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Équilibre 2 Flashcards
V-F ;
Les facteurs de risque de chute peuvent être divisés en 3 principales catégories :
* Facteurs intrinsèques (liés à la personne elle-même) : Condition de santé, médication
* Facteurs extrinsèques : Environnement
* Facteurs comportementaux : Habitudes de vie (alcool, inactivité physique, alimentation), impulsivité, prise de risque
v
dites les facteur de risque (6) et leur sous categorie (au moins 3 chaque): voit tableau
V-F consquence de chute chez les ainées de les atteindront pas mentalement:
f: atteinte mentale, Il voudront toujours de l’aide physique d’un préposé pour se déplacé.
et atteinte psychomotrice d’oû ils ne savent plus comment vivre
V-F: posture chez pt ayant syndrome post chute est tête en protaction en assis et debout
F
assis: rétropulsion majeur
debout: rétropulsion (ski nautique), flx genou
V-F: la marche chez le pt ayant un syndrome post-chute est souvent pas de flx de hanche
F: genou flécghie, pas de déroulement du pied, pas de phase uni
V-F S et S du syndrome post chute : trouble de la marche, anxiété, staso-basophobie
v
V-F Au niveau de l’équilibre on doit évaluer si la personne a une bonne confiance en elle
F: réaction de protection
V-F Les patient a risque de chute provienne souvent du milieu d’une maison
F: chsld pour retour a domicile
V-F ; Les tx proposé pour ce type de clientèle sont à faire rapidement et en voici des exemple: Tech réadaptation postural, démarche gérontologique plus large, appuie du sol
Déséquilibre, marche a obstacle, surface instable, marcher et main devant jusqu’à jusqu’à relâcher pour voir s’il capable de retrouver son nouveau centre de masse
V
V-F: syndrome post chute est un diagnostic qui implique une « Urgence médicale »
V
V-F sur les aspect suivant: : le diagnostic implique nécessairement une chute ou une histoire de chutes avec de la peur de chuter, de la rétropulsion (assis, debout), ainsi qu’un ensemble d’éléments d’intensité variable :
* ↓ des activités
* ↓ autonomie
* tr psychologique, dépression, anxiété
* Tr. Perception de ses limites de stabilité, de sa verticalité associée à la rétropulsion
* Tr équilibre de marche, avec ↓ des automatismes
V
V-f: phase aigue post-chute: peur anxiété, ↓ initiative, refus mobilisation, Rétropulsion assis. Il est important d’intervenir rapidement pour réduire les conséquences, bon pronostic.
V
V-F phase avancé post-chute: : des complications peuvent apparaitre comme des contractures articulaires avec perte AA, faiblesse importante / atrophie, régression psychomotrice. Risque important d’atteintes permanentes, mauvais pronostic.
V
V-F Complication post-chute: Syndrome désadaptation psychomotrice (régression psychomotrice)
Lenteur, démotivation et indifférence affective (bradypsychie), peur de sortir et tomber, rétropulsion importante (assis, transfert, marche) avec hypertonie oppositionnelle, MEC importante sur talon, orteils en griffe, mains qui s’agrippent sur clinicien, ↓ ↓des automatismes, perte des réactions de l’équilibre, marche en flx, petit pas, ↓ garde au sol. Sans signes neurologiques pyramidal ni extrapyramidal.
NB : la régression psychomotrice peut être causée par une chute, mais aussi par l’alitement, la maladie, le stress, etc.
V
V-F: syndrome post chute;
Pronostic défavorable si: (voir au dossier médical et à inscrire dans votre HMA)
- Incapacité de se relever debout
- Temps au sol de plus d’une heure
- Histoires de chutes multiples
V
V-F le style d’HMA pour les personnes a risuqe de chute sont: * Documentation de la chute (voir les rapports de chute au dossier du patient, discuter avec le personnel soignant / la famille selon les situations), comment et pourquoi le patient chute?
* Contexte de la consultation : à domicile, hospitalisé (infection en cours, immobilisation 24h+, délirium, nouvelle mdx), en CHSLD (chutent 3x plus que dans la communauté)
* L’autonomie fonctionnelle (SMAF)
* Médication, quantité (4 et plus) et type de médication (hypotenseur, anxiolytiques, antipsychotique)
* Environnement (documents à compléter si patient à domicile)
* CA : MCAS, HTO, ostéoporose, malnutrition, trouble incontinence, troubles a/n vision (x2.5 risque de chute), vestibulaire, force (x 4-5x risque de chute), AA, sensibilité (polyneuropathie diabétique)
V
V-f: le style de subjectif est;
* Chute : Documenter la chute (où, quand, comment, pourquoi, conséquences, symptômes avant la chute), la capacité à se relever, la peur de chuter.
La peur de chuter n’est pas liée aux performances physiques ou même aux histoires de chute. Importante à identifier, elle est présente chez 29-55% des personnes âgées de 65 ans et + (Yardler and Smith Gerontologist 2002). Important de distinguer entre une peur excessive ou une anticipation rationnelle des risques. Elle peut s’identifier à l’entrevue subjective en posant la question directement à la personne ou selon les termes que la personne utilise pour parler de son équilibre (…) ou peut s’évaluer via des questionnaires.
-mémoire affecté (problème de mémoire)
ABC-S : questionnaire quantitatif sur la peur de chuter, moins de 67%, identifie les chuteurs, indique tendance à demeurer à domicile / peur de chuter réf : M.Pilon p55
FES-I(falls efficacy scale-international) : 70/100 et + il y a peur de chuter
-relation des personnes autour
- Autonomie fonctionnelle : transferts, marche, escaliers, voiture, transports adapter, loisirs, AVQ, AVD
-Nutrition : 3 repas par jour…… - Environnement : veilleuse, barres de bain / toilette, toilette surélevée, antidérapant bain, escaliers (bandes antidérapantes, nombre de marches et de M-C), plancher glissant…………….
- Douleur
-qté de sommeil - Autres symptômes
- Autres : Chaussures? trop haute, trop basse, nycturie, urgence mictionnelle
F
* Chute : Documenter la chute (où, quand, comment, pourquoi, conséquences, symptômes avant la chute), la capacité à se relever, la peur de chuter.
La peur de chuter n’est pas liée aux performances physiques ou même aux histoires de chute. Importante à identifier, elle est présente chez 29-55% des personnes âgées de 65 ans et + (Yardler and Smith Gerontologist 2002). Important de distinguer entre une peur excessive ou une anticipation rationnelle des risques. Elle peut s’identifier à l’entrevue subjective en posant la question directement à la personne ou selon les termes que la personne utilise pour parler de son équilibre (…) ou peut s’évaluer via des questionnaires.
ABC-S : questionnaire quantitatif sur la peur de chuter, moins de 67%, identifie les chuteurs, indique tendance à demeurer à domicile / peur de chuter réf : M.Pilon p55
FES-I(falls efficacy scale-international) : 70/100 et + il y a peur de chuter
- Autonomie fonctionnelle : transferts, marche, escaliers, voiture, transports adapter, loisirs, AVQ, AVD
- Nutrition : 3 repas par jour……
- Environnement : veilleuse, barres de bain / toilette, toilette surélevée, antidérapant bain, escaliers (bandes antidérapantes, nombre de marches et de M-C), plancher glissant…………….
- Douleur
- Autres symptômes
- Autres : Chaussures? trop haute, trop basse, nycturie, urgence mictionnelle
V-F; le style de objectif est basé sur pleins de test pour se donner une idées globale du pt:
Tests quantitatifs : (Voir livre de M.Pilon, en jaune sera pratiqué en labo)
Tests d’équilibre :
* p59 Berg, :
o 45/56 et moins risque de chute élevé
o 40 et moins/56 → physio individuelle
o 50/56 et + programme PIED non personnalisé en groupe
o 41à49/56 ex’s groupe et PED personnalisé en physio
- p88 MINI-BESTEST
- p105 Tinetti,23/28 et moins haut risque de chute( 36/40 et moins, haut risque de chute)
- p98 CTSIB(foam and dome 6 épreuves), 2 chutes parmi les 6 épreuves indiquent un trouble d’équilibre, valide pour les troubles vestibulaires
- p98CTSIB modifié (4 épreuves)
- p77 Fonctional reach test, 15 cm et moins haut risque de chute
Tests de mobilité – en lien avec l’équilibre
* p112 TUG, 14 et + risque de chute élevé
* p115 TUG cognitif, manuel et reculons
* p75 Foor square step test : N 7 à 10sec , sup à 15 sec risque de chute élevé. Non indiqué si troubles cognitifs
Tests de marche – en lien avec l’équilibre
* p131 Vitesse de marche sur 10 m, N : 1à1.5m/s, 0.7m/s et moins, prédictif de chute
Tests d’endurance – en lien avec l’équilibre
- Test de marche 6 minutes (valeurs normatives)
Âge Homme marge erreur 120 Femme marge erreur 100
62-79 ≈500 ≈500
80-84 ≈400 ≈379
85-89 ≈347 ≈317
90+ ≈323 ≈321 - Test de marche 2 minutes
N.B. Garder en tête que bien que la clientèle dont il est ici question est la personne âgée de 65 ans et +, la cueillette de données sera bien différente selon le milieu d’où provient la personne et son niveau d’autonomie fonctionnelle.
Au-delà des tests utilisés, pouvez-vous nommer certaines particularités de la cueillette et du traitement des problèmes d’équilibre (objectifs) selon le milieu clinique?
F
1.3 Objectif
* Observation des pieds : plaies, déformations, souliers?
* ROM des MIs, rechercher le manque de FD, ext genou et hanches, ABD-ADD hanche, mobilité cx
* Réponse motrice :
o force Mis (↓cheville), sit to stand, FP, FD
o force de préhension
o tonus, motricité, coordination (scaling, timing)
- Sensibilité superficielle (peau, plante du pied) et sensibilité profonde (proprioception consciente)
- Transferts (dd-assis, assis-debout, le relevé du sol)
- Marche, pantouflard, précautionneuse (lent, petit pas, ↓garde au sol, ↑phase de double appui, ↓↑base sustentation) orthèse, auxiliaires
- Escaliers
- Posture, équilibre qualitatif pour déterminer les mouvements manquants (proprioception inconsciente)
Tests quantitatifs : (Voir livre de M.Pilon, en jaune sera pratiqué en labo)
Tests d’équilibre :
* p59 Berg, :
o 45/56 et moins risque de chute élevé
o 40 et moins/56 → physio individuelle
o 50/56 et + programme PIED non personnalisé en groupe
o 41à49/56 ex’s groupe et PED personnalisé en physio
- p88 MINI-BESTEST
- p105 Tinetti,23/28 et moins haut risque de chute( 36/40 et moins, haut risque de chute)
- p98 CTSIB(foam and dome 6 épreuves), 2 chutes parmi les 6 épreuves indiquent un trouble d’équilibre, valide pour les troubles vestibulaires
- p98CTSIB modifié (4 épreuves)
- p77 Fonctional reach test, 15 cm et moins haut risque de chute
Tests de mobilité – en lien avec l’équilibre
* p112 TUG, 14 et + risque de chute élevé
* p115 TUG cognitif, manuel et reculons
* p75 Foor square step test : N 7 à 10sec , sup à 15 sec risque de chute élevé. Non indiqué si troubles cognitifs
Tests de marche – en lien avec l’équilibre
* p131 Vitesse de marche sur 10 m, N : 1à1.5m/s, 0.7m/s et moins, prédictif de chute
Tests d’endurance – en lien avec l’équilibre
- Test de marche 6 minutes (valeurs normatives)
Âge Homme marge erreur 120 Femme marge erreur 100
62-79 ≈500 ≈500
80-84 ≈400 ≈379
85-89 ≈347 ≈317
90+ ≈323 ≈321 - Test de marche 2 minutes
N.B. Garder en tête que bien que la clientèle dont il est ici question est la personne âgée de 65 ans et +, la cueillette de données sera bien différente selon le milieu d’où provient la personne et son niveau d’autonomie fonctionnelle.
Au-delà des tests utilisés, pouvez-vous nommer certaines particularités de la cueillette et du traitement des problèmes d’équilibre (objectifs) selon le milieu clinique?
V-F sur les aspect suivant (en lien avec analyse): Voici comment vous pourriez effectuer une analyse des informations de votre cueillette de données d’un patient avec une problématique de chute. Cette démarche est destinée pour les cas de catégorie 1 spécifiquement.
L’analyse est une démarche de réflexion et questionnement :
Pourquoi ce patient chute?
La grande majorité des cas, il s’agit de causes multifactorielles. Voici quelques exemples rencontrés en clinique : Environnement inadéquat, dim. force MI, aug. sensibilité superficielle plante des pieds, aug proprioception cheville, tr.de comportement, aug vitesse de réaction, etc. Il est important d’identifier les causes probables des chutes de votre patient.
F
Voici comment vous pourriez effectuer une analyse des informations de votre cueillette de données d’un patient avec une problématique de chute. Cette démarche est destinée pour les cas de catégorie 1 spécifiquement.
L’analyse est une démarche de réflexion et questionnement :
Pourquoi ce patient chute? La grande majorité des cas, il s’agit de causes multifactorielles. Voici quelques exemples rencontrés en clinique : Environnement inadéquat, ↓force MI, ↓ sensibilité superficielle plante des pieds, ↓proprioception cheville, tr.de comportement, ↓vitesse de réaction, etc. Il est important d’identifier les causes probables des chutes de votre patient.
FV-F Ce que comporte l’analyse:
* Évolution :
Décrire l’évolution de la condition du patient selon vos données recueillies au dossier médical, selon les données recueillies lors de vos évaluations.
Dire si la condition du patient s’est-elle améliorée, détériorée ou stable
F: il y a beaucoup plus que seulement l’évolution
- Évolution :
Décrire l’évolution de la condition du patient selon vos données recueillies au dossier médical, selon les données recueillies lors de vos évaluations.
Dire si la condition du patient s’est-elle améliorée, détériorée ou stable - Particularité pour les cas de chutes :
o Décrire vos hypothèses qui expliquent les chutes chez votre patient
Ex : Il semble que les chutes soient causées par ………
Ex : Il semble que la rétropulsion soit causée par…………..
o S’il y a blessure (entorse, ecchymose, fracture, etc.) mentionner le stade de guérison, indiquer s’il y a inflammation et dlr - Risque de chute
o Dire s’il est à haut risque de chute et justifier en présentant les FR de chute, les résultats des tests comme le Berg, TUG ou autres - Pronostic :
Dire si vous prévoyez, poursuivre la physio, ou donner congé, ou référer au physio, au Md Exemples :
o Croyons que la poursuite de la physio pourra contribuer à améliorer la condition du patient
o Croyons que la poursuite la physio pourra contribuer à maintenir les acquis du patient
o Croyons qu’un plateau de récupération est atteint, patient pourra maintenir ses capacités fonctionnelles en effectuant son PED et en suivant les conseils prodigués, congé à venir.
o Croyons qu’un plateau de récupération est atteint, patient pourra maintenir ses capacités fonctionnelles avec aide du CLSC ( pour AVD, inscription au programme PIED), congé à venir - IRF
o Résumer les fonctions du patient
o Vous pouvez aussi émettre des hypothèses sur les causes des pertes fonctionnelles. Éviter des affirmations incertaines, ne pas oublier que les causes des chutes sont généralement multifactorielles.
o Attention de ne pas émettre de diagnostic.
Liste de problèmes (par priorité)
Voici les principaux critères de priorisation:
* Gravité
* Impact fonctionnel
* Lien de causalité
* Attentes patient-Md-famille,
* Pronostic
* Champ d’expertise de la physiothérapie
NB : pour une même liste de problèmes, la priorité change selon le milieu ex : CHSLD vs domicile
Exemples de priorisation des problèmes :
* Votre patient présente une dlr coude G 8/10, constante, sans impact fonctionnel, et une dlr épaule D 5/10 qui l’empêche de travailler. Quelle est votre réflexion sur la priorité à accorder à ces dlrs?
* Votre patient, vivant à domicile, référé pour chute. Présence de dlr lombaire chronique importante cte à 8/10, depuis plus de 10ans qui provoque de la boiterie. Quelle est votre réflexion sur la priorité à accorder à cette dlr?
V-F plan de tx:
Traitements hors champs de la physiothérapie
(pas nécessairement inclus dans le plan de traitement EN PHYSIO mais important d’en avoir conscience)
1. Tx médical : révision médication par Md (↓ psychotropes, ajuster médicaments cardio-vasc - suivi hypotension/étourdissement, Tx ostéoporose)
- tx chirurgicaux
- Évaluation du domicile par ergo et Tech.phys (grille IREDA et autres).
*** La plupart des gens voient dans l’environnement le plus grand facteur de risque de chute alors que la plupart des chutes surviennent en raison de facteurs intrinsèques à la personne. Important de faire cette distinction avec les clients, ce n’est pas parce que l’environnement est sécuritaire qu’ils ne vont pas tomber. Ils doivent aussi agir sur les facteurs de risques intrinsèques. - Alimentation par nutritionniste
- Comportement sécuritaire/enseignement par l’équipe : ROH, utilisation médication, auxiliaire, téléphone sonne VS urgence, prise de conscience impulsivité …
- Relation de confiance, stimuler, dédramatiser (sans nier les craintes du client * mais / en même temps)
F:
Traitements hors champs de la physiothérapie
(pas nécessairement inclus dans le plan de traitement EN PHYSIO mais important d’en avoir conscience)
1. Tx médical : révision médication par Md (↓ psychotropes, ajuster médicaments cardio-vasc - suivi hypotension/étourdissement, Tx ostéoporose)
- Correction vision par optométriste et ophtalmologiste
- Évaluation du domicile par ergo et Tech.phys (grille IREDA et autres).
*** La plupart des gens voient dans l’environnement le plus grand facteur de risque de chute alors que la plupart des chutes surviennent en raison de facteurs intrinsèques à la personne. Important de faire cette distinction avec les clients, ce n’est pas parce que l’environnement est sécuritaire qu’ils ne vont pas tomber. Ils doivent aussi agir sur les facteurs de risques intrinsèques. - Alimentation par nutritionniste
- Comportement sécuritaire/enseignement par l’équipe : ROH, utilisation médication, auxiliaire, téléphone sonne VS urgence, prise de conscience impulsivité …
- Relation de confiance, stimuler, dédramatiser (sans nier les craintes du client * mais / en même temps)
V-F
Plan de traitement en physiothérapie :
L’entrainement et les exercices d’équilibre permettent de réduire les chutes de 23-24% (haute évidence = Sherrington et al. Cochrane review 2019). Selon l’agence de santé publique du Canada, la fréquence souhaitée est de 2 à 4x semaine, pour une durée totale de 3h+ par semaine, pour 12 semaines.
V
V-F: plan tx en physiotherapie:
Éléments à considérer : Ne pas oublier phénomène de spécificité : renforcement musculaire
va
augmenter spécifiquement l’équilibre. On devient bon à ce qu’on pratique. C’est aussi vrai pour le choix des exercices d’équilibre : on pratique souvent l’équilibre dynamique, mais c’est en statique que les chutes surviennent.
F
Éléments à considérer : Ne pas oublier phénomène de spécificité : renforcement musculaire ne va pas augmenter spécifiquement l’équilibre. On devient bon à ce qu’on pratique. C’est aussi vrai pour le choix des exercices d’équilibre : on pratique souvent l’équilibre statique, mais c’est en dynamique que les chutes surviennent.
V-F: plan de tx, les different plan de tx sont;
-verticalisation
-ex’s souplesse
-ex’s déquilibre
-entrainement à la chute à se relever
*c’est tout
f: C’est bcp plus gros que ce que tu pense
a. Verticalisation précoce, dès accord du Md, physio, équipe
b. Ex’s de souplesse : Étirement des MI surtout, important d’avoir le ROM suffisant pour permettre des rx de redressement et de protection adéquates. Par exemple : Réaction d’équilibre (redressement) vers l’avant : FD avant FP si restriction en FD la FP est trop hâtive (botte de ski) l’inverse est plus rare mais si limité en FP car ex : lésion cheville c’est la réaction vers l’arrière qui sera altéré.
* Triceps suraux, préférablement debout sur plan incliné aux barres parallèles
Si échec voici quelques options : talonnette, soulier à talon/sécuritaire, abaisser la marchette, poids 3kilo sur la marchette
* Ischio-Jambier (SLR, assis MI allongé, etc.), ABD hanche (grenouille en DD), pelvis trochantériens (assis Mis croisés avec dos bien droit), EXT hanche Ilio-psoas (Thomas en DD et MI sur le lit), Quad
* ROM cx : alignement, rôle neurophysiologique
c. Renforcement : renforcement des MI et en distale surtout,
* minisquat, fente, push-up FR, FP bipodale/unipodale ,
* ABD hanche avec theraband
d. Stimuler la sensibilité superficielle : but →activer la circulation sanguine
* massage léger plante du pied en respectant les arches et les coussins adipeux
* ex’s avec les orteils : écarter, araignée
* Aérobie, entrainement à l’effort ex : marche, pédalier, marche nordique, vélo stationnaire
e. Stimuler la sensibilité profonde MI (proprioception inconsciente) :
* Équilibre debout yeux fermés
* Bipodale →pieds collés → position de pas→ tandem → unipodale
* Étoile, arabesque, dynadisc, matelas
f. Ex’s d’équilibre:
Afin que ceux-ci soient efficaces, les exercices d’équilibre doivent placer la personne en situation de déséquilibre suffisamment grande sans toutefois entraîner de chute. Un peu comme lorsque l’on fait du renforcement musculaire on cherche la fatigue, on recherche une intensité suffisante pour permettre les gains, ce qui est en soi le défi des exercices d’équilibre.
Les outils tels le bungee mobility-trainer et le rail/harnais de marche peuvent être utiles dans ces situations afin d’assurer la sécurité des participants (et des professionnels).
Il est important de donner confiance aux personnes et de leur montrer qu’elles sont capables de réaliser les tâches pour lesquelles ont les entraîne (sentiment d’auto-efficacité premier prédicteur de capacité). Ne pas leur donner des activités trop difficiles car elles vont échouer et perdre confiance en leurs capacités.
Afin de s’assurer de l’intensité suffisante des exercices, on recherche chez la personne les signes suivants :
Avant la tâche :
- Prend un temps avant de débuter la tâche
- Commente la tâche par rapport à sa difficulté ou sa sécurité
Durant la tâche :
- Difficulté à parler durant la tâche (1-3 mots)
- Réponses posturales observées, augmentation des oscillations posturales
- Augmentation du tonus global, apnée, grimaces
Après la tâche :
- La personne verbalise que la tâche ‘’teste leurs limites’’
i. Technique en opposition pour centrer un CdeG trop postérieur (rétropulsion)
Patient qui pousse sur thérapeute, sur objet, sur mur, sur espalier, etc. et progressivement diminue sa poussée pour finalement ne plus avoir besoin d’un objet devant lui pour maintenir le CdeG stable Réactions de protection: basées sur la fonction et sur l’histoire de chute
ii. Ex’s Assis
Statique
alignement postural,
MEC symétrique
auto agrandissement, respiration, miroir
Dynamique : réaction redressement et protection Hanche : FLX, EXT Tronc : ext axiale, flx contra, rotations Rx de protection MSs, côté/croisé/arrière
LES 2–pieds au sol → pieds dans le vide
–2 appuis → Øappui MSs
–surface stable → surface instable (ex : oreiller)
–yeux ouverts→ yeux fermés
–Doubles tâches (tenir verre d’eau, parler, compter à rebours, lancer une balle…)
–Mouvement de tête à D et à G yeux ouverts→ Mouvement de tête yeux fermés
–rétropulsion assis : Tx en opposition, espaliers, au mur, « face à face », patient dos au TRP
iii. Ex’s Debout
statique, alignement postural, largeur base , MEC symétrique,
auto agrandissement, respiration, miroir,
deux balances sous les pieds
Dynamique : Réaction redressement et protection,
Déplacer le CdeG aux limites de la base et hors de la base
Hanche :FLX,EXT
Tronc : flx contra
Cheville : FD et FP
Rx protection MIs, côté/croisé/avant/arrière
Les 2–Mouvement de tête à D et à G yeux ouverts→ Mouvement de tête yeux fermés
–Doubles tâches (tenir verre d’eau, parler, compter à rebours, lancer une balle…)
–2 appuis →Øappui MSs
–surface stable → surface instable (tapis, dynadisc)
–avec vision → sans vision
–rétropulsion debout : Tx en opposition, espaliers, au mur, , « face à face », patient dos au TRP
–base bipodale large→ étroite → position pas → tandem → unipodale
–matériel : planche à proprioception, étoile, dynadisc
iv. Ajustements posturaux Proactifs vs Réactifs
* Proactif : ajustement avant le déséquilibre
Réactions de redressement surtout
* Réactif : ajustement après le déséquilibre
Réactions de redressement et de protection
v. Stratégies chevilles : surface ferme/stable, balancement sur les chevilles, le corps demeure aligné – système associé somesthésique
Stratégies hanches : surface étroite, instable, balancement a/n des hanches, les épaules s’opposent au bassin – système associé vestibulaire
Stratégie genoux (abaissement du CdeG)
Stratégie de déplacement (Rx protection) :
Vitesse, amplitude, MEC, yeux fermés
Commencer par situation volontaire (reaching) puis déséquilibre prévu / non prévu, important de pratiquer dans toutes les directions. Provoquer un déséquilibre par un accompagnement, en relâchant une pression, (précaution : ne pas pousser).
Timing : Travailler un bon Timing si réactions tardives, par répétition des mouvements et progressions (ex : yeux fermés, surface instable, double tâche, etc.)
Scaling : Travailler un bon Scaling si les amplitudes sont inadéquates, aussi par répétition des mouvements et progressions (ex : yeux fermés, surface instable, double tâche, etc.)
vi. Stimulation des sens :
Visuel : yeux ouverts, surfaces instables, mouvement de tête D-G-haut-bas, etc.
Vestibulaire : yeux fermés, surfaces instables, mouvements de tête, etc.
Sensibilité superficielle plantaire et profonde surtout des Mis :
Surface stable nu-pieds , yeux fermés
Massage plante des pieds, ex’s muscles intrinsèques du pied (écarter les orteils, araignée, etc.)
vii. Doubles tâches
Les ex’s de doubles tâches sont prioritaires, car il est bien documenté que plusieurs chutes surviennent lors d’exécution de plusieurs tâches en simultané (ex : parler et marcher, ramasser objet au sol en reculant, etc.)
* D’abord travailler chacune des tâches individuellement
* Puis travailler ses tâches simultanément
* Choisir des doubles tâches significatives pour le patient ou des doubles tâches ayant causées des chutes
* Considérer l’aspect moteur (tâche manuelle, ROM cx, etc) et cognitif (raisonnement, parler, compter, etc)
viii. Ex’s fonctionnels : ramasser objet au sol, mettre chandails, chaussures, se verser un verre d’eau, marcher pour ouvrir une porte, etc.
g. Entrainement aux Transferts :
DD-assis, assis-debout, FR-lit,
Transfert au sol : DD → DL → assis en sirène → quatre pattes → appui des MSs → chevalier ou génuflexion → debout
h. Entrainement à la Marche :
Marche spécialisée, barres parallèles
Ajustement des auxiliaires de marche, orthèses,
Marche extérieure, nordique
Tx rétropulsion : en poussant contre espaliers, mur, T.Phys.
i. Entrainement aux Escaliers : placement du pied
j. Entrainement à la chute et à se relever
V-F Plan de tx par rapport à la prévention: Il existe plusieurs programmes de prévention destinés à différentes clientèles.
Programme PIED pour clientèle autonome, à domicile. Rencontre/enseignement et ex’s de groupe.
Programme IMP (Interventions Multifactorielles Personnalisées), pour une clientèle en perte d’autonomie, requérant une approche d’équipe (ex : médecin, soins infirmiers, physio, ergo, TS, etc.). Ici les séances de physio sont individuelles.
V
V-F par rapport à la peur de chuter
La peur de chuter est plus fréquente chez cette clientèle que toutes les autres peurs. Elle est associée à une diminution de la satisfaction de la vie, une augmentation de la fragilité et une attitude dépressive. Elle est un problème en soi qui doit être traité indépendamment des problématiques physiques. Si présent, doit être adressé avant de mettre la personne en situation de déséquilibre.
Le manque de confiance en les capacités physiques va entrainer une diminution des activités, les personnes vont éviter même les activités pour lesquelles ils ont les capacités physiques nécessaires, ce qui entraine un déconditionnement. (Cercle vicieux).
Comment adresser la peur de chuter?
- Éducation / information, discuter avec proches des conséquences des chutes et des peurs
- Organiser l’environnement de façon sécuritaire
- Rééducation équilibre et capacités de marche
- Apprendre à se relever du sol
V
ds technique de tx: pouvez-vous m’expliquer:
explication
consigne
et sécurité
Explications au patient : qu’est-ce qu’on fait et démo, le pourquoi, avisez si dlr et fatigue
Consignes : selon l’intervention
Sécurité : ceinture, environnement: barres parallèles, espaliers, chaises, etc.
T.phys. proche du pt et toujours en contrôle de la situation.
Dite moi en quoi consiste la stimulation de la sensibilité superficielle plantaire et ces sous aspects soit le
a; massage
b;ex des muscles intrinseque du pied
c;ex”aerobie
Comment? En améliorant la circulation sanguine par le massage et les exercices actifs
(Précaution si peau sensible, ex: diabétique, MVAS)
a. Massage plantaire
i. Par T.Phys.
ii. Automassage (accessoire possible : balle)
iii. Le massage doit respecter les :
1. Arches plantaires (longitudinales, transversales)
2. Les coussins adipeux (talons, têtes des métatarses)
iv. Techniques : surtout effleurages et pétrissages
v. Paramètres : variables ex : 10minutes par pieds
b. Exercices des muscles intrinsèques du pied
i. Araignée (avec serviette au sol)
1. Paramètres : 10 répétions, D et G, selon tolérance
ii. Écartement des orteils (souvent avec une aide manuelle)
1. Consignes verbales, avec aide…..
2. Paramètres : 10 répétions, D et G, selon tolérance
Précaution : crampes sous pieds
c. Exercices d’aérobies : marche, marche nordique, vélo stationnaire, pédalier, etc.
V-F par rapport au aspect améliorer la stabilité et recentrer le C de G; la technique par opposition
Pourquoi? Pour améliorer la perception du CdeG et le recentrer sur la base de support (ex : patient avec rétropulsion).
Comment? Les bases et les 6 étapes
Pour quelle clientèle? Généralement patients hospitalisés ou en institutions
Les bases :
Pour recentrer le CdeG, vous pouvez utiliser ces trois techniques de base
- Position des pieds : lorsque le patient s’appuie avec MSs en avant de lui, pour réduire sa rétropulsion et faciliter l’exercice, demandez-lui de reculer les pieds. Puis au fur et à mesure que le patient s’améliore, demandez-lui d’avancer les pieds.
- La poussée avec les MSs (ex : espaliers): lorsque le patient s’appuie avec MSs en avant de lui, pour réduire sa rétropulsion et faciliter l’exercice, demandez-lui de pousser avec ses MSs (Le patient a tendance à tirer avec les MSs)
- La poussée avec le bassin: demandez à votre patient de pousser avec son bassin vers l’avant. Pour faciliter l’exercice, cette poussée peut se faire contre un coussin, aussi contre vos mains.
Les 6 étapes (du plus facile vers le plus difficile)
- Patient face aux espaliers
Pousser vers l’avant avec MSs et pousser le bassin vers l’avant, position des pieds
TP avant, TP latéraux avec bassin, mvt de tête (regarder à D, G, plafond), mvt des MSs,
Marcher sur place (pas de soldat), de côté, croisé
Yeux fermés, doubles tâches (compter à rebours, verre d’eau, etc.), matelas/coussin, obstacles
↓appuis MSs et agrippement aux barres
etc. - Patient face au mur
…idem - Patient face au T.Phys. (« position du lutteur »)
….idem + marche avant, de reculons, de côté - Patient dos au T.Phys. (drap, ceinture)
…idem
Pour réduire la rétropulsion, dire au patient de pousser dans la ceinture - Aux barres parallèles
À ce stade la rétropulsion a diminué, faudra travailler l’équilibre et réactions de protection dans le but de sortir des barres parallèles et de choisir l’auxiliaire - Hors des barres parallèles
Enseignement et entrainement à la marche, aux tempos, à l’auxiliaire
V
V-F; 4. Techniques de réactions de protection fonctionnelles : basées sur des fonctions significatives Pourquoi? Pour améliorer la sécurité et l’équilibre lors des déséquilibres
CI si ostéoporose, endoprothèse?
Indication : patients qui retournent à domicile, CLSC, rarement en SLD
Réactions de protection lors de Marche
Marche avant : réactions de protection pas croisées et côtés
Marche à reculons : réactions de protection pas croisées et côtés
Marche de côté : réactions de protection pas avant, arrière
Marche croisée : réactions de protection pas avant, arrière
Réactions de protection lors des Transferts assis-debout, AVQ, AVD, etc.
Réactions de protection avec les MSs :
NB : il ne s’agit pas d’agrippement
Dernière stratégie de protection lors de la chute
Lorsque la réaction de protection du MI n’a pas suffi
Permet d’amortir le choc au sol, et de protéger la tête
NB : ne pas encourager comme 1re réaction de protection
Progression : Réduire la vision, matelas, réduire les appuis MSs, réduire la base de support, doubles tâches
V
Dite les ci et imdication pour les transfert au sol
CI: ostéoporose, endoprothèse
Indication: pt à domicile, CLSC, rarement en SLD