q

Les hommes auraient une densité de MG supérieur dans quel structure cortical?

a) gyrus post-moteur
b) gyrus fusiforme et lingual
c) gyrus frontal supérieur

A

post-moteur ET fusiforme et lingual

le post-moteur est associé à la région somatosensorielle et le fusiforme et lingual à la reconnaissance et vision

57
Q

Avec l’âge, il y a une diminution ou augmentation du volume cérébal total? Celle-ci est plus prononcé chez l’homme ou la femme?

A

une diminution, chez l’homme

58
Q

Avec l’âge, il y a une diminution ou augmentation de la MG/MB? Est-elle plus importante chez l’homme ou à la femme?

A

diminution et aucune différence

59
Q

Lors de la ménopause, on observe une diminution du taux ______ ce qui peut entrainer une performance diminué sur _____ et ______

A

estrogène, fluidité verbal et mémoire épisodique

60
Q

Lors de l’andropause, on observe une diminution du taux de ________. Un haut taux est associé positivement à (4 éléments à nommer)

A

testotérone, fonctions exécutives, cognition globale, vitesse de traitement de l’information et capacités visuo-spatial

61
Q

L’hormonothérapie, chez la femme, améliore (3 éléments à nommer)

A

cognition global, attention/concentration et raisonnement abstrait

62
Q

L’hormonothérapie, chez l’homme, améliore (3 éléments à nommer)

A

capacités visuospatial, vitesse et temps d’exécution et mémoire de travail

63
Q

V/F : les hormones jouent un rôle mineur dans la différenciation cérébral entre les sexes

A

Faux

64
Q

V/F : il existe plusieurs différences structurelles et fonctionnelles entre les sexes au cours de la vie. Ces différences sont appuyés empiriquement et ne sont plus jamais contesté

A

Faux

65
Q

V/F : les facteurs psychosociaux interagissent avec les hormones et les facteurs génétiques

A

Vrai

66
Q

En ce qui concerne la douleur, généralement les femmes ont (3 éléments à nommé)

A

1 ) plus de douleur sévère et persistante

2) la douleur est plus anatomiquement diffuse
3) vivent des épisodes de douleurs plus fréquentes

67
Q

V/F : la douleur est plus prévalante chez les hommes. Ils sont plus sujet à des douleurs chroniques

A

Faux

68
Q

En classe, nous avons vu une étude qui s’interessait à l’intensité de la douleur vécu et aux aspects affectifs de la douleur. La variante importante dans cette étude était le sexe de l’expérimentateur. Rapporte les résultats de cette étude selon le sexe du participant et le sexe de l’expérimentateur

A

Les femmes rapporent globalement la même intensité de douleur peu importe le sexe de l’expérimentateur.
Les hommes expriment moins de douleur si l’expériementateur est de sexe opposé.
Les femmes ont ressenti une douleur plus intense que les hommes.

Conclusion : l’aspect social dans le vécu de la douleur nous amène à l’exprimer de façon différente

69
Q

définis la catastrophisation et son impact sur la douleur

A

Définition : réponses émotionnelles et cognitives négatives face à la douleur qui impliquent des éléments de magnification, d’impuissance et de pessimisme
Impact : prédicteur le plus robuste de la douleur et plus fréquent chez la femme

70
Q

en classe, nous avons vu une étude portant sur la catastrophisation et son impact sur les stratégies d’adaptation, l’évaluation des douleurs récentes et le seuil de douleur. Rapport les résultats de cette étude en fonction du sexe du participant.

A

Seuil de douleur : Les femmes appuient sur le bouton de douleur plus rapidement que les hommes
Évaluation des douleurs récentes : les femmes rapportent avoir vécu plus de douleur dans les 30 derniers jours
Stratégie d’adaptation : la seule stratégie qui est utilisé par les hommes est l’ignorance

71
Q

En classe, nous avons vu une étude portant sur la réponse cérébral lors d’une expérience de douleur. L’étape 1 consistait à analyser l’intensité de la douleur. L’étapge 2 consistait à rapporter son vécu de douleur. L’étape 3 consistait à comparer les patrons d’activation. Rapporte les résultats de ces 3 étapes

Quelle est la grande conclusion de cette étude?

A

Étape 1 : le temps de douleur est semblable entre les sexes, le pic de la douleur se situe à la même place sur le graphique, mais les femmes rapportent plus d’intensité
Étape 2 : les hommes et les femmes utilisent des termes comme «ça fait mal» pour décrire la douleur. Les femmes utilisent des mots qui n’ont pas été dutout utilisé par les hommes comme «bruler ou sensible»
Étape 3 : chez l’hommes, c’est surtout le cx cérébelleux et l’hippocampe qui s’active. Chez la femme, c’est le cx cingulaire MOYEN et et du cx préfrontal dorsolatéral

Conclusion : les différences entre les sexes se situent surtout au niveau des mots utilisés pour décrire la douleur et des structures cérébrales activés lors d’une période de douleur

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