Psychologie de la santé Flashcards

1
Q

Quels sont les éléments caractéristiques de l’entretien motivationnel?

A
  1. Faire preuve d’empathie
  2. Développer les divergences
  3. Éviter d’argumenter
  4. Nourrir le sentiment d’efficacité personnelle
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2
Q

Quels sont les différents outils utilisés dans la TCC?

A
  • Distraction vs pleine conscience
  • Test des croyances
  • Restructuration cognitive
  • Résolution de problèmes
  • Soutien social
  • Auto-observation
  • Relaxation et imagerie
  • Essayer de nouveaux comportements, activation comportementale
  • Exposition aux déclencheurs
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3
Q

Décrire l’impact des pratiques parentales courantes entourant l’alimentation

A

De base, les jeunes possèdent la capacité de bien réguler leurs apports lors d’un repas et au cours de la journée. Selon le contrôle que les parents exercent sur l’alimentation et les habitudes de la famille, ils perdent + ou – cette capacité en grandissant. Cela varie aussi en fonction de l’exposition, de l’apprentissage social et de l’apprentissage par association.

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4
Q

Décrire le concept de néophobie

A

peur et évitement des nouveaux aliments

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5
Q

Nommer les interventions visant à diminuer l’impact de la néophobie

A

a. L’exposition à de nouveaux aliments peut modifier les préférences alimentaires des enfants (minimum 8 à 10 expositions, effet cumulatif : + on est habitué de s’exposer à la nouveauté, + ça devient facile.)
- La préférence augmente en l’absence de conséquences négatives liées à la consommation des aliments.

b. Exposer à de la variété
- Cultiver la curiosité à l’égard de l’alimentation (demander des avis culinaires; faire sentir des fines herbes, en cultiver à la maison; essayer des fruits exotiques tous ensemble à table; faire choisir une recette à essayer dans un livre; faire participer l’enfant à la préparation des aliments)

*L’exposition répétée à de nouveaux aliments, dans un climat positif et sans conséquences négatives, améliore l’acceptation et engendre une préférence à mesure que le goût devient + familier

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6
Q

Distinguer les manifestations de la faim émotionnelle et de la faim physique. Nommez en 5/7

A

Faim émotionnelle
- Soudaine
- Pour un aliment spécifique
- Au-dessus des épaules
- Est urgente
- Est associé à une émotion
- Implique une alimentation automatique ou peu consciente
- Ne cesse pas de manger quand n’a plus faim
- Associée à un sentiment de culpabilité

Faim physique
- Graduelle
- Pour tous les types d’aliments
- Basée dans l’estomac
- Est patiente
- Provient d’un besoin physique
- Implique des choix libres et la conscience de manger
- Cesse de manger quand n’a plus faim
- Réalise qu’il est nécessaire de manger

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7
Q

Quelle sont les principales caractéristiques des interventions visant à diminuer l’obésité chez les jeunes

A
  • Modification de l’alimentation
  • Modification de l’activité physique
  • Implication de la famille
  • Stratégies comportementales (objectifs, auto-observance, récompenses, etc.)
  • Prise de conscience
  • Les saines habitudes de vie
  • Alimentation
  • Activité physique
  • Temps d’écran
  • Temps de sommeil
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8
Q

5) Identifier les changements liés aux habitudes alimentaires actuelles ayant des impacts sur la santé. Puis nommer les impacts sur la santé.

A
  • Nourriture en abondance
  • Nourriture ultra-transformée
  • Alimentation à toute heure du jour, introduction du déjeuner et des collations
  • Impacts : Taux accru :
  • D’obésité
  • De cancer
  • De maladies cardiovasculaires
  • Maladie d’alzheimer
  • Diabète de type 2
  • Hypertension artérielle
  • Syndrome des ovaires polykystiques
  • Maladies inflammatoires
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9
Q

Décrire le rôle de l’insuline et de la résistance à l’insuline dans la perte de poids et de différentes maladies chroniques typiques du 21e siècle

A
  • Rôle de l’insuline :
  • En mangeant, le taux de glucose augmente. Le corps produit de l’insuline pour réduire le glucose sanguin.
  • Qui est l’insuline? Une hormone de stockage qui aide nos cellules à absorber le glucose de notre sang et à stocker temporairement dans le foie et les muscles (sous forme de glycogène) ou une fois que les réserves de glycogènes sont pleines, l’excès peut être converti et stocké sous forme de graisse.
  • Résistance à l’insuline
  • Les cellules deviennent moins sensibles à l’action de l’insuline
  • Symptômes de la résistance :
  • Surplus pondéral
  • Hypertension artérielle
  • Histoire familiale de maladies cardiaques
  • Triglycérides élevés
  • Rétention d’eau/œdème
  • Signes d’inflammation
  • Diabète de type 2 ou prédiabète
  • Syndrome métabolique
  • Syndrome des ovaires polykystiques
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10
Q

Décrire les 2 mécanismes d’alimentation en énergie du corps humain

A

a. Haut glucose sanguin – Pancréas libère de l’insuline – Les cellules entreprosent le glucose dans le foie (glycogène), les muscles et l’excès est converti en graisses
b. Faible glucose sanguin – Pancréas libère du glucagon (hormone opposée à l’insuline) – Le foie libère ses réserves de glycogène, puis utilise les réserves de graisses comme source d’énergie

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11
Q

2) À l’aide du modèle biopsychosocial de la douleur, pouvoir décrire les dimensions contributives à la douleur

A
  • Sensori-discriminative : Localisation de la douleur, nature et durée
  • Affective et émotionnelle : Humeur, image de soi, tolérance à la frustration
  • Comportementale : Positions, mouvement, évitement, répercussions
  • Cognitive : expériences, éducation, signification, sens
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12
Q

Décrire en quoi la douleur chronique se distingue d’une douleur aigue (étiologie)

A
  • Douleur chronique :
  • La douleur persiste au-delà de 3 mois, même après la guérison de la blessure ou de la maladie sous-jacente.
  • Bouger augmente la douleur
  • N’a pas de fonction d’alarme
  • Diminution des fonctions générales (absence au travail, tâches, loisirs)
  • L’origine est inconnue ou méconnaissable
  • Douleur aigüe :
  • Elle a un début soudain et est généralement de courte durée ( 0 à 2 semaines), se résolvant lorsque la cause sous-jacente es traitée ou guérie
  • A une fonction de système d’alarme
  • Inflammation
  • Essentielle
  • Elle est souvent causée par des lésions tissulaires ou des dommages physiques directs.
  • 80% retour aux activités
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13
Q

Décrire en quoi la douleur chronique se distingue d’une douleur aigue (prise en charge)

A
  • Douleur chronique :
  • Objectifs thérapeutiques : meilleure gestion de la douleur; augmentation de la qualité de vie malgré la douleur
  • Prise en charge + complexe et nécessite souvent une approche multidisciplinaire
  • Des approches non médicamenteuses sont souvent intégrées dans le traitement
  • Douleur aigüe :
  • Objectif thérapeutique : Suppression totale de la douleur et le traitement de la cause sous-jacente.
  • Des médicaments peuvent être prescrits pour soulager la douleur
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14
Q

Avoir une compréhension pratique des principales interventions de la TCC appliquée à la douleur chronique (au niveau de l’enseignement)

A
  • Enseignement
    a. Situer la personne sur :
  • Sa condition
  • Les phénomènes de douleur chronique
  • Les stratégies permettant un contrôle de sa condition
    b. Orienter vers des croyances conformes à la réalité
    c. Développer un sentiment d’efficacité personnelle
    Dédramatisation
    Cycles de maintien et d’exacerbation de la douleur
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15
Q

Avoir une compréhension pratique des principales interventions de la TCC appliquée à la douleur chronique (au niveau de la désensibilisation)

A
  • Désensibilisation
    Objectifs : diminuer la kinésiophobie, réduire les craintes; retrouver des capacités fonctionnelles pour accomplir ses habitudes de vie plus que la diminution de la douleur; développer un sentiment de contrôle; améliorer la qualité de vie ; diminuer la détresse psychologique
    a. Contenu psychoéducatif :
  • Enseignement sur la relation entre les représentations de sa condition, les émotions, le comportement et la douleur (TCC)
  • Entrainement à l’identification des pensées catastrophiques
  • Entrainement à l’identification des émotions et des comportements réflexes
    *Diminue l’anxiété, la confusion et la résistance au traitement

b. Restructuration cognitive
- Entrainement au questionnement socratique (preuve et contre-preuve)
- Entrainement à l’identification de pensées alternatives

c. Les croyances et les pensées
- Psychoéducation pour modifier les croyances sur la douleur (origine, gestion, incapacité). Ex : éviter les extrêmes (no pain no gain), il peut y avoir de douleur sans blessure, le mouvement est essentiel pour la santé
- Modification des pensées (restructuration cognitive, questionnement socratique)
- Diversion attentionnelle
- Imagerie

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16
Q

Avoir une compréhension pratique des principales interventions de la TCC appliquée à la douleur chronique (au niveau de l’exposition)

A

Exposition graduelle in vivo : reprise graduelle des tâches évitées selon l’ordre du niveau de difficulté perçu pour diminuer la kinésiophobie et reprendre un niveau de fonctionnement
- Exercices graduels en physiothérapie (exposition aux peurs)
- Programme d’activités physiques adaptés (réduire la sédentarité et déconditionnement)
- Mise en situation dans diverses tâches (reprise des habitudes de vie domestique, de loisirs, de travail, etc.)
- Techniques de gestion de la douleur (exercices, dosage, posture, gestion du stress)
- Diminuer les comportements de douleur
- Tester les croyances

17
Q

Avoir une compréhension pratique des principales interventions de la TCC appliquée à la douleur chronique (au niveau des stratégies complémentaires)

A
  • Traitement des conditions psychologiques et difficultés d’adaptation
  • Entrainement à la gestion du stress (lien stress/douleur, respiration diaphragmatique, relaxation, etc.)
  • Entrainement à la gestion des émotions
  • Gestion de l’énergie
  • Traitement de l’insomnie secondaire
  • Entrainement à l’affirmation de soi
  • Résolution de problème
  • Support au processus de deuil
  • Support/conseil à l’équipe
18
Q

Quelles sont les 6 habiletés centrales en ACT appliquées à la douleur chronique

A
  1. L’acceptation (vs l’évitement expérientiel)
  2. Défusion (vs fusion cognitive)
  3. Contacter le moment présent (Vs conceptualisation du passé/futur)
  4. Le soi en tant que contexte (vs soi conceptualisé)
  5. Clarifier les valeurs
  6. Agir en fonction des valeurs
19
Q

Peux-tu expliquer la 1/6 habiletés centrales en ACT appliquées à la douleur chronique : L’acceptation (vs l’évitement expérientiel)

A

L’acceptation (vs l’évitement expérientiel)

  • L’évitement expérientiel consiste à tenter de modifier ou contrôler les expériences internes : émotions, souvenirs, sensations, pensées
  • Ces actions entrainent d’autres impacts négatifs : isolement, déconditionnement, découragement, préoccupations liées à l’utilisation de substances, conflits
  • Illusion de contrôle
  • Revoir toutes les tentatives de gestion de la douleur et leur efficacité
  • Susciter le désespoir afin de favoriser l’acceptation
  • On propose plutôt d’accepter toutes les expériences internes sans tenter de les combattre, les constater à la façon d’un détective sans les juger.
20
Q

Peux-tu expliquer la 2/6 habiletés centrales en ACT appliquées à la douleur chronique : Défusion (vs fusion cognitive)

A
  • Ce qui est problématique n’est pas ce que la personne pense mais le rapport qu’elle a avec ses pensées
  • En « fusion » avec la pensée, la personne la considère comme une vérité et perd contact avec le contexte réel
  • La « défusion » est la capacité à garder une distance avec le discours interne, de le prendre davantage à la légère, de ne pas le considérer comme une vérité
21
Q

Peux-tu expliquer la 3/6 habiletés centrales en ACT appliquées à la douleur chronique : Contacter le moment présent (Vs conceptualisation du passé/futur)

A
  • Se centrer sur ce qui est vécu maintenant, plutôt que sur les regrets liés au passé ou appréhensions du futur, projections
  • Faire l’expérience de ce qui se passe autour de nous ou en nous sans jugement
  • Favoriser la prise de contact avec la douleur (vs évitement)
    Ex : porter attention à la douleur, lui laisser une place, lui attribuer une forme, une couleur, lui permettre d’exister
22
Q

Peux-tu expliquer la 4/6 habiletés centrales en ACT appliquées à la douleur chronique : Le soi en tant que contexte (vs soi conceptualisé)

A
  • Soi conceptualisé = comment une personne se décrit et se perçoit (souvent la forme d’une étiquette)
  • Cette façon de se voir donne une vision plus étroite de soi et de ses possibilités
  • Le « soi en tant que contexte » a comme objectif de se prendre une distance avec la vision de soi
  • J’ai de la douleur, mais ça ne me définit pas, ce n’est qu’une sensation que j’éprouve en ce moment
  • Je demande de l’aide mais ce n’est qu’une partie des choses que je fais
23
Q

Peux-tu expliquer la 5/6 habiletés centrales en ACT appliquées à la douleur chronique : Clarifier les valeurs

A
  • Qu’est-ce qui compte vraiment pour moi?
  • De quoi voudriez-vous qu’on se rappelle à vos funérailles?
  • Que voudriez-vous qu’on dise de vous lors de votre 80e anniversaire?
24
Q

Peux-tu expliquer la 6/6 habiletés centrales en ACT appliquées à la douleur chronique : Agir en fonction des valeurs

A
  • Agir en fonction des valeurs
  • Je dois vivre avec ma douleur. Comment faire pour que ma vie ait plus de sens (autre que combattre)? Pour m’épanouir davantage?
  • Sortir des patrons restreint des comportements habituels
  • Reconnecter avec le sens de nos comportements
  • Si je continue à agir ainsi, ça me mènera où?
  • Est-ce que cela fonctionne pour moi? Est-ce que cela respecte mes valeurs?
    Ex : je marche 15 mins par jour parce que c’est important pour moi
25
Q

Peux-tu expliquer les interventions typiques de la TCC pour la douleur chronique?

A
  • Interventions typiques de la TCC
    1) Identification et modification des pensées négatives :
  • En TCC, on identifie et on remplace les pensées négatives et les croyances irréalistes liées à la douleur
    2) Apprentissages de techniques de relaxation
  • La TCC inclut souvent l’apprentissage de techniques de relaxation telles que la respiration profonde, la relaxation musculaire progressive ou la méditation guidée pour réduire la tension corporelle associée à la douleur
    3) Exposition progressive aux activités
  • Les patients sont encouragés à s’engager progressivement dans des activités qu’ils évitent en raison de la douleur, afin de réduire la peur de la douleur et restaurer la fonctionnalité
    4) Développement de stratégies de gestion du stress
  • Les techniques de gestion du stress exemples : la résolution de problèmes, la gestion du temps, la communication assertive, etc.
26
Q

Peux-tu expliquer les interventions typiques de l’ACT pour la douleur chronique?

A

1) Pleine conscience
- Met l’accent sur l’ACT pour aider les patients à accepter leurs expériences internes, sans juger ni résister
2) Clarification des valeurs et engagement dans des actions significatives
- Patients sont encouragés à clarifier leurs valeurs personnelles et à s’engager dans des comportements alignés avec ces valeurs, même en présence de douleur
3) Défusion cognitive
- L’ACt vise à aider les gens à prendre une distance par rapport à leurs pensées douloureuses et à ne pas s’identifier complètement à ces pensées
4) Acceptation
- Au lieu de lutter contre la douleur, l’ACT encourage l’acceptation de la douleur en tant qu’expérience humaine normale et inévitable
- Permet aux patients de réduire leur lutte interne et de vivre pleinement malgré la douleur

27
Q

Nommez 5 habitudes préventives en matière de cancer

A
  • Vivre sans fumée
  • Se protéger du soleil (protéger la peau et les yeux)
  • Maintenir un poids santé
  • Une saine alimentation
  • 30 mins d’activité physique par jour et prendre souvent de courtes pauses de votre position assis
  • Buvez moins d’alcool (moins vous buvez + vous réduisez le risque)
28
Q

Nommez 5 particularitésde la pratique en psycho-oncologie

A
  • Suivi à l’externe et à l’interne
  • Chambres semi-privées
  • Patient + ou – en état
  • Sentiment d’urgence
  • Flexibilité
  • Connaissances de la maladie
  • Les frontières
  • La famille
  • Le rapport au corps et les petits soins
  • Lit vide
29
Q

Avoir une compréhension pratique des principales interventions de la TCC appliquée à la douleur chronique (au niveau des interventions cognitives)

A
  • Travailler sur la pensée binaire
  • Travailler sur les erreurs cognitives fréquentes
    . Imaginer le pire
    . Traiter les sentiments comme des faits
    . Intolérance au risque
30
Q

Reconnaitre les éléments caractéristiques des approches d’interventions suivantes : l’approche de changements de comportements en santé (Mason & Butler)

A

Diapo 39 - Cours 8

31
Q

Faire la distinction entre perception de douleur, blessure et incapacité

A
  1. Perception de douleur : Une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou possible, ou décrite en termes évoquant une telle lésion. La douleur est subjective, associée à notre perception de l’évènement et influencée par le contexte, nos expériences passées ou par les expériences passées de personnes interposées. (Interprétation par le cerveau du message sensoriel)
  2. Blessure : fait référence à un dommage physique ou traumatisme causé aux tissus du corps. Elle peut entraîner une inflammation, des lésions tissulaires et l’activation des nocicepteurs, ce qui peut provoquer la sensation de douleur. Cependant, toutes les blessures ne provoquent pas nécessairement de douleur, notamment dans les cas de lésions nerveuses où la douleur peut être absente malgré la présence d’une blessure.
  3. Incapacité : fait référence à une limitation ou une réduction de la capacité d’une personne à effectuer certaines activités physiques, sociales ou professionnelles en raison de douleur, de maladie ou d’autres facteurs. Cette limitation peut résulter directement de la douleur ressentie ou de la blessure subie.