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PSYCHOLOGIE-LICENCE 3-S6 > EP621-PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL > Flashcards

EP621-PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL Flashcards

1
Q

Qu’est-ce que la psychologie sociale ?

A

Branche de la psychologie expérimentale
Etudie les ps mentaux impliqués dans les comportements humains liés aux interactions sociales

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Q

Définir la cognition sociale

A
  • discipline
  • étudie les ps cognitifs qui permettent de comprendre l’environnement, d’interpréter et d’interagir avec autrui
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3
Q

La cognition sociale est aux confins de quels grands domaines ?

A

Psychologie cognitive, sociologie

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4
Q

Qui est le père de la psychologie sociale ?

A

K Lewin

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5
Q

Qu’a démontré Lewin dans les années 50 ?

A

Ce sont nos perceptions subjectives qui influencent nos comportements

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6
Q

Quels sont les déterminants du comportement selon Lewin ?

A
  • la personne
  • la situation
  • la motivation
  • la cognition
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7
Q

De quels facteurs dépend le traitement de l’information ?

A

-des besoins
-de la motivation

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8
Q

Qui a développé la théorie du besoin de clôture ?

A

Kruglanski

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9
Q

Qu’est-ce que le besoin de clôture ?

A

-notion de psychologie
-l’esprit a besoin de limiter l’incertitude
-l’esprit a une aversion pour l’ambiguité

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10
Q

De quoi dépend notre recherche d’informations ?

A

-de la nature de ces informations
-de notre motivation

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11
Q

Quels sont les déterminants à notre besoin de clore notre recherche d’information ?

A

les coûts et les bénéfices estimés de la possession de certaines informations (motivation)

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12
Q

Si le besoin de cognition est faible, quel comportement adopte le sujet ?

A

pas d’utilisation des infos de l’envt,
pas d’étude approfondie des infos,
se base sur des opinions de sens commun
> ps cognitifs superficiel

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13
Q

Qu’est-ce que le besoin de cognition ?

A

L’appétence de l’individu pour l’effort mental

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14
Q

Quelles sont les quatre conceptions de l’individu (prise de décision) en psychologie sociale ?

A
  • consistency seeker
  • naive scientist
  • cognitive miser
  • motivated tactician
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15
Q

Consistency seeker

A

Individu en quête de cohérence

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16
Q

Qu’appelle-t-on la paresse sociale ?

A

cognitive miser
l’individu utilise des catégories pour traiter les informations notamment parce que l’environnement est trop complexe, et que sinon, il serait en état de surcharge cognitive.

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17
Q

Qu’appelle-t-on motivated tactician ?

A

l’individu change de stratégie cognitive, choisie en fonction de ses buts, motifs, besoins.

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18
Q

Qu’est-ce que l’attribution causale ?

A

Un ps par lequel un individu émet un jugement par inférence

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19
Q

Qui défend la théorie de la psychologie naïve ?

A

Heider (1958)

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20
Q

Expliquer la théorie de l’attribution

A

Pour contrôler/comprendre l’environnement, la personne attribue une personnalité à l’autre ou une cause à un événement

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21
Q

Citez quelques cadres théoriques de l’attribution

A

Théorie de Weiner (1980)
Théorie de la psychologie naïve de Heider (1958)
Modèle des inférences correspondantes de Jones et Davis (1965)
Théorie de la covariation de Kelley (1967)

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22
Q

Expliquez la théorie de l’attribution de Weiner

A

A l’issue de la réalisation d’une tache, une personne va rechercher la raison du succès ou de l’échec.

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23
Q

Quelles sont les trois dimensions de l’attribution causale selon Weiner ?

A
  • lieu de causalité
  • stabilité
  • contrôlabilité
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24
Q

Donner un exemple de cause interne stable

A

un trait de personnalité

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25
Q

Donner un exemple de cause interne instable

A

le stress

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26
Q

Sur quelle théorie s’appuient Jones et Davis pour élaborer leur modèle des inférences correspondantes ?

A

la théorie de la psychologie naïve de Heider

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27
Q

Donner un exemple de lieu de causalité interne

A

J’ai raté mon examen parce que je n’ai pas assez révisé

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28
Q

Quelle dimension Weiner a ajouté à sa théorie de l’attribution causale ?

A

la globalité

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29
Q

Expliquez la théorie de la psychologie naïve (Heider)

A

Pour contrôler son environnement, l’individu veut avoir une connaissance relativement valide

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30
Q

Que soutient Heider sur la psychologie naïve ?

A

Que l’homme a tendance à situer davantage les causes d’un événement chez les personnes (attribuer des causes internes)

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31
Q

Qui a créé le modèle des inférences correspondantes ?

A

Jones et Davis, 1965

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32
Q

Avec quoi varie le degré de correspondance dans le modèle des inférences correspondantes ?

A

avec le nombre de caractéristiques : plus les caractéristiques sont nombreuses et plus le degré de correspondances est faible

33
Q

Quelles sont les conditions pour la réalisation de l’inférence correspondante ?

A

l’acteur doit être
-conscient
-libre
-maitre de l’action

34
Q

Le modèle des inférences correspondantes s’intéresse au mécanisme de la pensée de l’observateur ou de l’acteur ?

A

de l’observateur

35
Q

Donner un exemple d’inférence correspondante

A

elle n’a pas prêté son cours à l’étudiante, elle est perso

36
Q

Qu’est-ce que le modèle des inférences correspondantes ?

A

explique comment un observateur attribue à un individu des dispositions personnelles stables à partir de l’observation des actions de cet l’individu.
(lien action, intention, disposition)

37
Q

Comment sont générées les inférences selon Jones et Davis ?

A

automatiquement

38
Q

Quelles sont les limites du modèle des inférences correspondantes ?

A

modèle
-hétéro-attributif
-acontextualisé (pas d’influence de l’envt)

39
Q

Sur quel modèle s’appuie le modèle de la covariation ?

A

le modèle des inférences correspondantes

40
Q

Quel modèle a construit Kelley en 1967 ?

A

La théorie de la covariation

41
Q

Qu’ajoute le modèle de la covariation à celui des inférences correspondantes ?

A

il s’intéresse aussi aux auto-attributions

42
Q

Qu’est-ce que le principe de la covariation ?

A

un effet est attribué à l’une des causes possibles avec laquelle cet effet covarie

43
Q

Quels sont les types d’informations examinés pour évaluer la covariation ?

A

-le consensus entre les pairs
-la distinctivité du stimulus
-la consistance du comportement

44
Q

Pour Kelley, l’attribution causale dépend de quelles dimensions ?

A

l’objet
la personne
la situation (temporelle-circonstantielle)

45
Q

Quelle est la limite des modèles des théories de l’attribution ?

A

en réalité, l’homme ne fait pas toujours appel à la logique. Il commet des erreurs d’interprétation influencée par les schémas cognitifs

46
Q

Qu’est-ce qu’un biais d’attribution ?

A

une distorsion entre la façon dont nous raisonnons et celle que nous devrions adopter pour assurer, le mieux possible, la validité de nos inférences et conclusions

47
Q

Selon Heider, pourquoi faisons-nous des biais ?

A

les biais sont motivés par le besoin de contrôler son image et l’environnement, pour limiter les coûts cognitifs

48
Q

Quel est le lien entre les biais attributionnels et les heuristiques ?

A

Les heuristiques induisent les biais

49
Q

heuristiques

A

processus
servent à réduire les coûts,
règles qui conduisent à des approximations

50
Q

Qu’est-ce que le biais de sous-utilisation de l’information consensuelle ?

A

L’individu n’utiliserait pas autant l’information relative au consensus qu’en théorie

51
Q

Qu’est-ce que le biais d’auto-complaisance ?

A

tendance à attribuer les succès à des causes qui nous sont propres, mais les échecs à des causes externes.

52
Q

Qu’est-ce qui explique le biais d’auto-complaisance ?

A

c’est un rôle protecteur de l’estime de soi

53
Q

Qu’est-ce que l’erreur fondamentale d’attribution ?

A

tendance à négliger les facteurs situationnels et à surestimer les facteurs propres à l’individu

54
Q

Quelle est la différence entre l’erreur fondamentale d’attribution et le biais d’auto-complaisance ?

A

hétéro-attribution (efa)

55
Q

Qui a proposé l’erreur fondamentale d’attribution ?

A

Ross en 1997

56
Q

Pourquoi fait-on une attribution défensive ?

A

parce qu’on a besoin de croire que quelqu’un contrôle ce qui se passe

57
Q

Donner des exemples de biais motivationnels

A

-biais d’auto-complaisance
-attribution défensive

58
Q

Quel biais est à l’origine de nombreux conflits entre les personnes ?

A

Le biais acteur-observateur

59
Q

Qu’est-ce que le biais acteur-observateur ?

A

Les acteurs ont tendance à attribuer leurs actions aux pressions de la situation alors que les observateurs ont tendance à attribuer ces mêmes comportements à des caractéristiques personnelles de l’individu.

60
Q

Qu’est-ce qui explique les différences d’attribution entre les acteurs et les observateurs ?

A

-cognition (l’acteur se connait mieux donc il attribue ses comportements à l’environnement)
-centre d’attention (l’observateur focalise son attention sur l’acteur)

61
Q

Qu’est-ce que l’attribution défensive ?

A

tendance à blamer quelqu’un et ce d’autant plus que la situation est grave

62
Q

Biais d’attribution autocentré

A

Qd la personne pense avoir contribué davantage à un projet commun que ce que les autres pensent qu’il a effectivement fait.

63
Q

Qu’est-ce que la norme d’internalité ?

A

explique les biais
tendance à surestimer le poids des causalités d’acteur et du lieu de contrôle interne

64
Q

Schémas cognitifs

A

structures cognitives qui servent à la fois de résumés pratiques sur une multitude de sujets (“pense-bête” ) et d’outils pour traiter les informations dans les contextes sociaux.

65
Q

Qui a établi la théorie des impressions cohérentes ?

A

Asch (1946)

66
Q

Que dit la théorie des impressions cohérentes ?

A

l’impression globale sur un individu n’est pas équivalente à la somme des impressions de chaque trait particulier.

67
Q

Théorie Implicite de la Personnalité

A

Les individus présupposent des liens entre des traits et supposent que certains traits vont mieux ensemble

68
Q

Qui propose le modèle algébrique ?

A

Anderson

69
Q

Quelles sont les opérations successive du modèle algébrique qui permettent d’élaborer un jugement ?

A

opération de valuation (création d’une valeur subjective)
opération d’intégration (réponse implicite algébrique)
opération de réponse (réponse observable)

70
Q

Quels sont les différents types de schémas ?

A

-sur soi
-sur la personne
-sur les groupes sociaux
-sur les événements

71
Q

Sur quels modèles s’appuient les schémas cognitifs ?

A

-théorie implicite de la personnalité
-modèle algébrique

72
Q

De quoi dépend le schéma sur soi ?

A

du temps
de l’expérience

73
Q

A quoi servent les schémas de rôle ?

A

à réguler son comportement en fonction de la situation sociale

74
Q

A quoi servent les schémas cognitifs ?

A

interpréter des événements, élaborer des jugements ou prendre des décisions

75
Q

Que sont les heuristiques ?

A

raccourcis mentaux, économiques qui permettent de trouver des solutions acceptables, mais pas toujours correctes

76
Q

Heuristiques de représentativité

A

visent à associer l’information provenant de notre environnement social à un schéma déjà existant afin de déterminer si les deux correspondent

77
Q

Heuristique de disponibilité

A

tendance des individus à prendre des décisions basées sur la facilité avec laquelle certains exemples viennent à l’esprit

78
Q

Quels sont les déterminants de l’heuristique de disponibilité ?

A

-disponibilité
-fréquence
-récence

PSYCHOLOGIE-LICENCE 3-S6 (9 decks)

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