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neuro examen 2 > La neuropsychologie de l’adulte âgé > Flashcards

La neuropsychologie de l’adulte âgé Flashcards

1
Q

Le vieillissement cognitif est caractérisé par des changements de quoi

A

dans les capacités cognitives liées aux modifications neurophysiologiques qui s’opèrent avec l’avancée en âge

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2
Q

Pendant des décennies, les travaux portant sur la cognition chez les sujets âgés ont insisté sur quoi

A

sur le déclin des capacités cognitives, et surtout mnésiques, trouvant un écho dans les plaintes spontanées des sujets âgés et dans les craintes suscitées par la médiatisation de la maladie d’Alzheimer

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3
Q

Les études récentes montrent que le vieillissement est caractérisé par une double variabilité (2)

A
  1. Une variabilité entre les individus
  2. Une variabilité selon les diverses fonctions cognitives étudiées
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4
Q

dans quelle situation est-il possible de perdre nos capacités cognitives

A

quand on apprend pas

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5
Q

est ce que toutes les personnes âgés ont les mêmes dommages cognitifs, les acquiert au même moment

A

non, variabilité importante

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6
Q

quelles mémoires sont relativement conservés dans le vieillissement

A

sémantique , procédurale et perceptive

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7
Q

quelles mémoires sont sensibles aux effets de l’âge

A

MDT et épisodique

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8
Q

est ce que c’est toutes les personne qui vieillit qui vont être confronté à une diminution de certains de ses domaines cognitifs

A

oui

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9
Q

quelle mémoire augmente avec l’âge

A

mémoire sémantique, le vocabulaire , comme un livre qu’on écrit dedans, ne s’efface pas

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10
Q

quels sont les mémoires qui diminue avec l’âge

A
  • mémoire épisodique
  • vitesse traitement de l’info
  • mémoire de travail
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11
Q

quelle mémoire est la plus sensible aux effets délétères du vieillissement

A

la mémoire épisodique

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12
Q

quelle mémoire, après la mémoire épisodique, est la plus sensible aux effets délétères du vieillissement

A

MDT

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13
Q

quelle mémoire est présente chez tous les animaux

A

procédurale

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14
Q

quelle est la première à la dernière mémoire développé chez les animaux

A
  • mémoire procédurale
  • système de représentation perceptive
  • mémoire sémantique
  • mémoire de travail
  • mémoire épisodique
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15
Q

est ce que la mémoire épisodique est présente chez tous les animaux

A

non

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16
Q

La conception des niveaux de traitement (Craik& Lockhart,1972) propose quoi par rapport à la mémoire épisodique, la trace mnésique est en fonction de quoi

A

la persistance de la trace mnésique est fonction de la profondeur de traitement

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17
Q

Les niveaux de traitement profond sont associés à quoi

A

des traces mnésiques plus élaborées et plus résistantes dans le temps

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18
Q

vrai ou faux, tu as plus de chance de te souvenir de l’info si tu es dans le même endroit que tu l’as appris

A

vrai

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19
Q

qu’est ce qui est atteint dans la mémoire épisodique

A

l’encodage et la récupération

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20
Q

Les sujets âgés ont des difficultés à utiliser quoi par rapport à l’encodage

A

utiliser spontanément des stratégies de traitement sémantique au moment de l’encodage

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21
Q

Dans une tâche où la consigne est de mémoriser des séries de mots appartenant à différentes catégories sémantiques et dont les mots sont présentés dans le désordre dit moi jeune vs personne âgé

A

les sujets jeunes regroupent les mots par catégorie sémantique dès le premier rappel, tandis que les sujets âgés le font moins spontanément

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22
Q

quels tests entraînent plus de fausses reconnaissances chez les sujets âgés que chez les jeunes

A

Les tests de reconnaissance avec distracteurs sémantiques

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23
Q

quelle est l’hypothèse par rapport au difficulté d’encodage des personnes âgés

A

Hypothèse d’un encodage insuffisamment précis et distinctif
explication : en vieillissent on devient davantage expert et économe. lime ou citron dans repas, souvient plus globalement que c’était un agrume, alors que jeune capable de discriminer. Personne âgé a compris que c’était pas vrm important de se souvenir de ce niveau d’infos pour sa vie de tous les jours

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24
Q

Les sujets âgés éprouvent des difficultés à encoder ces informations …. quel type d’information

A

contextuelles et ne peuvent pas s’en servir comme indices de récupération

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25
Q

les personnes âgé ont de la difficulté non seulement avec les informations cibles mais encore plus

A

le contexte dans lequel elles étaient présentées

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26
Q

quelles sont les deux hypothèses par rapport à l’encodage chez les personnes âgés

A
  • Hypothèse d’un encodage insuffisamment précis et distinctif
  • Hypothèse d’un déficit d’encodage du contexte
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27
Q

Hypothèse d’un déficit d’encodage du contexte, explique

A

Les sujets jeunes encodent les items cibles et les informations associées à ces items (la voix de l’examinateur, la couleur de l’encre, ou le graphisme selon le mode de présentation, orale ou écrite), de façon automatique. Ils pourront s’appuyer sur ces éléments qui forment le contexte pour récupérer les items cibles.

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28
Q

Le stockage, ou maintien des informations en mémoire, est possible grâce à quoi

A

la consolidation de l’information encodée

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29
Q

Les capacités de stockage peuvent être évaluées comment

A

en calculant un taux d’oubli entre deux sessions de récupération d’informations

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30
Q

Les études portant sur le stockage ne montrent généralement pas de différence entre quoi

A

de taux d’oubli en fonction de l’âge lorsque le délai est court

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31
Q

A partir d’un délai d’environ __ heures, les informations encodées en mémoire sont oubliées plus rapidement chez les sujets âgés que chez les sujets jeunes

A

24

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32
Q

qu’est ce qui pourrait expliquer que a partir d’un délai d’environ 24 heures, les informations encodées en mémoire sont oubliées plus rapidement chez les sujets âgés que chez les sujets jeunes

A

trouble du sommeil plus chez personne âgé, cycle du sommeil réduit
plusieurs phases de sommeil, sommeil profond et paradoxal sont très associé au apprentissage
chez personnes âgés, ces deux sommeils diminue en durée ce qui fait que la qualité de l’info qui vont enregistrer est moins bonne
pourrait alors avoir une moins bonne consolidation de l’info associé au sommeil
pas pour toutes les personnes âgés

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33
Q

De nombreuses études ont montré l’importance __ __________ dans la consolidation des informations ___________ et plus particulièrement le sommeil _____ ________.

A

De nombreuses études ont montré l’importance du sommeil dans la consolidation des informations épisodiques et plus particulièrement le sommeil lent profond.

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34
Q

quel type de sommeil intervient dans la consolidation mais plutôt sur les aspects spatiaux du souvenir et des détails contextuels

A

sommeil paradoxal

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35
Q

Le sommeil paradoxal intervient également dans la consolidation mais plutôt …..

A

sur les aspects spatiaux du souvenir et des détails contextuels.

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36
Q

Or, le vieillissement s’accompagne de modifications importantes du sommeil, notamment une réduction du sommeil _____ _______, ce qui pourrait contribuer à diminuer l’efficacité des processus de consolidation chez les sujets âgés

A

lent profond

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37
Q

plus la nuit est occupée par du sommeil ______ _________, plus les performances de rappel le lendemain sont _______

A

plus la nuit est occupée par du sommeil lent profond, plus les performances de rappel le lendemain sont élevées

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38
Q

En situation de récupération, les diminutions de performances chez les sujets âgés par rapport aux jeunes varient selon quoi

A

les modes de rappel (Plus le support environnemental est faible, c’est-à-dire qu’il y peu d’aide externe, moins bonne sera la performance)

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39
Q

Plus le support environnemental est faible, c’est-à-dire qu’il y peu d’aide externe, moins bonne sera la performance (3) ( type de rappel le plus et le moins performant et la reconnaissance )

A

– Le rappel libre entraîne le plus de difficultés chez les sujets âgés
– Le rappel indicé entraîne un peu moins de difficultés
– Pour la reconnaissance, leurs performances sont souvent équivalentes à celles des jeunes.

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40
Q

hypothèse sur le fait que les capacités de récupérations diminue

A

Hypothèse d’un déclin des mécanismes de récupération

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41
Q

La reconnaissance serait supporté par 2 types de processus de nature différentes

A
  • Des processus automatiques assimilables au sentiment de familiarité
  • Des processus contrôlés
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42
Q

Des processus automatiques assimilables au sentiment de familiarité, c’est quoi?

A

L’information est récupérée mais pas son contexte spatio-temporel. Le sujet « sait » que l’item faisait partie de la liste d’étude mais ne se souvient pas des détails du contexte d’encodage

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43
Q

Des processus contrôlés, c’est quoi

A

L’information et son contexte d’encodage sont récupérées. Le sujet a le sentiment de « se souvenir » et pas seulement de « savoir »

44
Q

type de processus qui est pareil chez les jeunes et les adultes

A

Des processus automatiques assimilables au sentiment de familiarité

45
Q

type de processus qui est moins bon chez les personnes âgés que chez les jeunes

A

Des processus contrôlés

46
Q

Les réponses « je me souviens » relèvent de la mémoire …..

A

épisodique (reconstruction consciente de l’événement)

47
Q

Les réponses « je sais » relèvent plutôt de la mémoire ……

A

sémantique (sentiment de familiarité)

48
Q

Cette distinction entre les deux types de récupération peut se faire à l’aide de quel paradigme, et qui permet d’étudier quoi

A

Remember/Know, initialement proposé par Tulving, qui permet d’étudier la conscience associée à la récupération de l’information

49
Q

Dans le vieillissement normal quel type de réponse diminuent

A

je me souviens

50
Q

Dans le vieillissement normal, quelle réponse restent stables ou augmente avec l’âge

A

je sais

51
Q

les réponse _________ permettent de compenser la diminution des réponses _________

A

je sais
je me souviens

52
Q

quel type de récupération est affectée avec l’effet de l’âge

A

les processus de récupération contrôlée, mais pas les processus de récupération automatiques

53
Q

quelle tâche est le plus couramment utilisées pour évaluer la mémoire de travail

A

l’empan

54
Q

quel empan des adultes âgés est comparable à celui des jeunes

A

empan endroit
Préservation de la boucle phonologique et du calepin visuospatial avec l’âge

55
Q

quel empan est sensible aux effets de l’âge

A

L’empan envers ou l’empan alphabétique
Diminution des capacités de l’administrateur central avec l’âge (les difficultés se situeraient au niveau de la manipulation d’informations et non pas du stockage)

56
Q

quelle mémoire résiste particulièrement bien aux effets de l’âge

A

sémantique

57
Q

L’intégrité des représentations sémantiques est avérée par des très bonnes performances aux tests (4)

A

aux tests de vocabulaire, de connaissances générales, de similitudes sémantiques, de définition de proverbes

58
Q

comment sont les performances des personnes âgés lors d’amorçage sémantique

A

A des tâches d’amorçage sémantique telles que les tâches de décision lexicale où certains items sont des mots précédés d’autres mots reliés sémantiquement, l’activation de la représentation sémantique du mot suivant étant plus courte s’il est relié sémantiquement au mot précédent, les sujets âgés présentaient des effets d’amorçage équivalents à ceux des sujets jeunes.

59
Q

est ce que la diminution de la fluence verbales est systématique

A

non

60
Q

par quoi est expliqué la diminution de la fluence verbale

A

la réduction de la production est expliquée par un fonctionnement exécutif moins efficace

61
Q

est ce qu’il y a des effets de l’âge sur l’amorçage perceptif

A

non, les sujets âgés sont aussi rapides que les jeunes pour identifier des dessins dégradés lorsqu’ils ont vu les dessins dans leur intégralité auparavant

62
Q

est ce qu’il y a des effets de l’âge sur la mémoire procédurale

A

non

63
Q

Pas d’effet de l’âge sur la mémoire procédurale, néanmoins, les sujets âgés présentent un ralentissement de quoi

A

de la dynamique de l’apprentissage, parvenant plus tard que les jeunes à la « phase procédurale » qui signe l’automatisation de la procédure et constitue la dernière étape de l’apprentissage.

64
Q

Les effets de l’âge se manifestent donc lors de l’apprentissage des ….

A

procédures, et ce d’autant plus qu’elles impliquent d’autres processus cognitifs (mémoire de travail, fonctions exécutives, …), une phase qu’il faut bien distinguer de la mémoire procédurale, qui elle, résiste aux effets de l’âge.

65
Q

est ce qu’il existe une altération majeure du langage liée au vieillissement

A

non

66
Q

si un déclin modeste est observé au niveau du langage, il affecte essentiellement

A

les capacités de production alors que les capacités de compréhension restent préservées

67
Q

dans le domaine de la production, qu’est ce qui est touché , phénomène qui arriev

A

le manque du mot, l’incapacité à produire le bon mot au bon moment, « l’avoir sur le bout de la langue » sont des expériences dont la survenue s’accroît avec l’âge

68
Q

l’avoir sur le bout de la langue affecte surtout quel type de mots

A

les mots de basse fréquence et plus particulièrement les noms propres

69
Q

le phénomène de l’avoir sur le bout de la langue serait le conséquence de quoi

A

la conséquence d’un défaut d’activation de la représentation phonologique d’un mot correctement sélectionné

70
Q

la composante sémantique pour le langage est conservé, alors qu’est ce qui est touché

A

système phonologique de sortie

71
Q

vrai ou faux, le déclin des fonctions exécutives est une caractéristique du vieillissement normal

A

vrai

72
Q

Le déclin des fonctions exécutives est une caractéristique du vieillissement normal, 3 touchées

A

La flexibilité, la mise à jour et l’inhibition sont sensibles aux effets de l’âge

73
Q

Les perturbations liées à l’âge ont été classiquement attribuées a quoi

A

au ralentissement cognitif ou aux déficits attentionnels mais, plus récemment, c’est un déclin du contrôle exécutif qui a été avancé

74
Q

Deux approches cherchent à expliquer les modifications cognitives au cours du vieillissement normal, lesquelles

A
  • globale
  • neuropsychologique
75
Q

qu’est ce que stipule l’approche globale

A

Selon l’ approche globale, un petit nombre de facteurs généraux expliquent l’ensemble des effets du vieillissement

76
Q

qu’est ce que stipule l’approche neuropsychologique

A

les effets du vieillissement sont dus à la détérioration de certains processus spécifiques au sein de la fonction concernée et/ou des structures anatomiques qui les sous-tendent

77
Q

est ce que l’approche globale et neuropsychologique s’opposent

A

non

78
Q

Il existe indéniablement des liens entre les deux approches, par exemple….

A

entre l’hypothèse globale qui privilégie le déficit des capacités d’inhibition ou de la mémoire de travail et l’hypothèse neuropsychologique « frontale »

79
Q

Au total, les deux approches sont __________, aucune des deux ne permettant à elle seule, de rendre compte de l’ensemble des phénomènes observés au cours du vieillissement

A

complémentaires

80
Q

est ce qu’une des deux approches permettant à elle seule, de rendre compte de l’ensemble des phénomènes observés au cours du vieillissement

A

non

81
Q

Selon l’approche _________, un facteur général expliquerait l’ensemble des effets du vieillissement, qu’il s’agisse de la mémoire ou des autres fonctions cognitives

A

globale

82
Q

Il existe plusieurs variantes de ce modèle, toutes basées sur l’idée que le vieillissement normal s’accompagne de quoi ( globale )

A

d’une diminution des ressources disponibles pour le traitement de l’information, avec des différences quant aux mécanismes sous-jacents à cette diminution

83
Q

3 hypothèses de l’approche globale

A

A. L’hypothèse d’une diminution de la vitesse de traitement de l’information (Salthouse, 2009)
B. L’ hypothèse d’une diminution des capacités de la mémoire de travail avec l’âge
C. L’hypothèse d’une diminution des capacités d’inhibition des informations non pertinentes

84
Q

A. L’hypothèse d’une diminution de la vitesse de traitement de l’information
* Deux mécanismes distincts seraient responsables de la relation entre la vitesse et la cognition:

A

– D’une part, les opérations cognitives sont exécutées trop lentement pour être achevées en un temps limité, et moins de traitement cognitif équivaut généralement à un moins bon niveau de performance.
– D’autre part, le ralentissement réduit la quantité d’informations disponibles simultanément, nécessaires à un traitement cognitif de plus haut niveau. Les produits d’une première étape de traitement risquent alors d’être perdus au moment où les traitements ultérieurs sont accomplis.

85
Q

B. L’hypothèse de la diminution des capacités de la mémoire de travail
explique

A

Certaines études montrent ainsi que des mesures de mémoire de travail sont de bons prédicteurs des performances dans des tâches de rappel de phrases ou de textes, mais ce résultat a été controversé
* pouvoir se rappeler les mots de fin de phrase et classé en ordre alphabétique, administrateur central saturé

86
Q

L’hypothèse d’une diminution des capacités d’inhibition des informations non pertinentes
explique

A

La conséquence serait une surcharge de la mémoire de travail à l’origine de difficultés cognitives chez les personnes âgées : celles-ci auraient tendance à traiter toutes les informations plutôt que de sélectionner les plus appropriées

87
Q

La spécificité de cette approche (neuropsychologique) est de permettre de comprendre

A

comment le vieillissement normal peut s’accompagner de l’atteinte sélective de certains systèmes (ou de certains processus au sein des systèmes).

88
Q

quelle est l’idée centrale dans l’approche neuropsychologique

A

L’idée centrale est que l’atteinte sélective de certaines structures cérébrales est responsable du déclin de performances

89
Q

Approche neuropsychologique
L’analyse du fonctionnement de la mémoire épisodique chez des sujets âgés a plutôt orienté les recherches vers une comparaison avec les patients avec

A

un syndrome frontal

90
Q

Ces patients ( les patients avec un syndrome frontal) n’ont pas de véritable syndrome amnésique, ils éprouvent des difficultés de même nature que celles notées chez les sujets âgés normaux, même s’il existe des différences quantitatives: (5)

A
  • Difficultés dans l’organisation du matériel
  • Stratégies spontanées d’encodage et de récupération insuffisamment efficaces
  • Difficultés d’inhibition et sensibilité aux interférences
  • Problèmes de jugement temporel
  • Amnésie de la source et risque accru de faux souvenirs
91
Q

quel est un argument supplémentaire au fait que l’analyse du fonctionnement de la mémoire épisodique chez des sujets âgés a plutôt orienté les recherches vers une comparaison avec les patients avec un syndrome frontal

A

Un argument supplémentaire à l’appui de cette hypothèse est que les différences entre les performances de groupes de sujets jeunes et de sujets âgés s’expliquent au moins en partie par les différences de performances aux tests de fonctions exécutives

92
Q

est ce qu’il y a une variabilité interindividuelle des performance à âge égal

A

oui

93
Q

importante variabilité interindividuelle des performances, à âge égal, a souvent été signalée dans la littérature et cette variabilité augmente avec l’âge, elle augmenterait dans certains domaine cognitifs, dont quoi et pour quelle raison

A

dont la mémoire, et davantage chez les sujets de bas niveau culturel

94
Q

Certains sujets âgés bénéficieraient d’un vieillissement « normal » voire «réussi » tandis que d’autres seraient plus sensibles au déclin cognitif., vrai ou faux

A

vrai

95
Q

Plusieurs caractéristiques semblent déterminantes dans l’apparition de ces différences interindividuelles, parmi lesquelles …… (1)

A

le niveau d’éducation

96
Q

L’influence de cette variable sur les systèmes mnésiques n’est pas homogène, quel mémoire est plus impacté que d’autre par rapport au niveau de l’éducation

A

la mémoire épisodique, la mémoire de travail et la mémoire sémantique y étant plus sensibles que les effets d’amorçage et la mémoire procédurale

97
Q

De plus, le niveau d’éducation des sujets peut moduler l’influence de quoi

A

de l’âge sur la mémoire
Plus le niveau d’éducation est bas, plus les effets délétères de l’âge sur l’apprentissage d’une liste de mots et sur la capacité d’inhiber les mauvaises réponses sera important

98
Q

quel sujet on plus de chances d’échapper à la détérioration intellectuelle et au déclin de la mémoire, 4 caractéristiques de ces sujets

A

en bonne santé, avec un haut niveau d’éducation, actifs sur le plan intellectuel et bien intégrés socialement

99
Q

mot pour qualifier ce qui se passe chez les personnes âgées dont le fonctionnement cognitif est remarquablement préservé

A

vieillissement réussi

100
Q

vieillissement réussi s’oppose au vieillissement _______

A

habituel ou normal, et au vieillissement pathologique

101
Q

Les études des facteurs prédictifs d’un vieillissement réussi ont souligné l’importance (5)

A
  • du niveau d’éducation
  • de la bonne santé
  • d’une nutrition de bonne qualité
  • de l’exercice physique et intellectuel
  • du maintien des liens sociaux
102
Q

qu’est ce qui a été proposé pour expliquer l’écart observé chez certains individus entre le degré de leur atteinte cérébrale et son expression sur le plan cognitif

A

la réserve cognitive

103
Q

Le vieillissement cognitif n’est pas un processus hétérogène, vrai ou faux

A

faux, pas un processus homogène mais bien hétérogène

104
Q

est ce que la réserve cognitive te protège de tes changements cérébraux

A

non

105
Q

la réserve cognitive est modulée par quoi (3)

A

des facteurs environnementaux tels que le niveau d’éducation, la pratique d’activités cognitivement stimulantes, la pratique régulière d’activités physiques au cours de la vie

106
Q

Les résultats de l’étude SHARE (Survey on Health, Ageingand Retirement in Europe) ont montré quoi

A

que le fait de rester en activité, ainsi que la pratique d’une activité non professionnelle ou d’activités physiques sont favorables à la constitution de la réserve cognitive

107
Q

le réserve cognitive permet quoi

A

permettrait de faire face à l’âge, capable d’encaisser plus de changement physiologique/biologique du cerveau avant qu’il y ai des manifestations au niveau cognitif

neuro examen 2 (6 decks)

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