Module 8 Flashcards
Les salles blanches sont classifiées selon…
A. La concentration de bactéries dans l’air
B. La quantité de particules par mètre cube d’air
C. La concentration de microorganismes cultivables retrouvés dans l’air
D. La concentration de poussières respirables et totales
B. La quantité de particules par mètre cube d’air
Vrai ou faux.
La nature chimique des échantillons de bioaérosols recueillis par les instruments à lecture directe peut être caractérisée à l’aide de différents tests.
Faux.
Les instruments à lecture directe ne permettent pas de récolter d’échantillons, mais permettent de faire le compte de particules dans l’air et, à l’occasion, de déterminer certaines caractéristiques physiques de ces particules (diamètre aérodynamique, diamètre géométrique, fluorescence).
Quels sont les 2 principaux désavantages des photomètres mettant à profit l’extinction de la lumière par les particules ?
A. Biais engendré par la taille des particules
B. Peu efficaces dans des situations où les concentrations sont extrêmes
C. Très coûteux
D. Difficiles à manipuler et à transporter
E. a et b sont vrais
F. b et c sont vrais
G. a et c sont vrais
H. Toutes ces réponses sont vraies
E. a et b sont vrais
Vrai ou faux.
Le tyndallomètre permet d’évaluer la taille des particules observées en quantifiant la lumière dispersée.
Faux.
Le tyndallomètre permet d’estimer le nombre de particules dans une solution analysée par volume et non d’estimer leur taille.
Dans l’échantillonneur Mini-RAM qui compte les particules sans utiliser une pompe volumétrique, quel phénomène est mis à profit pour que les particules entrent en contact avec l’appareil et soient comptées ?
A. La diffusion des particules
B. L’impaction des particules
C. La convection de l’air
D. La sédimentation des particules
C. La convection de l’air
C’est le mouvement de convection naturel de l’air qui permet aux particules d’atteindre le compteur optique.
Comment des lecteurs optiques peuvent-ils évaluer la concentration et la taille de fibres dans l’air ?
A. En utilisant un champ électrique qui permet de faire osciller les fibres et d’en déduire leur taille
B. En mettant à profit des lasers permettant de mesurer la taille des fibres alignées dans un courant d’air
C. En utilisant des colorants spéciaux permettant de les détecter plus facilement
A. En utilisant un champ électrique qui permet de faire osciller les fibres et d’en déduire leur taille
Les fibres oscillant dans un champ électrique et dans l’air en mouvement sont analysées en fonction de leur fréquence d’oscillation.
De quelle façon le mesureur aérodynamique de particules (APS) permet-il d’estimer le diamètre aérodynamique des particules et non leur diamètre géométrique?
A. En utilisant des lasers de différentes longueurs d’ondes
B. En mettant à profit les changements de tépérature et donc, le mouvement de diffusion des particules
C. En accélérant les particules dans un flot d’air et en mesurant le temps pris pour franchir deux barrières optiques
D. En amplifiant le signal de détection des particules
C. En accélérant les particules dans un flot d’air et en mesurant le temps pris pour franchir deux barrières optiques
Le mesureur aérodynamique de particules permet de mesurer le temps de déplacement des particules entre 2 faisceaux laser.
Lors de la génération d’aérosols en laboratoire, les particules nanométriques doivent être neutralisées afin de “ressembler” à des particules naturelles par rapport à leurs charges. Comment sont neutralisés ces aérosols ?
A. En laissant les aérosols à l’air libre pendant un certain temps
B. Par passage à travers une source d’ions
C. En les mettant en contact avec des aérosols chargés positivement et négativement
B. Par passage à travers une source d’ions
Des sources radioactives émettant des ions permettent de neutraliser très rapidement les aérosols et de restaurer les charges selon l’équilibre de Boltzmann.
Pourquoi les aérosols sortant des spectromètres de mobilité électrique (DMA) sont-ils monodispersés ?
A. Parce que pour un voltage imposé, les particules pouvant sortir de l’appareil possèderont une combinaison charge/taille unique
B. Parce que les particules qui possèdent une taille différente sont filtrées
C. Parce qu’un cyclone est utilisé à la sortie afin de sélectionner la taille des particules
A. Parce que pour un voltage imposé, les particules pouvant sortir de l’appareil possèderont une combinaison charge/taille unique
Le DMA permet de sélectionner vers la sortie de l’appareil les particules qui, sous un voltage donné, sont expulsées. Les particules sont sélectionnées selon leur taille et leur charge puisque leur taille influence leur mobilité dans le champ électrique pour une charge donnée.
À l’aide de quels liquides peuvent fonctionner les compteurs de noyaux de condensation (CNC) ?
A. Eau et isopropanol
B. Butanol et eau
C. Butanol et méthanol
D. Eau et acétone
B. Butanol et eau
Les premiers CNC fonctionnaient exclusivement avec le butanol, mais des modèles récents utilisent maintenant l’eau.
Pk, à l’int des instruments à lecture directe, les aérosols ne se déposent généralement pas sur une surface ou dans une solution de collection?
Pcq l’objectif de ces appareils est le mesure et non la collecte.
Vrai ou faux.
Quelques appareils à lecture directe permettent de déterminer à la fois la quantité et le diamètre des particules aérosolisées.
Vrai
À quoi sert les instruments à lecture directe dans les salles blanches?
À évaluer la qualité de l’air
- Comment sont classifiées les salles blanches?
- Quel outils permet de prendre cette mesure?
- Selon la quantité de particules par m3
- Compteur de particules (instrument à lecture directe)
Vrai ou faux.
Dans les salles blanches, la classe ISO 1 a une plus grande concentration de particules que la ISO 8.
Faux.
A une plus faible concentration
À partir de quelle classe les salles blanches ont les particules les plus volumineuses?
ISO >5
Qu’est-ce qui est contrôlé dans les salles blanches? (4)
- Concentration particulier
- Humidité
- T°
- Pression relative
À quoi sert les salles blanches? (5)
- Limiter les contaminations environ lors de la construction d’engins spatiaux et de la préparation de produits pharmaceutiques stériles
- Présentes ds hôpitaux pour blocs opératoires et ds divers centres de recherche en médecine en bio et en biotechnologie
- Permet que les substances d’un diamètre de l’ordre du um ou du nm qui y sont manipulées ne soient pas contaminées par les particules +/- volumineuse ds l’air
- Protège humains et enviro d’expériences chimiques ou microbiologie pouvant être dangereuses
- Effectuer diff ouvrages susceptibles d’être sensibles aux fluctuations de pression, de T°, d’humidité ou à la présence de gaz, de vapeurs chimiques, d’UV, d’infrarouges ou de matière radioactive.
À quoi sert les photomètres?
Énumérer les aérosols par extinction ou dispersion d’un faisceau de lumière par les particules
Sur quelle loi repose les photomètres basés sur l’extinction d’un faisceau lumineux? Expliquez.
La loi de Beer-Lambert : [aérosols] est liée à la chute d’intensité d’un faisceau lumineux traversant un aérosol
Pk les photomètres basés sur l’extinction d’un faisceau lumineux est peu utilisés? (2)
- Pcq la lecture de l’extinction du faisceau lumineux est biaisée par le volume, la forme ou par l’indice de réfraction des particules composant l’aérosol.
- Aussi, ils sont peu sensibles à faible [aérosols] et, à forte [aérosols], la lecture de l’extinction de la lumière est faussée par la lecture de la lumière dispersée
Tyndall a pu observer qu’un faisceau de lumière est dispersé par la présence de particules de poussières aérosolisées. Cette observation est à la base du développement développement de quels instruments? (4)
- Ultramicroscopes
- Tyndallomètres
- Néphélomètres
- Compteurs optiques de particules basés sur la détection de la dispersion d’un faisceau lumineux
Vrai ou faux.
Les photomètres basés sur la dispersion sont moins sensibles que ceux basés sur l’extinction.
Faux.
Contraire, dispersion sont plus sensible qu’extinction
Le premier ultramicroscope par Bodaszewsky décrit quoi?
Le mouvement et la déposition de fines particules d’aérosols.
- Que permet l’ultramicroscope de Zsigmondy et Siedentopf?
- Expliquez son fonctionnement.
- Permet, grâce à un faisceau de lumineux très intense et perpendiculaire à l’axe d’observation, de voir des particules impossible à observer même à de très forts grossissements.
- Les particules dispersent la lumière et apparaissent sous la forme de flash de lumière au microscope optique puis elle sont observée sur fond noir.