Les mécanismes de la variation génétique Flashcards

1
Q

mutare

A

latin pour changer

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Q

Mutations

A

modification héréditaire dans la séquence d’ADN

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Q

Types de mutations

A
  • changement d’une seule paire de nucélotides

- addition, délétion d’une ou de 2 paires de nucléotides codants dans le gène.

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4
Q

Ampleur des mutations

A
  • microlésions: mutations ponctuelles (1 seule paire de bases à un endroit donné)
  • macrolésions: insertion, délétion, inversions, duplications, translocations. Plus rares.
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Q

Modalités

A

-mutations spontanées: occasionnellement, sans agent (inducteur) provocateur

  • mutations induites: agent mutagène
    • L’agent peut être de nature chimique ou physique et provoquer un changement génotypique ou phénotypique
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6
Q

mutations spontanées

A

-sans exposition à un agent externe
- soit d’erreurs dans la réplication de l’ADN (ex: tautomérisation: isomères structuraux en équilibre et qui passent de l’une des formes à l’autre.)
cétone –> imine/énol
- soit de l’action d’éléments mobiles comme les transposons
-Les mutations spontanées peuvent résulter de lésions de l’ADN ou d’erreur de réplication.

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7
Q

Mutations avec tautomérisation

A

-La tautomérisation et les mutations par transition
-13.1a -Les bases sont en général sous forme de cétone
Peuvent prendre une forme imine ou énol.
Alors cela peut laisser de la place à des substitutions d’une purine par une autre d’une pyrimidine par une autre.
A-T et G-C : normalement
AC- et GT: appariement de tautomères énoliques
-13.1b- Il s’agit de substitutions de bases.
On a des
- mutations de transition (purine- (remplace) purine et pyrimidine- pyrimidine) . Sont relativement fréquentes.
-des mutations par tranversion (plus rares): purine remplace pyrimidine ou l’inverse.

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8
Q

Additions et délétions

A
  • erreur de réplication
  • addition ou délétion de nucléotides
  • l’appariement de la matrice et du nouveau brin sont déplacé
  • 13.2
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9
Q

Lésions de l’ADN

A
  • Possibilité de perte de base: le nucléotide purique est dépuriné. –Le site apurinique ne s’appariera pas normalement.
  • Perte de pyrimidine: formation d’un site apyrimidique
  • Des radicaux libres ou du peroxyde modifient les bases (ex: G s’oxygène et s’apparie avec avec A et non avec C (formes réactives de l’oxygène)è
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10
Q

L’insertion

A
  • Les mutations se font au hasard indépendamment de la présence de tout agent. Spontanées. Les insertions inactivent les gènes. Très fréquents chez E. coli.
  • Mais on a aussi émis des hypothèses de mutations dirigées ou adaptatives (par ex. bactéries dans un milieu avec lactose)-hypothèse pour s’adapter.
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11
Q

Hypermutation

A

-en cas de privation, de stress nutritionnel. Les bactéries peuvent faire de nombreuses mutations et celles qui marchent vont faire que les plus adaptées vont survivre.

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12
Q

mutation induites

A
  • Tout agent qui endommage l’ADN, modifie sa chimie ou interfère avec son fonctionnement induira des mutations.
  • Plusieurs types d’agents mutagènes: tableau 13.1
    a) Les analogues de base
    • Les agents qui modifient l’ADN
      b) Les agents d’intercalation
      c) Les agents physiques( radiation)
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13
Q

a- Les analogues de base

A
  • Ressemblent aux bases normales et peuvent être incorporées dans la chaine polynucléotidique en croissance lors de la réplication de l’ADN.
  • Ils ont des capacités d’appariement différentes et donc engendrent des mutations stables.
  • Ex: 5 Bromo uracyle est un analogue de la thymine. Il a un tautomère (frome cétone à énol) qui permet une liaison T-G et non TA
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14
Q

Les agents qui modifient l’ADN

A
  • Changent la structure d’une base et altèrent ses propriétés d’appariements.
  • Méthyl nitrosoguanidine: ajoute des CH3 à la Guanine qui s’apparie avec la Thymine
  • Hydroxylamine – modifie l’ADN- hydroxyler un carbone au niveau de la cytosine va se lier avec T au lieu de G
    13. 3
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15
Q

c- Les agents d’intercalation

A

-Déforment l’ADN provoquant ainsi
- des insertions
- des délétions
d’une seule paire de nucléotides.
-Exemples d’agents d’intercalation: les acridines (proflavine et orange d’acridine)
-De nombreux mutagènes sont cancérigènes; endommagent les bases à tel point que l’ADN ne peut plus servir de matrice pour la réplication.

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16
Q

Les radiations

A

UV: provoquent la formation de dimères de thymine entre pyrimidines adjacentes

  • endommagent les bases directement
  • Radiations ionisantes, RX, aflatoxine B1, benzopyrènes: délétion de bases, cassures de brins ou de chromosomes
  • Aflatoxine (dans arrachides) –Aspergilus flavius cancer primitif du foie
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17
Q

Effet des mutations

A

-Mutation directe: le type sauvage (phénotype/génotype) passe à un type mutant
-Peut être réversible (restaure le changement survenu)
-au même site: mutation réverse
-à un autre site: mutation
suppressive
-Supressive intragénique: au
sein du même gène
-Supressive extragénique: sur
un gène différent

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18
Q

a-Mutations de gènes codant pour une protéine

A

-Mutations silencieuses
-Mutations faux-sens (mis sense)
-Mutations non-sens
-Mutations par déphasage (ou glissement du cadre de lecture) fig. 13.6 Frameshift
-Mutations morphologiques
-Mutations létales
-Mutations conditionnelles (environnement)
-Mutations biochimiques (auxotrophes, protrophes)
-Mutants de résistance: antibiotiques, agents chimiques
tableau 13.2

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19
Q

Auxotrophes vs prototrophes

A

Auxotrophes: Trp-
Prototrophes: Trp + (peuvent synt Trp)
-Pas besoin de fournir leur nutriments, ils peuvent les synthétiser

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20
Q

Mutations par déphasage (ou glissement) du cadre de lecture

A

Insertion de GC
Mutations généralement néfastes et donnent des phénotypes mutants (protéines non fonctionnelles)
Peptide tronqué (codon Stop ou non sens.
Possibilité de réparer suite à une mutation suppressive intra génique
13.4
-Mutations trop nocives et donnent des phénotypes avec des protéines non fonctionnelles ou des codons STOP.

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21
Q

types de mutations

A

-Mutation morphologiques
-Mutations létales
-Mutations conditionnelles (température) permissive)
-Mutations biochimiques
-Mutant auxotrophes: ont besoin d’une molécule en particulier pour croitre car ont perdu cette capacité.
-mutant protrophe: mutant
incapable de croître dans un
milieu minimal à moins que la
molécule manquante ne soit
fournie. – C, N,. Ph (différent de
la souche sauvage
organotrophe)
-Mutant de résistance: à un
antibiotique ou un agent
chimique.
-Auxotrophes et mutants de R
sont importants en génétique
microbienne

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22
Q

Mutations dans les séquences régulatrices

A
- Celles qui se produisent dans 
  des séquences de protéines 
  régulatrices
-Ex:  lac opéron chez E. coli
-La mutation sur le site opérateur donne des séquences qui ne sont plus reconnues par le répresseur. Donc les gènes de la β galactosidase sont  transcrits de manière continue.
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23
Q

Mutations dans les gènes des ARNt et ARNr

A
  • Modification du phénotype en désorganisant la synthèse protéique.
    • Croissance ralentie
    • Des cas de mutations sur l’ARNt (mutation suppressives) peuvent rétablir la croissance normale ou presque normale
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24
Q

La détection et l’isolement des mutants

A

-Observer le phénotype obtenu (albinos ou pigmenté)
Phénomène rare (mutant) (10-7 – 10-11) mais possible et même inductible (10-3 ou 10-6) avec mutagènes
-Mutagènes: augmentent chance de mutants 10-710-3

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25
Q

La réplique sur boîte

A

Auxotrophe pour la lysine: a besoin d’un apport de lysine
On enveloppe un boite de conserve avec le velour
On le traite avec un culture E.coli avec un agent mutagène
On le met sure un milieu et on l’incube
13.5

26
Q

La sélection des mutants

A
13.6
Mutants résistants à:
Phages
Antibiotiques
Tempéraure 
Source de C primaire
27
Q

Pouvoir cancérigène: test d’Ames

A
  • Démontre si une substance chimique augmente le taux de mutations ie; mutagène
  • De nombreux agents cancérigènes sont aussi mutagènes.

-Test d’Ames: utilise plusieurs souches de Salmonella enteritica serovar typhimurium (mutation différence pour l’operon de la biosynthèse de l’histidine).
L’ajout d’extrait de foie convertit les agents en produits cancérigènes.
13.7

28
Q

La réparation de l’ADN

A
-Être en mesure de réparer les changements qui peuvent être létaux.
Autocorrection par les enzymes de réplication: ex l’ADN polymérase. En plus de cela il y a les mécanismes signalés ci-dessus.
1-Réparation par excision: 
    -2 modalités: nucléotides et 
     bases
2-Réparation directe
3-Réparation des mésappariements
4-Réparation par recombinaison
5-Réparation SOS
29
Q

La réparation directe

A

a) photoréactivation
-Réparation de thymine par une photolyase
(avec l’aide la lumière visible)
-13.10
b) transférase
-Réparation directe par des transférases
-13.11

30
Q

La réparation de mésappariements

A

-Malgré toutes ces précautions des erreurs peuvent encore survenir au cours de la réplication.
Bases mal appariées. Corrigées par ce système de réparation.
-enz est MutS parcourt ADN synthétisé et identifie les bases mal appariés
-enz MutH enlève les segments d’ADN nouvellement synthétisé et ADN polymérise remplace les nucléotides excisés
don’t really need to know just the principle
13.12

31
Q

La réparation par excision de nucléotides

A

13.8/13.9
-corrige les dommages cuasés par des distorsions de la double hélice
-excision de nucléotides ou de bases
-réparation par excision de nucléotides
-enz de réparation:
Endonucléase: UVrABC
élimine les bases
endommagées et celles à côté.
-ADN polymérase refait les
nucléotides qui manquent
-réparation par excision de bases
-ADN glycolsylases pour
éliminés bases endommagés
-conduit à sites
apuriniques/apyrimidiques
-and a bunch of other stuff but it’s not super important cause we didn’t really go over it

32
Q

La réparation par recombinaison

A
  • Corrige l’ADN endommagé où les 2 bases d’une paire manquent ou sont altérées ou s’il y a une brèche en face de la lésion.
  • Protéine RecA: coupe la séquence d’ADN matrice dans une molécule sœur et l’insère dans la brèche ou l’utilise pour remplacer le brin endommagé.
33
Q

La réponse SOS

A
  • Intervient quand les systèmes que nous venons de voir sont insuffisants pour la réparation complète.
  • Dépend d’une protéine Rec A qui se fixe aux cassures simples ou double brin et aux brèches et redémarre la réparation par combinaison.
  • Rec A détruit un répresseur protéique (LexA) qui régule négativement la fonction de nombreux gènes de réparation et de synthèse d’ADN
34
Q

La création de la variabilité génétique

A

1- La recombinaison chez les eucaryotes
2- Le transfert génétique horizontal chez les procaryotes
3- La recombinaison au niveau moléculaire

35
Q

La recombinaison chez les eucaryotes

A
  • génotypes recombinants des eucaryotes peuvent provenir de l’intégration des virus et du déplacement d’éléments génétiques mobiles
  • le recombinaison le plus important est l’enjambement
    13. 14
36
Q

Le transfert génétique horizontal chez les procaryotes

A

13.15

37
Q

La recombinaison au niveau moléculaire

A

-La recombinaison homologue: échange réciproque entre une paire de nucléotides. Voir le modèle de la cassure bicaténaire fig.13.17)
-La recombinaison localisée: intégration des génomes de virus dans les chromosomes de l’hôte.
-La transposition: pas d’homlogie de séquence.
tableau 13.3

38
Q

Les éléments transposables

A
-Morceaux d’ADN pouvant se  
 déplacer (transposition)  et 
 s’intégrer dans différents sites 
 des chromosomes. 
-Transposons: éléments 
 transposables ou (gènes 
 sauteurs peuvent aller d’une 
 place à un autre). Découverte en 
 1940 Barbara McClinton (Maïs). 
 Prix Nobel 1983
-Ne requiert pas de de zones 
 étendues d’homologie entre le 
 transposon et le site de 
 destination.
39
Q

Les plasmides bactériens

A
  • Plasmide: ADN double brin autoréplicatif , indépendant du chromosome, stable et transmissible.
  • Épisomes: plasmides libres ou intégrées.
  • Plasmides conjugatifs: transmettent une copie à une autre bactérie via la conjugaison.
  • Facteurs F: plasmide conjugatif le mieux étudié.
40
Q

Intégration du plasmide F

A

13.16

Le plasmide F peut exister en dehors du chromosome bactérien ou être intégré

41
Q

La conjugaison bactérienne

A
  • Preuves de la conjugaison: Lederberg et Tatum (1946)
  • Le croisement F+ x F -
  • La conjugaison Hfr
  • La conjugaison F’
  • Autres exemples de conjugaison
42
Q

Preuve de la conjugaison bactérienne

A

13.17
Souches auxotrophes pour certains nutriments à colonies prototrophes
-Joshua Lederberg et Edward Tatum

43
Q

Expérience du tube en U Bernard Davis) 1950

A
  • Il faut que les bactéries se touche pour qu’il y ait transfert dematériel génétique (pilus)
  • Filtre qui laisse passer liquide mais non les bactéries
    13. 18
44
Q

Croisement F+ x F -

A

-On a observé que les souches F+ devenaient F-) mais que les gènes bactériens n’étaient pas souvent transférés.
-Le facteur F porte des gènes
-pour la formation de pilus
sexuel
-pour le transfert du plasmide.
-Le pilus sexuel sert à établir le contact voir fig13.28) entre les cellules F+ et F-
-très peu de recombinaisons de chromosomes
13.19

45
Q

Conjugaison F+ x F-

A

-Seul le facteur F est transféré car extrachromosomique.. La cellule receveuse devient F+.
-Appareil secrétoire de type IV. Voir fig.13.29
-Le facteur F se réplique par le mécanisme du cercle roulant.
Relaxosome: coupe un brin du facteur F.
-Le brin entrant est ensuite copié en ADN en double brin.
-La fréquence de recombinaison est faible parce que les chromosomes sont rarement transférés avec le facteur F indépendant.
-Ici on voit que F- devient F+ (pas de recombinaisons (chromosome))
-Donc transfert de F mais faible taux de recombinaison (gènes du chromosome non transmis).
-Ce qui a conduit à observer une autre forme de conjugaison.
13.20

46
Q

Conjugaison Hfr (haute fréquence de recombinants)

A
  • Transfert de gènes chromosomiques avec une très grande efficacité mais ne transforme pas les bactéries receveuses en F+.
  • doit transférer le chromosome en entier pour transformer en F+ qui n’est pas possible
  • Le donneur est dit souche Hfr (haute fréquence de recombinants)
  • Le facteur F est intégré dans le chromosome (et non libre) dans les souches Hfr13.21
    13. 21
47
Q

Hfr x F -

A
  • Le Facteur F intégré transfert en premier les morceaux du chromosome au lieu de se transférer lui-même.
  • Le nombre de gènes transférés va dépendre du temps de contact entre les deux cellules.
  • Avec Hfr, on a une transmission de gènes du chromosome bactérien.
  • Le transfert peut se faire dans le sens horaire ou antihoraire. Tout dépend de la position du F intégré.
  • Le chromosome répliqué peut être dégradé ou incorporé dans le génome du F- par recombinaison.
    13. 22
48
Q

Conjugaison F’

A

-Quand un plasmide qui était intégré se détache et emporte un morceau du gène chromosomique (erreur d’excision). Donc c’est un F transformé par rapport à l’original et porte le nom de plasmide F’ (fig.13.30a):
-Importance:
-Diploïdie (dominant ou
récessif)
-Cartographie (gènes voisins)
-La F’ conserve tous ses gènes mais ne peut se croiser qu’avec une F-.
-F’ x F- est similaire à F+ x F-.
-Plasmide transféré et répliqué selon le modèle du cercle roulant mais les gènes du chromosome ne sont pas transmis.
-La receveuse devient une F’ mérozygote partiellement diploïde.
13.23

49
Q

Autres types de conjugaison bactérienne

A

Plasmides autotransmissibles chez des Gram positives sans intervention de pili.
Bacillus,
Enterococcus
Streptococcus

50
Q

Transformation

A

absorption de fragments d’ADN ou d’une molécule d’ADN, libérés dans un milieu et incorporé dans le chromosome du receveur, une cellule compétente.

51
Q

transformation bactérienne par des fragments d’ADN

A

-Fréquence de transmission chez des cellules très compétentes: 10-3.
-Plusieurs facteurs d’influence:
-Stade de croissance
-Streptococcus pneumoniae:
phase exponentielle de
croissance durant laquelle la
bactérie secrète une protéine
appelée facteur de
compétence qui stimule la
production de protéines (8-10)
requises pour la transformation.
-Bacillus, Haemophilus,
Neisseria, Azotobacter,
Helicobacter, Pdeumonas.
-Ce transfert par ce processus a lieu dans le sol et les écosystèmes aquatiques: penser aux biofilms.
13.24

52
Q

Transformation chez S. pneumoniae

A
  • S. Pneumoniae accepte des ADN de souches apparentées.
  • D’Autres bactéries sont moins discriminantes pour la source d’ADN: Haemopphilus influenzae.
    13. 25
53
Q

La transduction

A

-Mode de transfert génétique horizontal dû à un virus.Bref rappel: sur le cycles lytiques et cycles lysogènes

54
Q

Cycles lytiques et lysogènes des phages tempérés

A
  • Génome viral intégré: propage.
  • Les bactériophages qui font cela sont des phages tempérés et la relation avec l’hôte est la lysogénie.
  • Bactéries lysogénisées sont des bactéries lysogènes.
  • Gènes bactériens inclus par erreur dans celui du virus. Le virus peut alors injecter ce gène à d’autres bactéries.
  • 2 types de transduction: généralisées et spécialisée (restreinte).
    13. 26
55
Q

Transduction généralisée

A

Thérapie génique pour traiter maladies génétiques

13.27

56
Q

Transduction spécialisée par un bactériophage tempéré

A

13.28

57
Q

Transduction avec un phage lambda chez E. coli

A

13.29

58
Q

La cartographie du génome

A
  • Expérience de croissance interrompue
  • Cotransformation
  • Cotransduction
59
Q

Expérience de croisement interrompu

A

Temps de contact est très important, c’Est un facteur qui décide le montant du gène qui est transféré
13.30

60
Q

Expérience de cotransduction

A

13.31