cours 13 Flashcards

1
Q

qu’est-ce que la philosophie de la sûreté du québec, leur résilution en situation de crise ?

et la police de New York ?

A

c’est une résolution par psychociation que des négociations.
-On peut même communiquer avec n’importe qui dans n’importe quel état mental.
___________________–

C’est le slogan : talk to me : priorités sur al communication pour arriver à une situation pacifique

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2
Q

profil des auteurs de situations de crises ?

A

-Hommes troubls mentalement (dépressifs, suicidaire et ou intoxiqués)

Antécédents psychiatriques CONNUS (53%), antécédents sucidaires connus (78%),

-varricadés seuls avec une arme à feu dans un contexte domestique

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3
Q

quel est le cheminement d’une situation de crise ?

A
  • Appel logé au 911
  • Premiers répondants arrivent sur les lieux et évaluent la situation
  • Si menace suffisante, la structure du GI est déployée
  • Arrivée du GTI, des négociateurs et du soutien technique
  • Fin des préparatifs du GTI et relève des premiers répondants
  • Les négociateurs entrent en contact avec l’individu (se fait généralement pas téléphone : exposé à aucun risque)
  • L’individu est maîtrisé

PROCESSUS TOTAL POUVANT DURER : 7h00 environ et 4h00 entre l’établissement de la comm. et la maitrise de l’individu

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4
Q

Combien de situation se terminent par une résolution pacifique ?

Quelle es tla suite des choses pour ces individus ?

A

86% des situations (7% se terminent par décès : souvent l’individu était décédé avant l’arrivée de la police)

L

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5
Q

et les interventions avec les individus dit non perturbée, quels sont les motifs ?

et la méthode de négociation ?

________________________
La différence avec les individus perturbés ?

A
  • Motifs rationnels, buts précis
  • Otages servent à faire des demandes substantielles
  • C’EST DONC DANS LEUR INTÉRÊT DE NE PAS BLESSER LES OTAGES

-Négociation standard, mode de négociation commerciale :

CE QU’IL FAUT FAIRE :
-Employer une grande visibilité;

§ Montrer les bénéfices d’une reddition plutôt que de résister

§ Gagner du temps (augmente les besoins primaires, permet de collecter
des renseignements, réduit les attentes du sujet);

§ Ne pas porter trop d’attention aux otages, cela leur confère plus de
pouvoir pour négocier;

§ Éviter de lui faire perdre la face.

____________________
Actes émotionnels sans but précis, souvent
autodestructeurs. Motivés par la colère, dépression, etc.; C’est improvisé

En état mental perturbé, la première chose qui est grandement affectée c’est le jugement de la personne

§ Pas de demandes précises ou réalistes;
§ S’attaquent à une personne avec l’intention de la blesser ou
la tuer.

CE QU’IL FAUT FAIRE :

-Stratégies peu visibles;

§ Patience, attitude non menaçante, sans jugement.
Évitement de la confrontation. Souvent très méfiant;

§ Donner un peu sans attente de retour;

§ Utiliser des méthodes d’écoute active pour atténuer
les émotions, lui permettre de devenir plus rationnel;

§ Introduire des solutions non violentes et rassurantes;

§ Éviter de lui faire perdre la face.

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6
Q

Qu’est-ce que Schlossberg pro^nait pour avoir une meilleur communication avec les persones en situation de crises ?

A
  • Il faut bien comprendre la nature de la maladie mentale, son mode de fonctionnement afin d’ajuster sa communication avec la personne.
  • C’est comme apprendre une langue.
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7
Q

Quel est le processus suicidaire ?

et le but de notre intervention dans ce processus ?

A

1) recherche actives de solutions inadéquates (changement dans le comportement)
2) FLash : Première apparition de l’idée de suicide (message verbaux indirects)
3) Idéations : idées de suicide plus fréquents (baisse de l’estime de soi, sentiment d’inadéquation
4) ruminations : angoisse, pense tout le temps au suicide (message verbaux directs)
5) Cristallisation : suicide retenue comme solution, élaboration d’un plan, ou, quand, comment

BUT : de lui redonner seulement un peu d’espoir, pas nécessairement de lui redonner une joie de vivre. De faire un pas en arrière dans le processus suicidaire.

IL FAUT TOUJOURS PRENDRE UNE SITUATION OU ON NOUS PARLE DE SUICIDE AU SÉRIEUX.

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8
Q

quels sont les indicateurs d’un suicide imminent ?

A

1) L’hypervigilance. La personne balaie de gauche à
droite avec sa tête (d’une épaule à l’autre), signe
qu’elle est en détresse et qu’elle maintient une
attitude fataliste

2) Le changement dans le rythme de la respiration.
Les respirations sont profondes. Cela semble lié à la
peur (possiblement de mourir ou de souffrir) que la
personne a du mal à contrôler;

3)Le décompte. Le dernier geste avant de mourir. Les
personnes qui sautent d’une haute structure le fond
souvent avant de faire « le grand saut ». C’est
l’équivalent du 1,2,3, GO! Et du « à vos marques,
prêt… ».

MALGRÉ TOUT, ON PEUT TOUJOURS INTERVENIR MÊME SI LE SUICIDE EST IMMINENT À QUELQUES SECONDES PRÊT : entre autres, en disant STOP, on bloque le processus décisionnel en faisant ça et là on peut débuter à le raccrocher à quelque chose.

« STOP! Je vous entends (ou vois) et je sais ce que
vous êtes en train de faire. Je vous dis d’arrêter
cela maintenant. STOP! Parlez moi. Ne faites pas
cela » (Perrou, 2004 : 235, traduction libre).

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9
Q

les signes d’un suicide by cop imminent ?

et l’intervention suggérée

A
Se barricade suite à une dispute ou rupture
conjugale;
§ Agressivité (verbale/physique) manifeste;
§ Refuse de négocier;
§ Recherche la confrontation / menace;
§ Demande à la police de le tuer;
§ Souvent intoxiqué;
§ Utilise une arme à feu.

___________________

§ Déploiement discret et prudent du
groupe tactique;
§ Lui donner de l’importance, du pouvoir;
§ Ne pas réagir à ses provocations;
§ Lui permettre de ventiler sa colère;
§ Utiliser les techniques d’écoute active;
§ Gagner du temps.

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10
Q

Plus tôt, il a été discuté du cheminement d’une situaiton de crise, mais quel est le processus de résolutions de crise (3 étapes)

quel est le modèle SINCRO ?

A

Phase 1 : La crise
Durant cette phase le contexte est souvent très tendu. L’individu vit et manifeste de fortes émotions. Le négociateur doit bien écouter et favoriser
les échanges pour permettre au sujet de verbaliser et de ventiler.

Phase 2 : La résolution du problème
À ce stade, le sujet ne devrait plus revenir en arrière ni se montrer trop émotif. On doit tout faire pour le garder le plus rationnel possible et pour
l’amener sur un mode de résolution de problème.

Phase 3 : La reddition
C’est l’étape ultime. Parfois très courte. Le sujet est prêt à se livrer aux autorités policières et à faire face aux conséquences de ses actes. Avant de
conclure la reddition, il faut réévaluer le risque de revirement dernière minute (ex : « suicide by cop »);

_______________

Analsye de 500 situations de crises pour déterminer les bonnes et moins bonnes pratiques, les facteurs qui amènent un dénouement positif, négatif, etc.

modèle établie en collaboration avec la police

PHASE 1 : la crise

À FAIRE : 
-Établir un contact et
rassurer l’individu
• Recueillir des
renseignements sur
l’individu (trouble
mental, intoxication,
risque) et sur la nature
du problème
• Évaluer les risques de
suicide et d’homicide
• Construire un lien

L’intervention :

Se présenter mutuellement et l’informer sur le mandat et sur votre rôle.
• Poser des questions ouvertes pour savoir et comprendre ce qui se passe :
– Demander de raconter les événements qui ont précédé la barricade (les dernières 24 h.);
– Demander quels impacts émotionnels ces événements ont eu sur lui;
– Demander si les événements ont débuté quelques jours auparavant ou s’il s’agit d’une crise subite;
• Identifier l’urgence suicidaire à partir de la grille d’évaluation du risque de
suicide (p. 15) ainsi que les facteurs de risque pour un homicide ou une
situation de « suicide by cop » (p. 16).
• Utiliser les techniques d’écoute active (p. 5) pour permettre au sujet de
ventiler (et ainsi diminuer l’intensité de ces émotions)
• Gagner du temps pour induire un comportement plus rationnel.
NE PAS PROPOSER DES SOLUTIONS LORSQUE LA PERSONNE EST EN CRISE, elles sont inutiles

AVANT DE PASSER À L’ÉTAPE 2 : transition entre crise et résolution de problème (s’assurer que l’individu est moins émotif, moins centrée sur lui : l’individu pose des questions, démontre de l’intérêt pour vous ou
pour autrui, se préoccupe de ses besoins primaires

L’ÉTAPE 2 : la résolution de problème (étape très longue)
À FAIRE :

Aider l’individu à
corriger ses
perceptions erronnées
ou déformées
• Identifier avec lui des
soutiens situationnels
appropriés
• Identifier un mécanisme
d’adaptation
pour faire face
(temporairement) au
problème
• Créer de l’espoir

L’INTERVENTION
• Utiliser les techniques de négociation (p. 5) et d’intervention selon le
diagnostic : trouble mental (pp. 12-13), intoxication (pp. 18-24), type de
personnalité (pp. 8-11).
• On peut demander au sujet s’il a déjà vécu une situation semblable par le
passé et, dans l’affirmative, ce qu’il a fait pour s’en sortir. Dans la négative,
le négociateur doit lui suggérer des alternatives et/ou des ressources
disponibles (même si elles ne sont que temporaires) afin de créer de l’espoir.
• Utiliser les exemples personnels auxquels le sujet peut s’identifier. Faire du
renforcement positif et utiliser des analogies et des clichés tels que « un jour
à la fois », « petit à petit », « remonter la pente », etc.

TRANSITION : résolution de problème——-réddition
QUAND :
Le sujet est plus rationnel (ton de voix pausé) et montre des signes de
résignation. Il écoute les consignes du négociateur et pose des questions sur
ce qui va lui arriver.

• Lorsqu’il détient une personne (séquestration ou otage), il n’est plus
menaçant envers elle et ne s’oppose plus à sa libération.

  • Amener le sujet à une plan de rédition
  • Récupérer les victimes de manières sécuritaires

PHASE 3 : la reedition

À FAIRE :

-Permettre à l'individu
de sauver la face
• Obtenir une reddition
non violente
Permettre à l'individu
de sauver la face
• Obtenir une reddition
non violente

INTERVENTION :
• Renforcer le sujet (le féliciter pour son courage) dans sa décision de livrer
volontairement aux policiers. Éviter les solutions humiliantes.

• Informer le sujet sur la façon dont la sortie va se dérouler et s’assurer qu’il
a bien compris les consignes. Demandez-lui de laisser le téléphone en
fonction (« room bug »).

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11
Q

quelles sont les techniques d’écoute active ?

A

§ Encouragement minimal: O.K., Je vois…;
§ Reflet: Reformuler dans vos mots ce qu’il a dit;
§ Identifier les émotions: Mettre des mots sur ses
émotions (cela facilite l’insight);
§ Miroir: Répéter les derniers mots ou l’idée du sujet
facilite la discussion et les rapports;
§ Silence: L’utiliser pour encourager le sujet à parler
et à calmer ses états émotionnels.

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12
Q

pourquoi il est important de gagner du temps ?

A

Cela permet de contrôler la pression et de modifier le rapport de
force par l’accentuation des besoins primaires (manger, boire,
dormir, etc.);
§ Cela permet d’établir un lien et d’induire un comportement plus
rationnel chez l’individu (réduction de l’anxiété);
§ Cela a un effet inverse sur les demandes du forcené;
§ Cela favorise le syndrome de Stockholm;
§ Cela permet d’améliorer la stratégie de négociation et du plan
d’intervention grâce à l’enquête et au renseignement;
§ Cela permet au GTI de réfléchir, d ’analyser les changements
dans le comportement et de déterminer le type de question lui
poser, de consulter des experts, de se sortir de l’embarras, et de
se reposer.

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13
Q

problèmes dans la phase de reedition

A

-Cha cha cha final : la personne doit maintenant faire face aux conséquences et elle peut encore hésiter pendant 1h et peut être même plus

-

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14
Q

quelles osnt les types de demandes des suspects et quoi faire avec ces demandes ?

A
Instrumentales
§ Argent;
§ Véhicule;
§ Avocat;
§ Pas d’accusation/
d’emprisonnement;
§ Etc.
Expressives
§ Besoin de ventiler;
§ Besoin d’attention;
§ Demande de se
faire tirer
§ Etc.

__________

  1. Identifier/clarifier les demandes;
  2. Éviter de suggérer ou d’offrir des demandes;
  3. Toujours référer au «Comité» (toute l’équipe ensemble va décider)
  4. Offrir ce qui a été entendu;
  5. Négocier d’abord pour les otages malades ou
    blessés;
  6. Choisir le moment propice pour faire la
    transaction;
  7. Examiner les options stratégiques/tactiques.
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15
Q

lorsque les techniques de gestion de crise ne fonctionnent pas, que doit-on faire ?

A

Tenter d’autres modes de communication (le portevoix,
par exemple).
2. Respecter le rythme de la crise (revenir à la case
départ s’il le faut).
3. Utiliser une personne intermédiaire (un membre de
la famille, un ami, le médecin ou psychologue
traitant).
4. Faire une pause (pour le laisser se reposer, pour
que l’effet des substances intoxicantes se dissout,
pour qu’il devienne plus rationnel). Peut être une intervention très sécuriaite
5. Tenter « l’effet vacuum ». (Créer des incitatifs pour «l’aspirer»
6. Créer une brèche dans la forteresse (défoncer fenêtre, porte)
7. Être créatif (souvent les meileures interventions sont les plus simples)

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16
Q

et les interventions en technologies : médias sociaux, textos

A

On l’utilise seulement si la personne est à l’aise avec ce mode.

-Les sentiments et l’empathie doivent être
compensés par des mots dans les textos;
-Répondre normalement, dans un français
standard. Les mots contractés ne servent qu’à
gagner de l’espace et à alléger le texte;
-Utiliser des icones simples : :) et :(

17
Q

Quel est le processus d’évaluation des risques ?

A
  • on es réévalue constamment
  • On scanne constamment les facteurs de risques et il en existe une panoplie

Trouble mental
paranoïde/sz = 5x

§ Substances psychoactives (alcool/
drogues)
Otage (7 x risque)
Policiers (2 x risque)

§ Trouble de la personnalité
§ Antisociale / paranoïaque / borderline

§ Lieu du siège
Résidence (the King of the castle)
Travail

§ Nombre de sujets

§ Événement déclencheur / Motivation

1. Risques pour autrui (otages/voisinage/
police)
§ Échelle actuarielle;
§ Données cliniques;
§ Expérience et «gros bon sens».
2. Risque pour lui-même (suicide /
automutilation)
§ Échelle actuarielle;
§ Données cliniques;
§ Expérience et «gros bon sens».
18
Q

quelles sont les 3 types de menaces ?

A

-Menace inconditionnelle

Il s’agit de menaces directes, faites sans
condition, sur lesquelles les policiers
n’ont à peu près aucun pouvoir.
§ Par exemple : « Je vais tuer ce fils de
(…) ». Ce sont les menaces les plus
dangereuses (Strentz, 2006).

Menaces Offensives
-Servent à attaquer dans le but d’obtenir
une réponse à une demande précise. Elles
sont faites par le sujet pour mettre de la
pression sur les autorités policières.

Ex: « Si je n’ai pas ce que j’ai demandé
d’ici 30 minutes, je tue l’otage ».
====Seulement une
personne sur quatre met ses menaces à
exécution, et leurs actions se traduisent
principalement en des bris de matériel sans
incidence pour la vie d’autrui.

Menaces défensives
-Ce type de menace vise à se protéger, à se
défendre sans attaquer. Ce sont les menaces les
plus fréquentes (Strentz, 2006).
Ex : « Si quelqu’un tente d’entrer ici, je le tue ».
§ Ces menaces forcent les policiers à garder une
distance, à respecter « la zone de confort » de la
personne en crise. Cela signifie habituellement que
le forcené gagne du temps pour passer son
message et qu’il cherche une solution honorable
pour sauver la face (Strentz, 2006).

19
Q

quelles sont les indices positifs d’une résolution pacifiques ?

A

Aucun blessé depuis le début;
§ Aucun coup de feu;
§ Un ou des otages libérés;
§ Les délais ont été dépassés sans incident;
§ Individu perturbé exprime le désir de vivre;
§ Individu parle plus longtemps, se confie;
§ Les menaces ont cessé, ton plus calme;

20
Q

POUR LEXAMEN FINAL

A
  • entrevue cognitive
  • question ouvertes, questions suggestives
  • la base du questionnement sur les entrevues de témoins-victimes
  • exemple de quesiton : récit libre et identifier les images mentales sur lesquelles questionner la personne(questions ouvertes, neutres)
  • texte sur L,interrogatoire
  • modèle sur les bonnes pratiques d’interrogatoire
  • technique d’influences
  • détection du menson
  • modèle sincro, la séquece, qu’est-ce qui appartient à chauqe étape,

QUESTION À L’EXAM
-quelles leçons retenues du documentaire (5 et 10 lignes)
-

21
Q

mythes et réalité, santé mentale

A

Mythes
-PErsonnes ayant des maladies mentales sont dangereuses et devraient être enfermées (majoritéd es personens avec maladie mentales ne doivent pas être hospitalisés)

Mythes #2
Personnes aynt des maladies mentales sont nés avec (plusieurs maladies mentales qui ont des prédispositions avant la naissance mais effets arrivent plus tard)

Mythe #3
-personnes ayant des maladies mentales pevuent e^tre facilement guérie (majorité des personnes vont prendre des médicaments pour être régulés mais ne pourront jamais e^tre guéris.