DSM-IV-TR Flashcards
Quels sont les critères du trouble d’adaptation?
A. Survient suite à un stresseur ajouté dans les 3 mois précédent les symptômes.
B. Les symptômes sont cliniquement significatif :
1) Ils entrainent une souffrance disproportionnée
2) Altère avec le fonctionnement normal du patient
C. La perturbation ne répond pas aux critères d’un autre trouble de l’axe I et n’est pas une exacerbation d’un trouble de l’axe I ou II.
D. Il ne s’agit pas d’un deuil.
E. Les symptômes ne persistent pas au delà de 6 mois suivant le retrait du stresseur.
Quels sont les critères diagnostiques généraux pour le trouble de personnalité?
A. Un pattern d’expérience et de comportement qui dévient des attentes culturelles dans 2 ou plus des domaines suivants : (1) Cognition; (2) Affectivité (3) Fonctionnement interpersonnel & (4) Contrôle des impulsion
B. Le pattern est durable et rigide. Il envahi toute les situations.
C. Entraîne une souffrance cliniquement significative, ou une …
Quels sont les critères diagnostiques du trouble de personnalité paranoïaque?
A. Le patient démontre au moins 4/7 symptômes suivants :
(1) S’attend, sans raison suffisante à être exploité, nuit ou trompé par les autres.
(2) Préoccupé par des doutes injustifiés concernant loyauté/fidélité de son entourage.
(3) Réticent à se confier à autrui par crainte que ça revienne contre lui.
(4) Discerne signification cachée, humiliante ou menaçante dans des évènements anodins.
(5) Rancunier, ne pardonne pas d’être blessé, insulté ou dédaigné
(6) Réagit par colère ou rétorsion envers des attaques imaginées contre lui ou sa réputaion
(7) Suspecte de façon répété et non-justifier la fidélité du conjoint.
Quels sont les critères diagnostiques du trouble de la personnalité schizoïde?
A. Le patient démontre au moins 4/7 symptômes suivants :
(1) Ne cherche ni apprécie toute relation sociale, y compris intra-familiale.
(2) Choisi presque toujours des activités solitaires.
(3) Présente peu ou pas d’intérêt pour le sexe
(4) Éprouve du plaisir que dans de très rares activités.
(5) ø confidents en dehors des parents du 1°.
(6) Semble indifférent aux critiques ou aux éloges d’autrui.
(7) Présente une froideur et un émoussement de l’affectivité.
Quels sont les critères diagnostiques du trouble de la personnalité schizotypique?
A. Le patient démontre au moins 5/9 symptômes suivants :
(1) Idées de références
(2) Croyances bizarres ou pensée magique discordantes aux normes culturelles qui nuisent au fonctionnement.
(3) Perception inhabituelle (notamment illusion corporelle)
(4) Pensée et langage bizarre.
(5) Idéation méfiante ou persécutoire. (Idée de persécution)
(6) Affects pauvres ou inadéquats.
(7) Comportement bizarre, excentrique ou singulier.
(8) Absence d’amis proches ou de confident en dehors des parents de 1°.
(9) Anxiété excessive en situation sociale qui ne se désensibilise pas et causée par idée de persécution.
Quels sont les critères du trouble de la personnalité anti-sociale?
A. Le patient démontre au moins 3/7 signes suivants :
(1) Incapacité à se conformer à des normes sociales.
(2) Tromperie par le biais de mensonge, alias, escroquerie
(3) Impulsivité, incapacité à prévoir
(4) Irritabilité et agressivité (Hx conflits & agressions)
(5) Dédain de la sécurité de soi et d’autrui.
(6) Irresponsabilité chronique (travail, finance)
(7) Absence de remords ou de culpabilité.
B. Traces de troubles de comportement avant l’âge de 15 ans.
C. Comportement antisocial n’est pas limité à des épisodes maniaques ou à de la schizophrénie.
Quels sont les critères du trouble de la personnalité limite?
A. Le patient démontre au moins 5/9 signes suivants :
(1) Efforts effrénés pour éviter un abandon réel ou imaginé (ne pas inclure les éléments du critère 5)
(2) Relations interpersonnelles instables et intenses caractérisé par une alternance amour/haine.
(3) Perturbation de l’identité
(4) Impulsivité dans au moins 2 domaines dommageables pour le sujet (dépenses, sexualité, toxicomanie, alcoolisme, jeu pathologique, conduite dangereuse, anorexie, boulimie)
(5) Répétition de comportements, gestes ou menaces suicidaires.
(6) Instabilité affective du à une réactivité de l’humeur.
(7) Sentiment chronique de vide.
(8) Colère intenses et inappropriées ou difficile à contrôler.
(9) Survenue transitoire d’idéation persécutoire ou de symptômes dissociatifs sévères dans les situations de stress.
Quels sont les critères du trouble de la personnalité histrionique?
A. Le patient démontre au moins 5/8 signes suivants :
(1) Mal à l’aise dans les situation où il n’est pas le centre d’attention.
(2) Interaction souvent caractérisé par un comportement de séduction ou attitude provocante.
(3) Expression émotionnelle superficielle et instable.
(4) Utilise souvent son aspect physique pour attirer l’attention.
(5) Manière de parler trop subjective et pauvre en détails.
(6) Dramatisation et exagération de l’expression émotionnelle.
(7) Fait preuve de suggestibilité : facilement influencé par les autres ou par les circonstances.
(8) Considérer que ses relations sont plus intimes qu’elles le sont en réalité.
Quels sont les critères du trouble de la personnalité narcissique?
A. Le patient présente au moins 5/9 signes suivants :
(1) Présente un sens grandiose de sa propre importance.
(2) Est absorbé par des fantaisies de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté, de perfection et d’amour idéal.
(3) Pense être “spécial” et unique. Il pense ne pouvoir être admis que par des institutions ou des gens spéciaux de haut niveau.
(4) Montre un besoin excessif d’être admiré.
(5) Pense que tout lui est dû.
(6) Exploite l’autre dans les relations interpersonnelles (utilise autrui)
(7) Manque d’empathie, ne reconnait ou ne partage pas les sentiments et les besoins d’autrui.
(8) Envie les autres et croit que les autres l’envient.
(9) Attitude et comportements arrogants et hautains.
Quels sont les critères du trouble de la personnalité évitante?
A. Le patient présente au moins 4/7 signes suivants :
(1) Évite les activités sociales par crainte d’être critiqué, désapprouvé ou rejeté.
(2) Réticence à s’impliquer avec autrui sans la certitude d’être aimé.
(3) Réservé dans les relations intime par peur de la honte et du ridicule.
(4) Craint d’être critiqué ou rejeté dans les situations sociales.
(5) Inhibé dans les relations interpersonnelles par peur de ne pas être à la hauteur.
(6) Se perçoit comme socialement incompétent, sans attrait ou inférieur aux autres
(7) Réticent à prendre des risques ou à s’engager dans de nouvelles activités par crainte de l’embarras.
Quels sont les critères du trouble de la personnalité dépendante?
A. Le patient démontre au moins 5/8 signes suivants :
(1) Ne prend pas de décision sans être rassuré / conseillé de manière excessive par autrui.
(2) A besoin que les autres assumes les responsabilités dans la plupart des domaines de sa vie.
(3) N’exprime pas son désaccord avec autrui pour ne pas perdre son approbation ou son soutien
(4) A du mal à initier des projets ou faire des choses seul.
(5) Cherche à outrance le soutien et l’appui d’autrui, au point de faire volontairement des choses désagréables.
(6) Se sent mal à l’aise ou impuissant quand il est seul par crainte d’être incapable de se débrouillé.
(7) Lorsqu’une relation proche se termine, cherche de manière urgente une autre relation.
(8) Est préoccupé de manière irréaliste par la crainte d’être laissé à se débrouillé seul.
Quels sont les critères du trouble de la personnalité obsessive-compulsive?
A. Le patient démontre au moins 4/8 signes suivants :
(1) Préoccupé par les détails, les règles, les listes, l’ordre et l’organisation et les horaires.
(2) Perfectionnisme qui interfère avec la réalisation de la tâche.
(3) Excessivement dévoué au travail et à la productivité au point de ne pas avoir de loisir ou d’amitié.
(4) Trop consciencieux, scrupuleux et inflexible sur les sujets de morale, d’éthique ou de valeurs (autre que culturel ou religieux).
(5) Incapacité à jeter de vieux objets (même usés, sans valeur monétaire et sentimentale)
(6) Réticent à déléguer des tâches ou à travailler avec les autres à moins qu’il ne se soumette complètement à ses méthodes de travail.
(7) Amasse de l’argent pour se préparer à l’éventualité d’une catastrophe
(8) Rigide et entêté.
Quels sont les critères d’une attaque panique? (Pas un diagnostic)
Une période brève et intense de peur et d’inconfort caractérisé par 4/13 des symptômes suivants :
(1) Palpitation, battement fort ou augmentation du RC.
(2) Transpiration.
(3) Tremblement ou contraction musculaire involontaires.
(4) Sensation de souffle court.
(5) Sensation d’étranglement.
(6) Douleur ou inconfort thoracique.
(7) Douleur ou inconfort abdominal.
(8) Vertige, instabilité, évanouissement, tête légère.
(9) Déréalisation (détachement de la réalité) et dépersonnalisation (détachement de soi).
(10) Peur de perdre le contrôle de soi ou “de devenir fou”.
(11) Peur de mourir
(12) Paresthésies
(13) Frissons ou bouffées de chaleur.
Quels sont les critères diagnostique d’un trouble panique avec/sans agoraphobie?
A. Doit avoir les deux symptômes suivants :
(1) Attaques paniques inattendues et répétés.
(2) L’attaque est suivie pendant au moins 1 mois par :
(a) Crainte d’avoir d’autre attaque panique;
(b) Préoccupation concernant les implications ou les conséquences de l’attaque et/ou
(c) Changement de comportement en relation avec les attaques.
B. Présence/Absence d’agoraphobie
C. Attaques qui ne sont pas dû aux effets d’une substances ou d’une affection médicale générale.
D. Les attaques paniques ne sont pas mieux expliqué par un autre trouble mental. (Ex. phobie sociale, spécifique, TOC, STPT)
Quels sont les critères de l’agoraphobie? (Pas un diagnostic)
A. Anxiété lié au fait de se retrouver dans des endroits où il pourrait être difficile ou gênant de s’échapper, ou bien dans lesquels on ne pourrait pas trouvé secours.
B. Les situations sont soit évitées, soit subies avec une souffrance intense ou bien avec la crainte d’avoir une attaque panique. Peut nécessité la présence d’un accompagnant.
C. L’anxiété ou l’évitement phobique n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental.
Quels sont les critères diagnostiques de l’agoraphobie simple?
A. Présence d’agoraphobie relié à la peur de développer des symptômes paniques.
B. N’a jamais rencontré les critères du trouble panique.
C. N’est pas causé par des substances ou d’autres conditions médicales.
D. Si une condition médicale est rencontrée, la peur décrite en A est clairement excessive pour la condition.
Quels sont les critères diagnostiques de la phobie spécifique?
A. Peur persistante et marquée, excessive et irraisonnée causé par la présence ou l’anticipation d’une situation.
B. L’exposition au stimulus phobogène provoque de façon quasi-systématique une réaction anxieuse immédiate. (Peut prendre la forme d’une attaque panique.)
C. Reconnait que la peur est excessive et irrationnelle.
D. Les situations phobogènes sont évitées/vécues avec une anxiété ou une détresse intense.
E. Perturbe de façon importante les habitudes de vie, les activités professionnelles et sociales ainsi que les relation avec autrui.
F. Chez les individus en bas de 18 ans, la durée est d’au moins 6 mois.
G. N’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental.
Quels sont les type de phobies spécifiques?
Type animal, Type environnement naturel, Type sang-injection-accident, Type situationnel et Autre type
Quels sont les critères diagnostics de la phobie sociale?
A. Peur persistante et intense d’une situation sociale / de performance durant lesquelles il y a contact avec des gens non familier et/ou une observation attentive d’autrui. Le sujet craint d’agir de façon embarrassante.
B. L’exposition à la situation sociale provoque de façon quasi-systématique une anxiété (peut aller jusqu’à l’attaque panique).
C. Le sujet reconnaît par le caractère excessif ou irraisonné de la peur.
D. Les situations sociales ou de performances sont évités ou vécu avec une anxiété et une détresse intense.
E. Perturbe de façon importante les habitudes de vie, les activités professionnelles et sociales ainsi que les relation avec autrui.
F. Chez les individus en bas de 18 ans, la durée est d’au moins 6 mois.
G. N’est pas relié à la consommation d’une substance ou à une condition médicale et n’est pas mieux expliqué par un autre trouble mental.
H. Si une affection médicale ou mentale est présente, la peur est indépendante de ces troubles.
(Spécifier si de type généralisé)
Quels sont les critères diagnostiques du trouble obsessif-compulsif? (ne pas inclure les critères de l’obsession et de la compulsion)
A. Existence soit d’obsession, soit de compulsion.
B. À un certain point dans l’évolution du trouble, le patient a objectivé le caractère excessif et irrationnel de son obsession/compulsion.
C. Cause une détresse marquée, une perte de temps considérable (>1h/j) et interfère avec les activités habituelle.
D. L’obsession/compulsion n’est pas limité à un autre trouble de l’axe 1.
E. N’est pas causé par les effets d’une substance ou d’une autre condition médicale.
Quels sont les critères d’une obsession et d’une compulsion?
Obsession :
(1) Pensées, impulsions ou représentations récurrente ou persistantes considéré intrusives et inappropriées qui entraine une anxiété/détresse importante.
(2) Ne sont pas des simples préoccupations de la vie courante.
(3) Le sujet tente d’ignorer et de réprimer l’obsession, et de la neutraliser avec des actions ou des pensées.
(4) Le sujet reconnait que obsession provient de sa propre activité mentale.
Compulsion :
(1) Comportement répétitif ou acte mentaux que le sujet se sent poussé à accomplir en réponse à une obsession.
(2) Ces comportements sont destinés à neutraliser ou à diminuer le sentiment de détresse ou à empêché un évènement redouté. Il n’y a pas nécessairement de relation réaliste et peuvent être excessifs.
Quels sont les critères diagnostiques d’un trouble de stress post-traumatique?
A. Exposition à un évènement traumatique comprenant :
(1) exposition, expérience ou confrontation à une menace de mort ou de blessures graves à soi ou à autrui ET
(2) la réponse à cet évènement a impliqué de la peur, de l’horreur et/ou un sentiment d’impuissance.
B. L’évènement en question est réexpérimenter selon 1/5 des manières suivantes :
(1) Souvenirs répétitifs et envahissant provoquant de la détresse. (images, pensées ou perceptions).
(2) Rêves répétitifs de l’évènement
(3) Impression soudaine que l’évènement traumatique allait se reproduire. (Inclus les flashback et les illusions.)
(4) Sentiment intense de détresse lors de l’exposition à des indices internes ou externes évoquant l’évènement.
(5) Réactivité physiologique lors de l’exposition à des indices internes ou externes évoquant l’évènement.
C. Évitement persistant des stimulus associés au traumatisme par 3/7 signes suivants :
(1) Efforts pour éviter les pensées, les sentiments et les conversations.
(2) Efforts pour éviter les activités, les endroits ou les gens.
(3) Incapacité de se rappeler d’un aspect important du traumatisme.
(4) Réduction nette de l’intérêt ou de la participation pour des activités importantes.
(5) Sentiment de devenir étranger par rapport aux autres.
(6) Restriction des affects.
(7) Sentiment d’avenir “bouché”.
D. Présence de symptômes persistants traduisant une activation neurovégétative par 2/5 signes suivants :
(1) Difficulté à s’endormir ou sommeil interrompu.
(2) Irritabilité ou excès de colère.
(3) Difficulté de concentration.
(4) Hypervigilance
(5) Réaction de sursaut exagérée.
E. Les perturbations durent plus qu’un mois.
F. Entraine une souffrance cliniquement significative pi une altération du fonctionnement social, professionnel ou personnel.
Quels sont les critères diagnostiques d’un trouble anxieux aigu lié au stress (ou trouble état de stress aigu)?
A. Exposition à un évènement traumatique comprenant :
(1) exposition, expérience ou confrontation à une menace de mort ou de blessures graves à soi ou à autrui ET
(2) la réponse à cet évènement a impliqué de la peur, de l’horreur et/ou un sentiment d’impuissance.
B. Durant ou après l’évènement, manifestation de 3/5 symptômes dissociatifs suivants :
(1) Détachement ou absence de réactivité émotionnelle.
(2) Réduction de conscience de l’environnement (être dans le brouillard.)
(3) Une impression de déréalisation.
(4) Dépersonnalisation.
(5) Amnésie dissociative.
C. L’évènement traumatique est constamment revécu par des images, pensées, rêves, illusions, flash-back, sensation et souffrance.
D. Évitement des stimulus qui rappelle l’évènement.
E. Présence de symptômes anxieux persistant ou bien une activation neuro-végétative,
F. Entraîne une détresse cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel ou personnel. Altère la capacité à répondre à ses obligations, à se obtenir l’aide nécessaire et mobiliser les ressources personnelles.
G. Dure au minimum 2 jours, au maximum 4 semaines et survient dans les 4 semaines suivant l’évènement.
H. N’est pas due aux effets d’une substance ou d’une condition médicale et n’est pas mieux expliqué par un trouble psychotique bref, ni une exacerbation d’un trouble de l’axe I ou II.
Quels sont les critères diagnostiques du trouble de l’anxiété généralisé?
A. Anxiété ou soucis excessif survenant au moins 6 mois concernant un certain nombre d’évènements ou d’activités.
B. Éprouve de la difficulté à contrôler cette préoccupation.
C. L’anxiété et les soucis sont associés à 3/6 signes suivant :
(1) Agitation, sensation d’être survolté ou à bout.
(2) Fatigabilité
(3) Difficulté de concentration ou trou de mémoire.
(4) Irritabilité
(5) Tensions musculaires
(6) Perturbation du sommeil
D. L’objet de l’anxiété et des soucis n’est pas limité aux manifestations d’un trouble de l’axe I.
E. Entraine une souffrance cliniquement significative ou une altération du fonctionnement social, professionnel.
F. N’est pas du aux effets d’une substance ou d’une autre condition médicale.