Module 7 Flashcards

1
Q

La principale limite des méthodes d’analyse du contenu microbiologique des bioaérosols est que :

A. Toutes les méthodes d’analyse sous-estiment les populations de microorganismes présents dans les bioaérosols
B. La capacité qu’ont les microorganismes de se multiplier dans l’air fausse les résultats
C. Il n’existe pas de méthodes d’analyse capables d’évaluer quantitativement le contenu biologique des bioaérosols
D. Il n’existe pas de méthode d’analyse permettant d’évaluer l’ensemble du contenu microbien d’un bioaérosol

A

D. Il n’existe pas de méthode d’analyse permettant d’évaluer l’ensemble du contenu microbien d’un bioaérosol

La nature des agents biologiques étant très diversifiée, il n’existe aucune méthode d’analyse standardisée permettant d’évaluer l’ensemble du contenu microbien présent dans les bioaérosols, qu’elle soit qualitative ou quantitative. Il ne faut pas oublier que ce ne sont pas toutes les méthodes qui sous-estiment les populations microbiennes (a), que les microorganismes ne se multiplient généralement pas dans l’air (b) et qu’il existe plusieurs méthodes d’analyse, chacune possédant ses limites, pour estimer quantitativement les microorganismes présents dans les bioaérosols (c).

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2
Q

Les microorganismes retrouvés dans l’air ont :

A. Un état physiologique comparable aux mêmes microorganismes présents dans la source des bioaérosols
B. Un comportement différent des mêmes microorganismes présents dans la source des bioaérosols
C. Une membrane endommagée
D. Une propension à être facilement cultivables
E. Généralement un caractère pathogène
F. Toutes ces réponses sont vraies
G. Toutes ces réponses sont fausses
H. Seules les réponses b et c sont vraies
I. Les réponses a, b, c et e sont fausses

A

H. Seules les réponses b et c sont vraies

Les microorganismes retrouvés dans l’air sont généralement endommagés et stressés. Ils possèdent ainsi un comportement et un état physiologique différents de leur contreparties non-stressées présentes dans les sources. Ils sont alors plus difficilement cultivables. Les microorganismes aérosolisés sont représentatifs de leur source. Si la source contient des microorganismes pathogènes, ceux-ci seront retrouvés dans les bioaérosols.

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3
Q

Vrai ou faux.
L’avantage de l’échantillonage des bioaérosols dans une solution de collection est la possibilité d’étaler différentes dilutions de la solution sur les milieux de culture gélosés lors d’une analyse par culture.

A

Vrai.

Contrairement à l’échantillonage direct sur une surface de collection où le temps d’échantillonage est critique afin de ne pas surcharcher le support, l’échantillonage dans une solution de collection permet plus de latitude lorsque les concentrations de microorganismes dans l’échantillon prélevé sont inconnues.

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4
Q

Le milieu de culture Trypticase Soy Agar (TSA) et le milieu R2A sont utilisés pour la culture de bactéries environnementales parce qu’ils :

A. Sont de composition connue
B. Permettent la multiplication d’une large variété de microorganismes
C. Sont spécifiques aux bactéries et ne permettent pas la croissance de levures ou de moisissures
D. Contiennent tous deux des inhibiteurs

A

B. Permettent la multiplication d’une large variété de microorganismes

Généralement, la composition de tous les milieux de culture est connue puisqu’ils sont préparés (on ne parle pas ici bien sûr de composition chimique détaillée). Ces deux milieux de culture ne contiennent pas d’inhibiteurs et peuvent éventuellement supporter la croissance de levures et de moisissures.

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5
Q

Vrai ou faux.
La durée et la température d’incubation lors de l’évaluation par culture du contenu microbien des bioaérosols sont différentes selon le microorganisme recherché.

A

Vrai.

La majorité des microorganismes environnementaux sont cultivés à des températures avoisinant 20-25°C. Cependant, la présence d’actinomycètes thermophiles est mise en évidence par une incubation des milieux de culture à 50°C. La durée d’incubation varie quant à elle de 48 heures (bactéries) à 21 jours (mycobactéries).

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6
Q

Qu’ont en commun les techniques de microscopie à fluorescence, du FISH et de la cytométrie en flux ?

A. La présence de systèmes de grossissement
B. Elles nécessitent toutes la présence d’un personnel hyper qualifié
C. L’utilisation de la fluorescence
D. Elles peuvent être complètement automatisées

A

C. L’utilisation de la fluorescence

Les trois méthodes utilisent soit de la fluorescence intrinsèque soit des molécules fluorescentes pour mettre en évidence des microorganismes. Le FISH et la cytométrie en flux exigent des gens qualifiés tandis que ce n’est pas le nécessairement le cas pour la microscopie en fluorescence qui peut être utilisée suite à une courte formation. Finalement, il est difficile de penser complètement automatiser l’observation microscopique bien que ça ne semble pas impossible.

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7
Q

L’identification des bactéries environnementales, obtenues par analyse de culture ou par leur profil physiologique, est souvent difficile parce que :

A. Le profil des bactéries environnementales est souvent sous-représenté par rapport aux bactéries d’importance clinique dans les banques de données des méthodes
B. Elles se comportent de façon non reproductible dans ces méthodes
C. Elles sont plus difficiles à cultiver que les souches cliniques

A

A. Le profil des bactéries environnementales est souvent sous-représenté par rapport aux bactéries d’importance clinique dans les banques de données des méthodes

Les compagnies offrant des systèmes d’identification ont d’abord ciblé le secteur médical, beaucoup plus lucratif que le secteur environnemental. Leurs banques de données contiennent alors peu de profils des microorganismes de l’environnement. Par contre, il ne faudrait pas croire que ces microorganismes se comportent de façon non-reproductible dans ces méthodes. Généralement, un microorganisme se comporte de façon similaire lorsque mis dans une situation identique. Finalement, puisqu’ils ont été isolés par culture, ils ne sont pas plus difficiles à cultiver que leurs pendants cliniques.

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8
Q

Vrai ou faux.
La microscopie en fluorescence peut permettre de détecter la présence et d’évaluer la quantité d’un microorganisme donné.

A

Vrai

À l’aide d’un anticorps marqué d’une substance fluorescente et spécifique à un microorganisme, la présence du dit microorganisme peut être certifiée si des cellules fluorescentes sont retrouvées dans l’échantillon. Il existe différentes possiblilités de décompte pour évaluer leur concentration.

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9
Q

Les analyses par chromatographie en phase gazeuse ou en phase liquide à haute performance et par spectométrie de masse nous permettent :

A. De doser des molécules, telles les mycotoxines, présentes dans les bioaérosols
B. De quantifier le nombre de moisissures viables dans un échantillon
C. De vérifier la présence d’ADN d’archées dans l’échantillon
D. De quantifier l’ADN des archées présentes dans l’échantillon

A

A. De doser des molécules, telles les mycotoxines, présentes dans les bioaérosols

L’analyse chimique par chromatographie ou par spectrométrie ne permet pas de détecter ou de quantifier de l’ADN. La chromatographie et la spectrométrie ne sont de même pas capables de quantifier le nombre de moisissures dans un échantillon.

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10
Q

Vrai ou faux.
L’essai LAL n’est utilisé que pour quantifier la présence de LPS dans des bioaérosols ou autre échantillon susceptible d’en contenir.
Un lysat du “sang” de Limulus polyphemus est à la base de l’essai LAL

A

Vrai.

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11
Q

Vrai ou faux.

En général, les méthodes d’analyse décrites sont dérivées d’approches analytiques développées pour d’autres types d’échantillons (ex : est, sol, humains.)

A

Vrai.

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12
Q

Vrai ou faux.

Les bactéries et les moisissures ainsi que certaines composantes structurales et produits métaboliques sont sans doute les agents les plus fréquemment recherchées lors de l’échantillonnage des bioaérosols.

A

Vrai.

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13
Q

Existe-t-il une méthode d’analyse universelle?
Pourquoi?
Quel est la solution?

A

Non.
La nature des agents bio étant grandement diversifiée, il n’existe aucune méthode d’analyse standardisées permettant d’évaluer l’ensemble du contenu microbien présent dans les bioaérosols, qu’elle soit qualitative ou quantitative.
Utiliser conjointement plusieurs méthodes d’analyse

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14
Q

Vrai ou faux.

L’échantillonnage de l’air impose un stress au échantillon plus intense que les autres types d’échantillonnage.

A

Vrai.

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15
Q

Pourquoi dit-on que la capacité d’estimer la quantité totale de m-o dans l’échantillon d’air est discutable?

A

L’échantillonnage de l’air a pour effet de stresser les m-o et ainsi diminuer leur potentiel de croitre en culture.

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16
Q

Nommez un stress important causé par l’échantillonnage de l’air.

A

Déshydratation

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17
Q

Vrai ou faux.

Certains auteurs suggèrent que plusieurs bactéries peuvent récupérer suit à un stress de déshydratation.

A

Vrai.

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18
Q

Vrai ou faux.

La “dose” d’exposition est moins importante que celle évaluée.

A

Faux.

Elle est plus importante. Le compte est sous-estimé, mais les effets sur la santé sont souvent proportionnelle au contenu microbien.

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19
Q

Comment une particule peut-elle être plus dangereuse une fois inhalé? (processus)

A

Lors de l’inhalation des particules de bioaérosols contentant plusieurs cellules, celles-ci pourront reprendre leur activité par la vapeur d’eau contenue ds air des poumons (restauration d’aw et diminution effets déshydrations) et donc être plus dangereuse pour personnes les inhalant.

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20
Q

Vrai ou faux.

Chaque “aérosol” ou particule en suspension contient qu’une bactérie et celle-ci est facilement analysable.

A

Faux.

Chaque aérosols contient une qté variable de bactéries et celles-ci sont difficilement dissociables lors des analyse par culture.

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21
Q

Vrai ou faux.

Les m-o possèdent des caractéristiques aérodynamiques différentes que les particules inorganiques dans les aérosols.

A

Faux.

Ils ont les mêmes caractéristiques.

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22
Q

Vrai ou faux.

Le nb de m-o ds l’air est souvent utilisé pour évaluer risque de santé.

A

Vrai.

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23
Q

Qu’est-ce qu’un m-o cultivable?

A

Il est possible de le faire croitre sur milieu de culture en laboratoire.

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24
Q

Pourquoi les m-o viables ne sont-ils pas tous cultivables?

A

Pcq leurs besoins nutritionnels ne sont p-ê pas rencontrés.

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25
Q

Quels sont les 3 critères pour que la culture de m-o aérosolisé soit possible?

A
  1. Si ensemble des facteurs de croissance sont connus (T°, nutriments, [O2], etc)
  2. Si aérosolisation et échantillonnage n’ont pas altéré la cellule de manière à nuire sa croissance
  3. Si voies métaboliques permettant l’utilisation des nutriments par m-o sont activées (dépend de enviro)
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26
Q

Qu’arrive-t-il si Pseudomonas aeruginosa est

  • lié à un biofilm?
  • non lié à un biofilm?
A
  • n’exprime pas les gènes nécessaires à croissance sur un milieu de culture
  • exprime les gènes permettant une croissance en milieu de culture
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27
Q

Qu’arrive-t-il si les conditions ne sont pas absolument optimales pour la croissance microbienne?

A

Une grande qté de m-o viables ne pourront pas croitre et seront sous-estimées.

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28
Q

Pourquoi lors des études de croissance microbienne à partir d’échantillons d’aérosols, aucun agent de sélection n’est utilisé?

A

Pcq les m-o ont souvent subit dommage à leur membrane lors d’aérosolisation (et de l’échantillonnage) sont ils sont plus sensibles aux biocides et aux agents de sélection.

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29
Q

Vrai ou faux.

Les m-o ds l’air se comportent exactement comme leur équivalent non strsséé et non-endommagée.

A

Faux.

Ils se comportent différemment, à cause des dommage membranaires souvent subit par aérosolisation et échantillonnage.

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30
Q

Vrai ou faux.

Une proportion considérable de m-o peut ê inactivée par conditions d’échantillonnage dites “normales” ou standards.

A

Vrai.

La récupération microbienne max dépend des principes et du design de l’échantillonneur.

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31
Q

Pk la détermination de viabilité suite à l’utilisation d’un échantillonneur est très difficile à établir?

A

Pcq il est très difficile d’évaluer l’efficacité de l’échantillonneur à “collecter” les bioaérosols.

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32
Q

Quelles sont les 2 grandes approches possibles afin de standardise les échantillonneurs, de connaitre leur efficacité relative de capture et de déduire la conservation de la viabilité à travers le processus d’échantillonnage? Nommez le désavantage de chaque approche.,

A
  1. Génération d’aérosols d’une [ ] connue et échantillonnage subséquent
    Désavantage : ne permet pas de connaitre l’eider de l’aérosolisation sur la suivie des m-o et les dommages
  2. Échantillonnage en parallèle ou comparaison de plusieurs échantillons
    Désa : effet de l’aérosolisation pas évaluable
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33
Q

Vrai ou faux.

Les différences liées à l’efficacité de collecte des m-o entre les divers échantillonneurs peuvent engendrer des résultats erronées.

A

Vrai.

L’effet sur la viabilité ne peut pas être différenciée des problèmes d’efficacité de capture.

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34
Q

Quelle est la période de temps maximale de l’échantillonnage de l’air à l’aide d’un imposteur Andersen à 1 étage pour pas que la déshydrations aux sites d’impaction compromet la survie des m-o?

A

doit s’effectuer sur une période inf à 3 min

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35
Q

Vrai ou faux. Expliquez

Dans un impacteur Andersen à 6 étages, les m-o sur les étages inf sont plus endommager que les m-o sur les étages sup.

A

Vrai.

Car la vélocité augmente en fct des étages (plus on descend plus la vélocité augmente)

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36
Q

Comment les précipitateurs électrostatiques peuvent-ils endommager les m-o et compromettre leur viabilité?

A

Il génère de l’ozone ce qui est toxique.

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37
Q

Vrai ou faux.

Le AGI-30 n’a pas la capacité d’endommager les m-o.

A

Faux.

La vitesse imposées au m-o à la sortie de l’échantillonneur peut endommager les cellules.

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38
Q

Pk le temps d’échantillonnage doit être rigoureusement ajusté lorsque bactéries et moisissures sont directement échantillonné su milieu de culture gélosé?

A

pour éviter une surcharge de colonies bactérienne et fongiques sur géloses puisque aucun dilution n’est possible

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39
Q

Pk l’addition d’un détergent ionique dans la solution de lavage des échantillons en vrai et de surface est conseillé?

A

Pour morceler les agrégats de m-o et de débris.

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40
Q

Les dilutions sériées utilisés sont généralement des multiples de..

A

10

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41
Q

De quoi sont composés les milieux de cultures synthétiques, ne contenant que les éléments chimiques strictement nécessaires à la croissance des m-o? (5)

A
  • eau
  • oligo-éléments (ex : Cu, Zn, Co, etc.)
  • sources de C/k/P/s/Mg/Ca/Fe/N
  • tampon (ec : KH2PO4)
  • agar-agar (agent solidifiant)
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42
Q

Vrai ou faux.

Les bouillons de culture ne contiennent pas d’agar-agar et sont ainsi totalement liquides.

A

Vrai.

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43
Q

Pk le milieu de culture est dit défini?

A

Car toutes les composantes qui le composent sont connus.

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44
Q

De quoi est composé un milieu de culture empirique?

Est-il défini?

A

D’hydrolysats (ex : hydrolysais de coeur-cervelle) ou d’extraits (ex : extraits de levure) de composition largement inconnu.
Non défini pcq composition inconnu

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45
Q
  • Qu’est-ce qu’un milieu de culture dit sélectif?

- De quoi est-il composé?

A
  • Permet uniquement culture de qql m-o

- Présence élément inhibant croissance des m-o indésirables

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46
Q
  • Quel est le pH du milieu de culture sélectif Sabourand?
  • Que permet-il de faire croitre?
  • Qu’est-ce qui augmente le sélectivité ds ce milieu?
A
  • 6
  • pH acide inhibe croissance de la plupart des bactéries, mais permet X des moisissures et levures
  • ajout de chloramphénicol, un antimicrobien inhibant les bactéries
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47
Q

Vrai ou faux.

Les bactéries et les moisissures des échantillons environnementaux de bioaérosols, en vrac ou de surface sont généralement cultivées sur des milieux de culture gloses permettant la X d’une large variété de m-o.

A

Vrai.

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48
Q
  • Quels géloses sont utilisés pour les bactéries environnementales? (2)
  • Quelle gélose est utilisée pour les moisissures environnementales?
A
  • TSA (tryptic soy agar) ou R2A

- MEA (contenant extrait de malt)

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49
Q

Qu’est-ce que le Rose Bengal Agar? (RBA)

A

Milieu de culture sélectif sur lequel la croissance de moisissures enviro à croissance lente est permise par l’inhibition par le colorant rose bengal de la croissance des bactéries et moisissures à croissance rapide.

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50
Q

Pour qui est utilisé le milieu de culture sélectif dichlroran glycérol 18 (DG18)?

A

moisissures ne nécessitant pas une importante quantité d’eau libre pour croitre

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51
Q

Vrai ou faux.

Tous les milieux permettant la croissance des moisissures renferment des antibiotiques destinés à inhiber la croissance bactérienne.

A

Vrai.

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52
Q

Pk on évite en général les milieux sélectifs pour étude des bioaérosol?

A

Pcq stress engendrés par aérosolisaiton et échantillonnage dominent les chances de croitre.

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53
Q

La plupart des bactéries, moisissures et amibes se C à quelles T° (retrouvés ds eau et sols par ex)?

A

Entre 18 et 25°C.

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54
Q

Quelle est la T° de croissance des actinomycètes thermotolérantes ou thermophiles (retrouvées ds compost et foin par ex)?

A

> 50°C

55
Q

Bactéries (Bacillus), moisissures (Aspergillus fumigatus) et amibes thermotolérantes donc capable de se X à quelle T°?

A

> 45°C

56
Q

La durée d’incubation varie de quoi à quoi?

A

48h (bactéries mésophiles d’un enviro) à 21 jours (mycobactéries)

57
Q

Durées d’incubation actinomycètes thermophiles et moisissures?

A

7 jours

58
Q

Pk les géloses permettant la croissance de moisissures ne devraient jamais être bougées pendant la période d’incubation?

A

Pcq l’essaimage (dispersion) des spores ou des conidies augmente le nb de colonies et le compte n’est alors plus viable.

59
Q

Vrai ou faux.

Comme les moisissures, les bactéries sont aussi propices à l’essaimage et à la contamination des surface de gélose.

A

Faux.

60
Q

Quel est la type de [O2] requise pour croissance de la plupart de m-o environnementaux? (2)

A
  • Aérobies

- Anaérobies facultatifs

61
Q

Pk la culture en anaérobiose est souvent peu utile?

A

Pcq les organismes sensibles à O2 sont peu susceptibles de résister aux processus d’aérosolisation et d’échantillonnage.

SAUF, spores bactériennes ds bioaérosols d’élevages peuvent résister et serte récupérées par culture en aérobie.

62
Q

Quantité max de UFC pr

  • bactéries
  • moisissures?
A
  • 300 UFC

- 50 UFC

63
Q
  • Donnez un synonyme de la méthode des trous positifs.

- Que permet-elle?

A
  • Méthode de correction des comptes
  • Savoir la probabilité de superposition de plusieurs m-o sur une même zone d’impaction (ss un imposteur à trous multiples p.ex Andersen à 6 étages)
64
Q

Expliquez les grands principes de la méthode des trous positifs. (5)
Quel est la limite de cette méthode?

A
  • Trou = zone d’impaction
  • ch étages = 400 trous
    • il y a de trous qui démontrent croissance, + la probabilité est élevé qu’il y ai plus qu’une particule impacté à cet endroit
    • la vitesse augmente, + le nb de particules impacté à cet endroit augmente
  • les 400 zones d’impaction sont rarement toutes positives (il y a des espaces sans colonies de bactéries, certains cercles ne sont pas complets/en continu). S’il y avait 335 zones positives dans l’exemple, tu devrais considérer que 727 unités formatrices de colonies (UFC, colonies de bactéries) auraient été présentes sur le pétri s’il n’y avait pas eu superposition de plusieurs colonies à la même zone d’impaction. Le nombre “727” est ensuite utilisé pour calculer le nombre de UFC par mètre cube d’air.
    LIMITE : IL Y A AU MOINS 1 TROU NÉGATIF À CHAQUE ÉTAGE
65
Q

Il existe des systèmes d’analyse d’images permettant de quantifier les colonies mêmes si elles sont très confluences au microscope. Ces systèmes permettent quoi p/r à l’efficacité d’analyse?

A

Compter plusieurs centaines de pétris par heure et ainsi augmenter la rapidité d’analyse

66
Q

Comment se fait la quantification des colonies lorsque les bioaérosols sont récoltés dans une solution de collection (ex : barboteur, wet cyclone)? (2 étapes)

A
  1. L’échantillon est dilution en triplicata.

2. Des aliquotes de 100 uL sont alors étalés sur milieux de cultures.

67
Q

Comment se fait la quantification des colonies lorsque les bioaérosols sont échantillons par filtration sur membrane? (3 étapes)

A
  1. élution des agents bio à l’aide d’eau saline + détergent/solution tampon
  2. dilution en triplicata
  3. étalement sur milieu de culture
68
Q

Comment se fait la quantification des colonies lorsque les bioaérosols sont échantillons par filtration sur filtres en gélatine? (2 choix)

A

Dissolution des filtes ds solution ou tampon OU déposé directement sur milieu de culture.

69
Q

Vrai ou faux.

Les isolats (colonies de bactéries ou moisissures) doivent être obtenues en cultures mixtes.

A

Faux.

En culture pures.

70
Q

Comment sont habituellement obtenues les colonies pures?

A

Par isolement et par repiquages séquentiels sur milieu de culture non sélectif.

71
Q

Pk les méthodes d’identification des bactéries et moisissures environnementales sont souvent inadaptées?

A

Car bases de données sont fréquemment mises usr pied à partir d’isoles cliniques ou de m-o d’intérêt médical.

72
Q

Vrai ou faux.

Présence de spores et des structures associées est essentielle à identification des moisissures.

A

Vrai.

73
Q

Vrai ou faux.

Caractéristiques macro et micro des moisissures ne varient pas en fct de luminosité, T°, milieu gélosé utilisé, etc.

A

Faux.

Caractéristiques varient grandement

74
Q

Quels sont les 3 grandes étapes de l’identification des bactéries?

A
  1. Observation au micro pour déterminer morphologie et motilité
  2. Coloration de Gram
  3. Identification des isolats à l’aide de méthodes classiques ou de bio moléculaire
75
Q

Sur quoi repose les méthodes classiques de l’identification des bactéries?

A

Sur l’emploi de plusieurs essais métabolique (ex : fermentation du lactose, production de H2S).

76
Q

Que permettent d’identifier les galeries API de la compagnie Biomérieux (méthode classique)? (11)

A
  • GR -
  • non entérobactéries à GR -
  • levures
  • staphylocoques
  • streptocoques
  • anaérobes
  • corynéformes
  • listeria
  • coques à GR -
  • campylobacter
  • étudier utilisation sucre chez fermentaires
77
Q

Vrai ou faux.

Les galeries API sont utilisation pour identification des isolats environnementaux.

A

Faux.

Ils sont seulement utiles pour les isolats cliniques.

78
Q

Qui suis-je?
J’ai une base de donnée de plus de 1900 espèces dont plusieurs espèces enviro
Je suis basé sur l’utilisation de substrats (sucres, acides carboxyliques, acides aminés, peptides).
Je suis une méthode classique de l’identification des bactéries.

A

Les systèmes Biolog

79
Q

Quelles sont les étapes des approches moléculaires? (2)

A
  1. Séquence gène de l’ARNr16S
  2. Comparaison de la séquence avec les bases de données publiques pour identifier l’isolat (au genre ou à l’espèce, selon la qualité de la séquence obteue)
80
Q

Quels sont les 2 techniques possibles pour l’identification des moisissures?

A
  1. Microscopie qui permet identification partielle

2. Séquençage du gène ITS (mais plusieurs espèces absentes des bases de données)

81
Q

Quel ouvrage de référence convient probablement le mieux à l’analyse des bioaérosols et permet l’identification partielle et rapide de plusieurs genres de moisissures?

A

Introduction to food-borne fungi de Robert Samson

82
Q
  • La microscopie photonique sur fond clair est fréquemment utilisée pour l’analyse de quels échantillons?
  • Quels m-o? (2)
  • Habituellement identifiés à quels grossissements?
  • Qqce qui permet le compte?
  • Qqce qui permet identification?
A
  • Impaction directe sur lame ou surface adhésive
  • spores de moisissures/champi et grains de pollens
  • 250X à 400X
  • ajout de colorant (fuchsine/bleu de coton) pour distinguer les structures dématiées (pigmentées) ou hyalines (non pigmentées)
  • ouvrage de référence et dimensions trouvée grâce à oculaire gradué
83
Q

Vrai ou faux.

Les spores de moisissures et de champi et les grains de pollen observées en microscope sont nécessairement cultivable.

A

Faux.

Ils ne sont pas nécessairement cultivables ou viables, mais puisque on veut savoir leur potentiel allergique/immugène on s’en fou de leur viabilité

84
Q

Pk la microscopie à fond clair est très peu utilisée pour les bactéries?

A

Pcq bactéries sont petites et invisibles à travers les débris omniprésents ds les échantillons.

85
Q
  • Pour quel m-o est utilisé la microscopie photonique à contraste de phase?
  • Quel grossissement?
  • Permet quoi? (3)
  • Limite?
A
  • Bactéries à l’état frais
  • 1000X
  • Observer motilité
    Déduire position des organelles de propulsion
    Observation compartiments intracellulaires
  • Requiert condensateur muni d’anneaux de phase et des objectifs compatibles
86
Q
  • Comment s’appelle le phénomène permettant à certaines organismes ou structures bio d’émettre de la lumière ds les mêmes longueurs d’onde que les colorants utilisés?
  • Donnez ex.
  • Ce phénomène peut-il représenter une naissance pour l’analyse des bioaérosols?
A
  • Autofluorescence
  • Chlorophylle, huile
  • Oui en rendant l’échantillon non analysable
87
Q

Quels sont les 3 fluorochromes utilisés en aérobiologie?

A
  • Orange d’acridine
  • DAPI = se lie à ADN et émette une lumière bleu
  • FITC
88
Q

Expliquez le :

  • marquage simple ou direct
  • l’immunomarquage simple ou direct
  • FISH (fluorescent in situ hybridation)
  • utilisation de “prot de fusion”
A
  • liaison fluorochrome à molécules du m-o
  • utilisation d’un anticorps marqué par un fluorochrome et spécifique à une prof de surface du m-o
  • marquage de séquences ADN ou ARN spécifique des m-o par des brins d’ADN, des sondes, marqués par fluorochromes (sondes peuvent ê spécifiques à une espèce/genre et permettre identification et quantification des m-o ds échantillon enviro) = liaison fluorochrome à sondes d’acides nucléiques
  • les protéines (généralement des green fluorescence protéine, GFP) sont introduite ds m-o à observer
89
Q
  • Quel est la limite de microscopie en fluorescence?
  • Quel est son pouvoir de résolution?
  • Que permet cette microscopie?
A
  • diffraction de la lumière
  • 0,2um
  • quantification des m-o totaux ET des m-o viables par l’utilisation conjointe de fluorochromes pénétrant l’ensemble des cellules et de fluorochems ne pénétrant que les cellules mortes ayant une paroi ou une membrane plasmique endommagée.
90
Q

Vrai ou faux.

Les cytomètres en flux les plus évolués trient physiquement des pop de particules d’après les propriétés optiques de celles-ci.

A

Vrai.

91
Q
  • Que permet la cytométrie en flux?
  • Décrivez le principes du cytomètre en flux (5)
  • D’où provient l’émission de fluorescence?
  • Sous quels formes sont représentées les paramètres mesurés?
A
  • Analyse qualitative et quantitative des m-o
    1. M-o entrainés à grande vitesse par un flux liquide, ds le faisceau du laser
      1. analyse individuelle des m-o via la lumière rééemise par diffusion ou par autofluorescence
      2. lumière diffusée renseigne sur morphologie et structure de la particule ou du m-o
      3. signaux optiques/en fluorescence sont séparés par filtres optiques et collectés par photo-l=multiplicateurs
      4. signaux amplifiés, numérisé, traités, stockés par ordi par intermédiaire d’une composante information et optique (miroir dichroïque et filtre optique)
  • intrinsèques (autofluorescence) ou provient d’un marquage par fluorochrome
  • histogramme (un paramètre) ou cryptogrammes (2paramètres)
92
Q

Dans la cytométrie en flux, qu’arrive-t-il si :

  • la diffusion de la lumière est mesurée ds l’axe de faisceau laser?
  • la diffusion de la lumière est mesurée sous un angle de 90°?
  • ces deux paramètres sont utilisés en même temps?
A
  • l’intensité du signal p-ê corrélée avec la taille et la viabilité cellulaire
  • la mesure correspond à la structure intracellulaire de la cellule (réfringence du cytoplasme, granulosité, morphologie, rapport nucléo-cytoplasmique)
  • distinguer des petits composantes (comme plaquettes, lymphocytes, monocytes ds échantillons de sang)
93
Q

Vrai ou faux.

Dans la cytéométrie en flux l’analyse individuelle est dite multiparamétrique et peur s’effectuer à la vitesse de plusieurs milliers d’événements par seconde.

A

Vrai

94
Q

Quelle est la séquence de travail, qui est tjrs la même, dans l’analyse par bio moléculaire? (3)

A
  1. Extraction et purification du matériel génétique
  2. Amplification
  3. Séquençage
95
Q

Que permet l’analyse par bio moléculaire? (5)

A
  • Détection et quantification des m-o totaux (cultivables ou morts ou viables)
  • Amplification de certaines gènes
  • Caractérisation de la biodiversité
  • Détection d’agents patho
  • Détection de gènes de résistance aux antibiotiques ou de virulence
96
Q

Vrai ou faux.

Il n’y a pas d’ADN (linéaires, fragmenté ou ramifié) dans les mitochondries et les chloroplastes des eucaryotes.

A

Faux.

Il y en a.

97
Q
  • Quels sont les étapes préliminaire de l’extraction de l’ADN?
  • Quoi permet de les faire?
A
    1. Lyse cellulaire (par détergents, enzymes)
      1. Élimination des prot (extraction phénol/chloroforme)
      2. Élimination autres acides nucléiques
      3. Concentre de l’ADN par précipitation à l’alcool
  • Trousses commerciales
98
Q

Vrai ou faux.

Il est possible de détecter et quantifier la présence d’une espèce ou d’une regroupement de m-o à partie de l’ADN total extrait d’un échantillon environ.

A

Vrai.

99
Q

Associé chaque gène à son espèce.

  • ARNr 16S
  • ARNr 18S
  • ITS et IGS
A
  • Campylobacter jejuni
  • moisissures ou amibes
  • moisissures ou amibes
100
Q

Que permet le PCR?

A

À partir d’une faible quantité d’ADN total de départ, il permet in vitro de copier ou d’“amplifier” une séquence d’ADN précise suffisamment pour pouvoir la détecter.

101
Q

Le PCR est basé sur : ? (2)

A
  1. l’utilisation d’un ADN polymérise (ADN dépendante, thermostable) initiant la synthèse d’un brin d’ADN à partir d’une extrémité d’ADN double brin
  2. l’hybridation et la déshydrations de brins complémentaire d’ADN en fct de la température
102
Q

Le PCR est une répétions de cycles de transition de T° de 30 à 40 cycles. Quels sont les 3 phases ayant lieu à chaque cycle?

A
  1. de dénaturation
  2. d’hybridation
  3. d’élongation
103
Q
  • Qu’est-ce que la phase de dénaturation initiale ds le PCR?
  • Combien de temps à quelle T°?
  • Elle permet quoi? (2)
A
  • Précède le cycle de PCR
  • 10-15 min à 95°C
  • déhybrider les ADN double brin et de briser les structures secondaire des molécules d’ADN
104
Q
  • Elle permet quoi la phase de dénaturation ds le PCR? (2)

- Combien de temps à quelle T°?

A
    1. Séparer les ADN
      1. Décrocher les ADN polymérase
  • 0-1 min à 95°C
105
Q
  • Elle permet quoi la phase d’hybridation ds le PCR? (2)

- Combien de temps à quelle T°?

A
    1. permet aux amorces sens et anti-sens de s’hybrider spécifiquement, par complémentarité, aux extrémités de la séquence d’ADN recherchée
      1. les amorces sens et anti-sens bornant la séquence ont alors les extrémités 3’ orientées l’une vers l’autre
  • 2-60 sec à 56-64°C
106
Q
  • Elle permet quoi la phase d’élongation ds le PCR?

- Combien de temps à quelle T°?

A
  • permet aux ADN polymérises de synthétiser le brin complémentaire de l’ADN matrice à partir des amorces spécifiquement hybridées (le brin d’ADN complémentaire est fabriquée à partir des dNTOs libres présents)
  • 4-120 sec à 72°C
107
Q

Par quel facteur le nb de séquences d’ADN recherché est X à chaque cycle de PCR?

A

par 2

108
Q

Pk le design des amorces en PCR est crucial?

A

Sert à spécificité et sensibilité

109
Q

Pk le PCR est dit “point final”?

A

Pcq la présence de copies de gènes n’est connue qu’à la fin de la réaction c-à-d suite aux 30-40 cycles de dénaturation-hybridation-élongation

110
Q

S’il y a présence du m-o recherché ds l’échantillon, les millions de copies du gènes ou de la partie de gène spécifiquement copiées par PCR peuvent être visualisées sur un gel d’agarose coloré au bromure d’éthidium ou autre substance fluo se liant à ADN. PK?

A

Ces substances permettent de visualiser ADN ds le gel qd exposé au rayon UV.

111
Q

Qui suis-je?

Je permets de suivre la quantité d’ADN produite à chaque cycle et non pas seulement à la fin de la réaction de PCR.

A

PCR quantitatif

112
Q
  • Où se fixe les substances fluorescentes pour le PCR quantitatif? (2)
  • Que se passe-t-il une fois que le seuil de fluorescence est établi et une fois la qté d’ADN permet aux sondes fluo de dépasser le seule de fluo?
A
    1. non spécifiquement sur l’ADN double brin seulement
      1. spécifiquement sur la séquence d’ADN recherché (ex : brins ou sondes d’ADN marquées par fluorochrome)
  • un numéro de cycle PCR appelé “Ct” est obtenu qui est à la base des calculs pour quantifier ADN de départ
113
Q
  • Que permet les analyse chimiques?
  • Quelles sont ses limites? (2)
  • Utilisé chez qui? (2)
  • Analysé à partir de? (3)
A
  • qualifier et quantifier la présence de métabolirtes ou de composantes structurales de m-o cultivables, viables et morts (m-o totaux)
    1. peu sensibles
      1. nécessite échantillons très chargés en m-o
    1. ergostérol, B-D-glucanes, COVMs, mycotoxines indiquant la présence de moisissures ds l’échantillon
      1. acides gras hydroxylés en position 3 associées aux LPS et acides muramiques propres aux bactéries
    1. solution de lavage
      1. filtre
      2. solutions de collection de barboteurs
114
Q

LA chromatographie en phase gazeuse permet de détecter quoi? (2)

A
  1. molécules contenues ds échantillon très complexe (ex : mycotoxine donnée_
  2. détecter composés gazeux ou susceptibles d’être volatiles par chauffage
115
Q

Vrai ou faux.

Le CPG peut être utilisée pour l’identification des acides gras membranaire des bactéries.

A

Vrai

116
Q

Quel est le range de t° du four du CPG?

A

-100 à 450°C

117
Q

Expliquez le principe général du CPG.

A

Détection des composés gazeux grâce à leur propriété physique et à leur temps de séparation à une phase stationnaire.
Nature des molécules est donnée par le temps de rétention.
Utilisation de molécules de références

118
Q

Vrai ou faux.

L’ensemble des pics d’une échantillon constitue un chromatogramme ds le CPG.

A

Vrai.

119
Q
  • Que permet la chromatographie en phase liquide à haute performance (HPLC)?
  • Quel est son principe de base?
  • Sous quel forme sont exprimés les résultats?
  • Quels sont les caractéristiques du milieu de travail?(2)
A
  • Détection de molécules composant un échantillon compte en fct de l’hydrophobicité des molécules
  • Le temps de rétention des molécules ds la colonne est inversement proportionnel au diamètre des molécules
  • Chromatogramme
  • en phase liquide et sous haute pression
120
Q

De quoi est composé le HPLC? (4)

A
  • pompe servant à injecter sous pression la phase mobile ds la colonne
  • système d’injection
  • colone contenant la phase stationnaire
  • système de détection
121
Q

De quoi est composé le CPG? (5)

A
  • four
  • système d’injection afin d’introduire et de volatiliser l’échantillon à analyser
  • colonne contenant la phase stationnnaire
  • système de détection
  • système de détendeur-régulateur pour gaz porteras utilisés
122
Q

De quoi est composé le SM? (4)

A
  • système d’introduction de l’échantillon
  • source d’ionisation qui vaporise et ironie les molécules
  • un ou plusieurs analyseurs qui séparent les ions produits selon le rapport m/z
  • détecteur comptant et transformant les ions en signal électrique
  • système informatique traitant le signal
123
Q
  • Que permet le SM?
  • Quel est son principe de base?
  • Sous quel forme sont exprimés les résultats?
  • Comment est possible l’identification de la molécule?
A
  • Détecter les molécules d’un échantillon complexe par mesure de la miser et de caractériser la structure chimique de celle-ci
  • sépare en phase gazeuse d’ions en fct du rapport m/z
  • spectre de masse (rapport entre m/z des ions détectés et abondance relative de ces ions)
  • par banque de spectres
124
Q
  • Sur quoi se base l’analyse immunologique?
  • Pour détecter quoi?
  • La plus courante?
A
  • Association spécifique antigène (Ag) et anticorps (Ac)
  • Composantes de bactéries, moisissures et amibes.
  • ELISA
125
Q
  • Qqce que ELISA?
  • Que permet-elle
  • Quel est son avantage?
  • Sa limite?
  • Quels sont ses 3 types?
A
  • Dosage immunoenzymatique sur support solide
  • détecter présent Ag ds échantillon enviro par l’utilisation d’un ou de 2 Ac
  • peu couteux
  • dépend de disponibilité d’anticoprs
  • indirect, par compétition et en sandwich
126
Q

Quand anticorps est dit secondaire ds ELISA? (2)

A
  • Qd un Ac s’associe spécifiquement aux complexes immuns (Ag-Ac) et est couplé à enzyme
  • Qd il y a émission de couleur ou d’une fluo suite à digestion d’un substrat chromogène ou fluogène
127
Q
  • Qd est utilisé ELISA en sandwich?

- Décrivez ses étapes. (8)

A
  • Pour détecter des Ag d’un échantillon
    1. surface est préparer et une qté Ac (Ac1) de capture y est liée
      1. échantillon contenant Ag est ajouter sur surface du puits
      2. plaque contentant les puits rincés pour éliminer les Ag non liés
      3. les Ac conjugué à l’enzyme (Ac2) sont ajoutés
      4. plaque rincée une 2e fois
      5. substrat chromogène/fluogène digérante par enzyme est ajouté
      6. évaluation couleur/fluores par spectrophotomètre
      7. quantification des Ag possible par comparaison avec courbe standard construite à l’aide de dilution sériée d’Ag de référence d’une [ ] connue
128
Q

Avec quels outils sont habituellement échantillonnées les endotoxines aérosolisées? (2)

A
  • filtre de fibre de verre

- barboteur (AGI-30)

129
Q
  • Que permet l’essai LAL?

- Quel est la différence avec analyse chimique?

A
  • Quantifier endotoxines en unités d’endotoxines (UE) = mesure de l’activité bio des LPS
  • Analyse chimique ne permet pas d’obtenir UE
130
Q

Quels sont les limites de la quantification des endotoxines?

A

mise au point et expertise rigoureuse

131
Q

Quel espèce à permis de faire avancer les analyse de toxicité?
PK

A

Crabe en fer à cheval
Pcq la coagulation du sang est associé à activation d’enzyme ds les granules des cellules sanguine par des bactéries gr -, plus particulièrement les endotoxines

132
Q

À quel impacteur est associée la table de correction, la Méthode des trous positifs? Que corrige-t-elle? Si j’ai 50 colonies de bactéries (r), quel est le compte le plus probable (corrigé, P) selon la table de correction?

A

Impacteur à trous multiples, anderson à multiple étages

Elle corrige le nombre de colonies comptées à l’oeil nue puisqu’elle prend en concidération la probabilité qu’il y ai plus qu’un UFC sur une même zone.

53

133
Q

Le kit commercial LIVE/DEAD® BacLight™ Bacterial Viability Kit permet de différencier en microscopie à fluorescence les bactéries viables de celles mortes. Comment est-ce possible?

A

Les cellules mortes et les cellules vivantes n’ont pas la même perméabilité au niveau de leur membrane, donc on peut utiliser deux fluorochromes, l’un qui sera retenu par toutes les cellules et l’autre qui pénètera les cellules mortes (membrane endommagée), bref tout dépend de la rétention des membranes.

En effet, l’iodure de propidium est une moléculaire de haut poids moléculaire et ne pénètre que les cellules ayant une membrane plasmique endommagée (cellules mortes).