Problème 4 Flashcards

1
Q

Distingue :
1) Accident de travail
2) Maladie professionnelle
3) Atteinte permanente à l’intégrité physique ou psychique
4) Lésion professionnelle

A

1) Évènement imprévu et soudain, attribuable à toute cause, survenant à une personne par le fait ou à l’occasion de son travail et qui entraîne pour elle une lésion professionnelle

2) Maladie contractée par le fait ou à l’occasion du travail et qui est caractéristique de ce travail ou reliée directement aux risques particuliers de ce travail

3) Dommage physique ou psychique qui affecte un travailleur et qui doit vraisemblablement durer toujours

4) Blessure ou maladie qui survient par le fait ou à l’occasion d’un accident de travail, ou maladie professionnelle, y compris la récidive, la rechute ou l’aggravation

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2
Q

? (1) peut causer des lésions professionnelles.
? (2) est une lésion professionnelle
les lésions professionnelles inclut ? (3)
? (4) peut mener à une atteinte permanente à l’intégrité physique ou psychique

A

1) accident de travail
2) maladie professionnelle
3) maladies et blessures
4) maladies et blessures

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3
Q

donne des exemples d’accident de travail pouvant causer des lésions professionnelles

A

accident de travail : entorse lombaire lors de manutention / amputation de doigt avec une scie

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4
Q

donne des exemples de maladies professionnelles qui sont des lésions professionnelles et en quoi les maladies peuvent mener à une atteinte permanente de l’intégrité physique

A

maladies professionnelles : tendinite des extenseurs du carpe / surdité / syndrome du tunnel carpien

si on développe de la surdité à cause de l’environnement de travail, la maladie peut causer des dommages irréversibles sur l’intégrité physique

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5
Q

explique en quoi un accident de travail peut causer une lésion professionnelle et ainsi mener à une atteinte permanente à l’intégrité physique

A

un accident de travail peut être une lombalgie lors d’une manoeuvre de manutention (lever une boîte en flexion) causant une lésion professionnelle. cet accident peut être à l’origine d’une hernie discale, ayant donc causé un dommage irréversible à l’anneau fibreux du disque vertébral

une coupure à lors de l’usage d’une scie en milieu de travail peut couper le doit et mener ultimement à une amputation, soit une atteinte permanente à l’intégrité physique

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6
Q

rôles et obligations respectives de l’employeur

A
  1. obligé d’élaborer un programme de prévention propre à chaque établissement
    - mesures concrètes pour éliminer les dangers
    - assurer la sécurité et santé des travailleurs
  2. peut former un comité paritaire de santé et sécurité
    - mandat d’améliorer les conditions de santé et sécurité des travailleurs
    - un ou des travailleurs sont désignés pour exercer les fonctions de représentant à la prévention
  3. relocaliser ou modifier le travail des femmes enceintes ou qui allaitent afin de prévenir les dangers pour la mère et le bébé
    - retrait préventif (droit couvert par CNESST : indemnisation)
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7
Q

droits du travailleur et rôles

A
  1. le travailleur a le droit de refuser d’exécuter une tâche s’il a des motifs raisonnables de croire que lui ou une autre personne serait exposé à un danger
    - doit informer son supérieur ou employeur et donner les raisons
    - doit demeurer disponible et rester sur les lieux pour exécuter d’autres tâches
    - aucune sanction ne peut lui être imposé, il continue de toucher son salaire et ne peut être congédié
  2. rapporte les facteurs de risques de leur travail (dire qu’une tâche fait mal au dos –> permet trouver piste de solution)
  3. se présenter aux séances de formations et information et respecter les consignes de sécurité
  4. responsabilité de se présenter à ses séances de traitement et tenir l’établissement au courant
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8
Q

rôles de l’IRSST

A

1) effectue la recherche scientifique en santé et sécurité au travail
2) forme les chercheurs et offre des services de laboratoires

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9
Q

rôles de la CNESST

A

1) prévention : promotion de la sécurité et santé au travail, soutenir les travailleurs et employeurs dans la démarche pour rentre le milieu de travail sain, inspection des lieux

2) voit au financement du régime par les primes qu’elle perçoit aux employeurs

3) rôle d’enquête lors d’accidents graves ou de décès

4) assurer public auprès des employeurs et travailleurs

5) indemnise les travailleurs ayant subi une lésion professionnelle et s’assure qu’ils reçoivent l’assistance médicale qu’exige leur état

6) s’assurent que ceux avec une atteinte permanente à l’intégrité physique aient des services de réadaptation

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10
Q

rôles de l’association paritaire

A

1) fournir des services de formation, information, conseil en matière de prévention des accidents de travail et maladies professionnels aux travailleurs représentés

2) procure une aide technique et professionnelle pour créer un comité de santé et sécurité et élaborer un programme de prévention

def : favoriser la prévention, les travailleurs et employeurs peuvent avoir une association en mode paritaire où chacune des parties est représenté également dans un même secteur d’activité

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11
Q

explique les droits du travailleur

A

1) droit à la réadaptation
- lorsqu’atteint de façon permanente dans son intégrité physique ou psychique, au point où sa réinsertion sociale et professionnelle est compromise, le travailleur peut bénéficier de réadaptation
- but de faciliter la réintégration du travailleur sur le marché en éliminant les incapacités physiques ou psychiques et en l’aidant à surmonter les conséquences sur le plan personnel et social de sa lésion professionnelle
- objectif ultime de favoriser un retour à l’emploi du travailler
- frais couverts par la CNESST

2) droit au retour au travail
- oblige employeur à reprendre le travailleur qui redevient capable d’occuper un emploi ou emploi équivalent, avec le salaire et tous les avantages liés
- il a droit d’occuper le 1er emploi convenable disponible chez son employeur, à la condition que cela respecte ancienneté inscrite dans sa convention collective.
- Le travailleur a le droit au même salaire et avantages pré-lésion.

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12
Q

rôle et responsabilités des intervenants en réadaptation dans le processus

A

1) prodiguer des traitements visant l’objectif de retour au travail prompt et durable

2) transmettre l’information importante à partager avec le médecin et aviser la CNESST

3) recevoir l’avis motivé du médecin concernant le plan de traitement et y donner suite

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13
Q

rôles et responsabilités de la CNESST dans le processus de retour au travail

A

1) décider de l’admissibilité de la réclamation pour lésion professionnelle

2) prend à sa charge les frais d’assistance médicale et paie les traitements de physio

3) s’assure que le travailleur reçoit des soins et traitement dont il a besoin visant l’objectif de retour au travail

4) s’assurer d’agir de façon concertée avec les partenaires lors de toute intervention visant le retour au travail

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14
Q

responsabilités du travailleur lors du processus de réadaptation

A

1) se présenter à ses séances de traitement (en cas absence, CNESST suspend le versement des indemnités)

2) tenir l’établissement au courant de toute nouvelle information pertinente concernant les aspects administratifs/médicaux du dossier

3) s’assurer de revoir son médecin traitant dans les délais prévus pour qu’il procède à l’évaluation du plan de traitement

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15
Q

rôle du réseau de la santé et des services sociaux

A

1) déterminer les risques pour la santé dans le milieu de travail et informer les travailleurs des moyens de protection

2) dépister et prévenir les problèmes de santé pouvant être provoqué ou aggravé par des dangers présents au travail

3) rendre accessible un service de 1er soin et 1er secours

4) surveillance environnementale des lieux de travail

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16
Q

rôle de l’employeur quant à l’indemnisation de son employé lors d’un accident (retour au travail lendemain)

A

1) l’employeur doit indemniser le travailleur pour la durée qu’il n’était pas présent (non remboursable par la CNESST)

2) inscription de l’accident dans un registre que signe le travailleur

3) employeur mène une enquête sur les causes de l’accident et apporte des correctifs

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17
Q

rôle de l’employeur quant à l’indemnisation de son employé lors d’un accident majeur (absence prolongée)

A

1) avertir la CNESST si le travailleur ne peut rentrer le lendemain

2) avoir l’attestation médicale du travailleur qui confirme qu’il ne peut pas travailler

3) 14 premiers jours : employeur indemnise le travailleur à 90% du salaire et fait parvenir à la CNESST une demande de remboursement (faite dans les 48 heures suivant le retrour au travail ou dans les 48h suivant les 14 jours)

4) plus de 14 jours : travailleur doit présenter une demande d’indemnisation (réclamation du travailleur) à la CNESST dans un délai de 6 mois, la CNESST va indemniser directement le travailleur (chèque aux 2 semaines)

18
Q

quelle est la première étape de la démarche de prévention des accidents / maladies du travail / TMS des MS et MI

A

1) identifier (dangers)
* repérer les dangers avec des inspections, analyse des accidents ou quasi-accidents, recevoir les plaintes ou commentaires des travailleurs, via programme de santé de l’établissement
* établir les priorités : dangers avec des conséquences graves et ceux dont les travailleurs jugent urgents
*réfléchir aux solutions afin de prévenir les accidents / améliorer les conditions (méthodes de travail + sécuritaires, dispositif de sécurité plus performant)

19
Q

quelles sont les secondes étapes de la démarche de prévention des accidents / maladies du travail / TMS des MS et MI

A

2) corriger (passer à l’action concrète)
* éliminer le danger (si impossible, le diminuer ou maîtriser les risques et protéger les travailleurs)
* planifier des étapes réalistes pour l’atteinte des objectifs (choix de la meilleure solution - fixer des dates limites - désigner un responsable - évaluer les résultats)

3) contrôler (empêcher que le danger revienne)
* s’assurer que les corrections sont maintenues (inspections, entretiens, rappel de formation)
* s’assurer d’éviter d’introduire de nouveaux dangers (politique d’achats, formation des nouveaux employés)

20
Q

comment prévenir l’apparition des TMS ?

A

1) avec l’activité réelle (identifier les facteurs de risques présents lors de l’accomplissement de tâches)
* on peut alors prioriser les facteurs de risque (par intensité, fréquence ou durée d’exposition) contribuant le plus à la sursollicitation musculosquelettique

2) identification des déterminants de l’activité de travail
* sont déterminés par des facteurs (caractéristiques individuelles : anthropométrique / habiletés / expérience de travail)
(caractéristiques de la tâche : différents gestes, postures, tâches)
(dispositifs techniques et environnement : type d’outil et d’équipement fournis, hauteur du plan de travail, siège ou non, espace disponible et éclairage)
(organisation du travail et environnement social : cadence imposée, nature des interactions avec les collègues, climat de travail, répartition des tâches)

21
Q

quel est l’objectif de la prévention des TMS en milieu de travail

A

réduire la fréquence, l’intensité et la durée des facteurs de risques en modifiant les déterminants afin de réduire les risques de TMS

22
Q

qu’elle est la bonne posture à un poste de travail informatisé

A

1) tête droite
2) regard doit se porter légèrement vers le bas sans incliné le cou (30 degrés)
3) le dos doit être soutenu par le fauteuil et favorise la courbe naturelle du dos
4) coude fléchis à 90 degrés avec les épaules détendues (mais non affaissées)
5) les cuisses en position horizontale avec un angle de 90 à 110 degrés par rapport aux hanches
6) les pieds sont appuyés et posés plat au sol (sinon, repose-pieds)

23
Q

qu’est-ce qui garantie une bonne circulation sanguine et diminution des risques de blessure au travail informatisé ?

A

modifier sa position le plus souvent possible : marcher / travail debout / travail assis / écrire à la main

24
Q

donne des conseils pour un bon fauteuil de bureau

A

1) offre un soutien lombaire (coussin soutenant la courbe lombaire du bas du dos) permettant un torse légèrement incliné vers l’arrière

2) hauteur réglable : pieds doivent toucher fermement au sol (ou repose pied), la flexion de hanche à 90 degrés et le siège doit être au maximum au-dessous de la rotule

3) largeur adaptée à la taille de la personne : assez large pour ne pas compresser le côté des cuisses et assez étroit pour les appuis-bras

4) appuis bras amovible ou réglables diminuant le stress aux épaules et dos

25
Q

sur quoi se renseigner par rapport aux antécédents de lombalgie dans le cadre d’évaluation préalable au placement

A
  1. fréquence et durée des crises
  2. temps écoulé depuis la dernière crise
  3. douleurs irradiantes dans les jambes
  4. opérations précédentes
  5. congés de maladie due à la lombalgie
26
Q

caractéristiques organisationnelles les plus importantes associées aux faibles taux d’invalidité et d’absence pour maladie attribués aux lombalgies.

A

1) grande satisfaction au travail

2) bonnes relations industrielles

27
Q

la valeur prédictive pour des nouvelles lombalgies sont ?

A

la fréquence et durée des lombalgies passées

28
Q

solutions possibles envers les facteurs de risques de manutention pour
1) posture
2) effort excessif
3) répétition

A

1) varier la nature du travail et la posture de travail / régler la hauteur du poste de travail

2) fournir des aides mécaniques pour le transport / réduire le poids cumulatif total manipulé chaque jour / avoir une équipe pour soulever des objets

3) alterner les tâches / mettre des cycles de travail-repos courts / réduire le rythme de travail

29
Q

identifie les principaux facteurs de risques d’accidents et lombalgies lors de tâches de manutation

A
  1. effort excessif : personne ne se tient pas debout de façon symétrique, la personne n’A pas son tronc droit sans induire de rotation, distance horizontale par rapport à l’objet est de plus de 25cm
  2. posture inconfortable : travail avec les bras au-dessus de la tête, torsions du poignet pour manier outil, dos penché, torsions du tronc
  3. mouvements répétitifs : je répète toujours les mêmes gestes en suivant le rythme de la chaîne de production
30
Q

types d’efforts

A
  1. effort excessif : effort trop grand, fourni dans les premiers moments de soulèvement d’une charge (résulte du poids et position de l’objet par rapport au manutentionnaire)
  2. effort soudain : effort imprévu, attribuable au risque de perdre l’équilibre ou le contrôle de la charge
  3. effort asymétrique : fait appel au corps de manière inégale, torsions de la colonne
  4. effort par cumul : additions d’efforts dans le temps, lors de répétitions.
31
Q

explique les facteurs psychosociaux au travail

A

1) charge de travail : quantité de travail à accomplir, exigences intellectuelles
* complexité du travail réel, ressources et outils à disposition, temps disponible, imprévus

2) autonomie décisionnelle : contrôle sur la travail à réaliser et possibilité développer habiletés
* notion contrôle et accomplissement de soi / possibilité de créativité, faire preuve initiative, prendre des décisions autonomes, participation et implication des employés

3) reconnaissance au travail : reconnaissances des efforts et réalisations (rémunération, estime, respect, sécurité emploi, promotions)

4) soutien social du supérieur / collègues : disponibilité du supérieur pour employés et ouverture aux opinions
* capacité à soutenir les employés, faire preuve de dignité et respect envers employés / degré de cohésion du groupe

5) harcèlement psychologique : comportements, paroles, actes ou gestes répétés hostiles et non désirés portant atteinte à la dignité et intégrité psychologique ou physique entrainant un milieu de travail néfaste

32
Q

raisons par rapport à la préoccupation des risques psychosociaux au travail

A

1) réduire et prévenir les impacts négatifs sur la santé psychologique (détresse, dépression, trouble anxieux)

2) prévenir ou réduire les impacts néfastes sur la santé physique (TMS, maladie cardiovasculaire)

3) répondre aux responsabilités légales en matière de santé et sécurité au travail (courant la santé psycho)

4) réduire les coûts de santé qui nuisent à la productivité (absentéisme, roulement de personnel, départs prématurés à la retraite, accidents de travail)

33
Q

facteurs de risques associés à une mauvaise santé psychologique au travail

A
  1. faible contrôle (ex : assumer un surplus de travail car son collègue call off)
  2. beaucoup d’effort pour peu de récompenses : surpasser les objectifs visés et offrir un excellent service sans jamais avoir notre travail souligné (manque reconnaissance)
  3. charge excessive de travail : assigner à un nouvel employé qui ne sont pas raisonnables
  4. environnement de travail physique inadéquat : absence de climatisation dans l’établissement
34
Q

prévention primaire, secondaire et tertiaire des problèmes de santé psychologique au travail

A

primaire : réduire les facteurs de risques pour éviter l’apparition de la maladie (ex : valoriser les efforts, réduire la charge de travail, consulter dans les décisions)

secondaire : dépister à un stade précoce de la maladie (formation sur la gestion du stress)

tertiaire : diminuer les récidives, les incapacités et limitéer les complications et séquelles d’une maladie (diminuer les conséquences des problèmes de stress et anxiété dans mon établissement)
* programme d’aide aux employés / programme de retour au travail

35
Q

donne des stratégies pratiques pour améliorer la santé / sécurité psycho au travail

A

employé : soutenir les collègues dans leur stress, se présenter avec une attitude positive, rapporter les cas de mauvais traitement ou harcèlement

superviseur : savoir reconnaître les indicateurs de stress en milieu de travail, offrir des conditions de travail souples aux employés dans le besoin, offrir de la formation sur la santé psychologique en milieu de travail, souligner les réalisations

organisation : établir une politique soutenant la santé psycho en milieu de travail / soutenir financièrement les programmes de santé psychologique

36
Q

quels sont les enjeux de conciliation travail-famille

A

1) nécessité des entreprises d’être compétitives : prolongation des heures de production, horaires atypiques augmentent, gestion concurentielle des effectifs

2) changements dans la société importants : départs à la retraite massifs, déclin de la population en âge de travailler, relève restreinte

3) valeurs en transformation : présence croissante des femmes sur le marché du travail et de familles à 2 travailleurs, demandes d’horaires réduits ou de tâches allégées de la part des travailleurs à l’aube de la retraite, congés parentaux maintenant utilisés par les pères

37
Q

points positifs de la conciliation travail-famille

A
  1. diminue le stress dans l’organisation
  2. diminution des retards et absentéisme
  3. diminution du roulement de personnel
  4. augmentation de la motivation et satisfaction au travail
  5. recrutement plus aisé
38
Q

quels sont les impacts négatifs des nouvelles réalités (entreprises compétitives, valeurs en changement, changements sociaux importants)

A
  1. plus grand roulement de personnel
  2. diminution de satisfaction au travail
  3. absentéisme
  4. démotivation
  5. dégradation des habitudes de vie
  6. faible satisfaction de la vie conjugale
39
Q

nomme des impacts tu travail précaire sur la santé

A
  1. taux de mortalité plus élevé (1,2 à 1,6x) vs ceux permanents
  2. impacts négatifs sur la santé physique
  3. contraintes financières et davantage d’inquiétude par rapport aux finances (écart de salaire de 30% vs employés permanents)
  4. forte pression et niveau d’exigences élevées lorsqu’on travail pour une agence
  5. plus à risque de souffrir de TMS car travail intense et répétitif + taux plus élevé de détresse psychologique et symptômes dépressifs
40
Q

identifie les facteurs psychosociaux et environnementaux influençant la reprise du travail à la suite d’une lésion professionnelle

A
  1. participation sociale
  2. durabilité
  3. stress psychologique
  4. sentiment efficacité personnelle à réaliser les tâches au retour du travail
  5. peur de se blesser à nouveau
  6. attentes par rapport à la reprise du travail