Cours 9 Dév. cognitif à l'âge scolaire Flashcards
- Théorie de piaget : developppement cognitif
1.1 le stade opératoire concret
i- conservation
a)
b)
ii- Classification
→
Conscience hiérarchiques
Tenir compte des relations
iii- Sériation:
* Inférence transitive
i-
a) Décentration: focalise sur plus d’un aspects, les relie [dès age scolaire : 7-11ans]
b) Réversibilité: suivre série d’étapes, puis ordre inverse
ii→ Problèmes d’inclusion = réussis (entre 7 et 10 ans)
- une catégorie générale et deux plus spécifiques [p. ex. collections]
iii- mettre des items en ordre sans erreur [dès 6 ou 7 ans]
(dimension quantitative, ex. longueur)
- (sériation mentale) un peu plus tard
Intègre 3 relations : si A plus gr que B, et B plus gr que C, alors A plus gr que C
iv- Raisonnement spatial
ex. Cartes cognitives
En lire, en dessiner requiert «prise de perspective » et d’inférer un tout à partir de parties séparées
- Une pièce (plus facile)
Les plus jeunes incluent points de repères, mais arrangements parfois erroné - Grands espaces
Ne peut placer marqueur de repère sur carte avant 9 ans
- Vers la fin de la pérode scolaire :
L’expérience contribue,
Décrire les stratégies utilisées aussi
Curriculum en classe (Where Are We) … progrès
iv- (comprendre l’espace qui nous entoure)
Représentations mentales de grands espaces familiers (ex. école, quartier)
1→ Rotation = défi!
Explorer activement dans la pièce aide: différents points de vue des repères (représentations + flexibles)
2→ Utilisent stratégies (la tourner, tracer chemin) ↑ performance
Vers 9 ans: cartes plus organisées
Indiquer mieux chemin aussi, car le parcourent mentalement
- Se représentent bien les grands espaces
Lisent et dessinent cartes facilement
Même si différente orientation
«À l’échelle» vers 10 à 12 ans
Sens des symboles c. «les apparences»
- dessin de carte : carte du quartier vs carte pour aider les autres à se retoruver
- maturité cognitive : utilisé auto
autre carte : indices so.
Les deux dessinaient aussi bien les cartes pour se retrouver. Dépend de la question ; interprétation culturelles.
1.2 Limites de la pensée opératoire concrète
-1
-2
- Les enfants pensent de façon logique et organisée… surtout quand l’information est perçue directement, apparente, concrète (≠ abstraite)
- Maîtrise graduelle: continuum d’acquisition
Ne maîtrise pas toutes les tâches opératoires concrètes d’un seul coup, pas un principe logique appliqué partout
(ex. conservation du nombre, ensuite taille, ensuite liquide)
- Pcq pensée liée à leurs expériences, résoud un problème à la fois
- Selon Piaget, tous atteignent ce stade, grâce au dév. cérébral, avec un env. suffisamment stimulant
Mais …
La recherche en traitement de l’information explique la maîtrise [graduelle] des opérations et concepts logiques
→ expérience, le contexte, la culture influencent la performance à ces tâches
Plus d’occasion de faire ces exercices = meilleure perf.
Ex.: aller à l’école ↑ perf. tâches Piaget
adapter tâche, pertinence culturelle (ex. vendeur rue)
tissages complexes Mayas Zinacantec
1.3 Néopiaget
Dév. de la pensée opératoire serait dû à:
Case propose:
- intégrer schèmes (réseaux de concepts): ces structures conceptuelles centrales (principes) = applicables à situations variées
favorisent [efficacité de la pensée]
-pourquoi enfants ne démontrent pas même niveau de logique d’une tâche à l’autre (dév. cognitif inégal)?
la capacité grandissante du traitement de l’information
Case propose:
Avec la pratique, des schèmes cognitifs deviennent automatiques, ce qui libère la mémoire de travail! On peut:
remarquer autres aspects (focalise sur 1 aspect, puis 2, plus…)
Parce que différences : tâches (ex. dessin c. histoire), quantités d’info, expériences…
Au cours du primaire, pensée logique pour + en + tâches
La pensée semble avoir changé qualitativement
Graduel; continu
qualitatif; discontinu
- Traitement de l’information
2.1 Progrès des fonctions exécutives:
- vitesse du traitement de l’information
- capacité de MT
- stratégies mnémoniques
- attention
- planification
- auto-régulation
- théorie de l’esprit
- Meilleure intégration de ces fonctions
- Soutien du dév. cortex pré-frontal
- Hérédité est très déterminante…
-Soutien de l’environnement non-négligeable
2.2 Capacité de la mémoire de travail
- [ temps requis diminu de 6 à 11 ans] : linéairement
- Différences individuelles prédisent QI et perf. académique
a) Déficit commun chez enfants présentant troubles d’apprentissage
b) ) Pauvreté (enfance) liée MT (jeunes adultes):
- Traitement de l’info plus rapide, efficace. Donc plus grande qtité traitée.
Myélinisation et élagage syn.
a) Exercices = défis quand ardu de garder de nombreuses infos en tête
Entraînement spécifique (fréquent) = efficace! [entrainement = progrès]
b) impact néfaste du stress sur cortex préfrontal et ses liens avec hippocamp
2.3 L’attention
→ Âge scolaire :
1) Sélective
2) Flexible
- Planification :
progrès tâches ayant + étapes. L’attention : mettre en œuvre séquence de geste, c’est aussi: évaluer des séquences à l’avance.
a) Séquentielle, âge?
b) Avancée, âge?
→ adapter son attention, la contrôler , inhiber au besoin, résister aux distrateurs, focaliser
- Prévoit «quoi faire quand»
Ex. Recherche objets par 5 à 9 ans, dans une «épicerie» : les plus vieux prenaient + le temps de survoler l’épicerie avant, trouver la meilleure séquence … parcours plus court = meilleur performance.
a) [succès 4 ans] : un à la fois
b) inhibition resquise : reporte une action dans le temps [ succès 9ans], penser à l’avance
Attention planifiée=
Collaboration avec experts et scolarisation contribuent aux progrès
Mais éviter de tout organiser, car occasions de planifier = importantes
(ex. scaffold planif. lors pièce théâtre)
= Développement de la planification illustre que l’attention se coordonne de + en + aux autres aspects cognitifs
→ Pour résoudre problèmes complexes…
- Éviter (inhiber) une action pour favoriser une alternative
- Organiser une séquence d’étapes efficaces
- Se souvenir des étapes du plan (puis porter attention à chacune d’elle)
- Suivre de près comment le plan fonctionne
- Le réviser si nécessaire
2.4 Dév. des startégies de mémoire
[vs préscolaire prend trop l’espace de mémoire de travail]
- Répétition :
- Organisation : regrouper
*taxonomie
À la fin de l’âge scolaire:
- Élaboration: créer liens là où il n’y en avait pas
Très efficace, mais prend beaucoup d’espace de MT
- : prédite par compétences langagières (nommer automatiquement)
- : groupes basés sur la taxonomie [ fruits, légumes… lien avec mots] vs quotidien [main= mitaine, par habitude]
→ L’organisation et l’élaboration combinent en «paquets» …
Peut retenir plus d’information!
Utile aussi lors de la récupération (en pensant aux items associés à celui que l’on cherche
- Connassances et mémoire
- Connaître un sujet permet de bien intégrer une nouvelle information
Ex.:experts c. novices en soccer
Liste mots: soccer ou pas
Experts se rappellent mieux mots de soccer
La base de connaissances devient + en + grosse, réseaux hiérarchiques élaborés
Leurs connaissances aident à organiser l’information facilement
- Motivation: experts utilisent activement leurs connaissances, se demandent comment ce qu’ils connaissent peut clarifier ce qui est nouveau
2.4 Dév. des startégies de mémoire
- lien avec la modernisation
- et les indices plus pratiques?
→ Stratégies et indices de la vie de tous les jours (ex. organisation spatiale)
Pays industrialisés: Favorisent stratégies (école → pratique, mémorisation isolée) mais parfois au détriment d’indices plus pratiques
Villages, peu de scolarisation: Ne bénéficient pas d’un enseignement des stratégies car elles semblent inutiles
Modernisation de la société (accès aux ressources d’alphabétisation et de communication)
- reliée perf. tests cognitifs
2.5 Théorie de l’esprit
- Plus élaborée, rafinée
Esprit ≠ simple contenant d’information un processus actif (sélectionne, transforme infos) - et les fausses croyances?
- Croyances de second ordre : Dès 6 ou 7 ans, enfants sont conscients que les gens pensent aux pensées* des autres … et que ces pensées de second ordre peuvent être erronées « qu’est-ce que tu penses que je pense ; rebond»
→ Comprend processus cognitifs et le rôle des facteurs psychologiques sur la performance (ex: efficacité stratégies, liens entre activités mentales)
→Comprennent mieux d’où viennent les connaissances : observer, parler, mais aussi: inférences mentales (tirer des conclusions) … permet meilleure maîtrise des fausse croyances
- = Penser ce que l’autre pense: capacité de penser aux croyances de l’ un et de l’autre [slm capable vers 7ans]
La pensée récursive =
→Connaissance des stratégies mentales
À l’âge scolaire, plus conscients des stratégies utilisées, lesquelles sont les plus efficaces, et pourquoi
Ex. évaluer possibilités mieux que sauter aux conclusions
Besoin de tenir compte de 2 perspectives en même temps
(type de prise de perspective)
Ex. Julie pense que Marie pense que la poupée est dans son lit
Contribue à la capacité de réaliser que deux personnes peuvent interpréter la même situation différemment
- utile pour persuation
2.7 Le traitement de l’info et l’apprentissage scolaire
- La lecture
- Besoin de nombreuses habiletés cognitives comme…
1) *importance de lecture pour aprrendre ensuite par la lectue ; attention si faible
2)
3)
4)
5)
- «Ancien» débat : meilleure approche d’enseigner lecture ?
a) Méthode globale «whole language approach»
b) Méthode phonétique «phonics approach»
1-Conscience phonologique (sons) ; porter attention au sens, compendre
2-Discrimination visuelle
3-Rapidité en traitement de l’information (ex.: vite convertir symbole visuel en son)
4-Vitesse traitement info
… Mémoire de travail
5-Habiletés plus haut niveau (comprendre)
a) Exposer à des textes entiers, fonction communicative
b) Traduire symbole écrit en son
Solution = Combinaison = associée à meilleurs résultats ; Décoder les nouveaux mots, sans perdre de vue l’objectif
2.6 L’autorégulation cognitive
- Comment la favoriser?
Études sur les stratégies de mémoire:- plus connaît stratégie meilleure mémoire
- Quand il y a déficit?
→ Auto-régulation prédit succès scolaire (coping proactif c. passif) en quoi?
connaître des stratégies mentales & les mettre en pratique !
Déficits au niveau de l’auto-régulation cognitive : Continuellement suivre de près progrès vers but visé, rediriger effort si besoin ,se développe graduellement demande beaucoup, cognitivement
- Faire remarquer les aspect importants de la tâche
- Suggérer des stratégies
- Expliquer l’efficacité des stratégies
- Les habiletés d’auto-régulation aident à développer l’auto-efficacité académique (confiance en ses habiletés)
→Élèves qui réussissent bien distinguent apprentissages vont mal (c. bien) et prennent situation en main
2.7 Le traitement de l’info et l’apprentissage scolaire
- Les mathématiques
→Se base sur les connaissances _____ des nombres.
- S’exercer (drill) ou Comprendre (le sens des nombres)
- Diverses stratégies
Asie: concepts math., termes courts/logiques, pratique maison
[informelles]
Ligne numérique mentale + étendue
- Combiner les 2 approches
Apprennent par pratique, le raisonnement, stratégies
-Vérifier si sait pourquoi plus efficace
-Estimer, auto-correction
-Étude: Accent conceptuel avant pratiquer/mémoriser: meilleure amélioration math de la 2e à la 3e année
-Connaissances conceptuelles (ex. lien entre opérations) et stratégies plus efficaces, flexibles
- Différences individuelles en dev. mental
- Dès , le QI devient plus stable
Corrèle avec perf. académique, années scolarité, prestige occupationnel - Utilisé pour aider à la prise de décision concernant l’éducation. Permet quoi?
- tests de QI : à partir de la distribution normale
a) test de groupe
b) test administré individuellement
QI: intelligence générale (habileté de raisonnement) «g» habiletés plus spécifiques (habileté, «facteurs»)
-[6ans]
*
a)
- Permet de tester de grands groupes
- Requiert peu de formation pour l’administrer
-Utile pour une planification éducative
-Identifier les élèves nécessitant une évaluation individuelle
b)
-Les examinateurs ont besoin d’une formation et d’expérience
-Observer; aperçu de la fidélité et la justesse du score
-Identifier les jeunes à intelligence supérieure et ceux avec des problèmes d’apprentissage
- Items semblables à ceux souvent utilisés dans les tests d’intelligence pour enfants * Voir ex. ppt45
Les 3 derniers facteurs: moins basés sur la culture (plus justes)
Standardisé, échantillon représentatif de la population, multiethnique
3.1 Types de tests
a) Échelles d’intelligence de Stanford-Binet, 5e Ed.
b) Échelles d’intelligence pour enfants Wechsler-V (+utilisé au Qc)
Définir l’intelligence =
- Tests évaluent aspects imp. du traitement de l’info. Chercheurs souhaitent identifier habiletés cognitives sous-jacentes au QI (analyse des composantes)
→ … Vitesse du traitement de l’info corrélée au QI, soit la :
Aussi:
l’inhibition, l’attention flexible (sélective, soutenue), stratégies de raisonnement : prédictives du QI
a)
Évalue les connaissances générales, le raisonnement quantitatif, le traitement visuo-spatial, la mémoire de travail, et le traitement de l’information
[De 2 ans à âge adulte]
b)
Mesure le raisonnement verbal, le raisonnement perceptuel (ou visuo-spatial), la mémoire de travail, et la vitesse de traitement de l’information
[De 6 à 16 ans]
=
Mesure globale des fonctions exécutives est reliée au QI
→[Capacité de la mémoire de travail]
Définir l’intelligence
- L’approche des composantes a un problème majeur:
- Sternberg:
****?????
[L’intelligence est un ensemble de capacités, pas toutes évaluées par ces tests]
- comme si causes étaient «à l’intérieur» de l’enfant seulement
- Trois intelligences inter-reliées
Les équilibrer pour «réussir» selon ses buts et ceux de la communauté
3.2 Les trois types d’intelligence selon Sternberg
1.
2.
3.
- Les trois intérgissent
- Analytique = habiletés de traitement
de l’info
2.Créative = résoudre problèmes nouveaux - Pratqiue = Adapte pensée aux demandes; ou change la situation; ou sélectionne autre contexte
3.3 Théorie de l’intelligence multiple (8)
- de qui?
- des individus très doués ont habiletés plutôt larges
études: certaines intell.* ont aspects en commun
→Attire attention vers habiletés non mesurées par tests comme :
→ Selon Gardner, chaque intelligence a sa propre base biologique, son propre développement et une longue éducation est requise pour transformer le potentiel brute (la culture influence)
Peu de soutien scientifique pour aspect «distinct»
Ex. intra et inter-personnelles (l’intelligence émotionnelle asssociée à ES, empathie, prosocialité, leadership, perf. académique)
3.4 Expliquer les différences de QI
(entre les ind., entre les gr)
- Désir d’expliquer différences entre les groupes, des chercheurs ont comparé les QI (moyennes) de différents groupes SSE et ethniques : suicite controverses
-Nature c. Culture
Études parenté, de jumeaux
Estimés d’héritabilité: génétique expliquerait ~ ½ variance
→Gènes jouent un rôle: mais de quelle magnitude?
- autre étude sur l’adoption et les mères à faible SSE
- Certains gr sont avantagés (éducation, prestige, occupationnel)
- Ex.:
1.(Am. Nord) Noirs < Blancs (10 - 12 points)*
2.SSE faible < SSE élevé (9 points)
→ Même si on tient compte du facteur économique, l’écart ethnique (~ 3 points) a des conséquences importantes… ≠ ignorer - écart diminue, depuis dernières décennies
→Ces études surestiment la contribution de la génétique. Estimés plus grands si SSE élevé (atteint potentiel). Peu de progrès: identifier marqueurs génétiques. - autre étude: Nouveau-nés dont mère bio. a un QI faible c. élevé
Tous adoptés par parents au SSE et éducation élevés. Ceux dont mère bio. QI faible avaient QI > que la moyenne
… mais pas aussi élevé que ceux dont mère bio. QI élevé. Bébés Afr.-Am. adoptés dans familles au SSE élevé
QI élevés à âge scolaire (20 à 30 points > que désavantagés)
Théorie de l’intelligence multiple de Garner : litse (8)
Verbo-linguistique *
Logico-mathématique *
Musicale-rythmique
Spatiale *
Corporelle-kinesthésique
Naturaliste
Interpersonnelle
Intrapersonnelle
L’effet de FLynn
- alimentation, modernisation, soins, stimulation… ?
- gains en raisonnement spatial (plus héréditaire)
D’une génération à l’autre, les QI augementent
Cette tendance séculaire est répliquée: pays industrialisés ou non, chez les deux sexes, ethnicité et SSE variés
[L’étendue de cet effet est modérée par le degré de modernisation de la société; effets selon son arrivée dans l’histoire
Éducation, santé, technologie, travail et loisirs stimulants cognitivement, motivation (test)]
3.5 Influences culturelles : expliquer les dif. de QI
1) Styles de communication, minorités ethniques
ex: anglais afro-am.
- Style collaboratif vs hierarchique
2) Connaissance (biais culturel)
3) Menace du stéréotype
→
Biais des tests? Si enfants n’ont pas mêmes occasions d’apprendre les habiletés/connaissances testées
Styles de langue/communication
Connaissances (biais culturels du contenu des tests)
Stéréotypes
- Plus le SSE élevé : style similaire à celui en classe
3) la conscience de faire partie d’ungroupe stigmatisé peu amener le désengagement. [pourtant autodiscipline prédit mieux le succès que QI]
3.6 Réduire le biais culturel en situation d’évaluation
- Souci
- En plus du QI, évaluer le
- Type d’évaluation_______
**Étude: niveau enseignement + en + explicite (au besoin)
-Suspendre tests typiques?
- d’«identifier» incorrectement des enfants de minorités ethniques (placés: classe moins stimulante)
- comportement adaptatif (gérer tâches au quotidien)
- Évaluation dynamique: Introduire enseignement en cours de testing (bénéficie du soutien social?) Réceptif? Transfère à nouveaux problèmes? Aide à prédire perf. future.
**Définir intelligence (reliées aux efforts) - Dweck
[Intervention d’affirmation de soi]
- NON :Risques de discrimination est pire sans… Sensibilité aux influences culturelles lors de l’interprétation des résultats
- Le développement langagier et le milieu scolaire
4.1 Développement langagier (4)
a) La conscience métalinguistique
b) Vocabulaire
c) Grammaire
d) Pragmatique
- Récits plus organisés, détaillés, expressifs [ information (temps, lieu, personnes) et connections («ensuite»)
+ commentaires évaluatifs]
→ Adpotion du style narratif des proches
a)Focalisé
b)Associatif
- Il existe un lien entre____________ et le dev. du langage.
4.1
a) (penser au langage) l’école, lecture fluide contribue
b) Quadruple au cours du primaire!
20 nouveaux mots/jour (en moyenne)
Mêmes stratégies qu’au préscolaire, + d’autres:
Ex. analyse structure des mots (ex. chanson dans chansonnier), Lecture: vocabulaire diversifié, complexe: prédit taille vocabulaire futur, Précision des mots (nuances); des définitions
Approche analytique; saisir double sens de mots (métaphore, blague)
c) Voix passive, Mode infinitif
d) Communiquer clairement
S’adapte à la situation, + précision
Conversations entre pairs doivent aider
Comprend ambigüités, ex: «mets le verre sur la table dans le bac» .Théorie de l’esprit aide à comprendre expressions indirectes. (ironie, sarcasme compris vers 8 ans)
- Associatif = suisciter intéret, Focalisé = lien, plusieurs recits, intention, complexifié
- [repas en famille]
4.2 Apprendre deux langues
→ 2 façons:
- Apprendre simultanément
- Apprendre 1re, puis 2e
→Période sensible: début de la maîtrise durant l’enfance
-Enfants bilingues
Atteint mêmes étapes clé
«Changer de codes» est adaptatif: reflète contrôle délibéré des deux langues (selon degré exposition)
- surtout si parents le font
→ Facilité diminue graduellement avec l’âge
Enfants bilingues= Plus de matière grise (neurones, axones) dans aires langagières de l’hémisphère gauche
+ Activité cérébrale ces aires, et cortex préfrontal (inhiber, décider). Dév. cognitif : bénéfices en attention soutenue et sélective, fausse croyances, raisonnement analytique, flexibilité, conscience métalinguistique, conventions, lecture
Éducation bilingue?
- Immersion (ex. FR chez anglophones, certaines école au Canada, de la maternelle à la fin 2e année): En 6e année, même niveau anglais (lu, écrit) et math que les autres
→Éducation bilingue pour minorités ethniques? Débat aux ÉU
-Pourquoi contribue à l’échec et au décrochage parmi Hispano-Américains de faible SSE de développer slm l’anglais?
→ Accent sur anglais seulement
- Temps sur autre langue «éloigne» de l’anglais
- Perdre sa langue maternelle: limité dans les deux langues
→ Développer la langue maternelle = respect pour leur héritage
- Élèves plus engagés, participatifs, acquièrent anglais plus facilement
- perf. académique
4.3 Apprendre à l’école
a) Philosophies éducatives →
b) Classes constructivistes (c. traditionnelles)→
→Comment apprend l’enfant? Façonne contenu, manière enseigner/évaluer
→Suivre et guider enfant qui construit ses connaissances («à la Piaget»), évaluer progrès face à lui-même
Gains en pensée critique, maturité sociale et morale, attitude positive envers école
Classes traditionnelles: léger gain (tests)
Pressions afin d’améliorer les notes: rétrécit contenu (en vue tests)
4.3 Apprendre à l’école
c) Nouvelles directions philosophiques: Classe de constructivisme social (apprendre ensemble) →
Ex. programmes:
Enseignement réciproque (enseignant et 2 à 4 élèves)
Ex. groupes de lectures où l’on questionne, résume, clarifie, prédit
- Interaction enseignant-étudiant caractéristique
- Pourquoi le regroupement des élèves est un risque ?
- Un mot sur les classes Multi-niveaux:
→ Élèves et enseignants: Partenaires dans l’apprentissage; Plusieurs types de communication symboliques
→ Enseigner selon la zone proximale de dév. de chacun
[Communauté d’apprenants (sous-groupes, projet commun, élèves experts, réciprocité)]
- Bienveillant, stimulant, aidant
Chaleur: effet accentué chez enfants vulnérables, Prophéties auto-réalisatrices, pire sur moins performants - Homogène (habileté)Ségrégation? Source de prophéties auto-réalisatrices?
-Multi-niveaux: Bénéfices, si soutien pour l’apprentissage coopératif, un grand défi
