MSP110 Flashcards
Rôle de la bradykinine
Vasodilatateur, médiateur de l’inflammation car l’inflammation via le relâchement de prostacycline et le NO.
Peptide vasoactif très puissant qui induit la dilatation des veinules, l’augmentation de la perméabilité vasculaire et la contraction locale des muscles lisses, évènements favorisants le recrutement de leucocytes. Comme l’histamine, les prostaglandines et la bradykinine participent au déclenchement de la sensation douloureuse.
Rôle de l’histamine
Amine vasoactive stockée dans les granules des mastocytes et des basophiles. Les mastocytes activés par la reconnaissance de PAMP (sur les pathogènes) ou par les anaphylatoxines C3a et C5a, libèrent l’histamine stockée dans leurs granules dans le milieu extracellulaire. Elle augmente la perméabilité vasculaire et permet la contraction des muscles lisses localement. Elle agit aussi au niveau du système nerveux et provoque la sensation de douleur.
Différence entre flore vs colonisation/infection
Flore : Microorganismes résidents des tissus n’ayant généralement pas de pouvoir pathogène (sauf si opportunistes). Chez tout le monde.
Colonisation : Peut être de manière transitoire ou permanente. La colonisation ne dérange pas les fonctions normales de l’organisme, participe au métabolisme, stimule le système immunitaire ® Ne perturbe pas l’homéostasie. Chez certains individus, pouvoir pathogène, selon circonstances (affaiblissement immunitaire, accumulation, etc.) (M. catarrhalis, streptococcus pneumoniae, autres vus pour IVRS bactérienne)
Infection : Interaction entre le pathogène et le système immunitaire menant à un débalancement de l’homéostasie conduisant à un procédé pathologique.
Pathogènes opportunistes : Bactéries faisant partie de la flore normale (S. aureus, E.Coli) ne causant généralement pas d’infection en raison du système immunitaire. Deviennent pathogènes lorsqu’un traumatisme se produit et qu’ils pénètrent dans une zone dites stérile ou bien lorsqu’il y a un débalancement de la flore.
Pathogènes stricts : Microorganismes causant toujours une pathologie.
Différencier rhume et grippe
Avec la grippe, la fièvre est habituelle (38-40 degrés), elle débute soudainement et dure 3-4 jours. Les maux de tête, la faiblesse/fatigue et les douleurs généralisées sont habituels. La fatigue extrême est prédominante dès le début. Les malaises pulmonaires et la toux sont habituels et peuvent devenir graves.
Rhinorrhée, congestion nasale, maux de gorge : Courants dans les deux
Complications
Rhume : Sinusite et otite
Grippe : Pneumonie, maladies respiratoires, mort
Signaux d’alarme de l’otalgie (7) + quand référer à un ORL (2)
1) Patient diabétique ou immunosupprimés.
2) Rougeur et fluctuation de la mastoïde et protrusion de l’auricule.
3) Tuméfaction importante du méat acoustique externe.
4) Douleur chronique associée à d’autres symptômes de la tête et du cou.
5) Examen de l’oreille normal de patients qui ont des signes, symptômes ou des facteurs de risque pour une tumeur (fumeur, alcool, personne de plus de 50 ans) → recommandé de faire une résonance magnétique (MRI) ou une nasolaryngoscopie
6) Examen de l’oreille normal de patients qui ont des facteurs de risque pour des maladies coronariennes ou un anévrisme thoracique → Électrocardiogramme, radiographie de la poitrine, mesure des troponines
7) Examen de l’oreille normal ou otalgie inexpliquée de patients âgés de plus de 50 ans → mesure du taux de sédimentation des érythrocytes pour éliminer l’arthrite temporale
Référer à un ORL quand :
Cholestéatome (affection de l’oreille moyenne qui va ronger les structures qui l’entourent)
Otite externe nécrosante maligne
Mécanisme de la pseudoéphédrine
C’est un agoniste sympathomimétique mixte, c’est-à-dire qu’il possède une action indirecte. En effet, stimule les récepteurs a et b adrénergiques, ce qui - FC, - DC, résistance vasculaire et la tension artérielle.
Agit directement sur les récepteurs alpha et, dans une moindre mesure, sur les récepteurs bêta-adrénergiques. A l’instar de l’éphédrine, la pseudoéphédrine a également un effet indirect en libérant de la norépinéphrine de ses sites de stockage. En agissant directement sur les récepteurs alpha-adrénergiques de la muqueuse des voies respiratoires, la pseudoéphédrine produit une vasoconstriction qui rétrécit les muqueuses nasales enflées; réduit l’hyperémie tissulaire, l’œdème et la congestion nasale; et augmente la perméabilité des voies respiratoires nasales. En outre, le drainage des sécrétions sinusales est augmenté et les ostia eustachiennes obstruées peuvent être ouvertes. La pseudoéphédrine peut détendre le muscle lisse bronchique en stimulant les récepteurs adrénergiques bêta-2 ; cependant, la bronchodilation n’a pas été uniformément démontrée sur l’administration orale. La pseudoéphédrine a également un effet indirect en libérant la norépinéphrine (noradrénaline) de ses sites de stockage. Le relargage de noradrénaline, neurotransmetteur du système nerveux sympathique, provoque l’activation des récepteurs. Cellules musculaires lisses vasculaires: les récepteurs α1 sont présents sur tous les vaisseaux sanguins. Ils sont prédominants par rapport aux récepteurs β2 vasculaires excepté dans les artères coronaires et dans les muscles squelettiques. La vasoconstriction globale permet de privilégier l’oxygénation cardiaque et musculaire. La vasoconstriction augmente la pression artérielle.
Nommer les bactéries les + fréquemment associées aux IVRS (5)
Strep pneumonia
Strep pyogenes (grA)
Haemophilus influenzae
Staph aureus
Pseudomonas aeruginosa
Virus les + fréquemment associés aux IVRS (9)
Rhinovirus
Coronavirus
VRS
Adénovirus
Parainfluenza
Métapneumovirus
Entérovirus
Influenza
EBV (pharyngite)
Qu’est-ce qu’un naevus
Résultat de la prolifération des mélanocytes un peu endommagés dans l’épiderme
-> ces mélanocytes ne sont plus capables d’acheminer leur mélanine (d’où la couleur brunâtre)
-> ça apparait pour la 1ère fois généralement à l’enfance/ado
-> c’est une malformation développementale ou d’une prolifération à croissance avantagée
Description/sx d’un naevus
Diamètre de 2 à 6 mm
Rond à ovale
La plupart du temps, symétrique
Bords bien définis
Pigments généralement buns/noirs, bleu, brun pâle/rose
Papule ou plaque de squame, épiderme hyperkératinisé
Bien délimité, ovale ou rond
Allure graisseuse, aspect déposé sur la peau
Légèrement surélevé, de 2 mm à 2 cm
Kératose séborrhéique
Où se trouvent les lésions de kératose séborrhéique
Cou, tête, tronc et extrémités (on épargne paumes et semelles)
DDX kératose séborrhéique
kératose actinique, naevus, verrue et mélanome malin
Il faut faire une biopsie excisionnelle ou rasage profond pour vérifier que c’est de la kératose séborrhéique
Tx kératose séborrhéique irritées, prurigineuses ou inesthétiques
Cryothérapie sur azote liquide (peut entrainer hypopigmentation) &
Rasage ou curetage
Tumeur épidermique bénigne la plus fréquente en AduN
Kératose séborrhéique
Papule granuleuse avec base érythémateuse
Aspect papier sablé
Malodorant +++ –> + facile à sentir qu’à voir
Les squames sont habituellement blanches/ jaunes et rugueuses.
Kératose actinique (ou kératoses solaires)
Endroits où on retrouve le plus souvent la kératose actinique
Se produisent dans les sites qui reçoivent le plus d’exposition au soleil (ex : cuir chevelu, visage, oreille, nez, avant-bras, dos des mains, tibias)
Qui sont les individus les + affectés dans la kératose actinique et quelles sont les cellules affectées
Individus d’âge moyen à vieux (45-50 ans et +) à la peau claire, les kératinocytes sont affectés
Signes de progression de la kératose actinique vers un SCC invasif (4)
o Tendresse
o Grand volume (épaisseur)
o Inflammation
o Ne répond pas à la thérapie
DDX papules granuleuses avec base érythémateuse, texture rugueuse et malodorant + squames
DX : kératose actinique
DDX : carcinome spinocellulaire, carcinome basocellulaire, lésions isolées de psoriasis ou de dermatite séborrhéique.
Tx kératose actinique
Pour lésions isolées ou en nombre limité : traitement localisé ou lésion-cible
o Cryochirurgie
o Curetage
o Excision au rasage
Pour lésions nombreuses ou larges : traitements au champ
o Tx topique (voir effets secondaires dans CBC)
o Photothérapie ou laser
Prévention pour la kératose actinique
Crème solaire et évitement du soleil
Cause la plus fréquente de cancers cutanés en AduN
Carcinomes basocellulaires (CBC)
Principaux gènes mutés dans le CBC
gène PTCH et p53
FDR CBC (8)
(1) Exposition aux rayons UV (+ grand facteur de risque)
(2) Contrairement à SCC et kératose actinique : causé par davantage par intensité plutôt qu’exposition à long terme.
(3) Peut apparaître autant au niveau des régions non-exposées au soleil qu’au niveau des régions exposées au soleil
(4) ++ commun chez hommes (risque doublés)
(5) Débute généralement vers âge moyen (45-50 ans) à plus vieux
(6) Plus fréquent chez les gens de phototype I et II qui s’exposent au soleil, teint pâle. (Très rare chez les gens à la peau foncée)
(7) ATCD de cancer
(8) Personne immunodéprimée
Les 3 types de CBC
o Nodulaire (papule avec télangiectasie et perlées) : Croûtés au centre; Souvent rougeâtre, mais peut être gris-noir, assez commun. Peut-être pigmenté.
o Superficiel : Plaque érythémateuse mince bien délimitée (tronc > extrémités), commun.
o Pigmentée (moins commun) + difficile à différencier mélanome…
Description du CBC (en termes de critères de malignité)
Tumeur de la membrane basale épidermique
Croissance lente, métastases très rare (risque faible) MAIS potentiel d’envahissement local
Aucune lx précurseur nécessaire
Sans traitement, peut causer ulcère et dommage aux cellules environnantes
Tx CBC (5)
Les lésions basosquameuses sont traitées comme des SCC :
-Excision chirurgicale : traitement standard pour le CBC, peu importe sa catégorie de risque.
-Chirurgie de Mohs
-Curettage et électrodisseccation : si petites lésions : on se sert d’un instrument tranchant appelé curette pour gratter le cancer. On traite ensuite la région avec un courant électrique pour détruire toutes les cellules cancéreuses qui restent.
-Cryochirurgie
-Autres : photothérapie, radiothérapie, Rx topique (5-FU)
Effets secondaires de la thérapie topique (5-FU) (4)
- Douleur, inconfort
- Croûtes ++++
- Saignement
- Guérison spontanée à la fin du tx
2è cause la + fréquente de cancers cutanés en AduN
Carcinome spinocellulaire (CSC) : tumeur mucocutanée des kératinocytes
Décrire les 2 types de carcinome spinocellulaire
a) in-situ (de bowen) : limité à l’épiderme
b) invasif : a franchi la membrane basale pour “envahir” plus profondément
FDR CSC (environ 8)
(1) Moins fréquent (20% SCC vs 80% BCC)
(2) Homme > Femmes & +++ avec vieillesse
(3) +++ teint pâle mais noirs ont + risque de mortalité
(4) Arsenic, tabac / alcool
(5) plaies/blessures/cicatrices/inflammation chroniques
(6) immunosuppression, radiothérapie, site d’infection au VPH
(7) exposition chimique et exposition (modéré et chronique) au soleil
Dx CSC
Biopsie (profonde pour déterminer type de carcinome) et examen histologique.
Palpation des ganglions / adénopathies à proximité des lésions –> TRÈS IMPORTANT car ++ métastase
CT-SCAN (atteinte os et tissus mou?)
IRM pour éliminer invasion orbitale/intracrânienne
Description clinique du CSC in situ
Mince plaque érythémateuse + squame, parfois pigmentée. Kératinocytes atypiques ds tout épiderme.
Description clinique du CSC invasif
Papule/nodule érythémateuse + kératosique (hypertrophie cornée);
Ferme;
Grossissement rapide;
Tx CSC
Excision (première ligne)
Chirurgie de Mohs
Électrodessication et curettage (petites lésions chez personnes âgées)
Cx de Mohs a/n tête et cou
Crème topique lorsqu’une intervention chirurgicale n’est pas possible
Qu’est-ce qu’un mélanome
tumeur maligne des mélanocytes à cause de la mutation d’un gène (BRAF, le principal, + NRAS et KIT) qui est responsable de la régularisation de la prolifération et de la différenciation + survie des mélanocytes
FDR mélanomes
Forte augmentation de l’incidence dans les dernières années
(1) Vieillesse (35-50 ans ++)
Lentigines multiples (macule hyperpigmentée qui survient avec la vieilliesse) : ↑ risque relatif mélanome 3-4x
Augmente avec l’âge, car l’âge influence la capacité à répondre aux blessures et à réparer l’ADN (→ augmentation des mutations)
(2) Homme (surtout + âgés)
(3) Exposition intense et intermittente au soleil
(4) Salons de bronzage, photothérapie UVs
(5) Facteurs génétiques : CDKN2A, phototype 1-2
(6) Peau claire et cheveux roux
(7) Résidence dans les latitudes équatoriales
(8) Naevi mélanocytaire :
> 100 = ↑ risque relatif mélanome 8-10x
5 nevi melanocytique atypiques : ↑ risque relatif mélanome 4-6x
(9) Immunodéprimé → SI moins apte à se débarrasser des cellules mutées
Quels sont les types de mélanomes
- Mélanome à extension superficielle : 70% = principal
- Mélanome nodulaire : 10/15% = 2e populaire
- Mélanome lentigo malin : 4-10% (3e)
- Mélanome lentigineux acral : 3-5%
- Mélanome lentigineux mucosale
Caractéristiques du mélanome à extension superficiel (4 éléments)
Cause : À partir d’un naevus
Départ : Plat + bord irrégulier + Brun/noir
Évolution : Développement LENTEMENT en horizontale (extension) puis à la vertical (profondeur) –> Final : Surface bossue
Touche adulte +++
Caractéristiques du mélanome nodulaire (4)
Très dangereux : Se propage le + RAPIDE
Phase de croissance verticale et rapide : Ressemble à naevus.
Lieu : visage/cou/torse
Couleur variable : foncé/rougeâtre/bleu-noir/couleur chair
Caractéristiques du mélanome lentigo malin (5)
(1) Lieu : Toutes les zones très exposés au soleil
(2) Cause : Exposition chronique répétée au soleil
(3) Touche personnes âgées ++
(4) Évolution : LENTEMENT
(5) Couleur variable : brun/noir/orange
Caractéristiques du mélanome lentigineux acral et du mélanome lentigineux mucosale
Acral :
(1) Très rare
(2) Localisation : Paume des mains/pieds/ongles (région non-exposé au soleil!!)
(3) Touche peau foncés ++
(4) Surtout asiatique et noirs
(5) Évolution : Rapide +, Croissance verticale.
Mucosale :
Idem que Acral : MAIS partout dans corps + muqueuses/cavités
Quelles sont les 2 catégories de biopsie?
Exérèse (elliptique, rasage –> à éviter) et incision (poincon, grattage + électrocoagulation –> assez rare)
o Biopsie exérèse elliptique: Pour Traitement OU Haute suspicion d’un mélanome (à partir d’un nauvus atypique)
o Biopsie d’incision : Pour Dx général OU faible suspicion d’un mélanome
Caractéristiques générales des 5 types de mélanomes (couleur et localisations)
Tâche grandit tjrs
Couleur varie du brun au noir
Localisation : Partout (mais surtout H = tronc/dos/thorax, F = membres inf.) Personne avec la peau + foncé –> paumes et plantes.
Dx du mélanome basé sur :
examen clinique (ABCDE, EFG) et confirmation histologique (avec biopsie)
ABCDE :
o Asymétrie : différence de forme entre 2 côtés
o Bordure : irrégulière, maldéfinie et indistinct
o Couleur : irrégulière/ variée : zones brune/noires
o Diamètre : > 6 mm
o Évolution : modification de la couleur, la taille la forme ou des symptômes (démangeaison, sensibilité, saignement)
EFG : **À rajouter pour nodulaire (devient ferme) + amélanotique (incolore)
o Élevée
o Fermeté
o Grandissement
Examen histologique :
évaluer avec Indice de Breslow : Lien entre volume (épaisseur max) de tumeur lors de l’exérèse et pronostic
Indique profondeur : Profond = métastase = danger
Biopsie : Permet quantifier profondeur avec indice Breslow + classer mélanome stade 1-4.
Prévention primaire et secondaire des mélanomes
Prévention primaire : protection solaire, éviter les salons de bronzage et photothérapie
Prévention secondaire : détection précoce.
Épidémiologie du psoriasis (8 éléments)
- Blanc & Peau clair +++
- Adulte (35 ans) +++
- 1/3 patients = atopie familiale
- Problèmes arthritiques associés
- État dépressif / stress
- Caucasiens + Asiatiques très faible (- - -)
- Pire l’hiver
- Apparition soudaine
Définition psoriasis
Maladie inflammatoire chronique se manifestant par des papules/pustules érythémateuses bien délimités et des plaques recouvertes de squames argentés
Maladies pouvant être associées avec le psoriasis
Arthrite (psoriasis rhumatique)
Forme systémique = fièvre et leucocytose, douleur articulaire
Psoriasis en goutte : survient suite à un IVRS causé par strep. de groupe A. (reste de façon temporaire) –> srt chez enfant a/n du tronc
3 complications du psoriasis
- Risque cardiovasculaire
- Dépression
- Arthtrite psoariasis
Traitements initiaux du psoriasis (15.2)
- Corticostéroïdes topiques :
Réduire inflammation + Effet antimitotique (réduire prolifération cellulaire)
–> Possibilité effet rebond à l’arrêt, donc on alterne avec calcipotriol (dérivé vit D avec effet antimitotique). - Si symptômes systémiques (arthrite…) : Corticostéroïdes systémiques (mais effets 2nd…)
- Tars + Anthraline : Effet antimitotique + anti-inflammatoire. Ajouter à l’eau de bain
- Tazarotène (dérivé vit.A) : Antimitotique –> peut être irritant
Tx alternatifs du psoriasis
- Photothérapie avec rayons UVs –> diminue inflammation
- Cyclosporine
- Methotraxate ou Acitretin
Expliquer la photothérapie (obj 15.3 - 4 éléments)
On donne au patient un médicament photo-sensibilisant et ensuite on l’irradie avec des rayons UVA de grande longueur d’onde
On peut aussi traiter avec des UVB à bande droite utilisés sans médicaments photo-sensibilisants
Ça a un effet antiprolifératif des kératinocytes
Idéal = médication ciblée pour le psoriasis combiné à photothérapie avec modération, pour éviter risques trop élevés de conséquences négatives telles que le mélanome
Croûtes mielleuses a/n bouche
Impétigo, causé ++ par staph aureus
Peut aussi être localisé a/n du nez, de l’ombilic et périanal
Si causé par strep pyogenes : lx +++ profondes, sx + graves avec ulcérations, localisé ++ aux membres inférieurs
Quels sont les 2 types d’impétigo
1) Non-bulleux : < 1 cm
Lésions superficielles non-profondes avec vésicules
Fond = érythémateux
Si vésicules éclatent –> Écoulement liquide jaunâtre –> Formation croûtes mielleuses
2) Bulleux : > 1 cm
Idem, mais avec bulles (vésicules plus grand)
–> TJRS STAPH. AUREUS
Épidémio impétigo (5 éléments)
- IMPORTANT : Infection bactérienne + commune chez les enfants (car contact direct avec bouche +++)
- Été & Automne +++
- Régions tropicales +++
- Hommes +++
- Impétigo bulleux = nouveaux-nés
Présentation clinique de l’épuisement par la chaleur (obj 1.2)
- Déshydratation
- Hyperthermie légère < 39oC
- Faiblesse, fatigue
- Crampes
- Dyspnémie/hyperventilation
- Céphalées
- Étourdissements, vertiges
- No/Vo
- Hypotension (perte vol. eau + vasodilatation)
- Transpiration abondante
- Poils se dressent
- Détérioration du jugement
- Possibilité de syncope + orthostatisme
- PAS DE COMA (aptitude cérébrales pas affectées)
Prise en charge d’un épuisement à la chaleur (obj 14.4)
- Repos
- Environnement froid et retrait source de chaleur
- Administration de fluides ET d’électrolytes (important)
- Coucher sur le sol et couper conduction de la chaleur du sol avec un isolant
- Ne pas oublier de consommer des aliments salés (pas juste de l’eau)
Brûlure de premier degré
Couche atteinte : épiderme
Sécheresse et érythème
Douleur/Hypersensibilité
Blanchit à la pression
Guérison sans cicatrice en 3-6 jours après desquamation
Tx : Aloès et protection solaire