Problème 5: infections du tractus gastrointestinal/urinaire +CM2 Flashcards

1
Q

Sélectionnez les caractéristiques propres au clostridioides difficile (C. difficile) . 3 éléments de réponse recherchés

a) aérobique
b) virus
c) anaérobique stricte
d) gram-négative
e) aérobique facultative
f) bactérie
g) gram-positive
h) en chaine
i) formant des spores

A

c) f) g) i)

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2
Q

Vous vous présentez à votre premier jour d’externat et votre superviseur vous décrit un patient ayant une maladie ulcéreuse du colon. Celui-ci présente des plaques jaunâtres composées de fibrine et de débris cellulaires qui recouvrant les ulcères de la muqueuse du colôn.

Quel est le nom de cette inflammation du colon.

A

Colite pseudomembraneuse

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3
Q

Nommez 2 des 4 médications antimicrobiennes associées avec les infections à C.difficile (pouvant les causer)

A

ampiciline
clindamycine
cephalosporines
fluoroquinolones

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4
Q

Quelles sont les trois populations les plus susceptibles de contracter une infection à Clostridioides difficile

A

Femmes
Personnes âgées
Personnes ayant eu un épisode précédent d’infection

Personnes aussi à risque:
Personnes hospitalisées
Personnel hospitalier
Personne vivant dans des résidences (CHSLD)

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5
Q

Quel est le moyen le plus efficace pour diagnostiquer une colite pseudomembraneuse?

a) duodénoscopie
b) sigmoidoscopie (ou colonoscopie)
c) échographie
d) CT squan
e) électroencéphalogramme

A

b)

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6
Q

Quel est le pourcentage de personnes qui vont souffrir d’une récidive d’une infection à la C.difficile ?

a) 5-10%
b) 15-20%
c) 25-35%
d) 10-20%
e) 45-65%

A

d)

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7
Q

Qu’est-ce qui détermine le moment ou la diarhée va survenir lors d’une infection à la C.difficile ?

a) sa voie d’entrée dans l’organisme
b) l’origine de la souche de C.difficile
c) le niveau de péristaltisme
d) lorsque la production de mucus jusqu’à un niveau critique dans le grand intestin
e) lorsque la production de copies de l’ARN viral atteint des niveau critique dans les cellules du grand intestin
f) lorsque a production de toxines atteint un niveau critique dans le grand intestin

A

f)

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8
Q

Vrai ou faux?

Les dommages causés par la C.difficile s’expliquent par son invasion de l’épithélium du colon.

A

Faux.
Les dommages s’expliquent par les toxines qu’elle produit dans la lumière de l’intestin qui endommagent le revêtement épithélial de la paroi intestinale

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9
Q

1, Quel est le test diagnostique réalisé dans le dépistage de la C.difficile ?

a) sérologie
b) western blot
c) TAAN
d) test-rapide
e) elisa
g) geenius

  1. Quels sont les éléments que nous allons rechercher dans ce test?

a) Ag de la C.difficile
b) présence de toxine A
c) présence de toxine C
d) Ac de la C.difficile
e) présence de E.coli
f) présence de toxine B
g) présence de neurotoxines

  1. Dans quel type de “tissu” allons nous rechercher

a) urinaire
b) salivaire
c) sécrétions génitales
d) fécaloide
e) sanguin

A
  1. e)
    Le Enzyme-Linked Immunosobent Assay (ELISA)
  2. b) et f)
  3. d)
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10
Q

Associez les rôles suivants à la bonne toxine.

A) Toxine A (TcdA)
B) Toxine B (TcdB)

1) glucosylate de protéines de liaison GTP (rho et rac) à l’aide d’UTP-glucose qyu deviennent inactif = perte de la structure du cytosquelette et mort cellulaire
2) production de fluides
3) dommage à la muqueuse du grand intestin
4) arrondir des cellules de culture tissulaire

A

A) 1) 2) 3)
B) 1) 4)

à vérifier post-app

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11
Q
  1. Quels sont les deux médications utilisés pour traiter une infection à C.difficile ?
  2. Nommez un moyen de limiter la durée de l’infection et des symptômes associés
A

1.Vancomycine
Metronidazole

  1. Cessation des antibiotiques causant la croissance de C.difficile (clindamycine, ampiciline, cephalosporines)
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12
Q

Nommez 2 moyens pouvant être recommandés pour réduire la transmission de la C.difficile

A

Éducation sur les méthodes de transmission de l’infection
Changement fréquent de gants et de vêtements extérieurs pour diminuer la propagation de spores
Désinfection extensive de la chambre des patients infectés = réduction du nombre de spores dans l’environnement
Isolement des patients
Éviter l’utilisation d’antibiotiques chez les personnes à risque

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13
Q
  1. Pour ce qui concerne le petit intestin, le Rotavirus peut être responsable de la diarrhée. Quelles sont les cibles de ce virus parmi les suivantes?

a) cellules gliales
b) cellules de Langerhans
c) enterocytes
d) protéines de liaison
e) cellules transporteuse de soluté
g) système nerveux entérique

  1. Quelles sont les conséquences d’un dommage à chacune de ces cibles
A
  1. c) e) g)
  2. c) Il s’agit des cellules d’absorbtion principales. Un dommage/ dysfonction de ces cellules entraine un état de malabsorbtion, ce qui mène à une diarrhée non-inflammatoire
    e) Il s’agit des cellules qui s’occupent de la réabsorbtion de l’eau et des sels. Un dommage/ dysfonction de ces cellules entraine un état de malabsorbtion, ce qui mène à une diarrhée non-inflammatoire

g) Un dommage/ dysfonction du système nerveux entérique entraine une diarrhée sécrétoire

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14
Q

Quel est le virus qui constitue la cause commune de la gastroentérite avec plus de 5 million de cas issus de transmission par la nourriture annuellement parmi les suivants ?

a) Rotavirus
b) Norovirus
c) Adenovirus
d) Astrovirus
e) S.aureus

A

b)

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15
Q
  1. Nommez les 4 virus pouvant être responsables de la diarrhée
  2. Quelles est leur source principale de transmission ?
A
  1. Adenovirus, rotavirus, norovirus, astrovirus
  2. Fécale-orale
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16
Q

Chez les enfants non-vaccinés ayant moins de 2 ans, quelle est le virus principalement responsable de la diarrhée infectieuse ?

a) S. pyogenes
b) Norovirus
c) Adenovirus
d) Astrovirus
e) Rotavirus

A

e)

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17
Q

Quels sont les deux nouveaux virus émergeants responsables d ela gastroentérite aigue et de la diarrhée parmi les suivants ?

a) S. pyogenes
b) Norovirus
c) Adenovirus
d) Astrovirus
e) Rotavirus

A

c) et d)

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18
Q

Quel est le virus responsable de la maladie des vomissements hivernaux et de la diarrhée saisonnière dans les régions tempérées ?

a) S. pyogenes
b) Rotavirus
c) Adenovirus
d) Astrovirus
e) Norovirus

A

b)

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19
Q

Vrai ou faux?

Les enfants peuvent introduire le Rotavirus dans la maisonnée, mais les adultes n’expériencent souvent pas de symptômes grâce à leur immunité existante.

A

Vrai

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20
Q
  1. Quel est le pathogène pouvant engendrer une diarrhée, puis se compliquer en un syndrôme de Guillain-Barré?

a) e.coli
b) v. cholerae
c) s.aureus
d) rotavirus
e) campylobacter jejuni
f) noro virus

  1. Anatomiquement parlant, dans quelle région se situe-t-il généralement?

a) estomac
b) petit interstin
c) illéum
d) grand intestin
e) jéjunum
f) duodénum

  1. Nommez deux manifestations cliniques communes d’une infection causée par ce pathogène
A
  1. e)
  2. d)
  3. Fièvre, diarrhée
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21
Q

Quel est le pathogène se retrouvant dans l’illéum terminal dont les manifestations cliniques sont la fièvre, la diarrhée, la douleur abdominale et une RLQ ?

a) e.coli
b) v. cholerae
c) s.aureus
d) yersinia enterocolitica
e) campylobacter jejuni
f) salmonella spp.

A

d)

cette bactérie infecte également le colon

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22
Q

Vrai ou faux ?

Le Yersinia enterocolitica produit des effets différents selon l’âge de la personne infectée.

Si oui, expliquez moi quelles sont les différences.
Si non, expliquez moi pourquoi.

A

Vrai

Enfants de moins de 5 ans: diarrhée liquide
Personnes de plus de 5 ans: atteint les ganglions lymphatiques mésenthériques= réaction inflammatoire (avec ou sans diarrhée)
Elle engendre une arthrite réactive quelques semaines après le début de la diarrhée

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23
Q
  1. Vous avez appris dans le cadre de vos cours que la yersinia enterocolitica peut causer de l’arthrite réactive. Quels sont les autres pathogènes pouvant engendrer cette complication clinique ? (3 éléments de réponse recherchés)

a) e.coli
b) v. cholerae
c) s.aureus
d) yersinia enterocolitica
e) campylobacter jejuni
f) salmonella spp.
g) s flexneri

  1. Qu’est-ce qui explique que certaines personnes sont atteints plus sévèrement d’arthrite réactive suite à l’infection par ces pathogènes ?

a) elles sont plus vielles
b) elles viennent de pays tropicaux
c) elles ont une dysfonction au niveau de leur CMH-2
d) elles possèdent le complexe majeur d’histocompabilité HLA-B27
e) elles ont une chromosome en trop

A
  1. e) f) g)
  2. d)
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24
Q

Nommez les pathogènes principalement responsables des intoxication alimentaires aigues parmi les suivants

a) e.coli
b) clostridium perfringens
c) s.aureus
d) yersinia enterocolitica
e) campylobacter jejuni
f) bacillus cereus
g) s flexneri

A

b) c) f)

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25
Q

Quelles peuvent être les causes de la prolifération bactérienne et/ou de la production de toxines dans le cadre d’une intoxication alimentaire ?

a) invasion de l’épithélium intestinal par le pathogène causal
b) maintien de la nourriture à une mauvaise température
c) mélange de plusieurs aliments
d) mauvaise cuisson de la nourriture
e) congeler de la nourriture

A

b) d)

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26
Q

Nommez moi un exemple de protozoaire pouvant causer une diarrhée

A

Giardia
Cryptosporidium

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27
Q

Quels sont les individus assujettis à des infections au protozoaire Giardia

a) les gens souffrant d’hypothyroidie
b) les femmes
c) les enfants
d) les gens souffrant d’hypogammaglobunemie
e) les personnes âgées
f) les personnes faisant de l’hypotension artérielle

A

d)

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28
Q

Qu’est-ce qui explique le fait que le protozoaire Giardia est en mesure de persister dans l’intestin d’hôtes normaux pour des périodes de temps extensives?

A

Ses protéines de surface qui lui permet d’éviter la neutralisation par les IgA sécrétoires

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29
Q

Vrai ou faux?

La diarrhée ne peut pas être une complication de la rougeole

A

Faux

Elle peut l’être

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30
Q

Qu’est-ce qu’une colite ?

a) douleur qui s’amplifie avec les mouvements intestinaux
b) une inflammation du colon
c) phénomène immunologique engendré par le mimétisme moléculaire
d) une guanosine monophosphate cyclique
e) une inflammation des ganglions lymphatiques
f) une mort cellulaire programmé

A

b)

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31
Q

Expliquez moi brièvement la physiopathologie de la colite causée par la C.difficile

A

TRÈS brièvement

  1. Administration d’antibiotiques
  2. Altération/ déplétion de la microflore résidente
  3. Sur-croissance de C.difficile + production accrue de cytotoxines A et B
  4. Inflammation de la muqueuse + pseudomembranes _ dommages = colite
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32
Q
  1. Quel est le pathogène responsable de la fièvre typhoïde ?

a) e.coli
b) clostridium perfringens
c) salmonella typhi
d) yersinia enterocolitica
e) campylobacter jejuni
f) bacillus cereus
g) s flexneri

Relevez les trois manifestations cliniques QUI NE SONT PAS propres à cette maladie

a) diarhée (absente ou transitoire)
b) rate atrophiée
c) constipation
d) incapacité d’uriner
e) foie élargi
f) gangrène gazeuse
g) rate élargie

Expliquez moi brièvement la physiopathologie de cette maladie

A
  1. c)
  2. b) d) f)
    • Le pathogène Salmonella thyphi invade les tissus lymphoides entériques
    • Ils se disséminent dans le foie et la rate
    • Ils prolifèrent
    • Lorsqu’ils sont atteint une quantité suffisante ils se rendent dans le sang et provoquent une bactérémie persistante + une fièvre entérique = fièvre typhoide
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33
Q

Vrai ou faux?

Les infections transmises sexuellement peuvent être responsables d’infections du tractus digestif ?

A

Vrai

Elles sont souvent transmises par les relations sexuelles anales et vont engendrer des rectocolites

Elles peuvent être transmises par la pratique de relations sexuelles orales et vont engendrer des pharyngites

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34
Q

Quel type de pénétration sexuelle permet l’infection de l’intestin distal ?

A

Anale

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35
Q
  1. Qu’est-ce qu’une rectocolite (proctocolitis en anglais) ?
  2. Relevez deux pathogènes pouvant être responsables de celle-ci
A
  1. Une maladie inflammatoire chronique du côlon et du rectum
  2. Réponses possibles:
    Chlamydia trachomatis
    Neisseria gonorrhoeae
    Human simplex virus
    Treponema pallidium
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36
Q

Votre petit frère vous appelle tout inquiet, car son ami lui a dit aujourd’hui à l’école que les infections du tractus gastro-intestinal peuvent être causées par des ITS.

a) Il vous demande quel est nom de l’infection résultant des relations sexuelles anales qui infectent le rectum et le colon. Que lui répondez-vous ?

b) Il vous demande quel est nom de l’infection résultant des relations sexuelles orales. Que lui répondez-vous ?

A

a) Elles sont souvent transmises par les relations sexuelles anales et vont engendrer des rectocolites

b) Elles peuvent être transmises par la pratique de relations sexuelles orales et vont engendrer des pharyngites

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37
Q

Lorsqu’une personne souffre de diarrhée. Nommez les 9 symptômes qui requièrent une investigation supplémentaire.

A

Sang dans les celles
Triade de dysenterie ( fièvre, tenesmus, douleur abdominale persistante ou sévère)
Relations sexuelles orales ou anales r
Consommation de fruits de mer crus
Perte de poids
Utilisation récente d’antibiotiques
Symptômes persistants

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38
Q

Nommez 2 complications possibles de la diarrhée

A

Perte de volume = déshydratation = insuffisance des organes
Syndrome hémolytique urémique (avec EHEC et Shigellae)
Infections disséminées ( E histolytica)
Intolérance transitoire au lactose (perte de lactase à cause de la diarrhée infectieuse, donc recommander d’éviter les produits laitiers après l’infection)

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39
Q
  1. Qu’est-ce que la maladie entéropathique environnementale ?

a) douleur qui s’amplifie avec les mouvements intestinaux
b) une inflammation du colon
c) phénomène immunologique engendré par le mimétisme moléculaire
d) une guanosine monophosphate cyclique
e) Un état proinflammatoire caractérisé par un émoussement des villosités intestinales et par de l’inflammation
f) une inflammation des ganglions lymphatiques

  1. Avec quelles complications n’est-elle PAS associée

a) infections
b) malabsorbtion
c) mauvaise croissance
d) ataxie
e) dyspareunie
f)réponses immunitaires altérées
g) développement cognitif altéré

A
  1. e)
  2. d) et e)
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40
Q

Vrai ou faux?
Lorsqu’un personne se présente avec une diarrhée, il est INDISPENSABLE de rechercher un pathogène entérique

A

Faux.

Il est suffisent de faire le plein de fluide et d’électrolytes par réhydratation orale, de l’alimenter continuellement et d’éviter l’utilisation de fluides IV ( à moins que le personne soit en choc hypovolémique) et

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41
Q

Nommez 2 exemples de traitements de la diarrhée (en général, pas seulement à C.diff)

A

Cas normaux (pour lesquels ce serait suffisant) :
Remplacement de fluides
Alimentation continuelle
Autres:
Thérapie de rehydratation orale (sels de rehydratation orale) + Enseignement aux personnes non-entraînées à mélanger les ingrédients appropriés et à dissoudre des paquets de mélanges de thérapie de réhydratation orale
Rehydratation intraveineuse

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42
Q

Quels sont les facteurs qui n’influencent pas la décision d’utiliser des antibiotiques ou une thérapie aggressive de remplacement de fluides chez une personne qui se présente avec de la diarrhée ?

a) l’âge du patient
b) la sévérité de la diarrhée
c) le sexe du patient
d) les origines ethniques du patient
e) la durée de la diarrhée
f) une diminution sévère volumique ( vomis continuels, choc)
g) présence de symptômes dysentériques ( fièvre, diarrhée sanglante)

A

b) e) f) g)

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43
Q

Dans le cadre d’une déshydratation modérée (ex: cholera) quel traitement serait le plus approprié ?

a) rehydratation par administration de fluides intraveineux
b) rehydratation orale

A

b)

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44
Q

Dans le cadre d’une déshydratation sévère (ex: choc hypovolémique) quel traitement serait le plus approprié ?

a) rehydratation par administration de fluides intraveineux
b) rehydratation orale

A

a)

45
Q

Quel est le traitement qui a fait chuter le nombre de décès annuels reliés à la déshydratation de 5 million à des centaines de milierd ?

A

Les sels de rehydratation orale

46
Q

Nommez deux éléments compris dans la thérapie de rehydratation orale

A

Eau propre, glucose, sodium, chloride de potassium, citrate
En soi le principe:
Glucose + electrolytes essentiels
L’eau suit passivement pour maintenir l’équilibre osmotique

47
Q

Quelle est la cause la plus commune d’infection bactérienne chez les humains ?

a) infections du tractus respiratoire
b) infections du tractus gastro-intestinal
c) infections urinaires
d) infections oro-pharyngées
e) infections du SNC

A

c)

48
Q

Quel est le pourcentage de femmes faisant l’expérience d’infections urinaires avant l’âge de 30 ans ?

a) 10%
b) 20%
d) 30%
e) 40%
f) 50%

A

b)

49
Q

Quel est le pourcentage de femmes qui font un ou plus d’infections urinaires au cours de leur vie ?

a) 10%
b) 20%
d) 30%
e) 40%
f) 50%

A

f)

50
Q

Quel est le pourcentage de patients atteint de bactériurie asymptomatique dans les patients en maison de retraite?

a) 10-15%
b) 20-60%
c) 60-70%
d) 5-15%
e) 25-50%

A

e)

51
Q

Quels sont les principaux pathogènes pouvant être responsables d’une urétrite ?

a) e.coli
b) Neisseria gonorrhea
c) salmonella typhi
d) chlamydia trachomatis
e) campylobacter jejuni
f) mycoplasma genitalium
g) s flexneri

A

Réponses: b) d) f)

52
Q

Quels énoncés correspondent à la pyolénéphrite non-compliquée ?

a) infection de la vessie
b) infection du tractus supérieur
c) infection des reins
d) infection du tractus inférieur
e) peut être appelé pyélonéphrite aigue obstructive
f) peut être appelé pyélonéphrite aigue compliquée
g) peut être appelé pyélonéphrite aigue non-compliquée
h) peut être appelé pyélonéphrite aigue non-obstructive

A

Réponse: b) c) g) h)

53
Q

Quels énoncés correspondent à la cystite non compliquée ?

a) infection de la vessie
b) infection du tractus supérieur
c) infection des reins
d) infection du tractus inférieur
e) peut être appelé cystite aigue non-obstructive
f) peut être appelé pyélonéphrite aigue compliquée
g) peut être appelé cystite aigue non-compliquée
h) peut être appelé cystite aigue obstructive

A

Réponse: a) d) e) g)

54
Q

Quelle est la source principale des bactéries responsables des infections urinaires ?

A

Flore gastro-intstinale normale

Ils disent aussi qu’il s’agit du moment ou la flore colonisante de la région périuréthrale ou vaginale remonte le long de l’urèthre pour aller se loger dans la vessie

55
Q

Quel est l’uro-pathogène le plus important et le plus commun ?

a) escherichia coli
b) Neisseria gonorrhea
c) salmonella typhi
d) chlamydia trachomatis
e) campylobacter jejuni
f) mycoplasma genitalium
g) s flexneri

A

Réponse: a)

56
Q

Pour ce qui concerne la cystite non-compliquée aigue, qu’elle est l’incidence d’isolement de l’E.coli ?

a) 50-60%
b) 60-70%
c) 70-80%
d) 80-90%
e) 80-85%

A

Réponse: e)

57
Q

L’E.coli constitue l’agent pathogène le plus retrouvé dans les cas de cystite aigue non-compliquée. Quel est le deuxième pathogène le plus communément retrouvé ?

a) Staphylococcus aureus
b) Neisseria gonorrhea
c) salmonella typhi
d) chlamydia trachomatis
e) campylobacter jejuni
f) Staphylococcus saprophyticus
g) s flexneri

A

f)
Complément d’information:
Il est retrouvé dans 5 à 15% des épisodes de cystite non-compliquée aigue et il s’agit d’une bactérie Gram+

58
Q

Quel facteur de virulence le plus important permet au pathogène E.coli d’adhérer aux cellules uroépithéliales de la vessie ?

a) maltose-sensitive fimbrium (FimM)
b) mannose-sensitive fimbria (FimH)
c) guanosine monophostphate
d) sucrose-sensitive fimbrinogen (FImS)
e) adhénosine monophosphate

A

b) il s’agit d’une adhésine

59
Q

Nommez un pathogène autre de l’E.coli et la Staphylococcus saprophyticus pouvant être isolé lors d’une cystite non-compliquée aigue ?

A

Strep groupe B
Klebsiella
Proteus spp.

60
Q

Quels sont les trois facteurs de virulence de l’E.coli associés avec la pyélonéphrite aigue non-compliquée parmi les suivants?

a) aerobactine
b) P fimbria
c) mannose-sensitive fimbria (FimH)
d) adenosine
e) hemolysine

A

a) c) e)

61
Q

Vrai ou faux?
L’E.coli est la pathogène le plus communément associé aux infections urinaires compliquées, et ce, à des proportions plus élevées que les infections urinaires non-compliquées

A

Faux. À des proportions plus faibles à cause d’une fréquence diminuée des facteurs de virulence

62
Q

Expliquez pourquoi les bactéries isolées des infections urinaires compliquées ont une prévalence augmentée de résistance antibiotique ?

A

À cause de l’exposition répétée aux antibiotiques pris lors d’infections passées répétées

63
Q

Vrai ou faux.

Après 3 semaines, 100% des patients hospitalisés ayant un appareil urologique (stent urétéral ou nephrostomie) in situ auront une bactériurie

A

Faux, c’est après 4 semaines (généralement selon le livre)

64
Q

De quoi est consitué le biofilm formé par les bactéries périuréthrale qui contaminent le sac de drainage (à l’intérieur ou à l’extérieur de la surface du cathéter).

A

Micro-organismes (après plusieurs semaines, 3-5 organismes)
Substances extracellulaires produites par les micro-organismes
Composantes de l’urine (protéine Tamm-horsfall)
Calium
Magnésium

65
Q

Généralement, les micro-organismes qui engendrent les infections compliquées chez les patients ayant un appareil urinaire (stent urétéral ou nephrostomie)sont résistants aux antibiotiques et aux défenses immunitaires de l’hôte. Quelle est la condition requise pour faciliter leur éradication.

A

Enlever l’appareil (comme yo ça fait trop longtemps qu’il est là come on )

66
Q

Nommez un organisme communément trouvé chez un patient présentnt une bactériurie asymptômatique

A

E.coli à faible facteur de virulence
Enterocoque à faible facteur de virulence
Staphylocoque à coagulase négative à faible facteur de virulence

67
Q
  1. Quel est le micro-organisme le plus souvent responsable des prostatites aigues ?
  2. Quelle est la particularité des facteurs de virulence associés à la prostatite aigue ?
A
  1. E. coli
  2. Ils se situent dans l’intermédiaire entre ceux trouvés dans la cystite et la pyélonéprhite aigue
68
Q

Dans la prostatite chronique quels sont les deux conséquences de la présence de pierres au niveau de la prostate ?

A

Création d’un nid ou les organismes persistent dans la prostate (contribue à la chronicité de la prostatite)
Source de bactérie pour une relapse de cystite

69
Q

Quelle est le moyen de défense principal de l’hôte pour prévenir les infections urinaires ?

A

Uriner de manière périodique, complète et normale

70
Q

Quels sont les deux éléments requis pour un diagnostic d’infection urinaire ?

A

Symptômes/signes urinaires
Isolement de la bactérie de l’urine

71
Q

Quel est le risque que la cystite progresse en pyélonéphrite ?

A

1%

72
Q

Quels sont les symptômes qui accompagnent la cystite aigue ?

A

Dysurie
Urgence
Inconfort suprapupien
Légère hématurie

73
Q

Lorsqu’une personne se présente avec des symptômes d’infection urinaire avec des pertes et de l’irritation vaginale, quel diagnostic différentiel doit vous venir en tête ?

A

Vaginite
ITSS

74
Q

Vrai ou faux ?

Une personne ayant un ITS peut se présenter en clinique ayant seulement des symptômes urinaires

A

Vrai

75
Q

Quels sont ls symptômes de la pyelonephrite aigue

A

Douleur à l’angle costo-vertébral+ sensibilité (réaction inflammatoire rénale) généralement unilatéral, mais peut être bilatéral
Fièvre, nausée, vomissement, instabilité hémodynamique (choc septique) liés à l’inflammation systémique
Peut se présenter avec des symptômes d’inflammation du tractus inférieur = pyélonéprhite sub clinique (présence de bactérie dans les reins)

76
Q

Quels sont les signes et symptômes de la prostatite aigue

A

Fièvre, douleur pelvienne, rétention urinaire, prostate enflée et sensible

77
Q

Qu’est-ce qui est requis pour un diagnostic microbiologique d’infection urinaire

a) isolement de la bactérie causale d’un échantillon de sperme/sécrétions vaginales ou de sécrétion vaginale avec un décompte quantitatif approprié
b) isolement de la bactérie causale d’un échantillon de sperme ou de sécrétion vaginale avec un décompte quantitatif approprié
c) isolement de la bactérie causale d’un échantillon de selles ou de sécrétion vaginale avec un décompte quantitatif approprié
d) isolement du virus causale d’un échantillon de sperme ou de sécrétion vaginale avec un décompte quantitatif approprié
e) isolement de la bactérie causale d’un échantillon d’urine ou de sécrétion vaginale avec un décompte quantitatif approprié

A

e)

78
Q

À quel moment doit se faire la collecte d’urine pour dépister une infection urinaire ?

a) mi-jet
b) début de jet

A

a) Mi-jet, pour éviter la contamination (exemple par chlamydia, neisseria gonorhea)

79
Q

Vrai ou faux ?

La contamination des échantillons urinaires est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes

A

Faux.

Chez les femmes

80
Q

Lorsqu’une femme n’est pas en mesure de prendre son échantillon d’urine par elle-même, quelle alternative peut être réalisée pour collecter celui-ci ?

A

À l’aide d’un cathéter

81
Q

Lors de l’analyse de l’échantillon d’urine, un décompte entre les bactéries résidentes et les bactéries infectieuses est réalisé. En ce sens, quelles sont les bactéries qui seront les plus nombreuses ?

a) bactéries résidentes
b) bactéries infectieuses

A

b)
Par contre, les bactéries résidentes croissent bien dans l’urine à température pièce, alors il faut rapidement acheminer l’échantillon au laboratoire

82
Q

Quelle est la différence entre le nombre d’organismes pouvant être détectés chez les parents ayant une infection urinaire compliquée et non-compliquée ?

a) Il n’y a pas de différence
b) les gens ayant une infection urinaire non-compliquée auront plus de micro-organismes au décompte que les personnes ayant une infection urinaire compliquée
c) les gens ayant une infection urinaire compliquée auront plus de micro-organismes au décompte que les personnes ayant une infection urinaire non-compliquée

A

c)
surtout chez les patients ayant un cathéter de manière chronique (ou autres appareils)

83
Q

Lorsque l’échantillon d’urine est prélevé à l’aide d’un cathéter, qu’est-ce qui va être soumis à une analyse microbiologique ?

a) l’urine recueillie seulement
b) un échantillon de sperme ou de sécrétion vaginale additionnel
c) l’urine et le biofilm présent sur le cathéter
d) l’urine et un échantillon de sperme ou de sécrétion vaginale additionnel
e) le biofilm présent sur le cathéter seulement

A

c)

84
Q

Quelle est l’indication particulière requise pour un diagnostic d’infection urinaire pour les personnes ayant une bactériurie asymtômatique ?

A

Besoin d’avoir 2 spécimens consécutifs avec 10 àla 5 CFU/mL
le 2e demeure positif chez 80% des femmes

85
Q

Vrai ou faux?

Les personnes ayant fait un prélèvement d’urine à travers un cathéter et présentant des symptômes d’infection urinaire ont besoin d’avoir 2 spécimens consécutifs avec 10 à la 5 CFU/mL pour poser le diagnostic

A

Faux
Un seul est suffisant

86
Q

Nommez un exemple dans lequel une personne ayant une infection urinaire peut tester négative

A

Personnes souffrant de: diurèse, insuffisance rénale, urine fréquente
Obstruction de l’urètre complète ou infection proximale à l’obstruction
Test après le début de la thérapie antibiotique

87
Q

Outre l’échantillon d’urine, nommez deux autres investigations pertinentes à réaliser pour diagnostiquer une infection urinaire

A

Décompte leucotytaire
Décompte de créatinine
Hémoculture
Dipstick
Parfois imagerie (pour complications comme abcès)

88
Q

Quels sont les agents pathogènes les plus communément responsables des infections urinaires ? Nommez 2 des 4

A

Eschirechia coli
Klebsiella pneumoniae
Staphylococcus saprophyticus
Enterococcus

89
Q

Lors d’un premier épisode de C.difficile chez un adulte, quel est le traitement de choix pour une personne n’ayant pas de contrindications ?

a) vancomycine PO 125mg 10 jours
b) penicilline PO 125mg 10 jours
c) métronidazole IV 500mg 10 jours
d) métronidazole PO 500 mg 10 jours
e) vancomycine IV 500 mg 10 jours

A

Réponse: d)

90
Q

Le microbiote résident sert de barrière physique importante au niveau de notre tractus gastro-intestinal. Lors de leur entrée, les pathogènes doivent compétitionner avec eux pour l’espace et les nutriments

Comment s’appelle ce phénomène ?

a) résistance de réfraction
b) guerre des clans
c) résistance d’appariement
d) résistance de colonisation
e) résistance du microbiote
f) guerre mondiale

A

d)

91
Q

Viviane est une fillette de 8 ans. Ses parents l’amènent à l’urgence, car elle a des diarrhées aqueuses à la fréquence de 4 fois par jour. Elle n’a pas de manifestation de toxicité systémique, ni de colite sévère.

  1. Quelle est la gravité de l’infection de Viviane ?

a) légère
b) sévère
c) compliquée

  1. Le médecin la renvoit à la maison en pensant que c’est une intoxication alimentaire. Trois jours plus tard, elle se présente à nouveau à l’urgence avec des signes de toxicité systémique (fièvre, frissons), sa tension artérielle est basse et elle présente un mégacolon.

Quelle est désormais la gravité de l’infection de Viviane ?

a) légère
b) sévère
c) compliquée

A
  1. a)
  2. c)
92
Q

Décrivez les signes d’une infection à C.difficile chez un enfant pour une infection… (nommez moi une chose pour chaque)

a) Légère
b) Sévère
c) Compliquée

A

a)
- Diarrhée aqueuse
- pas de toxicité systémique
- de 3 à 4 selles par jour

b)
- ce qu’il y a en légère (je pense) +
- manifestations de toxicité systémique (fièvre élevée, frissons
c)
- manifestations de toxicité systémique + de colite sévère (hypotension/ choc septique/ mégacolon/ iléus/péritonite)

93
Q

Décrivez les signes d’une infection à C.difficile chez un adulte pour une infection… (nommez moi une chose pour chaque)

a) Légère
b) Sévère
c) Compliquée

A

a)
toute infection qui ne répond pas aux critères de l’infection sévère
b)
- compte de globules blancs à plus de 15 x 10 à la 9 cellules/ litres
- créatinine à plus de 50% de la normale pour la personne
- albumine à moins de 30g/L
- température objectivée de plus de 38.5 degrés celcius

c) Signes de complication à surveiller
- compte globules blancs plus grand ou égal à 35x10 à la 9 cellules / L OU moins de 2 X 10 à la 9 cellules/L
- illéus ou mégacolon toxique
- perforation de l’intestin
- hypotension avec ou sans utilisation de vasopresseur ou choc septique
- septicémie
- changement de l’état mental
- lactate sérique plus grande que 2.2 mmol/L
- toute preuve de défaillance d’un organe

94
Q

Complétez la phrase suivante:

La réapparition des symptômes de l’infection à C.difficile qui se produit dans les _____ suivant l’infection précédente dont les symptômes étaient résolus constitue une récidive.

a) 4 semaines
b) 5 semaines
c) 10 semaines
d) 8 semaines
e) 4 mois
f) 5 mois

A

d)

95
Q

Quels sont les tests pouvant être faits pour diagnostiquer une infection à C.difficile ?

A
  1. EIA ( peu couteux, test rapide0
    - recherche de la TOXINE LIBREet de l’Ag GDH
    - sensibilité faible à modérée
    -spécificité modérée à élevée
    - si résultat indéterminé faire TAAN
  2. TAAN
    - recherche du gène DE LA TOXINE (non la toxine libre)
    - sensibilité élevée (plus que EIA), peut être trop sensible (risque de traiteur des porteurs sains, oups)
    - spécificité faible à modérée
  3. GDH
    - sensibilité élevée
    - spécificité faible
    - Détecte l’ag pour C.difficile
96
Q

Donnez moi une caractéristique de la recherche de pseudomembranes pour la diagnostique de C.difficile

A
  • examen assez rapide: le gastro-entérologue va voir avec un colonoscope
  • examen très spécifique: diagnostic différentiel très limité s’il y a des pseudomembranes à la colonoscopie
  • examen peu sensible: la plupart des patients n’auront PAS de pseudomembranes, elles sont associées à des formes plus sévères
97
Q

Nommez 2 antibiotiques pouvant traiter avec succès l’infection à la C.difficile

A

Vancomycine (doit être utilisée judicieusement pour prévenir le développement d’une souche résistantes)
Metronidazole

98
Q

Décrivez moi les mesures générales à suivre pour une prise en charge d’une infection à C.difficile avant l’administration d’antibiotiques

A

Arrêt du traitement antibiotique initial qui a conduit à l’apparition de l’infection à C.difficile (limite la durée de l’infection et les symptômes associés)

Arrêt de:
- la médication anti-peristaltique (lopéramide, diphénoxylate)
- les laxatifs
Réévaluer et cesserÈ
- l’IPP
- les opiacés (risque de perforation de l’intestin)

99
Q

Decrivez moi les principes de traitement de la c.diff en fonction de la sévérité de l’infection. Pas besoin des doses, juste la médication et le moyen d’administration (PO ou IV ou jsp.. par osmose).

A
100
Q

Decrivez moi les principes de traitement de la recidive de c.diff .
Pas besoin des doses, juste la médication et le moyen d’administration

A
101
Q

Nommez 2 moyens de prévenir la transmission de C.diff

A
  • se laver les mains avec de l’eau et du savon pour éliminer les spores (autant pour la personne infectée que le personnel traitant)
  • désinfecter fréquemment la chambre, la salle du bain, les surfaces touchées et les objets du patient du patient avec de l’eau de javel ou du peroxyde d’hydrogène
  • éducation appropriée sur les méthodes de transmission de la maladie, le changement des gants et des vêtements extérieurs
  • isolement des patients infectés
  • éviter de donner des céphalosporines, de l’ampicilline et de la clyndamycine aux populations à risque de c diff (pt hospitalisés, personnes de plus de 65 ans, personnes vivant en RPA )
  • lavage des instruments du professionnel de la santé
    -nettoyer les vêtements et la literie de la personne infectée avec de l’eau tiède ou chaude

si j’en ai oubliées let me know

102
Q

Nommez 2 catégories de personnes qui sont les plus affectées par les infections urinaires compliquées ou à risque de le devenir

A

Femmes enceintes
Hommes
Personnes porteuses d’un cathéter
Personnes ayant eu une manipulation urologique
Personnes atteintes d’immunosuppression
Personnes dont le diabète est mal contrôlé
Personnes ayant une anomalie anatomique ou fonctionnelle de l’appareil urinaire

103
Q

Qui suis-je ?

Je suis une infection urinaire (cystique ou pyélonéphrite) aigue, sporadique ou récidivante qui survient chez la femme en bonne santé. Indépendamment de son âge.

A

Infection urinaire non-compliquée

104
Q
  1. Combien de fois par année une infection urinaire doit elle se produire pour être considérée comme étant récidivante ?
  2. Nommez une cause possible de la récidive d’une infection urinaire
A
  1. 2 fois par 6 mois ou plus de 3 fois par année
    Elle se produit généralement 2-4 semaines après le traitement initial
  2. Réinfection, nouvelle infection ou infection persistante causées par résistance bactérienne, traitement inadéquat ou anomalie anatomique ou fonctionnelle
105
Q
  1. Nommez moi deux agents infectieux pouvant causer le diarrhée

Nommez moi un virus pouvant causer la diarrhée

Nommez moi un parasite pouvant causer la diarrhée

A

1, Salmonella spp.
Shigella spp.
Yersinia enterocolitica
Escherichia coli
Campylobacter spp.

  1. Norovirus (diarrhée épidémique) et rotavirus (enfants surtout)
  2. Giardia (qui fait la giardiase) au qc surtout
106
Q
  1. Lorsqu’un patient est infecté avec SARM/ ERV ou c.difficile, quel type d’isolement doit-on indiquer ?
  2. Quelles sont les mesures de prévention des infections à adopter ?
A
  1. Isolement contact
  2. Pratiques de base (lavage des mains + gants et jaquette)
107
Q
  1. Lorsqu’un patient est infecté avec l’influenza, quel type d’isolement doit-on indiquer ?
  2. Quelles sont les mesures de prévention des infections à adopter ?
A
  1. gouttelette et contact
  2. distance 2m, masque, protection occulaire, jaquette, gant, EPI EN FAIT
108
Q
  1. Lorsqu’un patient est infecté avec la rougeole, la covid, la tuberculose ou la varicelle, quel type d’isolement doit-on indiquer ?
  2. Quelles sont les mesures de prévention des infections à adopter ?
A
  1. Aérien
  2. distance 2m, masque N95 !! , protection occulaire, jaquette, gant, EPI EN FAIT, chambre à pression négative