Ressources personnelles Flashcards

1
Q

Traits vs ressources personnelles

A

traits: disposition/tendance à se sentir, percevoir et se comporter de façon cohérente dans le temps et entre les situations
ressources peuvent varier selon le temps et les situations!

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2
Q

ressources personnelles

A
  • font en sorte que les gens réagissent différemment
  • nombreuses pour faire face à une situation
  • vues comme des composantes stables de la personnalité
  • certaines caractéristiques de personnalité sont pathogènes alors que d’autres sont immunogènes (augmente le bien-être)
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3
Q

Rotter 1954 (lieu de contrôle)

A
  • Appartient en premier lieu à la psychologie clinique, à l’école cognitivo-comportementale
  • trait de personnalité relativement stables à travers les situations
  • Également à l’origine de la théorie de l’apprentissage social
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4
Q

question / réponse Rotter

A

Pourquoi les renforcements positifs, tels que les
récompenses et les félicitations, sont des motivations importantes chez certaines personnes et n’ont aucun effet sur d’autres?
- oui sensibles: s’attribue les causes ou le contrôle des évènements (lieu interne)
- non insensible: attribuer aux facteurs extérieurs (lieu externe)

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5
Q

Le lieu de contrôle

A

sentiment caractéristique qui diffère chez chacun et relatif à la croyance irrationnelle de maitriser ou non son existence (rôle de sa conduite)
- interne: croire que les évènements viennent de nous, incite à mettre des efforts
- externe: Croire que les événements qui surviennent dépendent
d’agents extérieurs, quand incontrôlable = plus de stress, souvent des catégories indépendantes d’une situation précise

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6
Q

attribution causale

A

en lien avec le LOC (à priori) et ensuite AC (à postériori)
vient de la psychologie sociale
processus qui consiste à donner plus de sens, à rechercher des causes à des sits physiques et cpts sociaux pour mieux comprendre et prédire l’environnement…
concernent des cpts et états émotionnels spécifiques

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7
Q

Biais d’attributions de l’attribution causale

A

1- biais acteur/observateur: la tendance générale à recourir à des explications internes pour expliquer les comportements observés chez autrui, et à recourir à des explications externes pour expliquer son propre comportement
2- biais auto-complaisance: la tendance à expliquer ses réussites par des facteurs internes (ses efforts, son intelligence), mais ses échecs par des facteurs externes (son manque de chance, la difficulté de la situation).
3- biais de disposition (erreur fondamentale d’attribution): lorsque nous faisons des attributions sur les actions d’une autre personne, nous risquons de trop insister sur le rôle des facteurs dispositionnels, tout en minimisant l’influence des facteurs situationnels
4- biais d’attribution hostile: les individus ont tendance à interpréter les comportements ambigus des autres comme étant hostiles plutôt que bénins.

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8
Q

Bandura et auto-efficacité (sentiment d’efficacité personnelle)

A

Bandura : dans la théorie de l’apprentissage social
Bandura définit l’auto-efficacité comme la confiance globale
en ses capacités de produire un niveau adéquat de
performance, perspective cognitive comportementale
- croyances des individus en leur capacité à mobiliser les ressources nécessaires pour maitriser certaines situations et réussir

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9
Q

Auto-efficacité comment

A
  • Les individus évaluent leur efficacité sur la base de
    leurs expériences antérieures de succès ou d’échecs
    dans une activité donnée mais aussi de l’observation
    des expériences d’autrui
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10
Q

différence entre LOC et A-E

A

le LOC renvoie plutôt à un trait de personnalité, le A-E fait référence
à la capacité que le sujet se donne afin de faire certains comportements

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11
Q

Auto-efficacité et changement de comportement

A

Un mécanisme puissant dans les processus de
changement personnel influençant fortement la façon
d’agir, de penser et de ressentir des personnes

quand se percoit inefficace = plus dur de provoquer des changements de cpts dans leur environnement (évite sits capacités plus élevées que les leurs)

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12
Q

Avoir un bon sentiment d’auto-efficacité

A

Posséder un sentiment de contrôle sur son
environnement et se fonde majoritairement sur les ressources internes et expériences antérieures
L’auto-efficacité est une ressource personnelle qui
protège l’individu contre les difficultés ou événements
stressants de la vie en ayant une influence positive sur les cpts de coping
Impact favorable sur le stress (santé et bien être) -

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13
Q

4 sources informations auto-efficacité (ce qui permet d’obtenir un degré)

A

1- expérience active de maitrise: est une des sources
les plus influentes sur la croyance en l’efficacité
personnelle car elle est fondée sur la maîtrise
personnelle des tâches à effectuer.
2- expérience vicariante/indirecte: consiste en un apprentissage qui repose sur le phénomène des comparaisons sociales, c’est-à-dire
sur l’observation
3- persuasion verbale: signifie qu’à travers des
suggestions, des avertissements, des conseils et des
interrogations, les participants peuvent être amenés
vers la croyance qu’ils possèdent le potentiel pour
effectuer avec succès le comportement
4- états physios et émotionnels: jouent un rôle dans le
sentiment d’efficacité personnelle

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14
Q

impuissance acquise (Seligman 1975)

A

ressource pathogène -> cpts acquis après des échecs répétés, se traduisant par l’abandon de tous efforts pour modifier la situation
en lien avec le locus et contrôle perçu: perception d’une absence de contrôle (pas les évènements désagréables)
Impact défavorable sur le stress (santé et bien
être)
* “Précurseur” de la dépression

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15
Q

résilience (Werner 1960)

A
  • “Une capacité d’une personne ou d’un groupe à bien
    se développer, à continuer à se projeter dans l’avenir
    en dépit d’événements déstabilisants, de conditions
    difficiles ou de traumatismes parfois sévères”
  • s’appuie sur des bases de diverses disciplines (psycho, socio, éthologie, médecine)
  • L’individu résilient évalue les situations, il leur
    donne une signification en fonction de son système de croyances et de valeurs
  • capacité de se développer avec succès dans des environments qui auraient plutôt dû être néfaste
  • capacité de se sortir d’une situation défavorable et de mener une vie satisfaisante
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16
Q

Résilience terme latin

A
  • Du latin resalire (re-sauter)
  • Vient de la physique où il désigne la capacité d’un
    matériau à reprendre sa forme après un choc ou une
    grande pression
17
Q

2 volets de la résilience

A

1- une résistance au traumatisme
2- une dynamique existentielle englobant le concept de l’adaptabilité par Lazarus (styles ajustement et habiletés de coping)

18
Q

Facteurs de résilience individuelle

A

plusieurs caractéristiques facilitent la résilience
* Habilités de résolution de problèmes
* Autonomie
* Capacités de distanciation face à un environnement perturbé
* Compétences sociales
* Empathie
* Altruisme
* Sociabilité, popularité
* Perception d’une relation positive avec un adulte

19
Q

Endurance (vigueur/hardiness) –> Kobassa

A

type de personnalité comportant 3 caractéristiques (contrôle, implication, défi)
Kobassa : modèle de la personnalité résistante au
stress…
* Cette personnalité résistante caractérise la personne engagée qui s’identifie à la tâche qui lui est dévolue, convaincue de pouvoir agir et garder la maitrise de ses résultats et qui est centrée sur le chang et les sits de défis et de nouveauté
* Fait face à l’ambiguité facilement, avec tolérance
* évènements indésirables sont des possibilités, pas des menaces (exam défi, pas menace)

20
Q

3 caractéristique de l’endurance

A

1- contrôle: croire que l’on peut influencer et
maitriser ce qui nous arrive (les évènements)
2- Implication: s’engager dans de nombreuses activités,
notamment sociales
3- défi: consiste à considérer les changements
comme des opportunités pour progresser et non
comme des menaces

21
Q

affectivité positive (stabilité émotionnelle)

A

Tendance à s’engager dans de nombreuses situations avec enthousiasme, énergie, intérêt, plaisir et à éprouver des états cognitifs et émotionnels agréables
* Associée au bien être émotionnel.
VS affectivité négative

22
Q

affectivité négative

A

dimension dispositionnelle de l’humeur, constituée d’un certain nombre d’états émotionnels négatifs (colère, mépris, culpabilité, peur,
dépression) rendrait plus disposé à ressentir et subir du stress
( Névrosisme: un trait de personnalité qui
représente la propension à ressentir des émotions négatives) -

23
Q

contrôle perçu

A

+ contrôle = + stress, perc construites par individus, peut modifier/changer
consiste à croire que l’on dispose des ressources personnelles permettant d’affronter et de maitriser les évènements –> évaluation des ressources pour faire face
* Croyance en la maîtrise d’un problème ou d’un
stresseur particulier à un moment donné…
* …c’est un processus actuel, transactionnel,
spécifique associé à de nombreuses solutions
positives dans le domaine de la santé, de la douleur,
de la maladie

24
Q

controle perçu sur la santé

A
  • il favoriserait l’adoption de stratégies d’ajustement
    actives face à l’adversité (et de styles de vie plus
    sains)
  • il serait lié à l’activation de divers systèmes (neuroendocrinien, neuro-immunitaire, système sympathique)
    associé à une meilleure qualité de vie (fonctionnelle, émotionnelle, sociale)
25
Q

Contrôle perçu de Skinner

A
  • …un ensemble flexible de croyances organisées
    autour d’interprétations antérieures de l’histoire
    personnelle et sociale des individus dans des
    domaines spécifiques
26
Q

Soutien (support) social

A

souvent méta-stratégie
* Le soutien social réfère généralement aux comportements des proches qui sont en lien avec les besoins d’un individu qui doit
composer avec une situation stressante
- perc que ind a de la personnalité de son entourage familial, amical et professionnel, par rapport aux difficultés rencontrées et la satisfaction qu’il peut anticiper de ce soutien

27
Q

3 notions du soutien social

A

1- réseau social: Nombre de relations sociales qu’un individu à
établies avec autrui, la fréquence des contacts et la force de ces liens
C’est de l’ancrage social où l’individu crée des liens avec des personnes significatives dans son environnement, développe un sentiment d’appartenance à une communauté, il s’intègre socialement
2- soutien social perçu: L’évaluation cognitive d’une personne à propos du soutien qu’elle estime recevoir d’autrui
Réfère à l’impression subjective d’une personne d’être reliée aux autres par des liens disponibles, fiables et adéquats.
Découle d’une appréciation subjective significative du soutien obtenu des personnes dans l’environnement social
3- soutien social reçu: Aide effective apportée à un individu par son
entourage (Soutien émotionnel, d’estime, informatif, matériel)
Du soutien social reçu qui représente les actions entreprises par l’environnement dans le but de fournir une assistance à un individu

28
Q

soutien social et stress

A

ressource disposant d’un fort pouvoir de protection contre le stress
Le soutien social affecte l’élaboration de certaines stratégies de coping
- moins réactions affectives
- plus de ressources perçues
- plus de régulation système endocrinien
- moins de stress perçu
- plus perception habiletés de coping

29
Q

facteurs influençant le stress

A

Le degré stressant d’une situation quelconque ou
d’un objet est déterminé par l’influence mutuelle (un
sur l’autre) de facteurs individuels (personnels) et de
facteurs situationnels dans une transaction
(échange) donnée

30
Q

facteurs individuels et habitus

A
  • Ces différences individuelles quant à la sensibilité et la vulnérabilité au stress dépendent de facteurs personnels, du “bagage des individus” (l’habitus : ensemble de dispositions durables où sont intégrées les expériences passées)
  • plus importants qui influencent évaluation cognitive
31
Q

3 exemples facteurs individuels

A

1- engagements personnels: Ce qui est important pour les gens et déterminent les choix qu’ils font. Ils réfèrent aussi aux motivations.
2- croyances: Comment une personne évalue ce qui se passe et ce qui est sur le point de se passer. Les croyances existentielles et religieuses, etc.
3- valeurs et convictions personnelles: Notions préexistantes sur la réalité qui servent de lentilles à la perception.

32
Q

facteurs situationnels

A

sit (évènement, objet) contient certains paramètres que l’individu prend en considération d’une manière +/- automatique, lorsqu’il en fait une analyse

33
Q

3 propriétés des facteurs situationnels

A

1- nouveauté (ambiguïté): pas sign claire, sait pas à quoi s’attendre, pourrait être une menace, directement ou non un dommage, menace ou/et perte, individu doit faire inférences sur nature de la situation plus c’est ambigue (+ incertitude, + stress)
2- incertitude: L’incertitude est source de stress parce qu’elle a
un effet d’immobilisation des processus de préparation à la réponse (coping anticipatoire), à quel point on est certain que le stresseur va se produire
3- imprévisibilité: résultats recherche montrent que les animaux préfèrent un stimulus nocif prévisible même si plus intense qu’un stimulus imprévisible

34
Q

2 hypothèses de l’imprévisibilité

A

1- réponse préparatoire: Le signal annonçant l’arrivée du stimulus aversif (stresseur) permet au sujet de se préparer avec les moyens dont il dispose. Cette réponse préparatoire permet de réduire l’aspect aversif
de ce même stimulus
2- signal de sécurité: Le signal du moment d’arrivé du stimulus
aversif (stresseur) permet de déterminer la “plage de sécurité”, c’est-à-dire la période temporelle où le sujet sait que le stresseur ne se présentera pas, donc il détermine une période de sécurité avec tous les bienfaits que ceci peut amener

35
Q

facteurs situationnels - facteurs temporels

A

Imminence: temps qui s’écoule avant un év stresseur anticipé
– En général, plus un événement est imminent plus l’évaluation qu’en fait l’individu sera urgente et intense moins il est imminent, plus l’évaluation sera complexe et moins elle sera intense -

La durée:
- La durée : Plus longue est la durée d’un événement stresseur et plus grand sera le stress…évidemment
- incertitude temporelle: pas savoir quand ça va arriver (+ = + stress)

36
Q

spécialisation hémisphérique et axes

A
  • La plupart des composants de la réponse au stress sont influencés asymétriquement par les hémisphères cérébraux
  • L’anxiété “anticipatoire (d’appréhension)” serait plus à gauche…
  • L’axe hypothalamus-hypophyse-glandes surrénales et l’axe sympathique-adrenomédulaire semblent donc être sous la commande principale de l’hémisphère droit (responsable des réactions physiques)
  • droit: celui qui s’occupe de la réponse préparant l’organisme à traiter (coper) avec les menaces extérieures efficacement