ÉTAT Flashcards

1
Q

Processus d’Helsinki

A

1975

La Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe se réunit à Helsinki de 1973 à 1975.

► Elle rassemble les États-Unis, l’URSS, le Canada et les États européens de l’Est et de l’Ouest, à l’exception de l’Albanie.

► Les accords issus de cette conférence affirment l’inviolabilité des frontières nées de la Seconde Guerre mondiale.

► Ils encouragent la coopération entre les pays et affirment l’obligation de respecter les Droits de l’Homme et les libertés fondamentales.

► Ils constituent le point d’orgue de la Détente.

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2
Q

Crise de l’Etat-providence

A

Identifiée en 1981 par Pierre ROSENVALLON

La Crise de l’Etat-providence

Elle résulte moins de motifs économiques que d’une prise de conscience collective : l’Etat n’est plus si prévoyant.

On reprochera moins à l’Etat-providence ses difficulités de gestion, ses déficits que le fait de ne pas les avoir anticiper.

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3
Q

Débat autour de la pertinence de l’Etat ?

A

Débat ayant 3 dimensions :

► STRATEGIQUE :

  • les Etats sont-ils encore des “gladiateurs efficaces” ?
  • Exemple du 11/09/2001

► ECONOMIQUE :

  • les Etats sont-ils encore capables de réguler “l’économie casino” générée par l’évolution du capitalisme ?
  • Exemple des crises financières de 2009.

► MORPHOLOGIQUE :

  • les Etats sont-ils encore l’objet de désir des populations ?
  • le Brexit ;

Ces 3 dimensions interrogent l’existence d’un “moment machiavélien”.

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4
Q

Empire

A

Définition de Georges-Henri SOUTOU

Organisation étatique, avec un centre reconnu, qui ne repose pas sur une unité d’ordre national, ethnique, linguistique, ou civique mais qui englobe un ensemble varié sous la direction d’une ethnie ou d’un groupe national dominant.

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5
Q

Enjeux de la réactivation de l’Etat voyou ?

A

Réactualise la guerre entre Etats.

Cette forme avait été rendue caduque dans l’histoire stratégique.

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6
Q

Etat failli

A

Cette notion désigne une entité dont les structures gouvernementales sont en échec.

◘ Apparaît pour la première fois en 1992, dans la revue Foreign Policy

◘ Puis Madeleine Albright va la populariser en y faisant référence au moment où les troupes américaines opèrent en Somalie.

◘ L’année suivante, la CIA met en place un groupe d’experts, chargé d’étudier cette question, connu aujourd’hui sous le nom de Political Instability Task Force.

◘ L’Organisation des Nations Unies (ONU) en fait un sujet de préoccupation en 2005.

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7
Q

Etat failli et indicateur

A

◘ Le Fund for Peace a construit un indicateur composé de 12 variables pour tenter de caractériser un État qui ne parviendrait pas à assurer ses missions essentielles, particulièrement le respect de l’État de droit.

◘ Cet indicateur est utilisée pour légitimer une intervention de la communauté internationale, qui serait ainsi autorisée à « reconstruire » les États déficients.

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8
Q

Définition de l’État moderne par Max WEBER

A

Le savant et le politique, 1919

“Il faut concevoir l’État contemporain comme une communauté humaine qui, dans les limites d’un territoire déterminé revendique avec succès pour son propre compte le monopole de la violence physique légitime”.

📜

✘ L’État est l’instrument indispensable de ceux qui visent la détention du pouvoir politique.

✘ WEBER prolonge et radicalise l’analyse des marxistes car il fait de la domination la seule raison d’être de l’Etat : “l’État ne peut exister qu’à la condition que les hommes dominés se soumettent à l’autorité revendiquée chaque fois par les dominateurs”.

WEBER distingue le pouvoir politique de l’autorité.

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9
Q

Etat pivot

A

► Pays ayant une situation géographique et/ou démographique, ainsi que des atouts économiques, militaires et culturels stratégiques.

► Ils sont qualifiés de pivot car ils se trouvent pris dans des sphères d’influence et de puissance qui se chevauchent et qui convoitent de tels atouts.

► Ces Etats sont reliés aux grandes puissances par des affinités culturelles et par des accords économiques ou militaires.

► Pivot doit être compris dans 2 sens :

=> point focal qui concentre l’attention des grandes puissances.

=> les possibilités de changements, un Etat pivot peut “pivoter” d’une sphère vers une autre.

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10
Q

Etat stratège

A

► Fait référence à à l’intervention de l’Etat dans la vie économique du pays en vue de l’organiser afin de définir des domaines de priorité à développer, et d’organiser une aide adaptée à ces secteurs.

► Les actions de l’Etat stratège témoignent d’une volonté d’accroître la performance des entreprises nationales, cela est d’autant plus d’actualité dans un contexte de mondialisation des échanges.

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11
Q

Etat stratège : quels enjeux ?

A

► La problématique d’Etat stratège témoigne de la prise de conscience d’une nécessaire collaboration des secteurs privé et public afin d’accroître la compétitivité notamment de l’économie nationale.

La collaboration tend à apparaître peu à peu comme une évidence, alors que les Etats se doivent de trouver leur place dans une économie mondiale qui tend à être marquée par la division internationale du travail.

L’Etat devient coordinateur des différentes actions et est garant de la cohérence de celles-ci, mais permet également de créer une synergie entre les petites et moyennes entreprises, les centres de recherche et les grands groupes industriels.

► Le rôle de l’Etat stratège s’inscrit dans une démarche de développement économique par l’innovation, perçue comme facteur de croissance et parfois quelque peu délaissée, comme c’est le cas en France.

► L’Etat stratège s’intègre dans une logique de puissance et de rayonnement. Rendre une nation plus compétitive sur le plan économique revient à la rendre plus influente sur la scène internationale.

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12
Q

Etat-providence

A

C’est l’Etat qui voit loin devant.

C’est l’Etat prévoyant qui prévoit pour faire face et qui organise la solidarité.

► Quand il intervient plus fréquemment dans la vie des individus, ceux-ci sont convaincus qu’il agit pour leur bien-être, d’où l’expression de Welfare State utilisée depuis 1940 en GB.

► Sous le Second Empire, l’Etat par l’intermédiaire de la Providence se trouvait quasiment divinisé : on s’en remettait à lui comme à Dieu, il voyait loin et savait tout.

► L’Etat-providence est en crise depuis 1981.

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13
Q

“Glocal”

A

Le local est pensé comme autonome et universel.

Or, il n’est qu’une fractale entièrement dépendante de dynamiques globales.

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14
Q

Gouvernance

A
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15
Q

Les 12 critères utilisés par le Fund for Peace pour noter les Etats.

A
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16
Q

Modèle d’Etat dominant dans la société interétatique ?

A

Celui de l’Etat-nation

Celui-ci est progressivement dominé par la communauté ethnique, conception d’origine germanique.

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17
Q

Moment machiavélien

A

Ouvrage de J.G.A. Pocock, 1997

C’est un moment de la réflexion politique : la république est un phénomène historique qui nait, maintient son existence et finalement cesse d’exister. Or elle cherche à atteindre l’immuabilité.

Pour Thomas GOMART, en 2019, nous vivons un moment machiavélien “nous naviguons désormais par gros temps, nullement à l’abri d’un retour de la violence politique et des grandes peurs”.

18
Q

Nouvelles catégories d’Etats

A

L’Etat virtuel

L’Etat-région

19
Q

Paradoxe de la “prolifération des Etats” ?

A

Témoigne à la fois du succès de la forme étatique et de la défaillance des Etats affectés.

Scène du balai magique dans Fantasia de Walt DISNEY.

20
Q

Que révèle la fragmentation du monde et la mutilsation des Etats ?

A

Une intégration nationale incomplète

Alors que l’Etat nation reste le modèle de référence pour la plupart, les Etats mutilés sont victimes d’une crise d’identité nationale.

21
Q

Recomposition de l’Etat

A

Transformation du répertoire d’actions des Etats et de leur morphologie.

2 phénomènes :

  • une hybridation entre formes anciennes et modernes de l’Etat. Exemple du proto-Etat islamique en Syrie et en Irak en 2017.
  • l’intensification du push & pull généré par la mondialisation : tendances au renforcement de la coopération, de l’intégration supranationale vs. réaffirmation des Etats souverains.
22
Q

Remise en cause idéologique du concept d’Etat ?

A

Va de pair avec la fragmentation / décomposition du monde entrainant une “prolifération des Etats” :

  • la vague décolonisatrice => nouvelles multiplication des Etats. D’une cinquantaine en 1945, ils sont aujourd’hui près de 200 !!!
  • processus de fragmentation de l’Europe depuis les années 1990 => apparition de 25 nouveaux Etats européens ;
  • Etats africains (Soudan, Somalie, Erythrée, Mali, …) ou européens les plus anciens (GB, Espagne, France) subissant des tentations secessionnistes ;

Insitution suposée dépassée, archaïque, incapable de faire face à ses problèmes comme à ceux du monde.

  • Impuissance de la puissance, 2004, de Bertrand BADIE., confirme la thèse de l’étiolement stratégique des Etats.

Désétatisation du fait guerrier :

  • Les Etats recourent de + en + aux SMP : c’est la privatisation de la guerre.
  • Certaines victoires stratégiques ne se transforment pas en victoire politique : l’établissement de régimes stables et légitimes se révèle très aléatoire.
23
Q

SPQR

A
  • Senatu Populoque Romano*
  • “*Au nom du Peuple et du Sénat de Rome”

🦅

🦅 Dans La Crise de la culture, Hannah ARENDT relève la citation “tandis que le pouvoir réside dans le peuple, l’autorité appartient au Sénat” et rappelle que la l’autorité se définit par opposition au pouvoir.

24
Q

Titanic en puissance

A

Pour Serge SUR, tout Etat est un Titanic en puissance par défaite extérieure, soumission à la conquête, rejet de portions antérieurement conquises, incapacités de conserver son unité.

25
Q

Typologie des Etats

A

Selon la typologie de l’américain Robert ROTBERG, il existerait quatre types d’États.

Cette échelle permet de présenter l’État en fonction de son degré de stabilité.

L’État fort (strong state) :

  • constitué de la majeure partie des pays occidentaux.
  • Il s’oppose à l’État faible et serait l’idéal à atteindre.
  • La responsabilité de l’État fort est donc d’éviter aux États faibles de basculer, et de devenir des États faillis.

Les États faibles pourraient se répartir eux-mêmes dans deux catégories :

  • ceux en situation permanente de vulnérabilité, du fait du climat, de la géographie, des contraintes économiques particulières, comme l’absence de matières premières, etc. Ils se maintiennent dans un équilibre instable, sans unité nationale, religieuse ou culturelle et sont dirigés par des pouvoirs autoritaires.
  • L’autre sous-catégorie compterait les États en situation de faiblesse temporaire en raison d’oppositions politiques ou sociales internes ou de conflits transfrontaliers, c’est-à-dire avec un terreau favorable à l’émergence de mouvements irrédentistes.

Les États faillis (failed state) :

  • des États ayant entamé leur décomposition.
  • Le gouvernement ne contrôle plus son territoire, la gestion du pays passe progressivement aux mains d’acteurs non étatiques.
  • L’État ne peut plus assurer la sécurité de sa population.

L’État déliquescent (collapsed state) :

  • correspond à la situation la plus critique, avec l’absence de tout pouvoir structuré ou de toute autorité.
  • L’État déliquescent ne serait qu’un État failli conduit à son paroxysme.
26
Q

Etat voyou

A

Qualifie une organisation politique dont les registres d’intervention considèrent sans scrupule la violence comme un moyen légitime d’imposer ses buts sur la scène internationale.

27
Q

“Modèle-Etat”

A

Hérité de la paix de Westphalie (1648)

Les rapports internationaux se cristallisent autour des entités territoriales que sont les Etats.

Il fonde le cadre traditionnel des RI.

Pour Raymond ARON, “le centre des RI, ce sont les relations que nous avons appelées interétatiques”.

28
Q

Paix de Westphalie

A

1648

Coïncide avec la fin de la guerre de Trente Ans.

Début de l’apparition du “concert des nations” fondé sur des relations réglées.

► Les Etats allemands s’émancipent de la tutelle autrichienne et forment sur la base d’une indépendance mutuelle la reconnaissance de leur frontières et l’indépendance du choix de leur religion.

Dans la paix comme dans la guerre se distingue un acteur nouveau, l’Etat : il succède aux multiples comtés, duchés, cités, territoires + ou - unifiés des périodes précédentes.

► C’est la naissance du “modèle-Etat”.

► Marque une évolution majeure dans l’histoire des guerres :

  • on met désormais fin aux guerres dans des antichambres, des salles de réunion plutôt que sur un champ de bataille.
  • la dichotomie paix/guerre est accentuée par des actes bilatéraux ou multilatéraux qui marquent clairement le passage d’un état à l’autre entre des Etats nations.
29
Q

Théorie réaliste des RI

A

Considère que les relations interétatiques engendrent des rapports exclusifs de puissance et de domination.

Le but d’une nation serait d’asseoir sa domination en développant sa puissance, éventuellement par la force et la guerre.

► Un des fondateurs de cette école est Hans Morgenthau avec l’ouvrage Politics among Nations: The struggle for Power and Peace, 1948.

► L’approche réaliste illustre bien les RI au cours de la guerre froide, où les impérialismes des deux blocs ont amené le monde entier à s’affronter de manière plus ou moins violente.

► Principaux auteurs réalistes :

  • Raymond Aron,
  • Samuel Huntington,
  • Hans Morgenthau,
  • Edward Hallett Carr,
  • Robert Gilpin,
  • George Kennan,
  • Stephen Krasner,
  • Kenneth Waltz,
  • John Mearsheimer
30
Q

Théorie libérale des RI

A

Les RI sont perçues comme un facteur de progrès et de changement.

Au niveau international comme au niveau national, les libéraux mettent l’accent sur la notion de pouvoir / contre-pouvoir.

► Ils insistent sur le rôle de l’opinion publique, du droit et des institutions internationales qui viennent limiter le pouvoir des États.

► De nos jours, il doit faire face aux forces du capitalisme mondial qui sapent l’apparente « victoire » de la démocratie libérale à la fin de la guerre froide.

► Parmi les grands auteurs libéraux actuels, Joseph Nye insiste sur la notion de Soft power développée avec Robert Keohane. Ces deux auteurs ont aussi développé la notion d’interdépendance complexe.

31
Q

Interdépendance complexe

A

3 points à retenir :

L’usage de nombreux canaux d’action entre sociétés dans les échanges transnationaux et trans-gouvernementaux;

L’absence de hiérarchie claire dans le traitement des affaires internationales;

Un déclin de l’usage de la force et du pouvoir coercitif dans les relations internationales

32
Q

Remise en cause de l’Etat souverain ?

A

La fin de la GF.

On est passé au règlement multilatéral des conflits.

► Alors que le conflit dominant sur la scène internationale s’efface, les tensions apparaissent à l’intérieur même des Etats constitués qui explosent :

  • dislocation de la Yougoslavie donnant lieur à des épurations ethniques :
    • ​Croatie en 1991 ;
    • Bosnie en 1992 - 1995 ;
    • Kosovo en 1999.
  • instabilité de la périphérie de l’ancien empire soviétique (guerre en Tchétchénie, …)

On passe du conflit interétatique au conflit interethnique.

► Les phénomènes infra-étatiques désintègrent le modèle-Etat.

► On observe une sorte de recul politique, faisant des Etats des entités politiques trop vastes pour unifier des populations qui se séparent, éventuellement par la violence.

► Le modèle-Etat fondé sur l’Etat-nation, semble céder la priorité au “postnational”.

► Pour mémoire, Ernest RENAN affirmait que “les nations ne sont pas quelque chose d’éternel” et qu’elles finiraient. De manière prémonitoire, il pensait que “la confédération euroépenne, probablement, les remplacera”.

► Mais en 2019, où en est-on de cette ère post-nationale ?

33
Q

Nouveaux acteurs sociaux concurrençants les Etats ?

A

Concurrents “par le haut”

Ce sont les acteurs transnationaux

organisations internationales de plus en plus nombreuses

intégration des Etats dans des ensembles économiques, politiques ou stratégiques

aires de civilisation

identifications religieuses

Si ces ensembles donnent de la force aux Etats, ils limitent également la marge de manoeuvre des participants.

Concurrents GAFAM / BATX

34
Q

Faiblesse des Etats et affrontements :

Hobbes vs Locke

A

Thomas HOBBES

L’absence d’un Etat tutélaire favorise les affrontements entre passions humaines individuelles - ambition, avidité ou ressentiment.

Exemples : en Somalie, au Soudan du Sud, en Centre Afrique, au Nord Mali et dans l’est de la RDC, c’est l’absence d’Etat qui favorise les conflits de nature hobbésienne.

John LOCKE

En l’absence d’Etat, il peut quand même y avoir une certaine stabilisation. Mais l’Etat permet de protéger la société civile.

Exemple : rôle des Eglises en RDC.

35
Q

Zone grise

A

C’est un territoire ou espace sur lequel l’État a perdu le contrôle.

Ce sont des régions de non-droit et de prédation.

Elles ont été abandonnées par l’État.

► Ce peut être :

  • un pays entier (Somalie),
  • une portion majeure d’un pays (Moitié Est de la République Démocratique du Congo, RDC),
  • une frange frontalière éloignée (Lac Tchad),
  • une ville (Molenbeeck en Belgique),
  • une portion d’une ville (Quartiers Nord de Marseille, en France).

D’autres acteurs que l’État contrôlent ce territoire : des organisations criminelles, soit mafieuses soit terroristes, des milices armées de mouvements irrédentistes.

36
Q

Principe d’autodétermination

A

« Droit des peuples à disposer d’eux-mêmes »

37
Q

Nombres de pays dans le monde reconnus par l’ONU en 2018

A

193 États membres

Les îles Cook et Niue ne sont ni membres ni observateurs permanents de l’ONU.

Le Vatican et l’État de la Palestine sont uniquement des États observateurs.

7 Etats non reconnus.

38
Q

Pays non reconnus par l’ONU ?

A

7 pays

Le Kosovo

La République Arabe Sahraouie démocratique

Taïwan

L’Abkhazie

L’Ossétie du Sud

La République Turque de Chypre du Nord

L’Azad Cachemire

39
Q

Nombre de pays par continent ?

A

L’Afrique compte 54 pays

Amérique : 35 pays

Asie : 47 pays

Europe : 45 pays dont 28 appartenant à l’Union européenne.

Océanie : 16 pays

Total de 197 pays dans le monde.

40
Q

Etats “fantômes” invisibles

A