Endocrinologie Générale Flashcards
Après leur synthèse dans les cellules, les hormones se retrouvent dans le compartiement sanguin.
A. On les retrouve sous quelles formes possiblement?
B. Qu’est-ce qui détermine la forme qu’ils adoptent?
C. Arrivées aux cellules-cibles, comment intéragissent-elle avec elles?
D. Que se passe-t-il après l’interaction avec la cellule-cible?
E. Comment la sécrétion d’hormone est elle contrôlée pour ne pas s’emballer?
A. Formes d’hormones dans le sang: libre ou liè (albumine)
B. Forme dans le sang déterminée par la solubilité
C. Interaction avec les cellules-cibles
- horomes hydrosolubles: fixation sur ds récepteurs membranaires
- hormones liposolubles (hydrophobes): dans les cellules
D. Après l’interaction avec la cellule-cible, il y a une phase de stockage ou éventuellement de distributino vers une autre cellule-cible. Ensuite les hormones sont élimiées soit de faôn directe, soit catabolisées par le foie ou le rein puis ensuite excrétées via la bile ou l’urine.
E. La présence d’hormones dans le sang provoque un rétrocontrôle le plus souvent négatif sur sa production
Les hormones apolaires (liposolubles)
A. Comment interagissent-elles avec la cellule pour mener à une réponse?
B. Caractériser cette réponse.
C. Sur quelles fonctions jouent ces hormones?
A. Directement après s’être débarassés des transporteurs, elles pénètrent dans le cytoplasme puis dans le noyau où sont présents des récepteurs nucléaires.
B. Réponse lente et durable: inhibitrice ou activatrice de l’expression des gènes
C. Joue sur la synthèse des protéines et changent le phénotype (processus lent)
Les hormones polaires (hydrosolubles)
A. Comment interagissent-elles avec la cellule pour mener à une réponse?
B. Caractériser cette réponse.
A. Elles induisent les cellules par des récepteurs membranaires qui vont induire une cascade d’activation et de signalisation intracellulaire (par activation d’enzymes intracellulaires)
B. Réponse efficace, immédiate et fugace
Résumer l’exemple du métabolisme du glucose en relation avec les hormones adrénaline et cortisol
Adrénaline: hormone polaire (hydrosoluble) qui agit vite, il y a libération rapide de glucose par glucogénolyse
Cortisol: hormone apolaire (liposoluble) à effet durable, il y a libéraiton prolongée de glucose par néoglycogénèse
Dans le cas d’une maladie endocrine, le diagnostic se fait en 2 étapes, quelles sont-elles?
- obsevation des effets cliniques de la maladie
- observation des effets biologiques
A. Comment se fait l’observation des effets cliniques?
B. Donner l’exemple du diabète sucré
C. Qu’utilise-t-on pour conclure sur la pathologie?
A. Au cours de l’examen clinique on va suspecter une maladie endocrine
B. Ex. Le diabète sucré est lié à l’absence d’insuline ou à une insuline qui ne fonctionne plus, les effets cliniques sont un animal en polyurie-polydipsie.
C. Utilisation d’un tableau clinique de diagnostic différentiel
A. Comment se fait l’observation des effets biologiques?
B. Qu’est-ce qu’on cherche à savoir?
C. Donner l’exemple du diabète sucré
A. Après avoir établi une suspicion clinique, on la vérifie par les effets biologiques du problème hormonal. On mesure les hormones selon leurs voies de stockage ou d’élimination (sang, urine…)
B. Objectif: savoir si l’hormone est en excès ou en déficit
C. Ex. Diabète sucré: les effets biologiques du manque d’insuline sont une hyperglycémie et une glycosurie
Quelles sont les différentes méthodes poru connaître le dosage des hormones?
- dosage direct
- dosage indirect
En quoi consiste le dosage indirecte?
- les effets biologiques
- l’élimination urinaire
- on contrôle l’action de l’hormone en la freinant ou en la stimulant
Qu’est-ce qui fait que parfois le simple dosage d’hormones est trop difficile?
- Certaines hormones sont produties de manière pulsatile au cours de la journée. Il faut donc doser des constituants de l’axe de régulation.
- Hormones sexuelles: elles sont toutes très proches au niveau moléculaire, il peut donc se produire des erreurs d’appréciation.
On utilise des dosages immunologiques assez complexes.
A. Comment peuvent-ils poser problème?
B. À quoi a-t-on recourt alors?
C. En lien avec les résultats de laboratoire, à quoi faut-il faire attention et pourquoi?
A. Problèmes enr aison des différences significatives selon les espèces
B. On a recourt à des laboratoires spécialisés
C. Les résultats peuvent être différents et non compatibles d’un laboratoire à l’autre car les automates sont différents.
La nature des hormones peut aussi être problématique, comment?
- les concentrations physiologiques sont parfois très faibles, il faut donc des techniques de dosage très fines et performantes, non accessibles en clinique
- les hormones sont plus ou moins fragiles
A. Quelle nature d’hormones est très sensible et à quoi?
B. Quelle nature d’hormones est beaucoup plus stable?
C. Comment gère-t-on cette fragilité des hormones?
A. Les hormones de nature protéiques sont très sensibles à la protéolyse
B. Les hormones stéroïdiennes sont beaucoup plus stables et il n’y a pas de notion de particularités spécifiques. Elle peuvent parfois être dosées en cliniques ou en tout cas l’envoie est plus simple.
C. Utilisation de tubes spéciaux ou une congélation requise. Il faut regarder ce que demande le laboratoire.
Pourquoi est-ce qu’on ne fait jamais un dosage d’hormones en première consultation?
- c’est trop compliqué au niveau des conditions pré-analytiques
- on regarde d’abord s’il y a des effets biologiques avant de faire un dosage hormonal
En résumé, qu’est-ce qui fait qu’on a le plus souvent recours à des laboratoires spécialisés?
- concentration faible ->limite de quantification basse
- molécules de structure voisine (ex. Cortisol, corticostérone) -> forte spécificité immunologique
- protéines et peptides variables selon l’espèce ->réactifs par espèce