Problème 5 Flashcards

1
Q

Nomme des facteurs influençant la trajectoire de perte d’autonomie

A
  1. maladie grave
  2. chutes antérieurs
  3. âge
  4. état de santé
  5. troubles cognitifs
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2
Q

dépistage vs repérage

A

dépistage : identifier des individus qui seront affectés dans le futur par la maladie ou un état de dépendance
- identifier ceux qui seront dans le futur en perte d’autonomie

repérage : identification des individus qui sont déjà affectés par une maladie ou un état de dépendance
- identifier les individus en perte d’autonomie (PRISMA-7)

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3
Q

nommes les enjeux vs avantages du repérage

A

enjeux :
- la sensibilité et spécificité doit être optimale
- la durée doit être courte
- valeur prédictive doit être bonne afin d’identifier les cas malades et les cas sains

avantages :
- prévient la progression de la perte d’autonomie par l’intervention précoce
- prévient la sur-utilisation des services de santé conséquente à la perte d’autonomie
- prévient l’épuisement des proches aidants

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4
Q

plus de ? des aînés vivant à domicile font au moins 1 chute par année dans les pays industrialisées

A

1/3

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5
Q

près de ? avec au moins 1 chute à domicile ayant causé une limitation de leurs activités habituelles

A

20%

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6
Q

au canada, les chutes sont ? cause de blessure chez les aînés

A

1ère cause (85% des hospitalisations sont liés à une blessure)

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7
Q

conséquence des fractures de hanche

A

les chutes sont responsable de 95% des fractures de hanche, 20% d’entre eux décèdent l’année suivante

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8
Q

effets négatifs sur la santé mentale des chutes

A
  1. peur de tomber
  2. perte d’autonomie
  3. confusion
  4. immobilisation
  5. dépression

truc mnémonique *DIC PA

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9
Q

les chutes résultent de l’intéraction complexe entre des facteurs de risques associées (aspect multifactoriel des chutes)

A
  1. caractéristiques de l’individu (facteurs intrinsèques)
  2. comportements de l’individu
  3. environnement (facteurs extrinsèques)
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10
Q

la fracture / blessure dépend de ?

A

caractéristiques de la chute (hauteur / position / dureté surface) et vulnérabilité de l’individu (ostéoporose, personne agée)

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11
Q

nomme des facteurs intrinsèques, comportementaux et environnementaux de risques de chute

A
  1. intrinsèque : âge, diminution de l’autonomie, historique de chute, peur de tomber, diminution force des genoux / hanche, trouble équilibre, déficit visuel
  2. inactivité physique, alimentation inadéquate, non-utilisation d’aides à la marche ou équipement sécuritaire, souliers non sécuritaire
  3. éclairage insuffisant, absence de barres d’appui ou maisn courantes, surfaces non sécuritaires (glissantes, inégales)
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12
Q

facteurs de risque de blessure de chutes individuels vs environnementaux

A
  1. individuels : densité osseuse, ostéoporose, insuffisance de tissu musculaire, perte de poids, inefficacité des réactions de protection réflexe
  2. matériaux de recouvrement des planchers n’absorbant pas les chocs, mobiliers du domicile ou des lieux contondants
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13
Q

risques d’aggravation d’une chute au niveau individuel et environnemental

A
  1. individuel : incapacité à se relever, non application des premiers soins, degré de gravité des blessures, mauvaise condition physique
  2. environnemental : non disponibilité du téléphone ou équipement de sécurité, non proximité des services de 1ère ligne, sois et services médicaux déficients
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14
Q

nomme les 3 étapes du continuum des services de prévention des chutes

A
  1. promotion : influencer la population ainée sans distinction (miser sur les facteurs de protection et les déterminants de la santé)
  2. prévention : cible les individus parmi les ainés avec des facteurs de risques ou à haut risque avec historique de chute
  3. soins de réadaptation : soins pour les personnes aînées ayant subi des blessures ou qui ont des incapacités consécutives aux chutes
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15
Q

rôle de la réadaptation dans le dépistage et l’évaluation des facteurs de risque ciblés (intervention personnalisée)

A

dépistage des facteurs de risques essentiels :

  1. utilisation de la grille TUG (time up and go) pour identifier / évaluer la marche et l’équilibre
  2. évaluer l’environnement avec la grille IREDA
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16
Q

prévention avec les aînés avec facteurs de risque de chute vs haut risque avec histoire de chute

A

aînée avec facteurs de risques de chute : intervention multifactorielle non personnalisée + intervention médicale préventive

aînée avec haut risque et histoire de chute : intervention médicale préventive + interventions multifactorielles personnalisées

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17
Q

exemples de sensibilisation au milieu à la prévention des chutes par l’intervenant de réadaptation (5)

A
  1. fournir des documents sur la prévention des chutes au centre communautaire / résidences
  2. préparer un étalage attrayant de cette documentation
  3. solliciter la participation d’organisations intéressés à la prévention des chutes (bénévoles, CLSC, centres de loisir)
  4. recommander à la municipalité d’éliminer les dangers potentiels
  5. inviter des présentateurs à venir discuter de leurs rôles face à la réduction des risques de chute
18
Q

quel est l’effet néfaste de la peur de tomber

A

diminution des activités qui sont responsable du sentiment néfaste
- anxieux à l’idée de se déplacer
- peur situationnelle allant de l’activité (dangereuse) à toutes les activités
- isolement en restant à la maison et évite de se déplacer pour diminuer l’anxiété
- déconditionnement augmente un risque de chutes en raison d’une diminution des capacités physiques et mentales

19
Q

2 programmes de prévention des chutes au québec

A

PIED : pour les personnes âgées AUTONOME ayant une histoire de chute, peur de chuter ou préoccupé par l’équilibre
- intervention multifactorielle non personnalisée
- augmenter l’équilibre et force des MI, améliore sentiment efficacité personnelle, densité osseuse et stimule AP

IMP : pour les personnes âgées ayant fait une chute et qui risque de tomber de nouveau en raison de leur état de santé, vise à améliorer l’autonomie en contrant les problèmes (intervention personnalisée)
- dépiste et surveille facteurs de risque, engage l’aîné et l’entourage vers une santé globale et sa sécurité

20
Q

en quoi la promotion et prévention en liens avec les HDV est important chez les personnes âgées

A

les personnes âgées sont davantage atteintes de maladies chroniques ou incapacités physiques limitant les AVQ, influence les comportements et choix liés aux HDV. Le vieillissement de la population s’accentue.

les HDV saines permettent d’avoir une meilleure santé, permettant d’être en meilleur santé et de retarder/prévenir/diminuer la gravité des problèmes de santé chronique

au final, il y aura moins de pression sur les ressources de soins de santé

21
Q

prévention et promotion liés aux HDV : alimentation

A

alimentation : le nombre de portions quotidiennes de fruits et légumes consommées par les QC est insuffisant (5 portions / jour)
- ceux qui prennent leurs repas en compagnie ou participent à des activités sociales ont une association positive associée à l’appétit
- faible appétit est observé chez ceux avec un niveau socioéconomique faible ou vivant seul
- femmes et 1/3 des aînés québécois ont un risque nutritionnel élevé

22
Q

prévention et promotion liés aux HDV : activité physique

A

la moitié des 65 ans et + ont un volume d’AP permettant de retirer des bénéfices sur le plan de la santé (diminue chez les femmes avec l’âge)

facteurs influençant positivement la pratique AP :
- scolarité ou revenu élevé
- habiter dans une région métropolitaine
- bon étant de santé
- habitudes de vie favorables

23
Q

prévention et promotion liés aux HDV : poids corporel

A

la variation de poids fréquente chez les QC de + de 65 ans et se traduit souvent par perte de poids
- + grande sédentarité, risque nutritonnel élevé et - bon état de santé physique / mental sont associés à un poids défavorable (affectant plus d’1 québécois sur 5 de 65 ans et +)

  • préconiser des aliments sains, comportements sains, meilleure activité physique plutôt que perdre / gagner du poids
24
Q

prévention et promotion liés aux HDV : tabagisme

A

les aînés vivant seuls sont plus nombreux à fumer la cigarette quotidiennement ou occasionnellement

fumer 11 cigarettes ou plus par jour ont généralement une perception négative de leur santé

1/10 québécois de 65 ans et + fume la cigarette (varie selon âge et structure du ménage)

25
Q

prévention et promotion liés aux HDV : alcool

A

les personnes considérés plus favorisées matériellement ou vivant dans des ménages dont le revenu ou le niveau de scolarité est élevé boivent davantage d’alcool

ceux vivant avec un partenaire sont + nombreux à boire de l’alcool que ceux vivant seuls

ceux qui boivent ont une meilleure perception de leur état de santé physique ou mentale

26
Q

prévention et promotion liés aux HDV : participation sociale

A
  • La participation sociale est associée à une meilleure santé physique et mentale.
  • Le statut socioéconomique est associé à la fréquence de la participation sociale mais l’association peut varier selon le type d’activité.
27
Q

importance de l’empowerment pour la promotion de la santé

A

def : processus où les personnes acquièrent un plus grand contrôle sur les décisions et les actions qui affectent leur santé

  1. permet l’amélioration de la qualité de vie
  2. est lié chez les personnes âgées avec le désir d’autonomie, d’indépendance et leur capacité à affirmer et maintenir un contrôle sur la prise de décision en matière de soins, santé
  3. réduction des inégalités en santé
28
Q

décision en lien avec la santé influencé par ?

A
  1. auto-efficacité
  2. chutes, historique de blessures et peur de chuter
  3. connaissances des facteurs de chute environnementaux
  4. habiletés à gérer les risques par l’adoption de comportements
  5. perception du niveau de risque en lien avec les dangers environnementaux
29
Q

éléments d’observation chez les conducteurs âgés

A
  1. présence de problèmes de santé et consommation de médicaments diminuant leur capacité fonctionnelle
  2. troubles cognitifs ayant un impact sur la conduite sécuritaire (démences frontotemporales, alzheimer, lewy)
  3. somnolence et baisse de vigilance (HDV, trouble de sommeil)
  4. troubles psychiatriques et maladies vasculaires cérébrales
  5. TCC : altération du temps de réaction et fonctions visuomotrices
  6. problèmes rénaux lorsque le régime de dialyse est instable
30
Q

facteurs de risques de l’isolement social

A
  1. âge et sexe (80 ans et +, femme)
  2. immigrant (origine culturelle et linguistique différent de la pop. canadienne générale)
  3. vivre en région rurale ou éloignée, prestation de services moins bonne, quartier défavorisé ou faible densité de population
  4. ennui de santé mentale ou physique, troubles mentaux
  5. manque de sensibilisation ou accès aux services et programmes communautaires
  6. absence de soutien de famille ou amis
  7. faible revenu / dépendance financière
31
Q

conséquences négatives de l’isolement social

A
  1. solitude et isolement réduisent la bien-être et la qualité de vie
  2. diminue la susceptibilité de vivre longtemps comparé à ceux avec de bonnes relations sociales
  3. dépression et suicide
  4. conséquences négatives sur la santé cardiovasculaire (augmente risque infarctus / AVC)
32
Q

interventions prometteuses pour prévenir l’isolement social des aînés et proches aidants

A

proches aidants :
- groupe de soutien téléphonique
- organisations d’activités sociales pour les proches aidants
- programmes de jour pour adultes pour fournir un répit (époux qui prennent soin partenaire démence)

aînés autochtones ou immigrants :
- intégrer les activités et les aliments traditionnels, incluant des sorties sur le terrain
- activités offertes dans leur langue première

33
Q

distingue le soutien social du soutien social perçu

A

soutien social : Les ressources sociales que les personnes perçoivent comme étant disponibles ou qui leur sont fournies par des non-professionnels dans le cadre de groupes de soutien formels et de relations d’aide informelles.

soutien social perçu : représente la croyance que le soutien est disponible auprès des membres de son réseau, alors que le soutien reçu est sa mobilisation et son expression

34
Q

décrit les bénéfices de la participation sociale

A
  1. risque réduit de mortalité / incapacité / dépression
  2. favorise retour à l’autonomie
  3. favorise bien-être
  4. favorise adoption saines HDV
  5. s’accomplir socialement et retarder le déclin cognitif / fonctionnel
35
Q

décrit les 4 types de soutien social

A
  1. soutien social émotionnel : présenter de l’affectivité positive, compréhension empathique, encourager à exprimer ses sentiments, offrir des conseils et orientation
    - mesure dans laquelle la personne a qqn pour l’écouter / renseigner / conseiller en situation de crise et se confier
  2. soutien social concret : la personne a qqn pour fournir une aide matérielle ou instrumentale (accompagner au médecin, préparer ses repas ou tâches ménagères)
  3. soutien social affectif : la personne a qqn pour témoigner de l’amour ou affection, serrer dans ses bras ou donner sentiment d’être désiré
  4. soutien social d’interactions sociales positives : reflète la disponibilité avec qui avoir des interactions positives (partager bon temps, se détendre, faire des activités pour se distraire)
36
Q

explique des facteurs influençant la participation social

A
  1. maladie
  2. faible revenu
  3. incapacités fonctionnelles importantes
  4. sédentarité
  5. faible soutien social
37
Q

quels sont les éléments clés pour promouvoir la participation sociale ?

A
  1. avoir accès aux possibilité de transport
  2. être informé des activités et services communautaires
  3. être accompagné aux activités
  4. avoir accès à des activités adaptées à leurs intérêts, horaire, coût et langue et état de santé
38
Q

particularités de prendre soins d’une personne vivant avec troubles cognitifs

A
  1. travail non rémunéré qui demande beaucoup de temps au niveau des AVQ et AVD
  2. les changements de comportements spécifiques peuvent causer du stress et dépression
39
Q

conséquences négatives et positives d’être proche aidant

A

négatif :
1. stress quotidien augmentant le risque de dépression et anxiété
2. réduction qualité de vie
3. défi au niveau de la santé physique, sociale et financière

positif :
1. sentiment de croissance personnel
2. sentiment d’accomplissement et gratification
3. augmente la cohésion familiale

40
Q

CRAFAC : nomme les 6 caractéristiques psychologiques associées à la résilience

A
  1. conscience de soi
  2. résilience psychologique
  3. autorégulation
  4. force de caractère
  5. agilité mentale
  6. connexion
41
Q

explique comment les attitudes personnelles peuvent contribuer à la résilience

A

des interventions avec un cognitif positif (optimisme, gratitude, gentillesse) ont un impact positif sur le bonheur et favorise la résilience psychosociale

les attitudes positives favorisent la résilience émotionnelle et cognitive.

42
Q

explique comment les attitudes personnelles peuvent contribuer à la résilience

A

des interventions avec un cognitif positif (optimisme, gratitude, gentillesse) ont un impact positif sur le bonheur et favorise la résilience psychosociale

les attitudes positives favorisent la résilience émotionnelle et cognitive.