intra Flashcards

1
Q

Dans le texte, «le profilage criminel», quel psychologue britannique est à l’origine de la popularisation du profilage ?

A

Au
Royaume Uni, le psychologue britannique David Canter a popularisé
le profilage criminel

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2
Q

David a regroupé 3 domaines afin de donner une base théorique au profilage criminel. Quels sont-ils ?

A

Il a regroupé des concepts de la criminologie,
de la psychologie sociale et de la psychiatrie légale afin de
fournir des données empiriques qui permettent des généralisations
au sujet des crimes violents.

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3
Q

Le modèle de Canter repose sur 5 grands axes : quels sont-ils ?

A
la cohérence interpersonnelle, 
l’aspect spatio-temporel,
les caractéristiques du criminel, 
les antécédents criminels 
et la
connaissance de la criminalistique (
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4
Q

mais sa popularité, tant
dans la population que la communauté policière, a littéralement
explosé au début de quelles années ?

A

Début des années 1990

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5
Q

Quels sont les buts principaux du profileur criminel par rapport à l’enquête ?

A

organiser les renseignements liés à l’enquête

comprendre le comportement,
la motivation et les traits de la personnalité du délinquant.

ET AUSSI

De comprendre le mieux
possible la cause du crime, de même que
la dynamique de la scène
de crime

structurer cette compréhension pour la considération et le bénéfice de l’équipe d’enquête

Déterminer ales caractéristiques d’un délinquant et le
choix des stratégies et des techniques d’entrevue pertinentes

, l’approche à éviter avec un délinquant en particulier.

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6
Q

de quelles informations ils peuvent se servir ?

A
tels les empreintes digitales,
l’ADN,
 l’information sur l’arme ou les éléments laissés par
l’auteur du crime
 renseignements comportementaux
comme son modus operandi
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7
Q

Quelles sont les informations que peut retirer un profileur Grâce aux observations comportementales tirées de la dynamique
de la scène d’un crime

A
degré
d’intelligence, 
la motivation,
 la compétence et
 l’expérience criminelle
du délinquant
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8
Q

qu’est-ce qu’indiquent Les statistiques nord-américaines sur les crimes concernant la proximité entre la victime d’homicide et celui ou celle qui le commet ?

A

. Les statistiques nord-américaines sur les crimes
indiquent que près de 84 % de toutes les victimes de meurtre sont
tuées par une personne qu’elles connaissent, incluant les membres de
la famille, d’autres parents, les amis, les connaissances plus ou moins
étroites ou les partenaires sexuels

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9
Q

En règle générale, un enquêteur devrait étudier la motivation sexuelle dans quel contexte ?

A

En règle générale, la motivation sexuelle devrait être examinée
et évaluée avec soin dans les cas où la victime est une femme et lorsqu’il
n’y a pas d’autre motif clair ou probable.

Outre le sexe de la victime,
l’âge, la position du corps, la pose dans laquelle le corps se
trouve, le désordre, l’enlèvement partiel ou complet des vêtements,
l’évidence ou la probabilité d’activité sexuelle, toute indication dénotant
l’intérêt du délinquant pour une région sexuelle du corps, la vraisemblable
présence de liquides organiques y compris la salive ou
l’insertion d’objets étrangers dans les cavités du corps indiquent tous
la présence probable d’une motivation sexuelle

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10
Q

Quel élément l’une des
indications les plus fiables d’expérience criminelle.

Qu’est-ce qu’on peut aussi analyser pour le déterminer ?

A

Le contrôle de la victime par le délinquant

Il est important de déterminer le niveau d’expérience que le suspect
démontre lors de la commission de son crime.On peut répondre à
cette question après avoir examiné les actions qu’il aura prises afin
d’assurer la réussite de son crime, dissimuler son identité et faciliter
sa fuite.

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11
Q

En règle général, quels choix feront les cirminels pour disposer d’un corps ?

A

En règle générale, les gens choisiront
ce qu’ils connaissent, ce qui leur est familier ou ce qui s’offre à
eux.

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12
Q

Différencier mutilation défensive vs mutilation offensive

A

mutilation « défensive » :le démembrement d’un corps visant
simplement à en faciliter l’éliminationdes « éléments de preuve » ou de protéger
son identité en rendant plus difficile l’identification de la victime.

La mutilation « agressive » en règle générale vise le visage de la victime,
ses oreilles ou ses parties génitales. De façon caractéristique,
elle est la continuation de la rage qui habitait le meurtrier

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13
Q

à qui doit-on doit la première classification
dichotomique pour tracer le profil de l’auteur d’un crime :
« organisé » versus « désorganisé » (

A

C’est à Ressler et ses collègues

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14
Q

Différencier les caractéristiques d’une scène organisée vs désogarnisée

A

ORGANISÉE

niveau de contrôle manifesté sur la scène,

la soumission de la victime,

l’usage de liens,

la présence de gestes de torture avant
la mort,

des scènes multiples et l’absence d’élément de preuve

DÉSORGANISÉE
Ce qui caractérise une scène de crime « désorganisée » ce sont les
actes commis sur la victime après sa mort, son corps laissé à la vue, le
désordre et la confusion sur la scène, la spontanéité de l’acte et la présence
d’actes sexuels post mortem (

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15
Q

Différencier le portrait socio-économique d’un individu organisé vs désorganisé

A

ORGANISÉ

Généralement, un individu organisé démontre un niveau
d’intelligence normal ou supérieur et des compétences sociales adéquates.
Il occupe habituellement un emploi et peut avoir une vie
conjugale et familiale en apparence normale.

DÉSORGANISÉ

Dans la plupart des
cas, cet agresseur a un lien avec la victime. L’individu désorganisé est
généralement solitaire, célibataire, peu scolarisé et socialement
incompétent. Il a une faible estime de lui et souffre souvent de troubles
mentaux.

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16
Q

Définissez le maquillage d’une scène de crime

A

On parle de maquillage d’une scène de crime (« staging ») lorsqu’un
individu altère, à dessein, une scène avant l’arrivée des policiers
(

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17
Q

Quelle est la principale motivation d’un individu à maquiller une scène de crime ? et que peut-on conclure lorsque la scène est maquillée ?

A

La principale
motivation pour un individu de maquiller la scène de crime est la
volonté de diriger l’enquête dans une direction qui l’éloigne comme
suspect. Dans ce cas, l’agresseur qui est à l’origine de la mise en scène
sera la plupart du temps quelqu’un qui est en relation avec la victime
ou près d’elle.

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18
Q

Il existe certains indicateurs qui aident à déterminer si une scène de crime a pu être maquillée, quels sont-ils ?

A

individuellement. Le point
L’entrée du suspect est-il logique, compte tenu de la présence d’autres
accès beaucoup plus faciles ?

Y a t-il des objets de valeur qui étaient à
la vue et qui n’ont pas été dérobés ?

Le suspect a-t-il choisi une résidence
visiblement occupée, plutôt qu’une autre où les résidents
étaient absents ?

Y a t-il absence d’indice d’agression sexuelle lors de
l’autopsie ?

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19
Q

quels sont les 3 principaux types d’approches des agresseurs sexuels ?

A

L’approche subterfuge (« con ») est une ruse que l’agresseur utilise
pour entrer en contact avec la victime. Il peut lui offrir ou lui
demander de l’aide pour s’en approcher et gagner sa confiance :
« Pardon madame, pourriez-vous m’indiquer où se trouve la rue

L’approche éclair (« blitz ») est celle où la victime n’a pas le temps
de réagir ou de négocier verbalement avec l’agresseur. L’emploi
de la force est immédiat et cause des blessures à la victime

Dans l’approche surprise (« surprise »), l’agresseur peut surprendre
la victime lorsqu’elle est dans son sommeil, se cacher
derrière la banquette de sa voiture, la surprendre dans une
ruelle ou un boisé. Pour

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20
Q

Quelles sont les éléments principaux pour déterminer la motivation d’un agresseur sexuel ?

A

La force
niveau de violence utilisés

sont des éléments clés pour déterminer la motivation
de l’agresseur.

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21
Q

Décrivez les 3 types de résistance que peut offrir une victime d’agression sexuelle ?

A

Lorsque la victime refuse d’obéir mais qu’elle ne se défend pas et
ne crie pas, il s’agit d’une résistance passive.

Lorsqu’elle se met à
crier, à le supplier de ne pas l’agresser ou qu’elle tente de négocier, il
s’agit d’une résistance verbale.

Lorsqu’elle frappe son agresseur ou
qu’elle tente de lui échapper, il s’agit d’une résistance physique.

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22
Q

Quel est l’un des aspects les plus révélateurs

pour comprendre la motivation de l’agresseur sexuel ?

A

L’élément verbal est certainement l’un des aspects les plus révélateurs
pour comprendre la motivation de l’agresseur.

DONC

préciser avec la victime ce que l’agresseur lui a dit et comment
il l’a dit. Sur quel ton et avec quelle attitude ? L’a-t-il complimentée,
se préoccupe-t-il de son confort ou est-il arrogant, voire dégradant ?

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23
Q

Quelles sont les quatres principaes motivations d’un agresseur sexuel ?

A
Quatre principales motivations sont identifiées : 
1) le besoin
de rassurer sa virilité ; 
2) le désir d’assurer son pouvoir ; 
3) la vengeance
; 4) le sadisme sexuel.
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24
Q

Décrivez l’agresseur visant à se rassurer dans sa virilité

A

L’agresseur qui cherche à se rassurer dans sa virilité utilise
généralement un niveau de force variant de minimal à modéré. Verbalement,
il est poli et s’excuse pour ce qu’il fait. Mais il s’agit généralement
d’un faux altruisme. Son rayon de chasse se limite
habituellement à sa zone de confort.

===L’agresseur a l’intention de profiter de l’agression comme s’il
était l’amoureux de la victime. Il n’est pas nécessairement excité par
le fait d’utiliser la force pour satisfaire ses pulsions sexuelles, mais il
obéit à ses fantaisies sexuelles

===Très souvent, ce type d’agresseur pratique le
voyeurisme comme mode de prédation. Il commet ses agressions en
utilisant le pouvoir et le contrôle sur la femme. L’usage de moyens
coercitifs, dont la force physique, le rassure dans sa virilité.

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25
Q

Décrivez l’agresseur qui désire assurer son pouvoir ?

A

Ce type d’agresseur n’a aucun doute sur sa masculinité. On le
qualifie de « macho » au sens propre du terme. L’agression sexuelle lui
permet d’exprimer sa virilité et sa dominance sur les femmes. Il
n’accorde aucune attention à sa victime et n’éprouve aucun remords.
Pour lui, la femme n’est qu’un objet qu’il utilise pour son bénéfice personnel.

d’opportunité. Il utilise généralement
un subterfuge comme approche et un niveau de force variant de
modéré à excessif. Ses victimes sont habituellement dans son groupe
d’âge.

Les agressions surviennent n’importe où, en autant que
l’endroit lui convienne et lui paraisse sécuritaire. Il

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26
Q

Décrivez L’agresseur qui souhaite se venger

A
impulsif, 
 extrême violence.
 l’agresseur où les fantaisies
sexuelles sont peu présentes. 
Ses motivations sont la rage et la
vengeance.
 Il déteste les femmes et utilise le sexe comme une arme
pour les agresser, les punir et les dégrader. Le niveau de force utilisé
est brutal. 

ne prémédite pas son crime et, par conséquent, ne
sélectionne pas sa victime.
Il la surprend avec une approche éclair où elle n’a aucune
chance de résister.

Elle est habituellement
plus âgée que lui. Elle symbolise pour lui une autre femme – ou
l’ensemble des femmes – qui représente pour lui la source de tous ses
problèmes.

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27
Q

Décrivez l’agresseur sadiste sexuel

A

ce trouble consiste
à infliger à une autre personne une souffrance physique ou psychologique
dans le but d’obtenir un état d’excitation sexuelle, que

Le niveau de force employé est brutal. Les blessures infligées
causent souvent la mort de la victime. La plupart du temps, la victime
est une inconnue.

choisi. Parfois,
ce type d’agresseur se construit un donjon dont il se sert pour y
séquestrer ses victimes et assouvir ses fantaisies sexuelles à sa guise
et de façon répétée durant des heures et parfois des jours

torture. L’utilisation
d’outils qu’il a pu fabriquer lui-même fait partie de son rituel.
Souvent, il photographie ou filme les agressions.

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28
Q

Est-ce que le profilage criminel est efficace ? Argumentez à l’aide des statistiques

A

les profils réalisés par les profileurs criminels sont
relativement précis (plus de 70 % des informations sont exactes) et
qu’ils permettent parfois d’identifier le suspect, voire de l’accuser

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29
Q

Décrivez la place du profileur criminel en tant que témoin expert.

A

DE PROFILEUR CRIMINEL À TÉMOIN EXPERT
Tant aux États-unis qu’au Canada, il est rare qu’un profileur
criminel soit reconnu comme témoin expert

témoignage quant à la
reconstruction de la scène de crime (R. v. Clark). La tendance qui est
présentement observée est que le témoignage relatif à la motivation
derrière un crime n’est pas admissible comme preuve à la Cour

MANQUE DE FIABILITÉ SCIENTIFIQUE

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30
Q

Selon le texte de Beauregard, celui-ci rapportant els études récentes en la matière, quel serait le pourcentage d’agression sexuelle ne seraient pas fondés.

A

On estime entre 2 et 10% des crimes sexuels ne seraient pas fondés. La meilleure estimation se situerait à 7%

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31
Q

quels sont les critères utilisés par les policiers pour déterminer le fondement des allégations des victimes

A

Se basent trop sur des critères stéréotypés

1) L’aveu. La plaignante admet que ses allégations sont fausses, se rétracte, et fait
une déclaration (écrite ou enregistrée) à cet effet. Il importe toutefois de préciser
qu’une rétractation ne signifie pas automatiquement que les allégations ne
sont pas fondées (Raphael, 2008).
2) La preuve. Les faits rapportés par la victime sont contredits par des preuves
scientifiques, un examen médical ou un témoin indépendant.
3) La crédibilité de la victime. On peut mettre en doute le fondement d’une allégation
d’agression sexuelle s’il y a évidence que la victime souffre d’un trouble
délirant ou si elle fait des allégations pour une raison spécifique et inappropriée
(Williamson, 1996)

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32
Q

Quelles sont les raisons pour faire de fausses allégations d’agression sexuelle

A

1) Servir d’alibi / se sortir d’une situation embarrassante et sauver la face;
==Une aventure extraconjugale;
- Crainte d’être enceinte / ITS;
- Peur de la réprimande;
- Autres raisons pour sauver la face (perte
d’argent, accident d’auto, fugue, etc.).

===Dans cette catégorie, le présumé agresseur est identifié
une fois sur deux par la plaignante.
  2)  La  vengeance; 
Par haine/frustration/vengeance;
 Suite à un rejet (réel ou non).

===Le présumé agresseur est toujours
identifié par la plaignante

et 3) Les problèmes psychologiques, notamment le besoin d’attention.

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33
Q

Déterminer les critères qui sont fréquemment reliés aux fausses allégations et confirmés par l’Étude de St-Yves et Beauregard ?

A

Ainsi, cette étude a permis d’observer que des allégations d’agression sexuelle présentent plus de probabilités d’être non fondées lorsque la présumée victime était intoxiquée au moment des faits; qu’elle rapporte que l’agresseur est un inconnu (ou qu’il y avait plusieurs agresseurs), que la description de sa taille est imprécise; que celui-ci s’est dévêtu partiellement ou en entier; qu’il a pénétré (ou a tenté de le faire) la victime, qu’il a éjaculé (peu importe que l’on retrouve ou non des traces de sperme); que l’agression a duré plus d’une heure.

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34
Q

Quel type d’enquête est la plus difficile à réaliser ?

A

L’enquête d’incendie
===De par sa nature, l’incendie détruit les preuves. Le
mobile devient parfois l’unique preuve.

C’est ce que
vise l’interrogatoire de police. Permettre
à l’auteur d’un crime de raconter
pourquoi il a poser un tel geste, puis de
trouver une manière plus acceptable à
ses yeux de l’explique

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35
Q

QUelles sont les principales motivations pour commettre un incendie criminel et quelles sont les motivations les plus fréquentes ?

A

Psychologique (50 à 60%)
===Comportemental
-vandalisme (méfaits, feu de poubelles : généralement innofensif mais peut parfois mener à un incendie plus sérieux)
-sentiment de pouvoir : se sentir puissant dominant
-sensation forte, excitation : l’arrivée des pompiers, ambulances excitent ces individus là.
-recherche d’attention : la médiatisation renforce ce sentiment
-Désordre mental

===Émotif
Vengeance
haine
jalousie

Économique (15 à 20%)
fraude
spéculation
compétition

Criminogène (15%)
intimidation
extorsion
camoufler un crime (ex. : une agression sexuelle)

Social (5%)
révolte 
émeute
conflit social
croyance extrémiste
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36
Q

Pourquoi il peut être intéressant d’étudier le premier crime d’une série

A

Le premier crime est souvent intéressant puisqu’ils sont sans expérience, nerveux et donc nécessité de contrôler le plus de choses possible donc commettent un crime proche de chez eux. Ensuite, ils vont plus loin pour diminuer les doutes, encore plus loin lorsque la zone de confort s’aggrandit.

====On enquête de la même façon en crime sériel (on observe la série, surtout le premier, on recherche les erreurs commises puisque le criminel devient de plus en plus à l’aise)

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37
Q

Quelles ont été les principales démarches effectuées afin de lancer le profilage criminel ?

A

-ENTREVUES AVEC DES VICTIMES, POUR RELEVER LES
PARTICULARITÉS COMPORTEMENTALES DE LEURS
AGRESSEURS

– ENTREVUES AVEC DES CRIMINELS CONDAMNÉS AFIN DE
COMPRENDRE LEURS MOTIVATIONS ET D’EN ÉTABLIR DES
PROFILS

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38
Q

quelles sont les limites du profilage criminel ? Quels genre de de dossiers sont difficiles à analyser ?b

A

fonctionne bien sur crime violent ou potentiellement violent

doit être un crime non résolu (par exemple, appelé juste pour obtenir confession

Toutes les pistes d’enquêtes doivent être épuisées

c’est une OPINION : basé sur l’expérience, la formation et donc la recherche effectuée
On ne pourrait dire que c’est une science (fiable à 85%)

-Cause de décès indéterminée;
• Victime inconnue;
• Peu de comportements significatifs

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39
Q

Avec qui les profileurs peuvent être amenés à collaborer afin d’amener une expertise croisée et donc plus fiable ?

A

Les profileurs criminels de la S.Q.
travaillent de concert avec les
psychologues judiciaires et les
polygraphistes

40
Q

Identifier les étapes effectuées par un profileur dans son processus de réflexion

A

Étapes de l’analyse

  • Identifier les comportements significatifs
  • Se former une opinion sur ces comportements
  • Reconstruire la séquence des évènements
  • Déterminer quel type d’individu aurait pu commettre ce crime (et non une personne)
  • Stratégies d’enquête
  • Se démarquer des enquêteurs avec une approche différente
41
Q

expliquez en quoi le fait d’effectuer la victimologie est particulièrement important

A

-Sert à déterminer le degré de risque
associé à cette victime;
• Aide à déterminer la motivation du
crime;

AUSSI IMPORTANT que la scène de crime (50% avec la scène de crime)

42
Q

Donnez la définition d’un homicide et aussi tous les sous-types d’accusation existantes lorsqu’il y a la mort d’un individu.

A

Un HOMICIDE, simplement, c’est le fait qu’un humain tue un autre humain.

1) meutre : minimum de 25 ans
-premier degré : prémédité (on ne parle pas nécessiarment d’un plan élaboré ou longtmeps avant. La jurisprudence détermine cela) ou prpos délibéré
le meutre d’un policier, juge, constable spécial, meutre accompagné d’une agression sexuelle on A PAS à prouver la préméditation
-Deuxième degré : intention, mais non prémédité : il y a un lien de causes à effets entre ce que je fais et la mort et je peux le comprendre

Homicide involontaire (préfère régler hors cours pour éviter un procès)
coupable : sans intention, mais par négligence
non coupable : accidentel ou légitime
43
Q

Quels sont les homicides qui mènent automatiquement à des accusations de meutre au premier degré ?

A

Meurtre d’un agent de la paix, agent milieu
carcéral

– Meurtre commis lors d’une agres. sexuelle,
prise d’otage, enlèvement, séquestration ou
détournement d’aéronef

– Commis en situation d’harcèlement criminel, en
commettant une activité terroriste ou pour le
profit d’une organisation criminelle

44
Q

Pour qu’un meutre soit considéré comme sexuel, il faut au moins un des éléments suivants : quels sont-ils ?

A
  1. La nudité de la victime
  2. L’exposition des parties sexuelles du
    corps de la victime
  3. Le positionnement sexuel du corps de
    la victime
    4.L’insertion d’objet étranger dans les
    cavités corporelles de la victime
  4. Il y a apparence de relations sexuelles
    (orales, vaginales et/ou anales)
  5. la preuve d’une activité sexuelle de
    substitution, d’intérêt, ou de fantasmes
    sadiques (telle que la mutilation des
    organes génitaux)
45
Q

Nommez des caractéristiques des meutriers sexuels

A

-28 ans d’âge moyenne;
• 66% d’entre eux étaient de race blanche
• Plus de la moitié, 57% étaient célibataires,
• Près du quart (23,6%), présentaient des
comportements paraphiliques
-Environ 80% des auteurs de meurtres sexuels
n’avaient pas été condamnés antérieurement
pour des crimes de nature sexuelle.*

46
Q

quelles sont les caractéristiques des victimes des meutres sexuels.

A
• Âge moyen: 27 ans;
• 90 % sont de sexe féminin;
• 63% sont de race blanche, mais un nombre
important de victimes sont d’origine
autochtone (33%);
• Plus du tiers des victimes avaient des
problèmes de consommation d’alcool (38%)
alors que plus du quart abusaient des drogues
(26%).
-81,1% étaient des victimes
sélectionnées aléatoirement;
47
Q

quelle est la place des armes dans les homicides sexuels ?

A

Le meurtrier a utilisé une arme dans 60,6% des
cas
43% du temps des armes d’opportunités

L’arme la plus fréquemment utilisée fut le
couteau (37,1%),

48
Q

Quels sont les éléments qui peuvent agir comme des désinhibiteurs pour les pédophiles

A

alcool,
distorsions cognitives,
affects négatifs (c’est une façon de négocier avec la colère, la tristesse pour eux)

49
Q

Selon le modèle de Groth, 3 motivations pour les agressuers (une est prédominante)

A

Colère : plus impulsifs, laisse plsu de traces sur la scène de crime ou sur L,individu
Pouvoir : dominer, humilier. Sont beaucoup plus organisés, ont un plan.
Sexualité : Certains sont vraiment préparés, amènent des accessoires. Ils s’excitent en rejouant le scénario dans leur tête.

50
Q

Marshall et Barbaree (1990) ont dit que la propension à commettre un viol résulte
des effets additifs et interactifs de l’un ou
plusieurs facteurs:

A

Une préférence pour les activités sexuelles
coercitives;
– Une personnalité antisociale (avec hostilité et
manque d’empathie);
– Des facteurs biologiques (endocriniens,
neurologiques);
-trisomie qui rend plus impulsifs, répercussiosn dans leurs organismes et leur comportements.
XYY : PEut prédisposer à des crimes violents, mais AUCUN LIEN clair entre ces rares anomalies génétiques et les agressions sexuelles.
XXY : souvent un retard de développement physique (organes génitaux), mais aussi un retard psychologique notable. Encore une fois, pas de lien clair avec les agressions sexuelles.

divers traumas, lésions peuvent ensuite affecter la psychologie ainsi que les actions de l’individu

– Des désinhibiteurs transitoires (affects
négatifs, alcool, pornographie);
– Des distorsions cognitives.

51
Q

Selon Knight et Prentky (1990), il existe 4 types de violeurs, quels sont-ils ?

A

PAS LES MÊMES TYPES DANS LE TEXTE À LIRE

Opportuniste (souvent des problèmes psychiatriques, très soudain comme agression. Pas très organisé comme prédation)
Coléreux
sexuel (sadique) : plaisir à faire du mal : agresseurs plus ritualisé. PEut être fiché pour avoir fait ce genre de crimes auparavant et enregistré dans le SALVAC)
VIndicatif : Aussi un crime colérique, mais désir de vengeance. Le sexe comme arme. On peut catalogue l’agresseur et on peut rechercher ensuite des liens entre la victimie et l’agresseurs ou non

52
Q

Si l’on avait à nommer des caractéristiques plus souvent reliées au school shooter, quelles seraient-elles ?

A

famille éclaté
solitaire
bullying
25% ont des antécédents psychiatriques (éléments moteurs dans le passage à l’acte)
sensible à l’humiliation et aux blessures narcissiques
Bref, souvent moins populaires, donc moins de ressources et moins de moyens de pouvoir désamorcer cette colère.

AUCUN PROFIL TYPE
on a des caractéristiques qui se retrouvent plus souvent chez ces personnes, mais pas de portrait clair donc difficile à dépister.

53
Q

Nommez les caractéristiques d’un environnement à risque de tueries de masse

A

Déni
pas de coordination
tolérance à outrance
préoccupé à outrance par la confidentialité
===La plupart de ces individus ont fait l’objet de préoccupations ou d’interventions
ILS NE SONT PAS INVISIBLES.

peur de l’impact sur la réputation de l’établissement (étouffe ces interventions, le régler à l’interne).

54
Q

VRai ou faux MALGRÉ TOUT, seulement 10% des scènes de crimes sont solutionnées grace à une expertise en scène de crime

A

VRAI : La plupart du temps : individu qui confesse ou bonne description des témoins

55
Q

Quels sont les spécialistes qui travaillent surtout sur les scènes de crime en incendie ?

A

ingénieurs et chimistes travaillent sur ces scènes de crimes.

56
Q

En quoi la mémoire du témoin est aussi une scène de cirme ?

A

formuler des questions d’une manière particulière (faux souvenirs)
Il faut des questions NEUTRES et OBJECTIVES

Donc on peut aussi contaminer la mémoire d’un témoin

57
Q

Expliquez en quelques points clés le processus d’investigation de la scène de crime en incedie crim

A

Retrouver les points d’Origine de l’incendie
déterminer la cause de l’incendie
recueillir les preuves
donner des pistes d’enquête

58
Q

Expliquez rapidement le processus d’enquête en scène d’incendie

A
déterminer s’Il y a crime ou non
recueillir et analyser les infos
trouver le mobile 
identifier l’auteur (profil)
recueillir la preuve (l’aveu) et la présenter.
59
Q

Donnez des exemples de L’utilité du profileur criminel

A

Support en enquête pour amener des débouchés, prioriser un suspect. C’est une unité externe
C’est détermner la personnalité d’un criminel, on cherche donc à comprendre comment il va commettre son crime en fonction de cette personnalité.

On Cherche aussi à publiciser ce profil afin de susciter l’aide du public.

Permet de donner de l’élan à l’enquête lorsqu’il n,Y a pas de suspects

60
Q

Donnez des exemples de champ d’expertise des profileurs criminels et mentionnez celui qui est le plus sollicité ?

A

Profil de suspect inconnu
évaluation de menance
assistance en interrogatoire
analyse liens de crime sériels

branche la plus sollicité : analyse de déclaration; appel au 911 (évaluer la crédibilité des témoins, plaignant)
profilage géographique (déterminer le lieu de résidence ou un point d’ancrage important)

61
Q

NOmmez de motivations pour commettre un homicide

A

Financier : Police assurance; héritage
À caractère sexuel : agression sexuelle et ensuite peur de dénonciation donc meurtre

Facteurs émotionnels : colère, jalousie, vengeance, haine

auto-protection : pris en flagrant délit, éliminer un témoin, éliminer un informateur potentiel, etc.

apparament sans motif : étranger envers un autre étranger, erreur d’identité.

62
Q

Le tueur a quatre options lorsqu’il déplace un

corps de sa position d’origine, quelles sont-elles ?

A

Caché, dissimulé, enterré
– Exhibé, exposé, mettre en évidence
– Jeté
– Scène maquillée

63
Q

Un tueur qui déploie beaucoup d’énergie afin de

s’assurer que le corps ne soit pas retrouvé le fait pour quelles raisons ?

A

Par autoprotection. Doit le déplacer du lieu du meurtre, car il
est intimement relié à la scène.
Il juge que le délai avant de localiser le corps lui sera
bénéfique au niveau de la création de son alibi et de la
destruction des preuves le reliant au crime. De plus, un
dossier sans corps réduira ses chances d’appréhension

64
Q

Pourquoi laissé un corps exposé,

non dissimulé?

A

Le corps sera placé dans une position dégradante pour
choquer ou humilier. Aucune considération pour la
victime (vengeance-sadique)

Le tueur considère la victime ou les proches de sa
famille. Il le laissera à la vue malgré son crime et
pourrait même le recouvrir par respect ou culpabilité.

65
Q

Pourquoi jeter un corps lorsque

le tueur en dispose?

A

Il ne tire pas avantage du délai que procure sa
dissimulation

Il n’a aucune considération pour la victime, pas de lien

Il est désorganisé: peu intelligent, intoxiqué, impulsif
ousouffre de troubles mentaux.

66
Q

Expliquez les effets de CSI sur les mythes concernant la profilage criminel

A

Une crime ne se règle pas en 1h, beaucoup de collaboration sur parfois des mois
beaucoup de mandats à obtenir

Travail en arrière-scène (pas de perquisition, entrevue ou même communication avec les médias)

C’est un travail de SUPPORT en enquête. Ils ne sont pas forcément impliqué dans les enquêtes

67
Q

à quel sexe sont plus souvent reliés les crimes pussionnels et passionnels ?

A

Crimes PASSIONNELS et Crimes PULSIONNELS : dans 95% des cas, ce sont des hommes.

68
Q

Expliquez en quoi la théorie de l’abuseur abusé n’explique aps très bien le comportemnet des agressuers sexuels

A

Théorie fragile : on peut faire des liens avec des abus sexuels passé pour une minorité des abuseurs seulement
Même pourcentage d’abus sexuel chez d’autres criminels : vols à mains armés, homicides, etc.
BREF, PAS D’ÉQUATION DIRECTE entre abus sexuel et agression sexuelle future.

69
Q

Expliquez ce qu’est la congruence émotionnelle chez les pédophiles ?

A

La congruence émotionelle : sentiment de pouvoir et de contrôle avec les enfants, mais infériorité avec les adultes : manquae d’habiletés sociales, difficultées à entrer en relation avec les adultes.
Et donc sexuellement aussi

70
Q

Nommez des paraphilies sexuelles

A

Fétichisme
Transvestisme
pédophilie (enfant donc pré-pubère : le fait d’être perturbé fait en sorte qu’on est un pédophile, pas le fait de passer à l’acte)
exhibitionnisme (crime sexuel très peu dénoncé)

71
Q

Autre que els motivations de vengeance, recherche d’attention et ne pas perdre la face donnez d’autres motivations pour faire des fausses déclarations d’agressions sexuelel

A

Autres motivations
gains financiers (indemnisation, soins gratuits, chantage)
Trouble psychotique, délirant
Faux souvenirs-syndrome de la mémoire retrouvée

72
Q

À quel âge le risque de commettre des actes violents est le plus élevé, diminue-t-il par la suite ?

A

l’âge ou le risque d’actes villents est le plus élevé se situe à 16 ans. (augmentation considérable à 13-14 ans et diminution à 17-18 ans. On cesse généralement d’être violent à 21 ans. STATISTIQUEMENT, le risque d’être violent si on ne l’a jamais été avant 25 ans, risque TRÈS FAIBLE.

73
Q

Vrai ou faux : les tueries de masse sont un acte spontanné ?

A

FAux : Les tueries sont RAREMENT un acte impulsif : DONC, un processus peut être désamorcé.

74
Q

Quel est généralement le processus mental menant à ces attaques ?

A

PROCESSUS : idée-plan-moyens-attaque
Idée : 2 semaines avant l’acte
plans : 75% du temps : au moins deux jours avant l’acte
motivation : 50% : vengeance, mais beaucoup pour de multiples raisons.

75
Q

Vrai ou faux : généralement personnes ne savaient que L,individu pourrait commettre un tel acte

A

FAUX : La plupart du temps, d,autres personnes savaient
Souvent des amis, étudiants, membres de la fratrie. PLUS RAREMENT DES ADULTES savaient à propos des idées ou du plan.

La plupart du temps, les auteurs ne menace par DIRECTEMENT (seulement 25% le font) leurs cibles
il s’agit parfois de menace indirectes (il va apporter un pistolet à l’école)

76
Q

Quelles sont les solutions pour éviter de future tueries de masses ?

A

faciliter les moyens pour rapporter ces renseignements et créer un point de chute (entendre des informations et pouvoir les rapporter et amorcer l’intervention)

Développement de protocole, ressources sur place pour intervenir.

77
Q

VRAI OU FAUX : l’intervention policière est capitale en ce qui à trait aux tueries de masse ?

A

Malgré internvetion rapide, évènement prend fin autrement que par l’intervention policière
dure souvent moins de 20 minutes.

78
Q

Évènements-facteurs précipitants contribuant au passage à L’acte dans les tueries de masse

A
Victime de harcèlement (réel ou imaginé)
Ridiculisé en public (réel ou imaginé)
victime de rejet (réel ou imaginé)
perte relationnelle (amoureuse ou autre)
échec personnel
79
Q

concernant les menances anonymes, que peut-on conclure lorsqu’on sait que ces menances sont très souvent faites de manières impulsives

A

(donc on recherche dans les individus immédiats : ex. refusé dans une université, veut la faire sauter donc on recherche dans les candidats récemment refusés.)

80
Q

Que va-t-on évaluer plus précisément lors de l’évaluation de la menace ?

A

rganisé-structuré vs désorganisé
plus organisé = plus de chances de planifier un acte de prédation violente.
désorganisé : plus impulsifs et imprévisibles
PLanification (qui, comment, quand)
faisabilité (test)
imminence

ANALYSER AUSSI :

contexte (aide à circonscrire la menace)
autres activités récentes de menance ou canulars ?
anniversaire, évènement particulier pour l’expéditeur
ou la cible (ex. : 30e anniversaire de columbine)

motivation : vengeance, extorsion, intimidation
rationelle ou irrationnelle
personnelle ou en relation avec la cible ?
récente ou ancienne

précautions prises par l’auteur (nous permet de déterminer le niveau de sophistications de l’auteur

moyens utilisés pour faire parvenir la menance
traces (empreinte, ADN)

référence faite à propos de la sécuirté des lieux

comportements intrusifs (épier la personne ou connaitre bcp d’informations : démontre un lien personnel
nature du langage menacant (variété ou force du vocabulaire utilisé)
indices de surveillance ou harcèlement
des demandes ?
Escalade; progression de le menance dans le ton-langage utilisé
la cible

intensité, fixation sur la cible (indice d’une pathologie important et présager un passage à l’acte envers la cible)
proximité de la cible

81
Q

Quel est l’Objectif principal d’une équipe de criminalistique ?

A

Trouver de la preuve physique (développement chimique, luminosité, etc.)
T CHE PRINCIPALE : support aux enquêtes et à l’investigation

82
Q

Concernant la criminalistique, quels sont les impacts des émissions comme CSI ?

A

Attente irréaliste : comme si les techniques étaient gratuites et facile avec des résultats instantanés et concluants. (très long comme processus pour analyser une empreinte digitale : 5 personnes qui refont le même processus, va avec la philosophie de notre système judiciaire)

LA RÉALITÉ
-Les analystes criminalistiques sont dispendieuses
prennent du tmeps
-certaines techniques ne sont utilisées que sur certains types de crimes.

Surestimer la possibilité des techniques comme : l’empreinte digitale : ce n,est pas seulement un gros rond noir, il faut les crêtes digitales (les lignes des empreintes)

83
Q

Décrivez le vrai travail en criminalistique qui se résume en deux points principaux :

A

1) protection de la scène de crime
directe : par les policiers
indirecte : par les animaux domestiques par exemple
premier périmètre : fait plus grande que plus petit : éloigner les curieux et le smédias
deuxième périmètre : on veut faciliter le travail des patrouilleurs, techniciens et protéger les éléments de preuves immédiats.
2) exploitation de la scène de crime
rechercher ce qui a pu êre transmis sur le criminel, mais ausis rechercher ce qui a pu être transmis sur le suspect. (principe de Lockart(?))
Les traces de semelels sont les premiers éléments qu’on va essayer de trouver.

84
Q

Décrivez les méthodes pré-criminalistique afin d’identifier des criminels et décrivez certains problèmes qui pvuaient survenir

A

Méthodes pré-empreinte
flétrissure : identifier les récidivistes par le fer rouge
Bertillonnage : prendre les mesures anthropométrique de quelqu’un (s’il grandit, jumeaux = porblème)
Histoire des jumeaux west : même mensuration, mais on prend leur empreinte des années plus tard et elles ne sont pas pareilles

85
Q

Est-ce que els empreintes digitales sont héréditaires ?

A

Empreinte sont en partie héréditaire
Les patrons sont héréditaires
Le type et l’arrangement spatial sont aléatoires
Mouvement du liquide intra-utérin qui forme ces empreintes digitales

86
Q

Comment se forme une cicatrice venant altérer une empreinte digitale ? est-il encore possible de les analuser convenablement ?

A

Éraflures et coupures de surfaces guérissent et la surface revient comme à l’apparence intacte.

Les cicatrices se forment à cause que la coupure atteint la couche basale.
là ou la couche basale N’est pas endommagée, c’est suffisant pour continuer l’identification(épiderme)

87
Q

Expliquez rapidement le cas du premier meutre réglé par utilisation d’empreintes digitales ?

A

Cas de meutre en 1892 (Argentine)

match facile entre les deux et condamnation et la mère des enfants.

88
Q

Il y a 3 niveaux possible d’identification avec les empreintes, quels sont-ils ? A-t-on toujours besoins d’utiliser les trois niveaux ?

A

critères niveau 1 : dessin général
boucles ulnaires et radiales
arc en tente
Arc

Ensuite, caractéristique de niveau deux
deltats
ilots
Pore

aractéristiqueniveau 3
observer les crêtes, les distance entre les ilôts (interprétation risquée)

89
Q

En quoi l’observation des empreintes digitales ne peut pas être fait uniquement par ordinateur ?

A

L’Ordinateur ne peut pas tenir compte des distorsions (cicatrices) de la peau, il donne alors les matchs les plus près et ensuite le technicien va les comparer.

90
Q

est-ce que la comparaison d’empreintes est une technique objective ou subjective ?

A

La méthodologie est objective, mais le fait de prendre la décison finale est subjective.

ossible d’être biaisé (on révise l’empreinte par d’autres spécialistes : généralement 5 personnes vont refaire le même processus)
le contexte dans lequel on trouve une preuve va avoir un impact sur comment on va l’interpréter

91
Q

Nommez plusieurs façons pour laisser des empreintes faciles à retrouver ?

A

Par corrosion
Dépôt de surface
moulage
Transfert de saleté sur al surface

92
Q

Que-stce qui est fondamental pour établir un bon portrait robot ?

A

Entrevue du témoin est fondamentale (ne pas l’influencer, y aller avec des techniques épprouvés pour les entrevues (entrevues cognitives) puisque c’est personne sont souvent sur le choc)

93
Q

dans une enquête et en tant que technique criminalistique, quelle est la principale utilité de la reconnaissance faciale ?

A

permettre d’avoir un choix de candidat. Après le travail de repérage facial, on conclut à beaucoup de conclusions. On établit des probabilités que ce soit la même personne.

94
Q

expliquez la technologie luminol ?

A

Spécifique à l’éclairage du sang.
le luminol réagit avec le fer dans l’hémoglobine qui est excité. La lumière se créer par la libération d’un photo
Luminol réagit avec des quantités infimes de sang.
BCp de faux positif avec le luminol : faire très attention.
On a d’autres tests ensuite pour déterminer s’Il s’agit vraiment de sang. Le luminol ne sert à détecter

95
Q

Comment peut-on faire des matchs par ADN ?

A

99% de l’ADN est pareille entre les individus, le 1% différencie les individus. Ce sont les GÊNES qui nous permettent d’identifier un individu. on regarde les répétitions dans L’adn afin de repérer un match. On regarde la séquence de L’ADN.
Au niveau criminalistique, on identifie 13 séquences ce qui limite les chances d’avoir une erreur et d’avoir le même arrangement.

ADN : besoin d’une cellule pour pouvoir identifier un code génétique, mais ensuite c’est de déterminer lequel est pertinent à la scène, beaucoup d’ADN présent sur les surfaces (ex. : cellules de peau morte)