Module 12 Flashcards
Que permet le pré-échantillonnage?
A. Évaluer sommairement la santé des humains exposés aux bioaérosols
B. Identifier les sources potentielles de bioaérosols
C. Cibler les activités humaines à l’origine de l’aérosolisation des agents biologiques
D. Toutes ces réponses
D. Toutes ces réponses
Lors du pré-échantillonnage, différentes hypothèses sont formulées quant aux interactions possibles entre l’hôte (les humains exposés), les sources de bioaérosols et l’environnement (mécanismes d’aérosolisation des agents biologiques).
Vrai ou faux.
Les symptômes associés à un problème de bioaérosols dans l’air intérieur persistent habitellement lors du retrait de l’environnement.
Faux.
Une des façons de déterminer si un environnement est responsable des problèmes de santé des occupants est de leur faire quitter cet environnement pour une période plus prolongée. Les symptômes s’améliorent alors. Bien sûr, si une maladie infectieuse est en cause, elle doit être traitée pour que les symptômes s’améliorent.
Vrai ou faux.
D’une investigation à l’autre, le plan d’échantillonnage des bioaérosols est toujours assez similaire et est appliqué de façon automatique.
Faux
Lors d’une investigation, suite au pré-échantillonnage, les hypothèses énoncées permettent de mettre au point un plan d’échantillonnage qui cible les sources les plus probables. Par exemple, si un dégât d’eau au sous-sol est documenté lors du pré-échantillonnage, les échantillon sont pris de façon plus importante à cet endroit.
À quoi sert l’analyse hygrométrique d’un environnement lors des analyses préliminaires de l’investigation ?
A. À déterminer si le taux d’humidité est dans la zone de confort
B. À déterminer s’il y a des endroits où une quantité anormale d’humidité est présente, ce qui permet de cibler l’échantillonnage
C. À documenter les paramètres de ventilation
B. À déterminer s’il y a des endroits où une quantité anormale d’humidité est présente, ce qui permet de cibler l’échantillonnage
La recherche d’une humidité élevée sur les matériaux ou même dans l’air peut aider dans la compréhension du problème de bioaérosols en indiquants les endroits les plus probables où la croissance microbienne peut avoir lieu. Toutefois, en absence de matérieux humides, il est possible qu’une humidité antérieure ait mené à la croissance microbienne et ne soit plus détectable aujourd’hui.
Vrai ou faux.
Le choix des échantillonneurs de bioaérosols est seulement basé sur les méthodes d’analyse utilisées par la suite pour la détection des agents biologiques.
Faux.
Les échantillonneurs de bioaérosols utilisés sont choisis selon : les méthodes d’analyse utilisées pour la détection, les agents biologiques d’intérêt, les méthodes d’identification et de quantification des agents biologiques sélectionnées ainsi que l’endroit et le temps d’échantillonnage choisis.
À quoi sert l’échantillonnage contrôle (environnement contrôle) lors d’une investigation ?
A. À vérifier l’efficacité des échantillonneurs
B. À établir un niveau de base auquel seront comparés nos échantillons obtenus près des sources suspectées ou dans les zone investiguées
C. À calibrer les échantillonneurs
D. À mesurer l’humidité relative et la température
B. À établir un niveau de base auquel seront comparés nos échantillons obtenus près des sources suspectées ou dans les zone investiguées
L’échantillonnage contrôle pour les bioaérosols est extrêmement important, car il s’agira du seul point de comparaison pour les données obtenues dans les zones investiguées. En effet, il n’est pas de normes (des valeurs limites d’exposition) pouvant être appliquées. Une différence marquée entre les contrôles et les échantillons prélevés indique que des zones de prolifération microbiennes sont présentes et que les bioaérosols collectés aux endroits investigués ne proviennent pas de l’environnement avoisinant.
Vrai ou faux.
Le temps d’échantillonnage doit toujours être le plus long possible.
Faux.
Le temps d’échantillonnage est déterminé en fonction de la limite de détection de l’échantillonneur, de la méthode d’analyse, de l’efficacité de récupération des agents, du débit de fonctionnement et de la concentration suspectée des agents recherchés ou autres contaminants.
Associer les types d’échantillons aux différents énoncés correspondants.
- Amené sur le site mais pas utilisé pour l’échantillonnage
- Échantillon prélevé dans un endroit physiquement séparé des sites investigués
- Permet d’évaluer le niveau de base à des fins de comparaison
- Permet d’évaluer la contamination du matériel d’échantillonnage
- Blanc de terrain
- Échantillon contrôle
- Échantillon contrôle
- Blanc de terrain
Quelles sont les 2 principales raisons pour lesquelles les valeurs limites d’exposition aux bioaérosols sont inexitantes ?
A. Les techniques analytiques sont très limitées
B. Peu de publications entourent l’exposition aux bioaérosols
C. La variation interindividuelle des réponses lors de l’exposition aux agents biologiques composant les bioaérosols
D. La grande variété d’agents biologiques retrouvés dans les bioaérosols
C. La variation interindividuelle des réponses lors de l’exposition aux agents biologiques composant les bioaérosols
D. La grande variété d’agents biologiques retrouvés dans les bioaérosols
En effet, puisque deux personnes exposées aux mêmes agents biologiques réagissent de manière différente, il est très difficile d’appliquer des limites d’expoistion. Un bon exemple est les allergies respiratoires. Une personne allergique aux chats est très symptomatique en présence d’une faible quantité de chats. Une autre personne peut vivre avec plusieurs chats sans jamais ressentir de problèmes. Il semble insensé de proposer une limite d’exposition aux antigènes de chats et d’appliquer la limite à tous les environnements.
Parmi les recommandations suivantes quant à la présence de moisissures dans les édifices à bureaux, lesquelles proviennent de Santé Canada?
A. Une intervention est nécessaire s’il y a une colonie visible de champignons dans des humidificateurs et dans les conduites, et de moisissures sur les tuiles du plafond et d’autres surfaces
B. La présence d’une espèce de champignon microscopique à l’intérieur, mais pas à l’extérieur, n’est pas problématique
C. La présence d’Aspergillus fumigatus dans l’air est tolérable à de faibles concentrations
D. Une concentration allant jusqu’à 10 000 UFC/m3 est acceptable s’il y a un mélange d’espèces fongiques correspondant aux spores de l’air extérieur.
A. Une intervention est nécessaire s’il y a une colonie visible de champignons dans des humidificateurs et dans les conduites, et de moisissures sur les tuiles du plafond et d’autres surfaces
- Qu’est-ce que le pré-échantillonnage?
- Permet d’évaluer quoi? (3)
- 1ere étape de l’investigation
- Santé des humains expo
- Sources et bioaérosols associés
- Environnement
- Santé des humains expo
À quoi sert l’investigation?
Générer des données comparables et reproductibles pour contrôler l’expo aux humains et associer les contaminants aux effets sur la santé
Quels sont les 3 grandes étapes de l’investigation?
- Pré-échantillonnnage
- Échantillonnage
- Analyse des données et interprétation
Vrai ou faux.
La fièvre d’inhalation d’un enfant peut être associée à l’utilisation d’un humidificateur dont l’eau du réservoir est concentrée en bactéries Gr - et, par conséquent, en endotoxines.
Vrai.
Quand sont formuler les hypothèses et les objectifs?
pré-échantillonnage
- Qu’est-ce qu’une hypothèse?
- Elles sont formulés quant à quoi? (3)
- Explication qui est énoncé dans prendre de position sur sa véracité (sans l’affirmer ou la nier).
- Causes possibles des symptômes observés chez les humains exposés aux bioaérosols
- possibles sources des agents bio
- diff mécanismes d’aérosolisation et de transport des agents bio dans enviro étudié
- Causes possibles des symptômes observés chez les humains exposés aux bioaérosols
- À partir quoi son déterminer les objectifs?
- Qqce qu’un objectif?
- hypothèses à vérifier
- but ou finalité fixe réalisée lors de l’étude
Objectif ou hypothèse?
Déterminer la nature et la fréquence des symptômes observés chez les humains exposés.
Objectif