Cours 8 - Tr. lié à une substance Flashcards

1
Q

Récapitulatif historique des substances psychoactives :

Préhistoire
1500-1850
1850-1910
1930-1960
1960-1970
1970-1995
1995-2015
Futur

A

Préhistoire : Chamanisme

1500-1850 : Apothicaires (1ᵉʳ usage pour traiter)

1850-1910 : Naissance pharmaceutique (usage de cocaïne par Freud)

1930-1960 : Boom pharmaceutique

1960-1970 : Mouvement hippie (qui va mener à la guerre des drogues

1970-1995 : Accentuation de la répression

1995-2015 : Boom des ordonnances (début traitement douleur dans rétablissement)

Futur : Transformation législative (légalisation pour diminuer criminalité) et transhumanismes (AI)

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2
Q

Sous perceptive historique, parle de la portée politique des substances psychoactives.

A

Sujet qui est hautement politique (donc qui a un impact sur les personnes stigmatisé).

Oublié dans l’histoire ; Impact social des mouvements politiques (exemple. crise des opioïdes)

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3
Q

Définition d’une substance psychoactive.

A

Substance chimique qui, lorsqu’elle est introduite dans l’organisme, modifie temporairement la fonction psychologique (humeur, perception, cognitions, comportements) ou physiologique.

Impact sur le cerveau!

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4
Q

Les 3 motifs d’utilisation d’une substance psychoactive.

A
  1. SPIRITUEL/HÉDONIQUE
    - Altération de la conscience
    - Fin religieuse, chamaniques, créatives, spirituelles
    - Psychonautisme : Naviguer à travers la conscience
  2. THÉRAPEUTIQUE
    - Analgésique (antidouleur)
    - Hypnotique (somnifère)
    - Anxiolytique
    - Myorelaxant (détente musculaire)
  3. SOCIAL
    - Levée des inhibitions
    - Faire partie d’une culture ou contre-culture (sentiment d’appartenance)
    - Expérience commune
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5
Q

Les 3 natures des effets des substances.

A

1) DÉPRESSEURS
- Inhibent l’activité du SN
- Inclut : Alcool, Opiacés, Benzodiazépines, Solvants volatiles.

2) STIMULANTS
- Stimulent l’activité du SN
- Inclut : Caféine/Théine, Nicotine, Amphétamines (ecstasy, MDMA, speed, peanut, ritalin, aderall), Métamphétamines (crystal meth, crank, glass, chalk, ice), Cocaïne ou crack

3) PERTURBATEURS
- Altèrent l’activité du SN
- Inclut : Hallucinogènes (LSD, PCD, Ketamin, psylocibine), Cannabis : « marijuana », haschich, huile ou résine.

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6
Q

Étapes de fonctionnement d’un dépresseur :

1.

2.

A

Rappel que les dépresseurs inhibent l’activité du SN (ex. alcool)

  1. Levée des inhibitions
  2. Apparition léthargie
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7
Q

Les 7 facteurs pour évaluer la dangerosité d’une substance.

A
  1. Puissance : produit, effets importants même avec petite dose.
    Ex. Fentanyl
  2. Efficacité : produit un effet complet peu importe la dose.
    Ex. cocaïne
  3. Spécificité : qui se lie à une seule cible. Le plus dangereux : 1) si la cible affecte fonction vitale, 2) si pas de cible spécifique et affecte tout le corps.
    Ex. Alcool et système GABA
  4. Toxicité : provoque atteinte physiologique significative.
    Ex. Nicotine
  5. Altération psychique : qui aura une forte capacité à perturber les perceptions.
    Ex. Cannabis vs Acide (psychose)
  6. Tolérance : Diminution de l’effet à long terme. Associée au contre-effet (down) et au sevrage.
    *** Tolérance croisée : Tolérance qui se généralise à une autre.
  7. Mode d’administration : En ordre d’efficacité,
    1) Injection (veineux, cutanée, musculaire)
    2) Intrapulmonaire
    3) Intranasal
    4) Transdermique
    5) Oral
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8
Q

Définition d’un trouble lié à une substance.

A

Addiction ou dépendance en lien avec la consommation d’une substance psychoactive et liée à des problèmes fonctionnels significatifs.

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9
Q

Définition d’une dépendance.

A

Besoin d’une substance ou d’activité pour fonctionner.

État physiologique menant à un besoin irrépressible (craving).

Êtres humains sont intrinsèquement dépendants.

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10
Q

Les 2 types de dépendance.

A
  • Psychologique : Individu ressent besoin de consommer pour réguler émotions, comportements, cognitions.
    Ex. Alcool avant souper de famille.
  • Physiologique : Individu doit consommer pour fonctions physiques fonctionnent.
    Ex. Boit pour éviter tremblements.
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11
Q

Distinction entre TROUBLE et DÉPENDANCE.

A

Il n’y a pas de trouble sans dépendance.

Il peut y avoir une dépendance sans un trouble.

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12
Q

Étiologie des troubles liés à une substance :

Environnementale (3)

A

ENVIRONNEMENTALE
- Milieu familial
- Hostilité familiale et stresseurs
- Histoire de consommation (est-ce que c’est un beau ou mauvais moment dans la famille)

  • Influence des pairs
    • Réseau consommateur (++++ IMPACT, importance du contexte d’initiation à substance)
    • Culture de consommation du réseau (ex. culture différente par école)
  • Disponibilité des drogues
    • Accès légal
    • Accès illégal
    • Effet rebond (quand diabolise une substance, créer une exagération de la consommation quand va avoir la liberté)
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13
Q

Étiologie des troubles liés à une substance :

Individuelle (2)

A

INDIVIDUELLE

  • Stratégies de coping
    • Gestion difficultés émotionnelles
    • Gestion de la quête identitaire
  • Auto-défense vis-à-vis l’abus de substance
    • Niveau de connaissances
    • Discipline personnelle
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14
Q

Étiologie des troubles liés à une substance :

Biologique (2)

A

BIOLOGIQUE

Génétique
- Vulnérabilité accrue transmise de manière héréditaire

Système dopaminergique
- Consommation agit sur DA
- Cerveau à jeu n’arrive plus à produire le même niveau DA
- Individu doit consommer pour avoir accès au même niveau de DA
(le fait même de consommer à un impact biologique)

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15
Q

Étiologie

4 types de relations possibles entre :
Tr. de substance
Facteurs de risque
Comorbidités

A

1) TR.SUB et COM sont des conséquences séparées venant des facteurs de risque de l’individu

2) COM sont des facteurs de risque pour consommation et TR.SUB
(ex. utiliser la conso pour gérer la comorbidité - Automédication)

3) TR.SUB déclenche le dév d’une comorbidité.
Ex. tjrs dans alcool et donc dév une dépression

4) COM est résultats temporaires de la consommation
Ex. vivre anxiété quand hangover de MDMA

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16
Q

2 types de classifications diagnostiques :

A

Trouble de l’usage d’une substance :

Ensemble de compts. problématiques liés à consommation d’une substance :
- Désirs intenses de consommer
- Consommation excessive
- Tentatives infructueuses d’arrêter l’usage
- Impacts fonctionnels

Troubles induits par une substance :

Problèmes de santé mentale ou physique qui sont causés directement par effets d’une substance :
- Intoxication
- Symptômes de sevrage
- Comorbidités

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17
Q

Importance spécification dans la classification des troubles :

A

Chaque diagnostic est spécifique à la substance consommée.

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18
Q

SYMPTOMATOLOGIE des troubles liés à une substance

Symptômes cognitifs (3)

A

1) Pensées intrusives : Préoccupations constantes au sujet de l’utilisation de la substance

2) Difficultés de concentration

3) Réassurance excessive et banalisation des conséquences (narrative que je me suis créer dans ma tête)

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19
Q

SYMPTOMATOLOGIE des troubles liés à une substance

Symptômes émotionnels (4)

A

1) Comorbidités

2) Irritabilité et/ou euphorie

3) Honte et culpabilité

4) Ambivalence vis-à-vis la substance (meilleur ami et pire ennemi)

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20
Q

SYMPTOMATOLOGIE des troubles liés à une substance

Symptômes comportementaux (4)

A

1) Consommation excessive

2) Dépendance : tolérance, contre-effet et sevrage

3) Prise de risque accrue (conso devient notre vie et on néglige le reste, ex. job)
- Négligence des responsabilités
- Cmpt dangereux
- Activités illicites

4) Retrait social majeur
- Perte de liens sociaux et familiaux (mensonges)
- Perte de stabilité environnementale
- Itinérance (spectre)

21
Q

Deux impacts des troubles liés à une substance sur la sexualité.

A

1) Dysfonctionnement sexuel multifactoriel

2) Comportements à risque et chemsex

22
Q

Décrit comment le « dysfonctionnement sexuel multifactoriel » se manifeste. (3)

A

1) DYSFONCTIONS SEXUELLES COURANTES :

50-70% des hommes dépendants aux opioïdes vivent avec de l’impuissance et des dysfonctions érectiles

40-60% des femmes en traitement pour un tr. substance signalement des problèmes de libido et anorgasmie.

2) Augmenter des ITS

3) Diminution de la capacité à partager son intimité

23
Q

Pourquoi est-ce que l’impact du « dysfonctionnement sexuel multifactoriel » apparait?

A

COGNITIFS
- Préoccupations constantes au sujet de l’utilisation

ÉMOTIONNELS
- Comorbidités
- Honte et culpabilité

COMPORTEMENTAUX
- Retrait social majeur
- Négligence des responsabilités

24
Q

Qu’est-ce que la consommation sexualisée?

A

La prise intentionnelle de SPA avant ou pendant l’acte sexuel.

25
Q

Quelle est la fonction de la consommation sexualisée? (5)

A

1) Désinhibition
2) Aug. confiance
3) Aug. libido
4) Aug. performance
5) Aug. plaisir

26
Q

Quels comportements à risque sont engendrés par la consommation sexualisée? (4)

A

1) Impulsivité sexuelle
- Multiplicité des partenaires
- Aug. risque ITSS
- Non-respect consentement et violence

2) Échange de services et culture illicite

3) Négligence de la santé reproductive

4) Sexualité comme moyen d’évasion
- Dépendance à subst. pour acte sexuel
- Oubli aspect émotionnel de acte sexuel

27
Q

Complexité du lien entre la consommation et la sexualité

A

Consommation pour aider à la sexualité (peut-elle être adaptée? - chemsex)

Santé sexuelle hors consommation diminue

Sexualité comme incitateur à la consommation

28
Q

Définition du CHEMSEX

A

Terme qui décrit un phénomène culturel lié à la communaité gait, aussi appelé Party n Play (PnP) ou High & Horny (H&H)

Toute combinaison de SPA (surtout GHB et crystal meth) utilisée spécifiquement dans l’intention d’entreprendre des relations sexuelles gaies

29
Q

Comment est-ce qu’on explique culturellement le phénomène du Chemsex? (3)

A

1) Traumatisme culturel lié à la crise du VIH/SIDA

2) Stigmatisation passée et actuelle de la sexualitégaie

3) Exacerbation de la stigmatisation par l’apparition de micro-cultures (perfection au corps, origine ethnique, performance sexuelle ciblée) via des applications de rencontre

30
Q

Les 3 types de prises en charge médicale.

A

1) Désintoxication

2) Sevrage prolongé

3) Abstinence prolongée

31
Q

Prise ne charge médicale et impact sur la sexualité

DÉSINTOXICATION

A

Définition : Période d’élimination de la SPA du corps

Médication utilisée :
- Benzodiazépines : Pour gérer anxiété et panique
- Antidépresseurs : Traiter les symptômes anxieux et dépressif.
- Agonistes opioïdes (p.ex., méthadone) : Réduire les sympt. initiaux de la dépendance aux opioïdes.

Impact sur sexualité :
- Dysfonctions sexuelles dus aux effets secondaires des médicaments.
- Fluctuations hormonales
- Mode survie

32
Q

Prise ne charge médicale et impact sur la sexualité

SEVRAGE PROLONGÉ

A

Définition : Gestion des symptômes résiduels et persistants de la désintoxication

Médication utilisée :
- Antidépresseurs : Traiter les symptômes anxieux et dépressif.
- Stabilisateurs d’humeur : gérer les fluctuations émotionnelles à moyen terme.
- Agonistes opioïdes (p.ex., méthadone) : Réduire les sympt. initiaux de la dépendance aux opioïdes.

Impact sur sexualité :
- Dysfonctions sexuelles dus aux effets secondaires des médicaments
- Symptômes résiduels du sevrage et des comorbidités associées dans la sexualité.

33
Q

Prise ne charge médicale et impact sur la sexualité

ABSTINENCE PROLONGÉ

A

Définition : Maintien de l’abstinence et prévention des rechutes.

Médication utilisée :
- Antagonistes naltrexone : Bloquer les effets de certaines drogues
- Antagoniste acamprosante : Réduire l’envie de consommer
- Antagoniste disulfirame : Provoquer des réactions désagréables lors de la consommation.

Impact sur sexualité :
- Dysfonctions sexuelles dus aux effets secondaires des médicaments.
- Changement hormonaux (car retour à la « normale »)

34
Q

Deux formes de prise en charge psychosociale.

A

1) Réduction des méfaits

2) Sobriété et prévention des rechutes en deux modèles.

35
Q

Définition de la réduction des méfaits.

A

Modèle d’intervention dont l’objectif n’est pas l’abstinence, mais la minimisation des conséquences négatives associées à la consommation sexualisée.

36
Q

Valeurs inhérentes de la réduction des méfaits.

A

Pragmatisme : Absentéisme est objectif irréaliste pour plusieurs personnes utilisatrices.

Humanisme :
Tenir compte davantage de la qualité de vie que de l’acte comme tel.

37
Q

Lors de l’intervention par la réduction des méfaits, quels sont les axes ciblés?

A

Social : réduction de la criminalisation et stigmatisation

Sanitaire : prévention des infections, surdoses, accidents, décès

Psychologique : aide et soutien à la personne utilisatrice et à l’entourage

Économique : réduction des coûts liés aux soins et à la réinsertion sociale

38
Q

Exemples de modèles d’intervention en réduction des méfaits.

A

1) Modeling

2) Liste de contacts et pair.es aidant.es

3) Éducation à la consommation contrôlée

4) Distribution de matériel et lieu d’injection sécuritaire

5) Testing des SPA

Exemples d’initiatives québécoises :
- Cactus Montréal
- Document Alcool, drogues et milieu gai de Rezo

39
Q

SET-SETTING-DRUG modèle

A

SET : tout ce qui a rapport à individu, sa santé mentale et physique, son genre, sa génétique, son humeur, etc.

SETTING : Tout en lien avec environnement de la personne ; ex. les pairs, la météo, la présence de police, etc.

DRUG : La quantité, la pureté, la méthode de consommation, le type de drogues, etc.

40
Q

Qu’est-ce que l’entretien motivationnel?

A

Modèle d’intervention dont l’objectif est de résoudre l’ambivalence concernant un changement associé à la dépendance, la sexualité ou la santé.

41
Q

Parle du modèle de MILLER et ROLLNICK « Principes de base » en entretien motivationnel.

A

Altruisme : intention sincère de l’aidant.e d’aider le client

Partenariat : travail avec, pour et par l’individu

Non-jugement : aidant.e reconnait le vécu de l’individu sans critique ou désir de convaincre

Évocation : aidant.e reflète les motivations, incohérences, défis sans donner de solution

42
Q

Parle du modèke de Prochaska et DI Clemente avec les « Stades de changement » en entretien motivationnel.

A

Précontemplation : individu ne reconnait pas les impacts du comportement

Contemplation : individu prend conscience des conséquences et envisage un changement

Détermination : individu a un désir de changer et fait la préparation à ce changement

Action : Individu met en œuvre les changements

Maintenance : individu travaille à maintenir les changements

Rechute : individu recommence à faire les comportements initiaux

43
Q

Les 6 étapes de l’entretien motivationnel.

A

1) Précontemplation

2) Contemplation

3) Détermination

4) Action

5) Maintien

6) Rechute

44
Q

Les 6 étapes de l’entretien motivationnel.

PRÉCONTEMPLATION

A

CIBLE :
Dresser portrait objectif de l’impact de la consommation sur la sexualité

Dresser un portrait des valeurs de l’individu

À ÉVITER :
Tenter de convaincre

45
Q

Les 6 étapes de l’entretien motivationnel.

CONTEMPLATION

A

CIBLE :
Contraster l’état des choses et les valeurs

Réduction des méfaits dans la consommation et la sexualité

À ÉVITER :
Presser au changement

46
Q

Les 6 étapes de l’entretien motivationnel.

DÉTERMINATION

A

CIBLE :
Identifier les facteurs qui ont motivé la mobilisation

Décortiquer le changement en petites étapes : exposition graduée, rencontres de partenaires non-consommateurs, désintoxication et sevrage

À ÉVITER :
Imposer des solutions et un plan

47
Q

Les 6 étapes de l’entretien motivationnel.

ACTION

A

CIBLE :
Verbaliser la confiance en le changement

Assurer la sécurité pendant le sevrage

À ÉVITER :
Ignorer les nouveaux stresseurs et signes de détresse

48
Q

Les 6 étapes de l’entretien motivationnel.

MAINTIEN

A

CIBLE :
Accompagner dans la reconstruction d’une santé sexuelle

Élaborer un plan de prévention des rechutes

À ÉVITER :
Réduire l’intensité des suivis trop rapidement

49
Q

Les 6 étapes de l’entretien motivationnel.

RECHUTE

A

CIBLE :
Normalisation du processus itératif

Réduction des méfaits dans la consommation et la sexualité

À ÉVITER :
Offrir des solutions trop rapidement