Economie Flashcards

1
Q

Macroéconomie

A

étudie les phénomènes économiques à grande échelle, en se concentrant sur les agrégats comme le PIB, l’inflation, le chômage, et les échanges internationaux.

Elle analyse les interactions entre la production, la consommation, et la répartition des revenus au niveau national ou international

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2
Q

PIB

A

Produit Intérieur Brut (PIB) est un indicateur économique clé qui mesure la valeur totale des biens et services produits dans un pays au cours d’une période donnée

reflète la richesse créée par les unités résidentes et sert à évaluer la performance économique d’une nation

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3
Q

PIB nominal

A

Évalué aux prix courants. Actuels. Qui changent.

valeur totale des biens et services produits dans un pays à prix courants, sans ajustement pour l’inflation.

Contrairement au PIB réel, il inclut les variations de prix dues à l’inflation ou à la déflation, ce qui peut donner une image biaisée de la croissance économique réelle.

Calcul : Il est basé sur les prix de l’année en cours.

Utilisation : Permet d’évaluer la taille de l’économie en termes monétaires, mais ne reflète pas les changements réels en volume de production24.

Limites : Ne distingue pas si une augmentation provient d’une hausse des prix ou d’une réelle croissance économique.

PIB nominal est utile pour des comparaisons économiques globales, mais le PIB réel est préférable pour analyser la croissance effective.

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4
Q

PIB réel Produit Intérieur Brut en volume)

A

mesure de la production économique ajustée pour éliminer l’effet de l’inflation ou de la déflation. Il est calculé à prix constants, en utilisant les prix d’une année de référence, ce qui permet de mesurer uniquement les variations des quantités produites

Utilité : Évaluer la croissance économique réelle, en excluant l’impact des variations des prix.

Déflateur du PIB : Indice qui reflète les variations générales des prix et permet de convertir le PIB nominal en PIB réel

antages :

Comparaison fiable entre différentes périodes.
Mesure précise des changements réels dans l’économie

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5
Q

En 2023, le PIB nominal en France était de 2 803 milliards d’euros, mais le PIB réel (année de base 2014) était de 2 394 milliards d’euros, montrant une croissance réelle plus faible (0,7 %) après correction de l’inflation1.

A
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6
Q

trois méthodes principales (gdp _ pib)

A

Approche par la production: additionner la valeur ajoutée de chaque secteur de l’économie

une entreprise produit des biens pour une valeur de 100 euros et utilise des matières premières et d’autres consommations intermédiaires pour une valeur de 60 euros, la valeur ajoutée serait de 40 euros. Production(+salaires) - bien intermédiaires

Par les revenus: additionne tous les revenus générés par la production de biens et services. Moins toute cout de production, salaires, matériaux… a company makes 150 euros, but that person invested 50 in materials and 50 in personnel so the PIB par revenus est 50. (Ce qui reste)

Par la demande: on demande des motos, voitures, trottinettes d’une compagnie. Le PIB est le prix payé pour ces biens finaux. 50 + +30 +20 = 90. We don’t take into consideration les consommations intermédiaires, materials, salariés…

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7
Q

valeur ajoutée

A

représente la richesse créée par une entreprise,

prenant la valeur de la production finale (ou des biens et services produits) et en soustrayant la valeur des consommations intermédiaires (c’est-à-dire les biens et services utilisés pour produire les biens finaux).

Valeur ajouté: valeur de la production - moins Consommations intermédiaires

valeur ajoutée permet de mesurer la contribution réelle d’une entreprise ou d’un secteur à l’économie.

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8
Q

Stocks (Inventories)

A

When businesses produce goods, some of these goods might not be sold immediately. The goods that are produced but not sold are added to the company’s inventories. An increase in inventories is considered an investment because it represents goods that will be sold in the future.

When calculating PIB, stocks are included in the production year. Even if they’re sold a year after, it counts only for the production year. Meaning that used goods, are not counted into PIB parce qu’ils ont déjà été comptabilisés

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9
Q

Pib nominal 2

A

Par exemple, supposons qu’une économie produit 100 unités de biens et services à un prix de 10 euros par unité en une année. Le PIB nominal serait alors :

PIBnominal= 100* 10 = 1000 euros

Si l’année suivante, le prix des biens augmente à 12 euros par unité mais la quantité reste la même, le PIB nominal serait :

PIBnominal= 100 * 12 = 1200

le PIB nominal montre une augmentation en raison de la hausse des prix, même si la production est restée constante.

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10
Q

Pib réel 2

A

calculer le PIB réel, on utilise généralement une année de base, qui sert de référence pour comparer les niveaux de production d’autres années.

PIB réel = pib nominal / deflateur du PiB x 100
1200 / 1,2 x 100 = 1000

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11
Q

Pib vs pib réel

A

Le nonimal te dit la valeur totale sans d’autres détails.

Le réel étudie le pourquoi, parce que il y a plus de production? Ou parce que les prix on était augmentés?

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12
Q

Deflateur de PIb

A

indicateur économique qui permet de mesurer l’inflation ou la déflation dans une économie en ajustant la valeur nominale du PIB pour obtenir la valeur réelle.

Contrairement à l’Indice des Prix à la Consommation (IPC), qui suit les variations des prix d’un panier fixe de biens et services consommés par les ménages, le déflateur du PIB couvre l’ensemble des biens et services produits dans l’économie, y compris les investissements, les dépenses publiques, et les exportations nettes.

Deflateur du pib= pib nominal / pib réel * 100

C’est à dire, année souhaité divisé par année de base

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13
Q

Taux de croissance

A

Y1- Yn / yn x100

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14
Q

Pib réel basique

A

2015 chaussures 30 mil euros
2016 chaussures 35 mil euros
Prix réel pib pour 2016 = chaussures * prix 2015

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15
Q

Question 1. Rappelez la définition du taux de croissance de la richesse exprimé en pourcentage en utilisant le PIB de l’année 2022.

A

calculé en pourcentage, mesure l’augmentation de la richesse d’un pays d’une année à l’autre.

C’est comme mesurer combien un gâteau a grandi entre deux années. Si le gâteau était plus petit en 2021 et a grossi en 2022, on calcule la différence pour savoir de combien il a grandi en pourcentage. 😊
Taux = pib2020 - pib2019 divisé par pib2019 x100

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16
Q
A
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17
Q

Comment expliquez la création de richesses à partir de la définition précédente ?

A

vient de l’augmentation de la production économique d’un pays, augmentation des prix mesurée par le PIB.

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18
Q

Question 3. Quelle est la relation entre la création de richesses et le stock de richesses ou le patrimoine ?

A

La relation entre la création de richesses et le stock de richesses (ou patrimoine) repose sur le fait que la création de nouvelles richesses alimente et modifie ce patrimoine au fil du temps.

///
Création de richesses comme flux : La création de richesses, mesurée par le PIB ou d’autres indicateurs, correspond à ce qu’une économie produit sur une période donnée (par exemple, une année). C’est un processus dynamique qui ajoute de la valeur à l’économie.

Stock de richesses comme réservoir : Le patrimoine représente l’ensemble des richesses accumulées au fil du temps, comme les biens immobiliers, les infrastructures, les réserves naturelles, le capital financier, etc. C’est une mesure statique à un moment donné.

Lien dynamique :

Lorsque les richesses sont créées (par exemple, par une croissance économique), elles peuvent s’accumuler dans le stock de richesses sous forme de nouveaux bâtiments, d’équipements, d’épargne ou d’autres actifs.

Inversement, si le stock de richesses est bien géré, il peut contribuer à la création future de richesses (par exemple, investir un capital existant dans de nouvelles technologies ou infrastructures).

20
Q

• l’entreprise 1 produit de l’acier pour un montant de 150 euros ; elle vend pour 80 euros à l’entreprise 2, laquelle produit des voitures ; le complément de 20 en vendu directement sur le marché des trottinettes et 50 sur le marché des vélos ; l’entreprise 1 emploie des travailleurs et a recours à des machines ; elle paie ses employés 50 euros et ce qui reste, le solde, constitue son profit de 100 ; • l’entreprise 2 achète l’acier à l’entreprise 1 et l’utilise pour produire des voitures ; la vente des voitures (chiffre d’affaires = quantité de voitures x prix unitaire) rapporte 250 euros ; l’entreprise 2 a embauché des employés et utilise des machines ; des 250 euros de vente, 80 euros paient l’acier à l’entreprise 1 et 100 euros les salaires des employés.

A

Approche par la production
Le PIB est la valeur ajoutée totale de toutes les entreprises :

Entreprise 1 (acier) : Production = 150 euros ; Achats intermédiaires = 0 (puisque c’est une production primaire). Valeur ajoutée = 150 euros.

Entreprise 2 (voitures) : Production = 250 euros ; Achats intermédiaires = 80 euros (coût de l’acier). Valeur ajoutée = 250 - 80 = 170 euros.

PIB par la production = Valeur ajoutée de l’entreprise 1 + Valeur ajoutée de l’entreprise 2 = 150 + 170 = 320 euros.

Approche par les revenus
Le PIB est la somme des revenus générés :

Entreprise 1 : Salaires = 50 euros ; Profits = 100 euros.

Entreprise 2 : Salaires = 100 euros ; Profits = 70 euros (250 - 80 pour l’acier - 100 pour les salaires).

PIB par les revenus = Salaires totaux + Profits totaux = (50 + 100) + (100 + 70) = 320 euros.

Le PIB est la somme des dépenses finales :

Les trottinettes et vélos vendus directement par l’entreprise 1 rapportent 20 + 50 = 70 euros.

Les voitures vendues par l’entreprise 2 rapportent 250 euros.

PIB par les dépenses = Dépenses en trottinettes/vélos + Dépenses en voitures = 70 + 250 = 320 euros.

21
Q

Est-ce que la valeur ajoutée change après une fusion?

A

Après la fusion
Si les deux entreprises fusionnent, elles deviennent une seule entité. Dans ce cas, l’achat interne d’acier (80 euros) disparaît, car il ne s’agit plus d’un échange entre deux entreprises distinctes mais d’un transfert interne.

Nouveau chiffre d’affaires = 250 + 20 + 50 = 320 (toutes les ventes finales)
Consommations intermédiaires = 0 (l’acier est produit en interne)
Valeur ajoutée totale après fusion = 320 - 0 = 320
Conclusion
La fusion ne change pas la valeur ajoutée totale (elle reste 320). En effet, la valeur ajoutée mesure la richesse créée dans l’économie et non les transactions internes entre entreprises.

Remarque : Ce raisonnement suppose qu’aucune synergie ou inefficacité n’est introduite par la fusion. Dans la réalité, des gains de productivité ou des coûts d’intégration peuvent légèrement modifier la valeur ajoutée.

22
Q

Comment comptabiliser les biens abîmés ou détruits ?

A

Ces destructions ne sont pas comptabilisées dans le PIB car elles concernent des biens qui n’ont pas été vendus.

Ils sont considérés comme des pertes internes à l’entreprise.
Impact sur la valeur ajoutée :
La destruction réduit l’efficacité productive, mais elle ne modifie pas directement la valeur ajoutée, car celle-ci est calculée à partir du chiffre d’affaires des ventes finales.
Toutefois, si la perte entraîne des coûts supplémentaires (achat de nouvelles matières premières, réparations), cela peut indirectement affecter la rentabilité.

Valeur ajouté = chiffres d’affaires finales.

23
Q
  1. Comment comptabiliser les biens abîmés ou détruits ?
A

Conclusion
Les stocks sont inclus dans le PIB via la variation de stocks.
Les invendus ne sont pas une perte immédiate pour le PIB, car ils sont comptabilisés comme une production stockée. De l’année en cours de sa production

24
Q
  1. Calcul de l’indice du volume de production
A

Pommes 2015 750
Pommes 2016 770
770/750 *100 = 102,17 (2.17%) de production

25
Q

Calculer l’indice de la valeur de la production à prix constants (base = 100 en 2015). Commentez vos résultats.

A

Valeur de la production (en € 2015)
Indice base 100=2015
1 851

2 173

2173/1851*100 = 117.00 17%b

26
Q

Calcul du déflateur du PIB
Le déflateur du PIB est calculé en divisant le PIB nominal par le PIB réel et en multipliant le résultat par 100 :b

27
Q

Exercice 5. Le déflateur du PIB
Supposons qu’une économie a produit pour 10 millions de dollars de biens et de services au cours de la première année. Au cours de la deuxième année, la production ou le PIB est passé à 12 millions de dollars.
Question 1. Quelle est l’augmentation de la production ?
Question 2. Si les prix augmentent de 10% entre les deux années, que concluez-vous en utilisant la définition du déflateur du PIB ?

A

20 pour-cent d’augmentation.

L’augmentation de la production (ou taux de croissance du PIB) est de 20 % entre la première et la deuxième année.

Calcul du déflateur du PIB
Le déflateur du PIB est calculé en divisant le PIB nominal par le PIB réel et en multipliant le résultat par 100 
12m/11m x100 =109,09 (10%)

20% de croissance dont 10% d’inflation,

déflateur du PIB mesure l’évolution des prix dans l’économie.

Si les prix ont augmenté de 10 %, cela signifie que le PIB nominal de 12 millions de dollars en année 2 inclut cette augmentation des prix.

Calcul du PIB réel en année 2 : 12m / 1 + pourcentage (0,10) : 12m / 1,10 *100 = 10,91m de pib réel.

Deflateur pib: 12m / 10.91 * 100 = 110 de deflateur. 10% d’augmentation

28
Q

Extra. Dans cet exemple, avec une croissance nominale de 20 % et une inflation de 10 %, la croissance réelle serait d’environ 9,1 %, calculée comme suit :

A

1 + 0.20 / 1 + 0.10 - 1 * 100 = 9.1% de croissance réelle

29
Q

La méthode des prix hédoniques est une approche économique qui analyse comment les caractéristiques spécifiques d’un bien ou d’un service influencent son prix sur le marché. Elle repose sur l’idée que la valeur d’un produit est déterminée par les attributs qui le composent, tels que la qualité, la localisation ou d’autres spécificités.

30
Q

taux de chômage.

A

Seuls ceux qui cherchent effectivement du travail sont comptabilisés comme des chômeurs ; ceux qui ne travaillent pas mais ne cherchent pas d’emploi ne sont pas considérés comme appartenant à la population active.

La figure fait ressortir qu’une forte croissance s’accompagne en général d’une baisse du taux de chômage, et une faible croissance d’une hausse du chômage. C’est intuitif : une forte croissance conduit à une forte hausse de l’emploi, parce que les entreprises embauchent pour produire plus. Cette hausse de l’emploi entraîne une baisse du chômage.

31
Q

Le PIB nominal est égal au PIB réel multiplié par le déflateur du PIB.

32
Q

la croissance de l’IPC a été significativement plus forte que celle du déflateur du PIB. La raison en est simple. Il suffit de se souvenir que le déflateur du PIB est le prix des biens domestiques, alors que l’IPC est le prix des biens consommés sur place. Cela signifie que, quand le prix des biens importés augmente plus vite que le prix des biens produits, l’IPC croît plus vite que le déflateur du PIB.

33
Q

Résumé

A

On peut considérer le PIB, la principale mesure de l’activité économique globale, de trois façons :

  1. il est la valeur des biens et des services finaux produits dans l’économie pendant une certaine période ;
  2. il est la somme des valeurs ajoutées dans l’économie durant une certaine période ;
  3. il est la somme des revenus distribués dans l’économie durant une certaine période.
34
Q

Résume

A

Le PIB nominal est égal à la somme des quantités des biens finaux, multipliée par leur prix. Cela implique que les variations du PIB nominal reflètent à la fois des modifications de quantités et de prix. Le PIB réel est une mesure du produit. Les variations du PIB réel traduisent seulement des variations de quantités.

La population active est la somme du nombre d’employés et de chômeurs. Le taux de chômage est le rapport entre le nombre de chômeurs et la population active. Sont classées comme chômeurs les personnes qui n’ont pas d’emploi et en ont cherché un au cours des quatre dernières semaines.

La relation empirique entre le taux de croissance du PIB et le taux de chômage est appelée « loi d’Okun ». Elle montre qu’un fort taux de croissance est associé à une diminution du taux de chômage et, réciproquement, un faible taux de croissance est associé à un accroissement du taux de chômage

L’inflation est une hausse du niveau général des prix. Le taux d’inflation est le taux d’accroissement du niveau des prix. Les macroéconomistes utilisent deux mesures de ce niveau : le premier est le déflateur du PIB, qui donne le prix moyen des biens produits dans l’économie ; le second est l’indice des prix à la consommation (IPC), qui exprime le prix moyen des biens consommés dans l’économie

35
Q

Courbe des Philips vs Okun

A

L’inflation est coûteuse parce qu’elle modifie la répartition des revenus et qu’elle accroît les distorsions de prix et l’incertitude

relation empirique inverse entre le taux de chômage et le taux de croissance des salaires nominaux. Selon cette courbe, une baisse du chômage est associée à une hausse de l’inflation, et inversement. Cette relation s’explique par le fait qu’un marché du travail tendu, caractérisé par un faible chômage, renforce le pouvoir de négociation des salariés, conduisant à des augmentations salariales et, par conséquent, à une hausse des prix.

établit une relation linéaire empirique entre le taux de croissance du produit intérieur brut (PIB) et la variation du taux de chômage. Elle suggère qu’une croissance économique inférieure à un certain seuil entraîne une augmentation du chômage, tandis qu’une croissance supérieure à ce seuil conduit à une diminution du chômage.

Relation avec le chômage : Les deux théories examinent comment le chômage est influencé par d’autres variables économiques. La courbe de Phillips se concentre sur la relation entre chômage et inflation, tandis que la loi d’Okun analyse le lien entre chômage et croissance du PIB.

36
Q

Lorsque le taux de participation est élevé, le taux de chômage a également tendance à être élevé. Vrai ☐ Faux ☐.

A

Taux de participation : Pourcentage de personnes en âge de travailler qui ont un emploi ou en cherchent activement un.
Taux de chômage : Pourcentage de personnes sans emploi mais qui cherchent activement du travail, par rapport à la population active.
Relation entre les deux :

Quand le taux de chômage est élevé, certaines personnes peuvent se décourager et arrêter de chercher un emploi. Elles sortent alors de la population active, ce qui diminue le taux de participation.

38
Q

c. Le taux de chômage a tendance à diminuer dans les périodes de croissance et à augmenter lors des récessions. Vrai ☐ Faux ☐

A

généralement vraie. Cette relation est décrite par la loi d’Okun, qui établit un lien empirique entre la croissance du produit intérieur brut (PIB) et les variations du taux de chômage.

En général, une croissance économique soutenue favorise la création d’emplois et réduit le taux de chômage, tandis que les récessions, caractérisées par une contraction de l’activité économique, entraînent une augmentation du chômage.

39
Q

d. Si le chômage décourage les travailleurs de chercher un emploi, le taux de chômage est un mauvais indicateur des conditions qui prévalent sur le marché du travail. Il faut donc recourir au taux d’activité. Vrai ☐ Faux ☐

A

Vrai

Taux de chômage : Il mesure la proportion de personnes sans emploi qui cherchent activement du travail par rapport à la population active. Cependant, si des individus se découragent et cessent de chercher un emploi, ils sortent de la population active et ne sont plus comptabilisés comme chômeurs, ce qui peut sous-estimer la réalité du chômage.
Taux d’activité : Il représente la proportion de personnes en âge de travailler qui sont actives sur le marché du travail, qu’elles aient un emploi ou qu’elles en cherchent un. Une baisse du taux d’activité peut indiquer que des individus ont renoncé à chercher un emploi, reflétant ainsi des conditions défavorables sur le marché du travail.

40
Q

e. La loi d’Okun montre que le taux de chômage augmente lorsque le taux de croissance du PIB diminue. Vrai ☐ Faux ☐b.

41
Q

f. Si l’IPC japonais est à 110 et l’américain à 101, le taux d’inflation au Japon est supérieur à ce qu’il est aux États-Unis. Vrai ☐ Faux ☐

A

Vrai. Si l’année de base est la même (base 100)

L’Indice des Prix à la Consommation (IPC) mesure le niveau moyen des prix des biens et services consommés par les ménages à une période donnée, en prenant une année de référence comme base 100. Ainsi, un IPC de 110 signifie que les prix ont augmenté de 10 % par rapport à l’année de référence, tandis qu’un IPC de 101 indique une augmentation de 1 %.

42
Q

g. La somme des valeurs ajoutées est égale au PIB. Vrai ☐ Faux ☐

A

Vrai. e Produit Intérieur Brut (PIB) mesure la valeur totale de tous les biens et services finaux produits dans une économie sur une période donnée. Vu que la valeur ajouté est la production finale moins les coûts intermédiaires