problème 3 Flashcards

1
Q

définition du comportement sédentaire

A

tout comportement en état de veille caractérisé par une dépense énergétique égale ou inférieur à 1,5 MET
- position assise prolongée, faible dépense énergétique et inactivité physique
- fait référence à l’accumulation de comportements sédentaires se produisant sur 24 heures

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2
Q

proportion des adultes canadiens insuffisamment actifs

A

la moitié (1/2) ne sont pas suffisamment actifs pour retirer des avantages en matière de santé et bien-être

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3
Q

qui parmi les travailleurs sont le plus sédentaire : dans l’ordre de plus sédentaire à moins sédentaire,

A
  1. travailleurs non qualifiés
  2. semi-spécialisés
  3. postes techniques / supervision
  4. direction
  5. professionnels
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4
Q

quelle est la proportion d’enfants de 3 à 17 ans qui respectent les directives en matière de mouvement sur 24 heures ?

A

3 à 4 ans (préscolaire) : 13%
3 à 17 ans : 9,5%

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5
Q

quelle est la proportion d’enfants de 5 à 18 ans qui font en moyenne 60 minutes d’activité physique par jour

A

38%

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6
Q

quelle est la proportion d’enfants excédant le temps maximal devant un écran (+ 2h par jour)

A

72%

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7
Q

sédentarité selon l’âge

A

enfants : 8,4h/jour
adultes : 9,6h/jour
personnes âgées : 10,1h/jour

les comportements sédentaires augmentent avec l’âge

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8
Q

quelle est la proportion d’adultes et personnes âgées qui respectent les directives en matière d’AP

A

adultes : 18% font 150 minutes d’activité physique par semaine d’intensité modérée à intense en séances de 10 minutes ou plus

personnes âgées : 14%

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9
Q

proportion de québécois avec un suplus de poids et obésité

A

52% en surpoids et 18% en obésité

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10
Q

qui sont plus à risques de souffrir d’obésité

A
  1. milieu rural
  2. insécurité alimentaire
  3. moins favorisés matériellement
  4. moins scolarisés
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11
Q

nommes pour quelles maladies la sédentarité est un facteur de risque

A
  1. obésité
  2. hypertension artérielle
  3. Diabète type 2
  4. infarctus et AVC
  5. ostéoporose
  6. cancer du sein
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12
Q

émet une approche de prévention primaire, secondaire et tertiaire pour les enfants du Québec en situation d’obésité / sédentarité

A

prévention primaire : diminuer les périodes de sédentarité afin de réduire le risque de développer de l’obésité et des maladies chroniques vasculaires via changement de comportement (ex : augmenter le nombre de récréations et d’activités quotidiennes, stimuler l’apprentissage en position debout), car seulement 9,5% des enfants de 5 à 17 ans respectent les directives en matière de mouvement

prévention secondaire : dépistage par rapport à la probabilité que les enfants développent ou sont en situation de surpoids / obésité afin d’arrêter la progression et inverser la tendance ou réduire les dommages

prévention tertiaire : intervention d’un kinésiologue afin d’augmenter le niveau d’activité physique des enfants, afin de prévenir les complications déjà établies associées à l’obésité, améliorant la qualité de vie et la fonction en stimulant une perte de poids

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13
Q

émet une approche de prévention primaire, secondaire et tertiaire pour les personnes âgées du Québec en situation sédentarité

A

prévention primaire : inciter le personnel des centres de personnes âgées (CPA) à mobiliser les personnes âgées du centre à réduire les comportements sédentaires en limitant les périodes assises et en instaurant un programme de marche, dans le but de prévenir le développement de la sédentarité / réduire les risques de le développer.

prévention secondaire : dépistage par rapport à la probabilité que les personnes âgées soient en situation de sédentarité afin de prévenir l’apparition de la condition / l’arrêter ou l’inverser

prévention tertiaire : inciter le personnel des centres de personnes âgées (CPA) à mobiliser les personnes âgées du centre à réduire les comportements sédentaires en instaurant un programme de marche, dans le but de réduire les conséquences / complications associées à leur sédentarité, améliorer leur qualité de vie et longévité.

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14
Q

émet une approche de prévention primaire, secondaire et tertiaire pour les adultes du Québec en situation d’obésité

A

prévention primaire : éducations par rapport aux saines habitudes de vie comme les recommandations en matière d’activité physique dans les milieux de travail afin de contrer l’inactivité physique. L’objectif est de réduire le facteur de risque qu’est l’inactivité physique afin de prévenir le développement l’obésité

prévention secondaire : dépistage par rapport à la probabilité que les adultes soient en situation d’obésité avec d’inverser ou arrêter la progression de la condition (obésité).

prévention tertiaire : instauration d’un service de kinésiologie dans les milieux de travail afin de diminuant les positions assises. L’objectif est de diminuer les complications associées et la détérioration de l’individu en raison de la sédentarité.

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15
Q

quelles sont les approches individuelles

A
  1. modèle des croyances relatives à la santé
  2. modèle de la théorie sociale cognitive (bandura)
  3. modèle de l’action raisonnée
  4. modèle de la théorie du comportement planifié
  5. modèle transthéorique comportemental de prochaska
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16
Q

faiblesses et avantages des approches individuelles

A

A :
- s’attarde à cibler les facteurs individuels à la source des problèmes selon la valeur (importance que l’individu accorde aux effets d’un comportement) et l’attente (croyance qu’un comportement permette d’obtenir l’effet escompté)
- axées sur les comportements et l’éducation à la santé

F :
- ne s’attardent pas à l’environnement plus large dans lequel les individus évoluent (qui a un impact sur l’adoption des comportements)
- besoin d’approche écologique pour des problèmes de grande prévalence (ex : tabagisme)
- permet d’élargir le spectre des interventions pour favoriser une action efficace en intégrant des interventions visant les environnements organisationnels, communautaires et politiques

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17
Q

selon le modèles des croyances relatives à la santé, le comportement d’un individu dépend de ?

A
  1. l’importance de ses objectifs
  2. son estimation des probabilité qu’un comportement permettra d’atteindre son objectif

ex : avoir un sentiment de bien-être est mon objectif principal, j’estime que la relaxation me permettra d’atteindre cet objectif

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18
Q

selon ce même modèle, les changements comportementaux dépendent ?

A

des composantes cognitives :
1. perception d’une menace pour la santé (perception de vulnérabilité et de gravité)
2. perception des bénéfices (efficacité des stratégies pour réduire la menace)
3. la perception des obstacles (coûts)
4. auto-efficacité (croyance de l’individu dans sa capacité d’exécuter avec succès le comportement)

pour effectuer un comportement, il faut être incité à changer, se sentir menacé par son comportement actuel, percevoir qu’un changement peut être bénéfique en présentant peu de conséquences négatives, ainsi que se sentir compétent à effectuer le changement.

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19
Q

selon le modèle de la théorie sociale cognitive (bandura), quel est le concept central dans le changement de comportement

A

sentiment d’auto-efficacité (croyance de la personne a avoir la capacité d’exécuter avec succès un comportement donné pour arriver aux résultats escomptés)

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20
Q

quels sont les 4 interventions pour améliorer l’auto-efficacité selon ce même modèle ?

A
  1. ses réalisations personnelles : élaborer des objectifs réalises et à court terme pour expérimenter rapidement du succès (contribue croyance efficacité personnelle)
  2. observations d’expériences vécues par autrui : être témoin de succès
  3. persuasion verbale : donner du renforcement positif lorsque le comportement est effectué
  4. activation émotive : réactions physiologiques qui informent la personne d’une certaine vulnérabilité, pouvant affecter sa croyance en son efficacité personnelle
    - effet négatif sur le sentiment d’auto-efficacité (à éviter)
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21
Q

le modèle de l’action raisonnée mets l’accent sur ? quel est le déterminant le plus important ?

A

les croyances, les attitudes, les intentions et le comportement

le déterminant le plus important est l’intention comportementale (c’est ce qui détermine le comportement ou la motivation en regard du comportement)

22
Q

l’intention comportementale est influencée par ?

A

1) attitude de l’individu (positive ou négative) à l’égard de l’exécution du comportement. Déterminé par :
- croyances de l’individu sur la retombé du comportement et les valeurs qu’il accorde aux retombées du comportement

2) normes subjectives d’un individu associée au comportement (perception des attentes des autres relativement à l’adoption du comportement), dépend des :
- croyances normatives (approbation ou désapprobation des personnes significatives entourant l’individu quant à l’adoption du comportement)
- motivation de l’individu à se conformer aux opinion des personnes significatives

23
Q

qu’est-ce qui diffère le modèle d’action raisonnée du modèle de comportement planifié ?

A

le modèle du comportement planifié ingère la perception du contrôle comportemental (reflète la croyance de la personne quant au degré de facilité ou difficulté à réaliser le comportement). déterminé par :
- les croyances de la personne en la présence ou absence de ressources et obstacles sur le comportement
- la perception du pouvoir d’influence par rapport aux ressources et obstacles sur le comportement

une personne sera moins motivée et déploiera moins d’efforts à réaliser un comportement si elle perçoit plusieurs obstacles importants et peu de ressources pour le réaliser

ex : je reflète la croyance qu’il y a un degré de difficulté élevé à devenir plus actif, car j’ai une absence de ressources économiques et de soutien social (pas d’argent pour le gym ou linge, personne veut venir avec moi) et j’ai beaucoup d’obstacles (j’habite loin de tous les gyms, j’ai des études qui prennent bcp de temps) alors je suis moins motivé et mes efforts seront moindre à devenir actif.

24
Q

déterminants des comportements de santé dégagés par l’approche individuelle (bandura, action raisonnée, comportement planifié, croyances relatives à la santé)

A
  1. autoefficacité
  2. ressources disponibles
  3. bénéfices du comportements et obstacles
  4. attitudes des personnes significatives
  5. menace à la santé (vulnérabilité et gravité)

il faut évaluer ces déterminants pour identifier ceux qui nuisent à l’observance des recommandations et développer des stratégies adaptées au patient

25
Q

le modèle transthéorique comportement de prochaska comprends 6 étapes, nomme les et décrit l’objectif de ce modèle

A

objectif : décrire l’état psychocognitif de l’individu en lien avec le comportement donné en considérant le temps dans le processus de changement de comportement

les étapes considèrent les attitudes, intentions et comportements spécifiques des individus

1) préréflexion : individu ne prévoit poser aucune action dans un futur immédiat car il considère son comportement non problématique
- doit augmenter les avantages rattachés au changement

2) réflexion (contemplation) : individu considère le changement mais non décidé à le faire encore –> ambivalent face au changement et fait le point sur ses bénéfices et pertes potentielles
- il faut diminuer les désavantages rattachés au changement

3) préparation : individu prévoit réaliser le comportement désiré dans un futur immédiat (plan pour agir et pose des actions préalables au changement)
- il faut que les avantages soient 2 fois supérieurs aux désavantages

4) action : individu applique depuis moins de 6 mois les compétences pour modifier son comportement

5) maintien : individu tente de prévenir les rechutes et conserver le comportement nouveau (6 mois à 5 ans)

6) terminaison : individu n’a aucune tentation et est confiant en sa capacité à maintenir le comportement

26
Q

l’approche PRECEDE/PROCEED (écologique) considère de façon simultanée ?

A
  1. les modes de vie de l’individu (comportements de santé, loisirs, relations affectives)
  2. son milieu de vie (famille, réseau social personnel)
  3. environnement large (structure socio-économique, valeurs sociales et culturelles, politiques publiques)

souligne l’importance de considérer la qualité de vie, la participation sociale et l’environnement des individus, ainsi que l’état de santé

considère les multiples déterminants individuels et environnementaux de la santé

27
Q

nomme les étapes du modèle

A
  1. diagnostic social et analyse situation : la perception que les gens ont de la satisfaction de leurs besoins et de leurs opportunités d’atteindre la joie de vivre et leurs aspirations
  2. diagnostic épidémiologique : identification objective des problèmes de santé et facteurs comportementaux et environnementaux reliés à ce qui détériore la qualité de vie. / Identifier les facteurs de risque génétiques ou biologiques, comportementaux et environnementaux (lié aux conditions physiques et sociales) associés au problème de santé (préciser les relations cause-effet entre comportement et santé).
  3. diagnostic éducationnel et organisationnel : o Identification des facteurs qui doivent être modifiés pour qu’un processus de changement comportemental et environnemental soit instauré et maintenu. (facteurs prédisposants, facilitants et renforcement)
  4. déterminant de l’intervention et diagnostic administratif / politique
    - Définir les ressources humaines et financières disponibles ou nécessaires.
    - Identifier les barrières qui doivent être éliminées.
    - Examiner les conditions politiques favorables ou nécessaires.
  5. Mise en oeuvre : planification et organisation d’un programme
  6. évaluation de la mise en oeuvre, du processus, des résultats et effetes
28
Q

prémisses du modèles PRECEDE/PROCEED

A
  1. la santé est déterminée par des conditions multiples qui interagissent les unes avec les autres
  2. la santé est intimement liée à la qualité de vie
  3. les conditions sociales et la qualité de vie ont une influence sur les problèmes de santé
29
Q

Exemple de modèle écologique : Programme École en Santé (promotion et prévention)

A
  1. politiques, ressources, organisation, composantes du service ou du programme
    - définir les politiques administratives et financières nécessaires
    - mise en oeuvre
  2. facteurs prédisposants, facilitants et de renforcement
    - processus
    - définir la formation, les habiletés et l’écologie nécessaire
  3. mode de vie, environnement, état de santé, qualité de vie
    - impact : qu’elles sont les conséquences prévues ou imprévues du programme / quels sont les effets positifs ou négatifs
    - résultat : est-ce que le programme a atteint son objectif
    - définir les résultat souhaités (comportementaux, environnementaux, épidémiologiques, sociaux
30
Q

étapes du processus du modèle du programme École en Santé

A
  1. étape de la planification
    1.1 définir les résultats souhaitables : environnementaux, comportementaux, épidémiologique, sociaux (mode de vie, environnement, état de santé, qualité de vie)
    1.2 définir la formation, les habiletés et l’écologie nécessaire
    1.3 définir les politiques administratives et financières
  2. mise en oeuvre du programme
  3. étape de l’évaluation
    3.1 mise en oeuvre : qu’elle est l’intention du programme, qu’offre-t-il réellement ?
    3.2 processus : qu’elle est la raison des différences entre ce qui est prévu et la situation actuelle
    3.3 impact : qu’elles sont les conséquences prévues et imprévues du programme / effets positifs et négatifs
    3.4 résultat : est-ce que le programme a atteint ses objectifs
31
Q

en général, pour qu’une personne puisse changer, il doit ?

A
  1. impression positive du comportement
  2. minimum de barrières logistiques, sociales et informationnelles
  3. avoir une forte intention de changer
  4. croire que le comportement recherché est le résultat d’une norme sociale et sans sanction
  5. croire que ce comportement recherché correspond à l’image de soi
32
Q

identifie les 3 principales caractéristiques individuelles associées à la pratique régulière de l’activité physique que le professionnel de la santé peut favoriser

A

1) une perception positive des capacités personnelles : variable psycho associée à une pratique régulière d’AP
- croire qu’on a la capacité d’exécuter certaines activités physiques, à surmonter les difficultés

2) le plaisir : offrir des conseils pour ammener le patient à choisir des AP qui procurent du plaisir (correspondant aux goûts et intérêts) pour qu’il ne voit pas l’activité physique comme une corvée

3.) des attentes positives mais réalistes des retombées : tendance à se fixer des objectifs difficiles à atteindre, ce qui compte est de fixer des objectifs réalistes et apporter des changements graduels en allongeant la durée de pratique d’AP et nombres de séances

33
Q

quels sont les messages clés, ainsi que les suggestions pour promouvoir la pratique régulière d’AP

A

suggestions :
1. informer des bienfaits pour la santé d’une AP régulière
2. encourager ceux qui songent sérieusement à effectuer un changement, qui ont amorcer ou réussi à maintenir
3. chercher des activités qui répondent le mieux à leurs goûts et intérêts

messages clés
1. l’important c’est le volume total : l’activité physique n’a pas nécessairement à être pratiquée pendant 30 minutes, ni de façon intense pour être efficace (on a les mêmes bénéfices pour 30 minutes continu vs 3 x 10 minutes par jour)
2. tout est une question de régularité : ce qui compte le plus c’est de pratique une activité physique de façon régulière (tous les jours ou presque, tout au long de l’année

34
Q

enjeux touchant la santé physique et mentale ainsi que l’éducation des adolescents

A

Physique :
1. un peu plus que la moitié des ados consomment des légumes/fruits moins de 5 fois par jour
2. 3/10 n’ont pas accès à un professionnel de la santé stable ou habituel
3. 1/10 ont déjà consommer du tabac

Mentale :
1. 1/4 des ados ont une faible estime d’eux
2. 2/10 ont un diagnostic médical pour au moins 1 trouble de santé mental
3. plus que le tiers des ados se situent à un niveau élevé de détresse psychologique

Éducation :
1. le 1/5 des ados ne réussissent par leur examen du ministère en français
2. le 1/5 des ados n’obtiennent pas leur diplôme d’études secondaires dans les temps prescrits

35
Q

nomme des enjeux vécus chez les adolescents par rapport à leur milieu de vie et conditions matérielles

A

milieu de vie :
1. la moitié des ados sont pas satisfait de leur vie social
2. 1/10 vit dans un ménage où une personne possède un diplôme d’étude secondaire

conditions matérielles :
1. 1/10 ados vit dans un ménage à faible revenu
2. 1/10 ados vit dans un ménage qui craint de manquer de nourriture

36
Q

pourquoi la prévention liée à la dépression et au suicide est importante ? quels sont les facteurs de risques

A

c’est la première cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 29 ans

facteurs de risques suicide :
1. dépression
2. jeunes hommes autochtones
3. antécédents familiaux de suicide
4. abus de drogues et alcool (surtout avec isolement)

37
Q

que faire si un jeune n’est pas convaincu / motivé à arrêter le tabac ?

A

aborder les avantages et inconvénients (immédiats) de la consommation de tabac avec lui

Avantages :
1. occasion d’interactions sociales
2. appartenance de groupe

Désavantages :
1. mauvaise haleine
2. essoufflement
3. diminution performance dans les sports
4. aggravation asthme
5. coût des cigarettes

38
Q

plus grand facteur de risques de maladies invalidantes et graves

A

obésité

39
Q

désavantages d’être en situation d’obésité dans la pratique sportive

A
  1. difficulter à pratiquer des formes de loisir
  2. difficulter à s’acquitter des tâches
  3. discrimination sociale ou professionnelle
  4. mauvaise estime de soi
40
Q

nomme des informations par rapport au contexte social, culturel et sportif ne favorisant pas la pratique sportive chez les jeunes obèses

A
  1. loisirs électroniques sédentaires : télévision et jeux vidéo
  2. parents sont moins enclin à envoyer jouer les enfants dans des parcs qui paraissent peu sécuritaires
  3. nombre d’heures consacrées à l’activité physique n’atteint pas le seuil recommandé par le ministère de l’éducation
41
Q

nomme les principaux déterminants de l’activité physique chez les jeunes

A
  1. SSÉ
  2. Cours éducation physique
  3. Transport Actif
  4. Accessibilité aux services
  5. Parcs et espaces publics
  6. voies cyclables
42
Q

recommandations en AP pour :
1. enfants (5 à 11)
2. jeunes (12 à 17)
3. adultes (18 à 64)
4. aînés (65+)

A
  1. 1h activité modéré à élevé tous les jours (intensité élevé 3x semaine)
  2. 1h activité modéré à élevé tous les jours
  3. l’activité aérobique d’intensité modérée à élevée répartie tout au long de la semaine en séances de 10 min ou + chacune et actif au moins 2,5 h / semaine pour en retirer des bienfaits pour la santé
  4. Activité aérobique d’intensité modérée à élevée au moins 2,5h/semaine
43
Q

bienfaits de la prévention primaire, secondaire et tertiaire de l’activité physique

A

primaire :
1. maintien / perte poids
2. réduit risques de blessure associé aux chutes
3. diminue PA
4. diminue résistance insuline

secondaire :
1. réduit le taux de LDL et augmente HDL
2. réduit mortalité maladie coronarienne
3. réduit douleur arthrose
4. augmente temps de marche chez patients avec claudication intermittente

tertiaire :
1. atténue les incapacités et répercussions chez patients avec arthrose
2. améliore la qualité de vie et capacité fonctionnelle des malades
3. diminue la dyspnée et fatigue chez les MPOC
4. diminue le risque de complications du diabète (améliore métabolisme glucose, bilan lipidique, sensibilité insuline, maintien du poids)

44
Q

effets bénéfiques de l’AP sur :
1. parkinson
2. lombalgie chronique
3. AVC
4. Asthme

A
  1. augmente l’équilibre et la flexibilité
  2. diminue la douleur et améliore condition physique
  3. augmente VO2 max, puissance VO2max, vitesse et endurance marche
  4. augmente fonction pulmonaire au repos et volume expiratoire maximal
45
Q

quelles sont les 3 composantes de l’entrevue motivationnelle

A

1) volonté d’instaurer une culture axée sur la collaboration et compassion
- compassion et altruisme (agir en bienveillance)
- acceptation (avoir une attitude positive et empathique renforcant l’autonomie)
- évocation (amener la personne à verbaliser le changement)

2) les processus destinés à favoriser l’engagement dans la relation et à orienter la conversation autour de l’objectif du changement
2.1 engagement
2.2 focalisation
2.3 évocation
2.4 planification

3) les compétences dont les fournisseurs de soins ont besoin pour comprendre les véritables préoccupations du parent ou de l’aidant
3.1 questions ouvertes
3.2 valorisation
3.3 écoute réflexive et résumés
3.4 comment fournir des renseignements / conseils

46
Q

but de l’entrevue motivationnelle

A

méthode de communication centrée sur la personne permettant de renforcer sa motivation à changer de comportement en pointant son ambivalence intrinsèque et en la dépassant

47
Q

compare l’approche médicale traditionnelle aux théories de changement de comportement

A
  1. professionnel est l’expert et prends les décisions VS le client est l’expert
  2. problèmes identifiés par l’expert vs problèmes identifiés par le patient
  3. la compliance au traitement est un choix personnel vs l’adhérence au traitement est comprise selon le contexte environnemental
48
Q

étape 1 et 2 de PRECEDE/PROCEED

A

analyse sociale : identifier les préoccupations sociales les plus importantes aux yeux des individus d’un groupe / communauté (établir une priorité sur les problèmes)

analyse épidémiologique : identifier les problèmes de santé vécus par la population cible (déterminer les priorités et formuler un objectif de changement)

49
Q

étape 3 et 4 de PRECEDE/PROCEED

A

analyse comportementale et environnementale : faire l’analyse des comportements et des facteurs environnementaux avec le problème de santé (formuler objectifs secondaires et leur potentiel de changement)

analyse éducationnelle et organisationnelle : identifier les fact. à modifier pour qu’un processus de changement compo et env. ait lieu (prioriser les facteurs, objectifs spécifiques)

50
Q

quels sont les types de facteurs + exemples

A

facteurs facilitants : facilite la réalisation d’une action ou rendent le comportement possible
- dispo des ressources / accessibilité des ressources / habiletés de la personne

facteurs renforcement (subséquent au comportement) : contribue au maintien ou abandon du comportement
- influence des pairs et professionnels de la santé / soutien social / bénéfices perçus

facteurs prédisposant : motivent le comportement
- connaissances, croyances, confiance en soi, attitudes, efficacité personnelle

51
Q

facteurs comportementaux et environnementaux à considérer dans le modèle

A
  1. adoption saines HDV
  2. comportements à risques
  3. comportements préventifs
  4. facteurs environnementaux physiques
  5. facteurs environnementaux sociaux
  6. services disponibles
  7. ressources communautaires disponibles